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Une loi autorisant la castration chimique pour les violeurs

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Membre, Une ombre parmis les Ombres., 52ans Posté(e)
pyrothe_resurecte Membre 4 017 messages
52ans‚ Une ombre parmis les Ombres.,
Posté(e)
oui ça peut être une bonne idée de les castrer chimiquement.Toutefois,j'aurais préféré une execution.C'est plus sûr.Un mort ne récidive jamais.

et ça coute moins cher a la société... mais le plus important est qu'effectivement ils ne récidiveraient plus. :blush:

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Invité donjuan
Invités, Posté(e)
Invité donjuan
Invité donjuan Invités 0 message
Posté(e)

Quelqu'un pourrait-il me produire une étude détaillant l'efficacité de la castration chimique?

:blush:

Je n'ai rien trouvé pour l'instant.

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Membre, Ad majorem Peterwaradin gloriam, 46ans Posté(e)
peterwaradin Membre 2 643 messages
46ans‚ Ad majorem Peterwaradin gloriam,
Posté(e)

je crois que ça permet de réguler la testostérone,hormone mâle responsable de nos accès de virilité.

A raison d'une piqure par trimestre,je crois.

La Pologne l'utilise déjà pour les cas de pédophilie!

Toutefois,elle n'est en aucun cas irréversible.

Modifié par peterwaradin
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Membre, Posté(e)
mistral gagnant Membre 3 967 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Je sacrifirais mille coupables pour c'est crimes pour sauver un(e)inocente,je pense que

les chiffres ne peuvent être pire!

Modifié par mistral gagnant
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Membre, Privé de désert, 36ans Posté(e)
Kégéruniku 8 Membre 8 039 messages
36ans‚ Privé de désert,
Posté(e)
oui peut être.Mais moi je n'écorche pas le nom de la victime que je prends pour le meurtrier.

C'est la flemme qui te fait dire ça. :blush:

Le ministere ne le connait même pas.c'est pas moi qui va le connaitre.Consulte lesdits sites.Tu prendras la mesure de l'ampleur du phénomène.

Si tu raisonnes constamment avec des chiffres,tu n'iras pas bien loin.

En même temps, tu comprendras que prendre pour argent contant les dires d'un inconnu, surtout quand celui ci parles de nombreux cas, alors que déjà les récidivistes ne représentent que 10 à 15% des violeurs, c'est être vachement crédule. Surtout que toute personne ayant un tant soit peu d'esprit critique te demanderas d'étayer tes dires si catégoriques par une preuve.

Enfin, au moins, maintenant tu admets que tu ne connais pas le chiffre et donc, quand tu parlais de nombreux cas, tu parlais sans savoir.

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Invité Lucy Van Pelt
Invités, Posté(e)
Invité Lucy Van Pelt
Invité Lucy Van Pelt Invités 0 message
Posté(e)

En même temps, cela peut être à double tranchant, i-e donner une fausse impression de sécurité face à des récidivistes.

Modifié par Lucy Van Pelt
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Membre, Posté(e)
Bronca Membre 1 510 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

J'ai rien sur la castration mais j'ai trouvé sur les récidives des délinquants sexuels...

(le rapport donne un chiffre de 13,7% de cas de récidives dans les trente mois suivant la libération...MS à raison) :blush:

http://lesrapports.ladocumentationfrancais...000332/0000.pdf

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Membre+, Imperoratriz à temps partiel, Posté(e)
ManhattanStory Membre+ 14 228 messages
Imperoratriz à temps partiel,
Posté(e)

Bronca, viens chercher ton gros bécot!! :blush: (ah moi je ne mens jamais avec les chiffres).

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VIP, Gonade Absolutrice, Posté(e)
yop! VIP 20 446 messages
Gonade Absolutrice,
Posté(e)

Il est assez effrayant de se rendre compte que la société n'a finalement toujours aucun contrôle (ou si peu) sur les criminels sexuels.

Même les inhibiteurs sexuels chimiques sont bourrés de failles, eux aussi. Ils ne garantissent rien (d'après les experts médico-psychiatriques eux-mêmes) et nécessitent la volonté du "malade" de se faire soigner.

On peut cependant les envisager, mais ça doit entrer dans une logique toute autre que la vengeance populaire : il faut réformer la façon dont la société (Justice et Santé, notamment...) traite les criminels sexuels.

Peut-on les guérir ? Lesquels sont dangereux et lesquels sont curables ? Peut-on les laisser au contact de la société sans garantie ? Quel contrôle efficace ? Doit-on faire des ghettos entre Prison, Hôpital et Société ? Doit-on durcir les peines à la récidive ? Doit-on le faire sans alternative pour le malade ?

Il y a beaucoup de questions auxquelles on n'a pas de réponse.

De toute façon, la "castration chimique", ça ne changera pas le problème des primo-violeurs, qui sont majoritaires et encore plus dur à gérer !

La plupart des criminels sexuels, on ne peut les détecter qu'après passage à l'acte. Il n'existe pas de prévention efficace, de détection des troubles et d'encadrement des malades en amont. Un truc du genre "pervers sexuels anonymes". On laisse bien les alcoolos en liberté alors que certains sont extrêmement dangereux...

Je pense que l'important n'est pas le criminel mais les victimes.

Les victimes réelles ou potentielles.

Victimes réelles qu'il faut soutenir et aider et victimes potentielles qu'il faut protéger.

C'est la question qu'on peut peut-être gérer pour l'instant, et qui est essentielle.

ce ne sont pas les moyens qui manquent pour soigner ses déviants mais c'est le suivi de ces malades de savoir si effectivement ils suivent un traitement ce qui aujourd'hui pas le cas.

Des moyens aussi fondamentalement faillibles peuvent-ils être considérés comme des moyens ?

Pour la part, je pense qu'on manque de solutions ou systèmes efficaces et fiables pour encadrer les criminels sexuels -ou les simples criminels sexuels potentiels- et protéger la société d'eux (avant ou après leur crime).

On ne peut pas non plus tomber dans la punition des intentions, le déni de la maladie et la mise à mort de confort.

éa ressemble à une dramatique patate chaude...

Si c'est gens là ne peuvent plus violer, ils feront pire à leur victime. Les torturer, les tuer...

C'est à envisager aussi. Cela dit, les inhibiteurs chimiques peuvent avoir un rôle à jouer. Reste à déterminer lequel et à ne pas tabler dessus comme solution absolue. Vu les inconnues, le remède serait peut-être pire que le mal : relâcher dans la société des pervers sexuels frustrés et encore plus dangereux... :blush:

Pense a un chasseur bien particulier,un chasseur de femmes,un violeur qui trace

sa victime sur plusieurs jours,plusieurs mois,sans pitié,sans répit...

pense a sa victime frappée,battue,humiliée son être bafouée parfois tuée!

Justement. Un tel machiavélisme met aussi à jour d'autres enjeux que la simple pulsion sexuelle. On ne peut pas prendre la castration chimique comme vraie solution totale, ni même comme béquille tant on ne peut jurer de rien.

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Membre, Ad majorem Peterwaradin gloriam, 46ans Posté(e)
peterwaradin Membre 2 643 messages
46ans‚ Ad majorem Peterwaradin gloriam,
Posté(e)
En même temps, tu comprendras que prendre pour argent contant les dires d'un inconnu, surtout quand celui ci parles de nombreux cas, alors que déjà les récidivistes ne représentent que 10 à 15% des violeurs, c'est être vachement crédule. Surtout que toute personne ayant un tant soit peu d'esprit critique te demanderas d'étayer tes dires si catégoriques par une preuve.

Enfin, au moins, maintenant tu admets que tu ne connais pas le chiffre et donc, quand tu parlais de nombreux cas, tu parlais sans savoir.

Et le chiffre que tu as donné,à supposer qu'il soit bon,tu crois que c'est peu!

10à 15% de plusieurs milliers,ça fait beaucoup!Je crois plutôt que c'est toi qui n'a pas le sens des proportions.

Je pense que tu as un problème avec les chiffres. :coeur:

Le fait de dire qu'on ne connait pas le chiffre exact est au contraire une preuve d'honnêteté.Rien à voir avec les chiffres vagues qu'on balance ici et là.

Par ailleurs,le problème n'est pas de savoir y en a combien(d'ailleurs,même avec les chiffres que tu avances,ça fait beaucoup,car on raisonne sur des milliers de violeurs!!!)

Le problème est un problème de fond pas de chiffre.Comment prévenir la récidive.Faut pas tomber dans les travers du gouvernement en invoquant à tout bout de champ les chiffres. :bo:

La est ton problème(comme celui de Manhattan). :coeur:

Merci Bronca,pour l'exactitude du chiffre! :blush:

Modifié par peterwaradin
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Membre+, Imperoratriz à temps partiel, Posté(e)
ManhattanStory Membre+ 14 228 messages
Imperoratriz à temps partiel,
Posté(e)
Et le chiffre que tu as donné,à supposer qu'il soit bon,tu crois que c'est peu!

10à 15% de plusieurs milliers,ça fait beaucoup!Je crois plutôt que c'est toi qui n'a pas le sens des proportions.

Je pense que tu as un problème avec les chiffres. :coeur:

Le fait de dire qu'on ne connait pas le chiffre exact est au contraire une preuve d'honnêteté.Rien à voir avec les chiffres vagues qu'on balance ici et là.

Par ailleurs,le problème n'est pas de savoir y en a combien(d'ailleurs,même avec les chiffres que tu avances,ça fait beaucoup,car on raisonne sur des milliers de violeurs!!!)

Le problème est un problème de fond pas de chiffre.Comment prévenir la récidive.Faut pas tomber dans les travers du gouvernement en invoquant à tout bout de champ les chiffres. :bo:

La est ton problème(comme celui de Manhattan). :coeur:

Merci Bronca,pour l'exactitude du chiffre! :snif:quelle mauvaise foi, c'est moi qui ait donné ce chiffre en premier, Bronca a confirmé et Kégé en a parlé aussi.

Quand à ta folie des grandeurs sur le chiffre de ces derniers, "des milliers""" oui on aimerait savoir où tu le trouves :blush:

Modifié par ManhattanStory
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Invité donjuan
Invités, Posté(e)
Invité donjuan
Invité donjuan Invités 0 message
Posté(e)
Il y a beaucoup de questions auxquelles on n'a pas de réponse.

C'est tout le souci, les rapports sur l'efficacité traitement/non récidive sont rares ou inexistants.

Donc qui nous dit que c'est la solution?

De plus comment aménager la peine de prison à une obligation de soins, dans le temps?

"Vous êtes condamnés à 7 ans mais vous ne pourrez sortir que si vous acceptez les soins"?

Et si cette personne décide d'arrêter l'administration médicamenteuse? Le remettre en prison?

De plus quel est le véritable lien entre l'inhibition sexuelle et comportement pervers?

Rien n'est garanti.

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Membre, Posté(e)
Bronca Membre 1 510 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

J'ai trouvé un article qui est pas mal... et qui met en comparaison les différentes "traitements" et les applications...

www.fredigroup.org/.../ceque_la_France_propose.htm -

é l'étranger : dénonciation, castration ou thérapie

états-Unis: Depuis 1996, les lois dites de Megan assignent aux polices des 50 états l'obligation d'«enregistrement» et de «notification publique» de la présence des ex-délinquants sexuels. Une banque de données automatisée listant les condamnés depuis 1970 est tenue à la disposition du public. Cette politique tourne souvent à la chasse aux sorcières: exemples en Alabama, où ce genre de liste est affiché dans le hall des mairies et des commissariats; en Louisiane, où l'ex-délinquant sexuel doit avertir lui-même son voisinage sous peine d'un an de prison et de 1000 dollars d'amende; et surtout en Californie, où ces signalements sont disponibles via un numéro vert ou des cédéroms. Cet état est aussi le 1er a avoir autorisé, en 1996, la castration chimique obligatoire des récidivistes (injection d'un médicament destiné à anéantir leur désir sexuel).

Grande-Bretagne: Un programme de surveillance électronique par satellite des délinquants sexuels va être mis en place. 500 condamnés pour pédophilie, qui ont déjà purgé leur peine, se sont portés volontaires. Les récidivistes encourent la prison à vie.

Canada: La thérapie et le suivi de long terme (dix ans) des délinquants sexuels sont favorisés. Les méthodes d'un institut québécois, l'institut Pinel de Montréal, qui soumet des condamnés à un traitement draconien d'un an type «cures de dégoût», auraient prouvé des résultats probants sur les taux de récidives.

Allemagne: Une loi du 15 août 1969 autorise la castration chimique volontaire des délinquants sexuels de plus de vingt-cinq ans. Le traitement peut être initié après expertise par un médecin.

Les médecins partagés sur l'efficacité des soins

«Il faut être réaliste: face à certains prédateurs sexuels, la médecine est impuissante». Gérard Dubret est chef du service psychiatrique à l'hôpital de Pontoise (Val d'Oise). Tous les jeudis, dans le cadre d'une consultation spécialisée, il reçoit des patients particuliers. Pères de famille «ambigus» ou incestueux, violeurs, exhibitionnistes, pédophiles..

Tous sont des délinquants sexuels. Tous viennent, spontanément ou sur injonction thérapeutique, pour tenter de se soigner. «Ils représentent l'immense majorité des délinquants sexuels, ceux pour lesquels une thérapie est possible», explique le praticien. Mais pour les grands prédateurs comme Guy Georges ou Patrice Alègre? «Pour eux, la seule réponse est la sanction pénale», assène le médecin.

Victimes de «traumatismes irreprésentables» dans leur enfance, ceux-là portent en eux «un clivage radical» et «agissent sans aucun affect», explique le psychanalyste Claude Balier, président de l'Association de recherche et de traitement des auteurs d'agressions sexuelles (ARTAAS). Des «pervers redoutables» qui, bien que très dangereux, n'ont rien à faire en prison. «Envoyer des psychotiques en prison, c'est catastrophique. On ne pourra jamais les y traiter correctement ».

Face à ceux-là, que faire? Vice-président de La Voix de l'enfant et médecin-psychiatre renommé, Bernard Cordier rappelle l'existence du «suivi socio-judiciaire» (SSJ). Mis en place par la Chancellerie en juin 1998, ce dispositif permet d'offrir une réduction de peine à un agresseur s'il accepte, en échange, de se faire soigner durablement.

Contraignante, la mesure dure dix ans en cas de délit et peut atteindre jusqu'à vingt ans en cas de crime. Si la règle n'est pas respectée, la mesure est révoquée et l'intéressé retourne en prison. «Un soin n'est pas une sanction, mais une sanction peut avoir une vertu thérapeutique», résume Bernard Cordier qui voit dans le SSJ une avancée considérable, mais limitée: en effet, seuls sont concernés les crimes et délits commis à partir de 1998.

C'est tout le souci, les rapports sur l'efficacité traitement/non récidive sont rares ou inexistants.

Donc qui nous dit que c'est la solution?

De plus comment aménager la peine de prison à une obligation de soins, dans le temps?

"Vous êtes condamnés à 7 ans mais vous ne pourrez sortir que si vous acceptez les soins"?

Et si cette personne décide d'arrêter l'administration médicamenteuse? Le remettre en prison?

De plus quel est le véritable lien entre l'inhibition sexuelle et comportement pervers?

Rien n'est garanti.

Je verrais plus le truc genre, vous êtes condamné à 7 ans mais vous pouvez sortir après 4 ans sous condition de porter un bracelet, d'avoir un suivi spy et de vous engager à suivre un traitement pendant 3 ans..... et si vous refusez aucun problème vous ferez les 7 ans entièrement .

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Membre, Privé de désert, 36ans Posté(e)
Kégéruniku 8 Membre 8 039 messages
36ans‚ Privé de désert,
Posté(e)
Et le chiffre que tu as donné,à supposer qu'il soit bon,tu crois que c'est peu!

10à 15% de plusieurs milliers,ça fait beaucoup!Je crois plutôt que c'est toi qui n'a pas le sens des proportions.

Je pense que tu as un problème avec les chiffres. :blush:

Dans de nombreux cas, celà sous entend dans une majorité des cas, alors que c'est tout le contraire, c'est ainsi pour une minorité des cas.

Ainsi, il est difficile de parler de nombreux cas, quand ceux si sont minoritaires, puisque dans des cas plus nombreux encore c'est différent. -_-

Le fait de dire qu'on ne connait pas le chiffre exact est au contraire une preuve d'honnêteté.Rien à voir avec les chiffres vagues qu'on balance ici et là.

Par ailleurs,le problème n'est pas de savoir y en a combien(d'ailleurs,même avec les chiffres que tu avances,ça fait beaucoup,car on raisonne sur des milliers de violeurs!!!)

Le problème est un problème de fond pas de chiffre.Comment prévenir la récidive.Faut pas tomber dans les travers du gouvernement en invoquant à tout bout de champ les chiffres. :coeur:

Le fait d'affirmer une chose puis de dire qu'on ne connait pas le chiffre finalement, c'est une preuve d'honnêteté, mais ça montre aussi que l'affirmation était gratuite et qu'il est donc on ne peut plus normal de ne pas la prendre en compte.

Néanmoins, je suis d'accord pour dire que les chiffres ne sont pas le plus important, c'est pourquoi je trouve ton intervention parlant des "nombreux cas" inutile. :bo:

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Membre+, doux,dur et surtout dingue, 55ans Posté(e)
l'inspecteur harry Membre+ 13 797 messages
55ans‚ doux,dur et surtout dingue,
Posté(e)

Ce que j'espere dans tous les ca c'est que toute ces têtes pensentes qui au bout de ces 4 ou 7 ans qui laissent sortir ces malades,ce retrouvent eux aussi severement sanctioné.

Ils mériteraient eux aussi d'avoir leur noms en premiere page.

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Invité donjuan
Invités, Posté(e)
Invité donjuan
Invité donjuan Invités 0 message
Posté(e)
J'ai trouvé un article qui est pas mal... et qui met en comparaison les différentes "traitements" et les applications...

www.fredigroup.org/.../ceque_la_France_propose.htm -

Je verrais plus le truc genre, vous êtes condamné à 7 ans mais vous pouvez sortir après 4 ans sous condition de porter un bracelet, d'avoir un suivi spy et de vous engager à suivre un traitement pendant 3 ans..... et si vous refusez aucun problème vous ferez les 7 ans entièrement .

C'est intéressant de découvrir que certains cas ne sont pas "gérables". :blush:

Pour poursuivre ton idée, que faire après les 7 ans effectués?

Je pense que l'injonction de soins pendant l'emprisonnement et le suivi psycho-judiciaire à vie est peut être une solution.

Dans ce cas, il faudra plus de moyens pour les structures de soins, et là, c'est pas gagné.

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Membre, 52ans Posté(e)
ELKHAYATI Membre 1 059 messages
Baby Forumeur‚ 52ans‚
Posté(e)

castrer un individu en punition de son acte et le mettre en meme temps en prison serai une double peine.

le castrer pour prevenire des actes hypotétiques serai faire affront a la presemption d'innocence.

dans les deux cas ca serai reconnaitre l'aliénation mental et l'irresponsabilité.

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Membre, Ad majorem Peterwaradin gloriam, 46ans Posté(e)
peterwaradin Membre 2 643 messages
46ans‚ Ad majorem Peterwaradin gloriam,
Posté(e)
Dans de nombreux cas, celà sous entend dans une majorité des cas, alors que c'est tout le contraire, c'est ainsi pour une minorité des cas.

Ainsi, il est difficile de parler de nombreux cas, quand ceux si sont minoritaires, puisque dans des cas plus nombreux encore c'est différent. -_-

Le fait d'affirmer une chose puis de dire qu'on ne connait pas le chiffre finalement, c'est une preuve d'honnêteté, mais ça montre aussi que l'affirmation était gratuite et qu'il est donc on ne peut plus normal de ne pas la prendre en compte.

Néanmoins, je suis d'accord pour dire que les chiffres ne sont pas le plus important, c'est pourquoi je trouve ton intervention parlant des "nombreux cas" inutile. :blush:

désolé.Mais tu confonds les mots "nombreux" et "majorité".Ce sont deux termes totalement différents.Nombreux ça veut dire en nombre sans précision du chiffre particulière.

C'est dommage que je sois contraint de t'expliquer à toi et à Manhattan le sens des mots,ce qui nous détourne du fond du débat.

Ensuite,la réalité de la récidive ne tourne pas autour d'un chiffre(du rest très élevé).Il y a des cas humains derrière.Tu gamberges comme un politicien qui argumente à coup de chiffre pour ne pas avoir à affonter la réalité sur le terrain.

@Manhattan:Je félicitais Broncas pour son exactitude.Ce n'est pas de la mauvaise foi vue que ça ne change rien à mon opinion.Alors que beaucoup se sont contentés de donner une fourchette vague de la proportion des récidivistes.

J'ai une question à te poser Manhattan.Et réponds-y,s'il te plait.Ne tourne pas autour du pot,comme tu le fait d'habitude.Selon toi,combien y a t il de violeurs(toutes catégories confondues et je ne parle pas de ceux qui sont en liberté pour x raisons) incarcérés dans les prisons françaises?

Parce que ta méconnaissance de la réalité criminelle et carcérale française m'inquiète un peu!

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