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charly-tango

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Jack~OF~Blade Membre 1 465 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
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bon voila la suite (jlai recopié sur lordi aujourd'hui ^^), je continue demain !

Comme il l’avait deviné, elle ressemblait bel et bien a un oiseau gigantesque, disposant de crocs au moins deux fois plus longs que la lame de son (regretté) couteau. Entièrement recouvert d’une cuirasse bosselée qui semblait impénétrable, elle ressemblait a un scarabée (géant, le scarabée), croisé avec un griffon de la mythologie, dont il aurait tiré ses ailes, d’une envergure impressionnante, animées par des muscles d’une puissance redoutable, tandis que sa queue, incroyablement longue, se secouait et se tortillait dans tous les sens, le menaçant de ses épines osseuses.

Ben frissonna (une fois de plus) : son agresseur semblait quasiment invincible, ce qui rendait sa tâche…quasiment impossible. Sa seule faiblesse résidait dans ses yeux, mais aussi sa gorge, non protégé par la cuirasse luisante de son corps. Alors que le jeune homme reculait lentement, désormais désarmé, le prédateur repassa à l’attaque. Une nouvelle fois, la vitesse de Ben se décupla, lui permettant d’esquiver une fois de plus l’attaque de la mystérieuse chimère, grâce a une roulade « tout en souplesse ». Il se rétablit, parfaitement sur ces appuis et se remit a reculer, lentement, mais surement : cependant, il se prit a penser que, si cette technique lui permettrait de rester en vie encore un bout de temps, l’issue de cet affrontement qui avait tourné a la traque rapprochée, ne faisait aucun doute. La créature lui jeta un regard…goguenard, et….sourit. Ben n’en crut pas ses yeux. Un animal était normalement, incapable de sourire à la manière des Humains ! Ben blémit : cette… « Chose », devait possédait une intelligence que nulle ne devait pouvoir imaginer…peut être bien plus efficace et subtile que celle de l’espèce Humaine ! Il sentit sa gorge se nouer sous l’afflux de terreur qui était en train de le submerger : dans un terrible hurlement a glacer le sang, la Chimère releva sa queue a la manière des scorpions, et la projeta sur lui a une vitesse phénoménale. Inconcevable. Imparable. Ben s’évanouit sur le coup.

*

* *

Bill Neadcliff était un sergent de police de Leanton, souffrant de troubles psychologiques mineurs, et utilisant de temps a autres des méthodes de travails quelques peu expéditives, faisant de lui un homme peu aimé, et pas du tout pris au sérieux par ses collègues. Alors quand il découvrit 2 jeunes gens cachés derrière les pompes a essences (de la station service principale de la ville), qui lui racontèrent qu’un monstre énorme les avaient attaqué au milieu d’un champ voisin, il se mit à penser que la, s’il racontait ca à ses supérieurs, il était bon pour la retraite à 40 ans.

« Mais puisque que l’on vous dit que nous avons été attaqué par une créature volante qui… », S’énerva le jeune homme, aussitôt coupé par l’agent.

-C’est ca, c’est ca et en attendant, tu as des preuves de ce que tu avance ?

A cet instant, un rugissement a glacer le sang retentit au loin…mais en même temps très proche de la station service ou ils se trouvaient.

Le policier perdit instantanément toute ses couleurs que le froid glacial (en pleine période de canicule ?) avait épargné, et devint blanc comme un linge.

« Vous la voulez toujours votre preuve ?, chuchota Namie terrifiée a l’idée que leur mystérieux agresseur vienne par ici, ou il vous faut un ou deux crocs en travers de la gorge ? »

Neadcliff, regarda le point d’où semblait venir le monstrueux rugissement, sortit son arme et « intima » (autant que pouvez « intimer» un agent de police terrorisé) aux deux adolescents de « s’installer » dans sa voiture, pendant qu’il alertait les postes alentours.

Namie et Alex se dirigèrent vers la voiture du représentant de la loi, et s’assirent à l’arrière, tandis que l’agent tentait de prendre contact avec les autres commissariats.

Cependant, il se rendit rapidement compte que quelque chose clochait :

« On n’a aucun réseau ! », souffla Neadcliff, d’une voix serrée par l’angoisse

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Jack~OF~Blade Membre 1 465 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
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et voici la version complete pour linstant :

FéLCON

TOME 1 : L'envol du Maëlstrom

Ben rampait silencieusement dans les hautes herbes, grillées par le soleil estival américain et la canicule. C'était la fin de l'été, l'année scolaire allait bientôt reprendre dans la paisible ville de Leanton, perdue en plein centre du Texas et Ben, un jeune américain de 13 ans profitait de ses derniers jours avec ses meilleurs amis.

"Ben !, c'est bon, je t'ai vu !!"

-Ce n'est pas possible !! On t'a greffé des yeux de faucon ou quoi ?!, répondit celui ci, accablé par les capacités visuelles de la jeune fille qui l'avait repéré sans peine, il faudra que je pense a demander a tes parents, ajouta t-il en se relevant et en frottant ses habits et ses longs cheveux noirs auxquelles l'herbe sèche s'était accrochée.

Il avança vers Namie en marmonnant :

"Comment fait-elle ? Non mais c'est vrai quoi !"

-Tatatata, rétorqua la jeune adolescente, une professionnelle ne révèle jamais ses secrets...et je te rappelle qu'il reste encore Alex, Ralph et Jeff

A peine eut-elle finit sa phrase qu'elle se figea, fixant un fourré sur la droite de ben... et éclata de rire

-Rectification, il ne reste que Alex et Ralph, Jeff sort de ton fourré !

Une petite silhouette, surmontée d'une tête ornée de longs cheveux blonds bouclés fit son apparition au milieu des maïs (quelques peu grillés entre nous), comme venue de nulle part. Il se dirigea a contre c¿ur vers eux, en trainants des pieds et en râlant :

-Il ferait un bon politicien, chuchota Ben a l'oreille de Namie qui ne put s'empêcher de pouffer a sa remarque...pertinente.

-Qu'est ce qu'il y a de drôle?, marmonna Jeff que l'on sentait de très mauvaise humeur, allez y dites le moi en face !!

Jeff était d'un naturel un peu (beaucoup) grognon et s'énervait principalement pour un rien. A cause de sa petite taille et de son tempérament agressif, d'aucun le comparait a un chat sauvage...avec les griffes sorties en permanence.

Pour éviter toutes disputes, Ben lui expliqua calmement :

"j'expliquai a Namie que tu ferai un très bon président..."

-Mouais...ça ira pour cette fois, répondit Jeff en faisant une grimace, mais la prochaine...

-Eho les 2 commères, ça vous diraient d'arrêter de raconter votre vie et de m'aider a trouver Alex et Ralph parce que les connaissant on aura finit la partie a la rentrée !!

En effet, Alex et Ralph, faux jumeaux de 14 ans, avaient la patience dans la peau. Fan de jeux vidéo depuis toujours, ils étaient capables de rester des heures comme des buses devant une télé (écran plat évidemment) pour passer un seul niveau ! de quoi s'inquiéter quand on joue a cache-cache avec eux dans un champs de plusieurs terrains de foots de longueurs.

En pensant a cette possibilité, Jeff proposa en ricanant :

"On a qu'a les laisser la !"

Ben et Namie lui jetèrent deux regards désapprobateurs jusqu'a la pupille.

Puis Ben se détendit et ricana a son tour :

- il n'a pas tort ...

-Ben !, s'écria la jeune fille scandalisée tu n'es pas sérieux ?!

-On rigolai, précisa Jeff, pas besoin de tirer une tête pareille !

Ils éclatèrent tous de rire (encore ! décidemment)...Alex et Ralph aussi d'ailleurs qui se firent aussitôt repérés derrières les 3 autres adolescents.

-Ils voulaient nous prendrent a revers, fit remarquer Ben

-Oh quel sens de l'observation, rétorqua Namie, vexée de ne pas l'avoir dit la première

-Oh ca va vous 2, s'emporta Jeff, on dirait un couple en ménage....

"Hum, Hum"

Les trois camarades se retournèrent d'un seul homme :

« Quoi ??! »

-Cool, Relax, firent Ralph et Alex tout en frottant et époussetant leurs vêtements, c'est les vacances quand même !!! »

-Ca pour être cool, vous êtes cool, fit remarquer Jeff, d'habitude il nous faut plusieurs jours pour vous retrouver¿

Les deux jumeaux se regardèrent un cour instant, puis s'avancèrent, menaçants. Il faut dire que les deux ados se complétaient plutôt bien. Le premier a être né, Alex, était grand, bronzé mais fin de constitution, tandis que son frère, Ralph, plus petit, tout aussi bronzé qu'Alex, était plus trapu. Ils possédaient tous deux des yeux bruns, principale différence avec leurs camarades : Namie étant Blonde aux yeux bleus océans, Ben avait des longs cheveux noirs et des yeux vert émeraudes et Jeff disposait de yeux gris bleu accompagnaient de ses mythiques longs cheveux blonds bouclés. Ce derniers se mit a reculer prudemment, jeta un coup d'¿il a Ben, qui hocha la tête d'un air approbateur et se jeta sur les deux frères avec le dernier garçon de la bande.

Après s'être battus comme des gorilles enragés, et transpirants comme des b¿ufs, le gang s'assit en cercle au centre de l'immense champ. Ils commencèrent à parler de la future rentrée au collège, des « profs », des anecdotes de l'année passée. Le soleil se mit à descendre dans le ciel annonçant la tombée de la nuit. C'est alors que Namie se mit a frissonner étrangement.

«Que se passe-t-il Nam', s'inquiéta Ben, tu te sent bien ? »

« Oui, oui, répondit cette dernière d'un air distrait, c'est justes que je ressent .. , quelque chose de bizarre dans le coin¿ »

La sensibilité de Namie était si manifeste que les 5 amis la prirent au sérieux sans aucuns doutes. Particuliérement Alex le plus peureux du groupe. On pouvait d'ailleurs voir les sueurs froides qui le faisaient frissonner malgré la température encore douce, bien que l'on puisse voir la lune apparaitre dans le ciel étoilé. C'était la pleine lune .Vachement rassurant.

Soudain Ben sursauta : une décharge¿d'énergie non identifié l'avait traversé de part en part de son corps, comme des petites lames de rasoirs¿particulièrement bien aiguisée.

Il se tourna instinctivement vers Namie, et recula les yeux écarquillé de frayeur : les yeux de la jeune adolescente avaient brutalement, virés a un bleu foncé presque noir, caractéristiques des profondeurs abyssales. Et se mirent a briller. De plus en plus bizarre cette fille.

Ses pupilles se dilatèrent et se remplir d'une sagesse qu'il ne lui connaissait pas. Elle chuchota d'une voix rendue rauque par l'angoisse :

« Chut ! Taisez vous et ne faites aucun gestes brusques, nous ne sommes pas seuls dans ce champ¿ »

-Que veux tu dire ?, souffla Alex mort de peur, tu pense que¿

-Quelqu'un nous observe, lâcha sobrement Namie

-Quelqu'un¿ou quelque chose, ajouta Ralph après un silence angoissant

Ils se tournèrent lentement et regardèrent chacun de leur coté, sursautant au moindre souffle du vent glacial qui se levait, balayant leur visages qui se gerçaient a son contact. Ils se tortillèrent ainsi jusqu'à ce que Namie déclare :

-IL n'est pas dans le champ

-Mais alors, s'énerva Jeff, il est ou ton f¿. intrus ?!

-Ca vous arrive de regarder en l'air ?, demanda Alex, livide

Ils levèrent tous les yeux en même temps et hurlèrent en même temps (tant qu'à faire).

Ce qui les observaient réagit immédiatement et se jeta sur ses proies à une vitesse vertigineuse. Ben eut juste le temps de se propulser sur le coté et ainsi d'éviter la charge de la créature qui les agressaient. Il tenta de se relever, mais a peine eut il bouger sa jambe qu'une douleur aiguë lui transperça le mollet et l'obligea a s'immobiliser. Il sentit la bête tirailler sur son genou avec ses crocs réagissant instantanément, Ben envoya un fulgurant coup de pied, de sa jambe libre qui envoya voltiger le monstre sur plusieurs mètres.

« C'est bien beau tous ca, pensa le jeune adolescent en perdition, mais eu prochain assaut je suis bon pour envisager une carrière de pâté en croute moi ! »

Il leva la tête de quelques centimètres afin de repérer son agresseur. Il distingua aisément deux yeux, brillant d'une inquiétante lueur orange dans l'obscurité de la nuit, puis les prémices d'une énorme mâchoire, qui pourrait sans aucun doutes broyaient ses os en quelques secondes. Maintenant il en était certain : il n'avait pas affaires a un animal ordinaire, c'était autre chose¿ . La créature se mit en place lentement face a Ben qui gisait sur le sol à quelques mètre d'elle, paralysait par la peur. Elle prenait son temps, se délectant à l'avance, sur de manger chaud cette nuit.

Ce n'était pas le moment de flancher. Surtout pas. Il ne lui ferait pas ce plaisir.

Ben sentit la présence du couteau de l'armée, que lui avait offert son père pour son 12 éme anniversaire, au fond de la poche de son jean. Cependant bien que extrêmement tranchant (d'où la double sécurité pour éviter un regrettable accident), c'était tout de même une arme quelque peut dérisoire, face aux terribles crocs suintant de salives noires que l'on pouvait apercevoir a l'orée de sa gueule.

« C'est toujours ça, soupira intérieurement l'adolescent terrifié bien qu'il n'osait pas se l'avouer a lui-même, c'est mieux que rien¿ »

Il se débarrassa des sécurités, sortit la lame, étonnamment longue pour un couteau et se mit en position, afin de pouvoir se tenir prêt a parer (de son mieux) les attaques du prédateur qui avait décidé de faire de lui son plat de résistance. Celui-ci dût sentir son estomac gargouillé (a supposer qu'il n'en ait qu'un), car c'est précisément a cet instant qu'il repassa a l'attaque. Alors que Ben attendait courageusement le choc inévitable qui allait s'ensuivre, le couteau fièrement brandis, bien qu'inutile dans un affrontement qui semblait gagné d'avance, quelque chose d'extraordinaire se passa (et paf, non mais oh !) . Ben sentit son sang bouillir en lui, au sens propre du terme, et eut l'étrange sensation que le monstre était ridiculement lent. C'était exact a une exception faites : ce n'était pas une sensation. Il se rendit compte que sa vitesse était incroyablement décuplée, ce qui lui permit d'éviter sans difficulté la charge de son adversaire. En accomplissant ce geste, il remarqua que sa rotule ne le faisait plus souffrir : elle avait cicatrisé toute seule !

Ne désirant pas s'appesantir sur ces miracles inattendus, il ne laissa pas le temps au prédateur de faire volte face et lui planta sa lame dans son dos. Son assaillant émit un long grognement étouffé avant d'arracher violement l'arme figée entre ce qui semblaient être ses omoplates. Elle envoya le couteau voltigeait dans le lointain avec une force inimaginable ; C'est alors que la qu'un rayon de lune éclaira quelques instant le monstre, permettant a Ben de découvrir a quoi il avait à faire : et cela avait de quoi anéantir tous les espoirs du plus courageux des hommes : La tête, seule partie entrevue par Ben, n'était en fait qu'un petit morceau du corps de l'impitoyable créature.

Comme il l'avait deviné, elle ressemblait bel et bien a un oiseau gigantesque, disposant de crocs au moins deux fois plus longs que la lame de son (regretté) couteau. Entièrement recouvert d'une cuirasse bosselée qui semblait impénétrable, elle ressemblait a un scarabée (géant, le scarabée), croisé avec un griffon de la mythologie, dont il aurait tiré ses ailes, d'une envergure impressionnante, animées par des muscles d'une puissance redoutable, tandis que sa queue, incroyablement longue, se secouait et se tortillait dans tous les sens, le menaçant de ses épines osseuses.

Ben frissonna (une fois de plus) : son agresseur semblait quasiment invincible, ce qui rendait sa tâche¿quasiment impossible. Sa seule faiblesse résidait dans ses yeux, mais aussi sa gorge, non protégé par la cuirasse luisante de son corps. Alors que le jeune homme reculait lentement, désormais désarmé, le prédateur repassa à l'attaque. Une nouvelle fois, la vitesse de Ben se décupla, lui permettant d'esquiver une fois de plus l'attaque de la mystérieuse chimère, grâce a une roulade « tout en souplesse ». Il se rétablit, parfaitement sur ces appuis et se remit a reculer, lentement, mais surement : cependant, il se prit a penser que, si cette technique lui permettrait de rester en vie encore un bout de temps, l'issue de cet affrontement qui avait tourné a la traque rapprochée, ne faisait aucun doute. La créature lui jeta un regard¿goguenard, et¿.sourit. Ben n'en crut pas ses yeux. Un animal était normalement, incapable de sourire à la manière des Humains ! Ben blémit : cette¿ « Chose », devait possédait une intelligence que nulle ne devait pouvoir imaginer¿peut être bien plus efficace et subtile que celle de l'espèce Humaine ! Il sentit sa gorge se nouer sous l'afflux de terreur qui était en train de le submerger : dans un terrible hurlement a glacer le sang, la Chimère releva sa queue a la manière des scorpions, et la projeta sur lui a une vitesse phénoménale. Inconcevable. Imparable. Ben s'évanouit sur le coup.

*

* *

Bill Neadcliff était un sergent de police de Leanton, souffrant de troubles psychologiques mineurs, et utilisant de temps a autres des méthodes de travails quelques peu expéditives, faisant de lui un homme peu aimé, et pas du tout pris au sérieux par ses collègues. Alors quand il découvrit 2 jeunes gens cachés derrière les pompes a essences (de la station service principale de la ville), qui lui racontèrent qu'un monstre énorme les avaient attaqué au milieu d'un champ voisin, il se mit à penser que la, s'il racontait ca à ses supérieurs, il était bon pour la retraite à 40 ans.

« Mais puisque que l'on vous dit que nous avons été attaqué par une créature volante qui¿ », S'énerva le jeune homme, aussitôt coupé par l'agent.

-C'est ca, c'est ca et en attendant, tu as des preuves de ce que tu avance ?

A cet instant, un rugissement à glacer le sang retentit au loin¿mais en même temps très proche de la station service ou ils se trouvaient.

Le Policier perdit instantanément toutes les couleurs que le froid glacial (en pleine période de canicule ?) avait épargnés, et devint blanc comme un linge.

« Vous la voulez toujours votre preuve ?, chuchota Namie terrifiée a l'idée que leur mystérieux agresseur vienne par ici, ou il vous faut un ou deux crocs en travers de la gorge ? »

Neadcliff, regarda le point d'où semblait venir le monstrueux rugissement, sortit son arme et « intima » (autant que pouvez « intimer» un agent de police terrorisé) aux deux adolescents de « s'installer » dans sa voiture, pendant qu'il alertait les postes alentours.

Namie et Alex se dirigèrent vers la voiture du représentant de la loi, et s'assirent à l'arrière, tandis que l'agent tentait de prendre contact avec les autres commissariats.

Cependant, il se rendit rapidement compte que quelque chose clochait :

« On n'a aucun réseau ! », souffla Neadcliff, d'une voix serrée par l'angoisse.

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Membre, 33ans Posté(e)
ch.houda Membre 80 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Ben, je présume que ceux qui ont commenté ton texte ont tout à fait raison, sincèrement moi aussi j'avais la même impression lors de ma lecture ; j'ai trouvé qu'il y a une exagération au niveau de la description d'abord, ce qui rend ton texte ennuyeux ! D'autre part on ne sent pas qu'on est entrain de lire un texte proprement littéraire, car tu présentes les événements directement, par contre, tu pourrais te livrer à des tournures, des expressions plus séduisantes si l'on peut dire, à fin d'attirer l'attention du lecteur. Je t'invite alors moi de même autant qu'une débutante de lire mon petit texte publier sous titre « ou allons nous ? » et me donner ton point de vue, cela me fera certainement plaisir. :blush:

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Membre, 33ans Posté(e)
ch.houda Membre 80 messages
Baby Forumeur‚ 33ans‚
Posté(e)

Ben, je présume que ceux qui ont commenté ton texte ont tout à fait raison, sincèrement moi aussi j'avais la même impression lors de ma lecture ; j'ai trouvé qu'il y a une exagération au niveau de la description d'abord, ce qui rend ton texte ennuyeux ! D'autre part on ne sent pas qu'on est entrain de lire un texte proprement littéraire, car tu présentes les événements directement, par contre, tu pourrais te livrer à des tournures, des expressions plus séduisantes si l'on peut dire, à fin d'attirer l'attention du lecteur. Je t'invite alors moi de même autant qu'une débutante de lire mon petit texte publier sous titre « ou allons nous ? » et me donner ton point de vue, cela me fera certainement plaisir. :blush:

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Membre, Posté(e)
charly-tango Membre 115 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

c'est bien se que tu fais il faut que je le relise pour être plus précis tu devrais écrire en analepse

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Membre, 31ans Posté(e)
Jack~OF~Blade Membre 1 465 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

escuse moi, mais qu'est ce que l'analepse (j'avoue que j'ai oublié ce que c'est ^^)

oui je suis d'accord avec toi ch.chouda

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Membre, Posté(e)
charly-tango Membre 115 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

c'est quand tu es a la 1er personne et au passé et un prolepse c'est quand tu es au futur et a la 1er personne

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Membre, 31ans Posté(e)
Jack~OF~Blade Membre 1 465 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

Jme souviens plus ou tu l'as mis ton roman a toi ? (faudrait que je le lise aussi :blush: )

et hop une ptite suite ^^

Un hurlement à glacer d'effroi réveilla brutalement Ben. Il resta tout d'abord figé sur le sol, essayant de se remémorer les derniers événements, puis se releva doucement, lorsqu'il entendit un second hurlement tout près, que tout lui revint : d'instinct, il fit une roulade sur sa droite afin d'échapper à un coup de mâchoire. Un coup qui ne vint pas. Il réajusta ses appuis et vis alors ce avait empêché la créature de le croquer littéralement. L'adolescent n'en crut pas ses yeux.

« Ah tu est réveillé !? Ca te dirait de me donner un petit coup de main ?? » lui jeta Jeff, quelque peu essoufflé alors qu'il retenait la mâchoire remplit de croc a l'aide d'une sorte de simple tuyau de métal.

-T'est marrant, je veux bien moi, mais avec quoi ?

-N'importe quoi !!!, hurla Jeff

A cet instant, la créature projeta le petit gêneur qui l'empêchait de déjeuner. D'un puissant coup de queue, elle l'envoya culbuter à plusieurs mètres, puis se détourna du corps inanimé pour se ré intéresser à Ben. Elle poussa un grognement sourd, laissant entendre qu'elle n'avait pas apprécié la précédente résistance du jeune homme. Elle évoluait avec prudence, car il semblait qu'elle avait retenu la leçon. Toutefois il était évident qu'elle ne ressentait aucune peur, et qu'elle attaquerait tôt¿ou tard. Et il savait qu'en sortir indemne serait un exploit. A paraitre dans le livre des records, chapitre « miracle ». Et a son avis¿.le monstre qui l'observait d'un regard gourmand le savait aussi bien que lui. Au final de toute façon « cela lui faisait une belle jambe ». Quoi qu'il lui en coute, il se battrait.

Son « agresseur » passa à l'attaque, sans pitié, sans hésitations. Un rugissement démentiel, s'échappa de sa gorge, sans doute destiné à le pétrifier de peur. Ben savait : il le sentait dans tout son corps. La mort se rapprochait de lui à toute vitesse, sans qu'il ne puisse la ralentir, ou intervenir. Se sentir impuissant à agir, surtout en un tel instant, avait un gout terriblement amer dans sa bouche. Le gout de la défaite. Une chape de renoncement l'ensevelit.

« Non »

Ce simple mot retentit au fin fond de son âme. Ce simple mot qui lui redonna espoir, le ramenant vers la lumière de la Vie. Il allait se battre pour survivre. Il se souvint de ses pensées juste avant que le monstre n'entama son attaque : seul la peur avait modifié son mental. Alors que la créature se voyait arriver à une vitesse incroyable pour un simple humain, Ben se moquait de sa lenteur flagrante. Son corps tremblant d'excitation à l'idée du combat qui allait s'ensuivre, il se jeta vers la gueule qui représentait un des deux chemins qui s'offraient a lui : la Mort, ou la Vie.

*

* *

Ralph courait, faisant travailler des muscles dont il n'avait même pas imaginé l'existence jusque la. C'était certain, il avait du battre le record du monde du cent mètre haut la main. Il s'arrêta enfin, persuadé d'être assez éloigné du champ pour pouvoir reprendre son souffle, sans risquer quoi que ce soit. Théoriquement . Il haïssait ce mot. Il s'assit contre une vieille souche mangée par les termites, et repensa aux derniers événements. Une terrible vérité le prit a la gorge : il avait fui. Comme un lâche. A cause de sa couardise, ses amis étaient peut être mort à l'heure qu'il est. Il avait entendu les terribles hurlements de la mystérieuse créature, les bruits de luttes. Si ses amis périssaient aujourd'hui par sa faute, il ne s'en remettrait jamais. Jamais.

Peu à peu son courage passa outre sa peur et tout son être frémit lorsque l'adrénaline se diffusa dans tous ses muscles, impatient d'en découdre. Ce qui était totalement contraire a son habituelle patience. Il se releva d'un bond et se fondit dans la nuit, retraçant son chemin en sens inverse, et étrangement il n'avait aucunement besoins de suivre sa propre piste. Il savait ou il allait.

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Membre, Vivre l'instant... , 61ans Posté(e)
mimisoleil Membre 2 136 messages
61ans‚ Vivre l'instant... ,
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Un jeune homme (pourquoi ne pas le nommer d'entrée pour le rendre plus proche) marche le long d'un mur ancien qui commence à s'effriter. Il avance d'un pas rapide et conquérant. Il est blond, moyennement grand, il a des yeux bleu et une petite barbichette. Vêtu d'un pantalon en lin et d'une chemise à manches courtes à pois, tenue révélatrice de l'été.

Il fait un temps radieux, le ciel est d'un bleu azur et le soleil brille au zénith.(puisque tu insistes sur le côté été, chaleur, tu peux parler de moiteur, de gouttes de sueur, de sensation de soif pour le rendre plus humain) Le jeune homme, se dirige vers une maison qui se situe au bout de la rue dans la quelle il se trouve. Arrivé devant le numéro 34, il sonne. Il observe la maison en attendant qu'on vienne lui ouvrir. La porte est blanche, les fenêtres aussi. Elle est en pierre de taille, il y a deux étages et un jardin à l'arrière.(pourquoi ne pas la voir par les yeux d'Elliot, a-t-elle changée ou tout est il pareil ?)

La porte s'ouvre enfin. Un homme de petite taille, avec de grands yeux bleus, corpulent et chauve se tient sur le seuil. Il porte une chemise à carreaux d'un autre âge et un pantalon léger. Il dit d'une voix douce et apaisante :

- Bonjour mon garçon comment vas-tu ?

Ce dernier répond d'un ton calme et posé.

- Bonjour monsieur Karl, excusez moi de vous déranger, je cherche Pierre, est-il là ?

Monsieur Karl invite Elliott à entrer dans le salon en attendant que Pierre arrive. En entrant on se croirait en Afrique(si Elliot connait déjà la maison, pourquoi ne pas insister sur le fait que à chaque fois le décor le trouble toujours dans le but de mettre de l'émotion), il y a des objets africains partout, les murs sont jaunes comme la savane avec des têtes d'animaux sur les murs. Les meubles sont en bois massif et sculptés à la main, le canapé est blanc crème avec des rayures noires comme un zèbre. Un jeune homme (Pierre) descend les escaliers en verre, et enlace Elliott. Ce jeune homme s'appelle Pierre. Pierre est très grand et très mince. Il a des yeux gris et un regard perçant, son visage est allongé et il a une cicatrice à l'¿il droit. (pourquoi ne pas voir Pierre par les yeux d'Elliot, toujours pour personnaliser, mettre de l'émotion)

- Ah ! mon vieil ami tu vas bien ?

Elliott sourit en serrant son ami dans ses bras.

- Pierre te voilà enfin ! On ne s'est pas vu de tout l'été, je suis content de te revoir !

Ils sortent de la maison en saluant le père.

Pierre prend Elliott par le bras et après avoir vérifié que la rue est déserte, ils se mettent tout deux à courir à toute allure. Ils arrivent en quelques secondes devant une maison délabrée, vide et inhabitée au milieu des champs. C'est là qu'ils se rendent chaque fois qu'ils veulent être tranquilles.

Je ne m'y connais pas trop¿ Juste trop froid¿ Trop descriptif¿ Et pourtant j'adore les descriptions (Zola)¿ Pas assez d'émotions et je t'ai surligné des trucs qui m'ont fait tilté¿ Et mis entre parenthèse mes suggestions¿ Tu joues sur le visuel surtout n'oublie pas les émotions, les odeurs, le toucher et le gout¿ Cela donne de l'épaisseur aux personnages et à l'histoire¿ J'aime bien les dernières lignes... Enfin mes impressions¿ Il faut que tu continues¿ Et que tu trouves ton style¿ Digères les impressions des uns et des autres et je vais lire la suite si tu l'as mis¿

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Membre, Posté(e)
charly-tango Membre 115 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

oui mais de tout jaçon sa va cha

dsl geug sa va changer car je vais écrire a la 1er personne

et au passé mais oui c'est vrais je peu

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  • 2 semaines après...
Membre, 31ans Posté(e)
Jack~OF~Blade Membre 1 465 messages
Baby Forumeur‚ 31ans‚
Posté(e)

Oui il vaudrait mieu que t'écrive au passé.

Après j'en ferait un de blog, mais pour l'instant, mon roman, il est pas assez avancé ^^

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Membre, Posté(e)
Lange edition Membre 6 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)
bonjour ce sujet est pour tout le monde. mais plus particulièrement pour ceux qui écrive. voici le début de mon premier Roman. dites-moi se que vous en pensez. merci d'avance.

ps si vous aussi vous voulez un avis sur votre manuscrit n'hésitez pas! :blush:

chapitre 1 sans pouvoirs

Un jeune homme marche le long d'un mur ancien qui commence à s'effriter. Il avance d'un pas rapide et conquérant. Il est blond, moyennement grand, il a des yeux bleu et une petite barbichette. Vêtu d'un pantalon en lin et d'une chemise à manches courtes à pois, tenue révélatrice de l'été.

Il fait un temps radieux, le ciel est d'un bleu azur et le soleil brille au zénith. Le jeune homme, se dirige vers une maison qui se situe au bout de la rue dans la quelle il se trouve. Arrivé devant le numéro 34, il sonne. Il observe la maison en attendant qu'on vienne lui ouvrir. La porte est blanche, les fenêtres aussi. Elle est en pierre de taille, il y a deux étages et un jardin à l'arrière.

La porte s'ouvre enfin. Un homme de petite taille, avec de grands yeux bleus, corpulent et chauve se tient sur le seuil. Il porte une chemise à carreaux d'un autre âge et un pantalon léger. Il dit d'une voix douce et apaisante :

- Bonjour mon garçon comment vas-tu ?

Ce dernier répond d'un ton calme et posé.

- Bonjour monsieur Karl, excusez moi de vous déranger, je cherche Pierre, est-il là ?

Monsieur Karl invite Elliott à entrer dans le salon en attendant que Pierre arrive. En entrant on se croirait en Afrique, il y a des objets africains partout, les murs sont jaunes comme la savane avec des têtes d'animaux sur les murs. Les meubles sont en bois massif et sculptés à la main, le canapé est blanc crème avec des rayures noires comme un zèbre. Un jeune homme descend les escaliers en verre, et enlace Elliott. Ce jeune homme s'appelle Pierre. Pierre est très grand et très mince. Il a des yeux gris et un regard perçant, son visage est allongé et il a une cicatrice à l'¿il droit.

- Ah ! mon vieil ami tu vas bien ?

Elliott sourit en serrant son ami dans ses bras.

- Pierre te voilà enfin ! On ne s'est pas vu de tout l'été, je suis content de te revoir !

Ils sortent de la maison en saluant le père.

Pierre prend Elliott par le bras et après avoir vérifié que la rue est déserte, ils se mettent tout deux à courir à toute allure. Ils arrivent en quelques secondes devant une maison délabrée, vide et inhabitée au milieu des champs. C'est là qu'ils se rendent chaque fois qu'ils veulent être tranquilles.

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