Littérature et pouvoir

Selon un article (Littérature et pouvoir), la littérature ferait parti d'un grand système de contrainte par lequel l'occident a obligé le quotidien à se mettre en discours. Cet article part du travail de Foucault pour faire un lien entre pouvoir et littérature. Le point intéressant, me semble-t-il est la place ambivalente que Foucault réserve à la littérature : comme elle est acharnée à chercher le quotidien, à franchir les limites, à transgresser les règles et les codes, elle a tendance à avoir partie liée avec la transgression, le scandale et la révolte. C'est pour cette raison d'ailleurs qu'on voit certains livres à telle ou telle époque faire scandale ou bien tomber dans une banalité déconcertante. Il y a quelque chose à voir de ce côté là : c'est son lien avec le pouvoir qui donne à la littérature une dimension si captivante (cf. Da Vinci Code). Qu'en pensez-vous ?

Je ne sais pas si j'ai bien tout saisi.

Mais je pense qu'un livre racontant la vie banale de certaines personnes, cela n'aurait rien de captivant alors que s'il y'a un rebondissement, quelque chose qui fait que le quotidien sera chamboullé, là alors ça saura intéressant.

Sinon il n'y a aucune utilité à lire le livre.

C'est comme les films, un film sans action, sans rupture est inintéressant.

Après la liberté d'expression a tout de même ses limites. La liberté de certains s'arrête où commence celle des autres.

Je ne sais pas si j'ai répondu à ta question mais j'espère t'avoir aider...