Poèmes et autres de shoody

mots d'oeuf qui ne connait point la mort le temps qui passe autrement que par ces chiffres, et ces arbres qui jaunissent on se demande pas comment pourquoi, à part quand on nous l'a expliqué au détour d'un conscience scientisée...Pour une symphonie jouée sans réclames, mais peut ^^ être pas sans marques, pour une citadelle sans reine mais pas sans cigognes, pour l'homosapiens homoattiré, mais peut être pas par préférence, pour être de la suite mais peut être pas sans bec elle court circuite l'art et son auteur, sa vie et celle des autres, comme un tout à chacun,

ah, cadeau :blush:

quand rien qu'une décision empêche un seul coeur de s'enflammer au profit rien qui nait d'une trace à peine perceptible. Comment l'égaux avec tant de deux tellement sot de crépusculer des mots qui ne s'inventeront que dans le nouveau qui personne ne get, ne détiens, ne peux espionner sans rappels à l'ordre du seul qui culpabilise les courants fluviaux, d'eau, pour sonner la mort des créations humains au gré des veaux lucioles, de l'évolving....Tuer le Par, entendre la voix de la mie du pain qu'on tient tous un instant dans le cerveau lent qui peut se libérer des affres des injonctions, hein Djo! Le temps passe et les doigts n'effaceront rien à l'Histoire qui se renouvelle à chaque instant de poésie capté au vol, d'une chanson aimer ensemble

la loss tard lose (j'ai rien dis lol droite gauche droite gauche droite gauche)

Tu sais comme des pages volantes En double En beref rançaise J'aimerais bien Seize discut', au lieu de J'ai pris le train en route, et sans ta croûte de life, j'erre. Même si/ -- Yaura toujours \_/ In Your Light wife , ss s sss J'assuemrais devant l'an devant le juge, devant le A, devant qui que ce soit de carrément fondu dans l'acier, qui pourra m'y faire couler.

Moi, en franglais

Kant rencontrait les roots épelé pour lui

Et Frye disait : ahaha : C'est pascal les 500

Mais laisse cinq sans Kant, et you will see

Les escargot goes low, je sais Sinclair, suis pas l'rythme

aha! C'est pas because he is Art, qu'he's sera pas zappé

Let max and children, like Stone & Clyde, rolling their eyes

Laisse les autres rouler leurs R, toi tu have, your qualités

Et même if, they veulent, c'est pas la justesse que tu love

Mais l'intention, départie, de méchanceté, aigries

Joe le Traviolta :blush:

rp

Quand je mule, c'est de toi

De ces générations à peur

égitime vu l'temps passé

A broyer le noir des cahiers

La vieille génération peut dormir tranquille

J'ai pas vu de problèmes dans ce buvard

Qu'elle soit bien sûr de ce rythme, doux

Tranquille et sans histoires, c'est Renaud

Qui mla dit, tout au bout, d'une rime tard

Lasse aussi, j'peux m'endormir tranquille

Ce soir des dortoirs maudits s'annoncent

Libres, sans peace mais sans guerre, seul

Vous secreterz vos utopies, celles qui fondent

Aux yeux des urnes, qui n'existent qu'au ciel

Qu'aux cieux, mais c'est pas vrai ! Voyez !

Ici bas, dans les bois, maléfique, les branches

Grandir pour nous attraper, dans les contes

De perrault, ou de grimm... Peau d'Ane n'a pas

Inventé les suites de ses insinuations,

Enfin, pour ça, on a Gerard le Père, mais s'il

Est sal, c'est sûr, il dira n'importe quoi

Heureusement, je l'ai ai tuyauté, avant,

Censurez moi, si je ment, si je m'enballe

Ok ? Ce serait pas intériosé, enfin juste

Deux minutes, après, je vomirais, sur ce son

Donné 50/50, Lui, et celui, qui l'écoutera,

Cette nuit

C'est fini

C'est luiiiiiii

Quand je sule, c'est de vous, resté là bas

Qu'ils soient à vos bons goûts, ces mots

Qui mettent à nu ces glaces à la vanille

Quand je dule, c'est de vos cadeaux

Faits à des notres qu'auraient KO

Eté écartés de l'or du fil de la vie

Quand je lusse, c'est de vos rires

De vos pleurs resté là bas

Quand je lis, ces rimes, c'est crime

Quand je me tais de loin c'est de vous

De vos turlipineries juste pour lire

De vos facéties imprécises et ~~

De vos environs mathématiques

Quand je metain, c'est de toi

De tes appels incessants le soir

De tes requêtes salavastoies

De tes chemins gorgés de remous

Quand je mangue, c'est de celle

De celle qui me prend quand je donne

De celle qui sans peur empiète le jardin

De celle qui sera fondue dans celle teint

De celle qui sera rendue sourde d'être clusive

abusif ou aussi, toi ?

Quand jarule, c'est de noir et rouge

Que je ride, c'est d'hors du temps

Quand je blaque c'est de toto&cie

Quand j'attend c'est de détails

C'est fini

lom mdl et xptdrrrrrr :blush:

Look,

Tu avais, une chance, une parmi des milliers

c'était le seul moment, le seul, que tu as laissé, partir

Alors que tu cherchais, comme un commun chien errant, la sortie de ce tunnel enfoui, loin des champs et des mers des forêts et des chemins, tortueux plein de cailloux que t'aimes parcourir

Like a minikeum, tryin' to escapin, from this throat undescribing famous world, you choose this direction against of this one, maybe you'd better never move from your place

mais la musique s'arrête pas et pas bouger c'est mortel, lourd et rageant, alors rien qu'une feuille un crayon de papier HB et ma vie prendra une tournure plus personelle, désolé pour la danse humaine la symphonie divine les rythmes épanchés et succédés, transmis comme des maillons tous attachés, moi je cutlive mon impersonnalité malgré mon désir d'être personnelle

Lesbienne je suis et homosapiens par la même occasion.

propos tiré de cette muisque de détroit

aimes

ton prochain

comme moi

j'vous ai aimé

c'est ce qu'a dit Jésus, toute mon enfance, enfin, pas toute

Maintenant, c'est comme ça que chacun fait ses interprétations, en écoutant des merdes comme lui, eminem le loup-garou, l'homme qui signe ses ziks de son blaze limite atteint, attaqué, sur la défense comme un chat appeuré par l'homme, lui même appeuré par les chattes...

et minet, c'est pas ennemi que je lis en voyant ton pseudonyme, (poteau rentrant) c'est variable, lunatique, écorché vif

vivre dans la ville proche des villages et des nuages c'est une forme de vie qui inspire tant d'aémours lourds et plombants, ennuyeux et pleins de regrets

et t'as beau équilibrer pendant tant d'années, tes premières resteront gravées

Perdre, repères, père, certes, mais un, c'est l'est qui mis tes rimes dans cet état, la douleur de se sentir à exclure, par ...

pour quelconque raison

Jungle out there like rendez vous red wine black, let me smile with tupac that's worth in impact : smell like it's my life, no one life 8*5

Pour l'âme

Je dis santé !

Elle existe quoi que t'en dises

Double et subversive mais une personne

De vols, de pensées subites, de dépôts

Désolé pour les libres égos qu'elle donne

Je rimerais une autre fois

Pour le moment de l'instant unique

Je dédicace ces lignes aux biens qui nettoient

Celle qui passe sans juger.

L'accueillir comme un miracle mais sans la laisser tranquille, et elle perd sa fraîcheur

L'acceuillir telle qu'elle se dépose mais subir alors le plagiat revendiqué, et perdre sa valeur :blush: