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Le Japon et les dauphins


valdesvosges

Messages recommandés

Membre, 53ans Posté(e)
valdesvosges Membre 119 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

bon j'voulais mettre une vidéo mais ca marche pas !

ATTENTION IMAGES CHOCS

Le Japon, pays de tolérance envers les peuples, massacres des dauphins.........

Attention, les images peuvent choquées.

donc voici le lien !

http://fr.youtube.com/watch?v=YzlKxruIMW4

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Membre, 35ans Posté(e)
amore Membre 110 messages
Baby Forumeur‚ 35ans‚
Posté(e)

Y a des gens faudrait les enfermer

Y a des gens qui ne merite pas de vivre

Y a des gens si je le pouvais je leur ferai ce qu il font subir au animaux ...

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Membre, 47ans Posté(e)
ptiteathena Membre 816 messages
Baby Forumeur‚ 47ans‚
Posté(e)

tout comme amore,je trouve ça dégueulasse

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Membre, 53ans Posté(e)
Gordon Membre 26 messages
Baby Forumeur‚ 53ans‚
Posté(e)

"On peut juger de la grandeur d'une nation par la façon dont les animaux y sont traités" (citation de Gandhi).

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Animatrice, Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade, 45ans Posté(e)
titenath Animatrice 42 724 messages
45ans‚ Dindasse prête à servir !!! V.I.Pintade,
Posté(e)

Beurk, j'ai pas regardé la video jusqu'au bout ..... c'est ignoble de traiter ainsi les animaux.

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Membre, "Contraria contrariis curantur", Posté(e)
Valtesse Membre 6 551 messages
"Contraria contrariis curantur",
Posté(e)

Le même problème se pose avec les baleines :

Baleines : le Japon veut toujours plus

japon_baleine220.jpg</IMG> Une baleine dépecée par des pêcheurs japonais.

(Photo : AFP)La réunion annuelle de la Commission baleinière internationale (CBI) vient de s'achever à Ulsan en Corée du Sud. Les débats ont principalement porté sur le programme japonais de pêche à la baleine. Le Japon, grand consommateur de viande de baleine, continue de tuer des centaines de cétacés tous les ans en invoquant un prétexte scientifique. Tokyo qui prévoit de doubler ses prises annuelles actuelles, a failli cette année réussir à mettre fin à la pause de la chasse commerciale, décrétée en 1986. Ce qui suscite l'inquiétude des organisations écologiques et des pays défenseurs de baleines.

La Commission baleinière internationale (CBI ) qui tous les ans établit la politique internationale en matière de chasse des grands cétacés a bouclé, vendredi 24 juin, sa réunion annuelle à Ulsan, ancien port baleinier du sud-est de la péninsule coréenne. La conférence a été marquée comme toujours, par une opposition entre le camp des défenseurs du moratoire et les Etats qui militent en faveur de la reprise de la chasse. En 1986, un moratoire sur la chasse à la baleine a été adopté interdisant les captures à des fins commerciales. La chasse est autorisée uniquement pour les aborigènes ou pour des raisons scientifiques. Chaque année, le moratoire est au centre d'une vive controverse entre les pays de pêche, comme le Japon, la Norvège et l'Islande qui affirment que les mammifères marins ne sont plus menacés et les pays anti-chasse emmenés notamment par l'Australie et la Nouvelle- Zélande qui veulent éviter les massacres de cétacés.

Le Japon qui continue de tuer des centaines de baleines tous les ans en invoquant un prétexte scientifique, a failli cette année réussir à mettre fin à la pause de la chasse commerciale, en vigueur depuis près de 20 ans. Cette année, la Commission baleinière internationale (CIB) a rejeté par 29 voix contre 26 la proposition du Japon qui voulait mettre un terme au moratoire sur la chasse à la baleine de Minke. Cette année, les partisans d'une reprise des pêches commerciales ont de nouveau été en minorité, mais ont renforcé leur rang. Le Japon compte chaque année de plus en plus de soutiens, les détracteurs de la chasse accusent notamment Tokyo d'acheter les voix de petits pays insulaires ou de pays en développement, en distribuant des aides financières.

Une moyenne de 900 baleines par an

La CIB a également voté contre le projet du Japon de doubler ses captures de baleines. Bien que la commission ait voté cette résolution, Tokyo a fait savoir qu'il maintiendrait cet objectif. Le ministre japonais de la Pêche, Akira Nakamae s'est empressé de confirmer les autorisations accordées aux chercheurs. Tokyo prévoit de pêcher environ 850 baleines Minke contre 440 l'an dernier et d'étendre ses prises en 2007 aux rorquals communs et baleines à bosse, deux espèces réputées menacées. L'archipel explique comme toujours que ce projet fait partie d'une pêche «scientifique», ce qui lui permet ainsi d'invoquer une dérogation au moratoire. Selon l'Agence d'enquête environnementale, ce doublement des captures va faire passer de deux milliers de tonnes actuellement à environ 5 750 tonnes la quantité de viande de cétacés présente sur le marché nippon. Une pêche à la baleine à des fins scientifiques, qui selon les organisations écologiques Greenpeace et le Fonds mondial pour la nature (WWF) dissimule en réalité une pêche commerciale.

La baleine -mammifère protégé- est considérée au Japon comme une denrée traditionnelle. La viande est destinée à alimenter des restaurants et la graisse est utilisée pour fabriquer des produits de beauté. Mais si l'on en croit de nombreuses associations de défense des animaux, l'argument selon lequel les Japonais avaient coutume de consommer beaucoup de baleines n'est plus pertinent. La demande ne justifie pas l'extension de la chasse comme l'explique Susan Lieberman, directrice à WWF : «Il y a un surplus sur le marché actuellement. On donne gratuitement de la viande dans les écoles sous forme de hamburgers. Mais les jeunes consommateurs au Japon n'optent pas du tout pour la viande de baleine».

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Membre, "Contraria contrariis curantur", Posté(e)
Valtesse Membre 6 551 messages
"Contraria contrariis curantur",
Posté(e)

Quant aux dauphins...

«Si les dauphins pouvaient parler un langage humain, et si l'un d'entre eux, captif dans un aquarium, était interviewé, il nous dirait ceci :

- Ma famille vivait heureuse dans l'océan et nageait librement ici et là. Tout à coup, des bateaux de pêche sont venus nous chasser. Ils nous ont rabattus en frappant des tubes en métal vers une baie peu profonde où ils nous ont enfermés derrière des filets. Mon père est mort de suffocation dans les mailles de ce piège. Ma mère a été massacrée à coups de couteau. Ma s¿ur est morte de peur lorsqu'on l'a retirée hors de l'eau et mon petit frère s'est noyé lors de la capture. Tous ont été transformés par la suite en nourriture pour chiens et en steaks pour les humains.

Je suis le seul à avoir survécu : on m'a amené dans ce bassin et j'y travaille pour vous distraire».

L'horreur filmée à Port Futo

Pourtant, la pêche menée au port de Futo, dans la péninsule d'Izu, a pu être filmée en cachette par l'association japonaise IKAN. Ces images furent montrées à la Conférence de la CITES de juin 2000 à Adélaïde : les délégués japonais, blêmes de honte, durent quitter la salle. La cassette vidéo , aujourd'hui disponible sur simple demande, nous permet de reconstituer les étapes de cette boucherie atroce et d'imaginer comment elle se répète chaque année, sur plusieurs plages japonaises....

Nous sommes le 13 octobre 1999.

Les pêcheurs partent en mer. Une bonne centaine de dauphins sont repérés, isolés, rassemblés, poussés par des filets vers les rives d'une petite baie peu profonde. Une quinzaine d'hommes, équipés de combinaison de plongée et de tubas, repèrent les spécimens destinés aux deux principaux clients du jour, à savoir les delphinariums Izu-Mito Sea Paradise et Keikyu Aburatsubo Marine Park.

Ils poussent les dauphins choisis - le plus souvent, des mères et leur enfant - vers des enclos à part non loin de là, afin de les mettre à l'abri et de les livrer plus tard à leurs commanditaires. Avant cela, les nouveaux captifs, baignant dans le sang de leurs compagnons proches, devront subir une «désensibilisation» (habituation au poisson mort et à la présence de l'homme, premiers dressages, etc. ) dont on a pu prendre également quelques images.

Quant aux autres dauphins, ils se tiennent toujours entassés dans leur nasse le long de la plage. On les y laisse jusqu'au lendemain, 14 octobre 1999 et là, l'Enfer commence...

Les cétacés sont attachés par la queue à un câble et traînés à toute vitesse sur le sable brûlant.

Des tas de corps gris empilés se forment, des alignements de dauphins allongés, couverts de poussière, peau écorchée par les cailloux. Mais toujours bien vivants, hélas, car parfois, on les voit se redresser par spasmes, les yeux fous, en piaulant leur terreur puis retombant, épuisés.

Parfois, c'est par grappes entières, à l'aide d'un camion ou d'une grue, que l'on tire les dauphins vers la terre.

Beaucoup sont égorgés. Ils meurent lentement, la carotide crachant de grands jets de sang sur le pêcheur qui s'éloigne, impassible. D'autres ont le c¿ur ou le flanc percé avec une sorte de pelle-épieu, qui les fait se tordre de souffrance. Une fois, deux fois, le pêcheur frappe puis, sans se soucier si sa victime est morte ou non, il se dirige vers d'autres corps étendus, frémissants, qui le voient venir sans pouvoir rien faire...

D'autres dauphins semblent oubliés : laissés sous le soleil, ils s'étouffent lentement sous leur propre poids. Un pêcheur passe et marche sur un alignement de ces corps : l'un des cadavres se cabre sous la botte. Cette pauvre chose vit encore !

Certaines images nous montre des cinéastes et activistes présents sur place, tentant de convaincre l'un des pêcheurs. A côté d'eux, un dauphin agonise, sans blessure, juste échoué sur la terre. "Qu'on lui donne au moins le coup de grâce !" semble plaider l'un de ces témoins. Rien à faire. Pas question de perdre son temps. Le dauphin mourra là, dans quelques heures peut-être....

Pendant ce temps, marchant dans l'eau sanglante à mi-cuisse, un homme en tenue de plongeur continue le sale travail.

La mer est agitée comme en pleine tempête par les coups de caudale des dauphins pris au piège. Des gerbes d'écume rougeoyante s'élèvent. Le tueur passe nonchalamment parmi ces êtres paniqués et il égorge, il plante le pieu, sans cesse. Parfois il s'écarte pour vérifier le bon état de sa combinaison, puis il repart, tuant au hasard, sabrant dans le tas comme on fauche les orties....

Plus loin, maintenus sous un filet expressément enfoncé dans l'eau, d'autres dauphins se noient lentement.

Il leur faudra, à eux aussi, un long moment pour mourir...

Le bilan de cette opération : cent dauphins capturés et ramenés vers la plage, soixante-neuf massacrés et vendus en boucherie, six conservés vivants pour les delphinariums.

Par ailleurs, détournant l'intérêt spontané des êtres humains à l'égard des dauphins à des fins mercantiles, l'industrie des delphinariums s'est révélée extrêmement rentable sur le plan touristique et a connu un boom énorme ces dernières années.

Partout, dans les hauts lieux de vacances, de nouveaux bassins sont construits pour accueillir des cohortes de dauphins, d'orques ou de bélougas, rapidement morts et vite remplacés. En d'autres lieux, sur d'autres plages, ce sont des "petting pools" que l'on bâtit par dizaines à l'usage des touristes pressés. Pour une poignée de dollars, la rencontre avec l'animal est garantie sur facture et la photo souvent offerte avec le prix du billet.

A ce jour, les pays les plus demandeurs sont la Corée, le Japon, la Chine, Taiwan, la Thaïlande, Hong Kong, la Polynésie Française, le Mexique et les Etats-Unis, notamment. A lui seul, compte tenu des décès incessants qui y surviennent, le Delphinarium géant de Nagoya (Japon) représente l'un des plus gros importateurs de cétacés captif au monde. La plupart des visiteurs qui nagent avec ces dauphins si souriants ou apprécient leurs cabrioles au travers des cerceaux ignorent évidemment la provenance exacte de ces animaux.

Source : wwwdauphinlibre

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