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Crise systémique globale / Septembre 2008


smodelajungle

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Membre, 39ans Posté(e)
smodelajungle Membre 188 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

Fin de partie, Alan Greenspan a craché le morceau : « Quelque chose d'inattendu va se produire et nous jeter à terre ». L'aveu est de poids puisqu'il vient de celui qui a tenu les rennes de la Réserve Fédérale américaine pendant les 19 années qui ont succédé au krach boursier de 1987, et qui avait été mandaté par la communauté financière pour mettre en ¿uvre une batterie d'instruments financiers « créatifs » dont les « subprimes » ne sont qu'une infime partie.

Mais cette désintégration irrémédiable du système financier est en même temps une crise économique réelle, où l'inflation ne fait que précéder l'hyperinflation et les pénuries.

C'est donc la fin de ce qu'on nomme trop poliment « la mondialisation », et des factions financières qui l'ont promue. Mais certaines, prêtes à tout, n'ont pas hésité à envoyer Benazir Bhutto à la mort et à faire porter le chapeau au président Musharraf pour qu'un Pakistan déstabilisé fasse l'effet d'une grenade lancée sur la scène mondiale.

Face à cette politique qu'il a qualifié d' « opération chaos » émanant de la City de Londres, Lyndon LaRouche s'adressera à une audience internationale pour que se mette en place une nouvelle architecture financière dans l'esprit du New Deal de Franklin Delano Roosevelt. LaRouche et la City ont donc un point commun - il s'agit d'une fin de partie - mais leurs politiques sont diamétralement opposées : désintégration, spéculation et dépopulation à tout va d'un côté, production, équipement et justice sociale de l'autre.

L'heure de vérité sonne. Chacun d'entre nous doit se définir entre ces deux choix, car ce sont les seuls : détruire la vie des générations futures ou les servir.

http://www.cheminade-le-sursaut.org/Confer...-de-Lyndon.html

http://www.dailymotion.com/video/x488bu_la...t-lall_politics

http://www.europe2020.org/spip.php?article525〈=fr

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Membre+, E-mage, 76ans Posté(e)
usagi Membre+ 363 016 messages
76ans‚ E-mage,
Posté(e)
:snif: Lyndon LaRouche : un malade , gourou d'une secte qui veux pas dire sont nom et accessoirement , raciste , antisemite , negationiste , mysogine et homophobe :snif:
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Membre+, 145ans Posté(e)
cabusar Membre+ 3 377 messages
145ans‚
Posté(e)

+1 usagi :snif:

l'apocalypse version économique :snif:

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Membre, 39ans Posté(e)
smodelajungle Membre 188 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
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bourse10.jpg

la chute continue ... pourtant du coté de nos medias tt vas bien !!!up_arrow.gif down_arrow.gif

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  • 2 semaines après...
Membre, 39ans Posté(e)
smodelajungle Membre 188 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

Sayé le pris de l'or vien de dépasser les 1000 .......

Le mur dans lequelle nous allons nous écraser est a vue.

Ca commence a parler même sur les forums de Boursorama, de retrait des économies avec l'affaire Bearn sters, ca sent mauvais tout ça

boursorama

Parceque le mal est trop profond. Cet article tout en mesures, donne un appercu de l'ampleur et de la gravité de la situation economique Americaine et, par ricochés la notre! (Et encore, ils sont optimistes et le reconnaissent)

La crise américaine, crise conjoncturelle ou systémique?

par Jean-Paul Baquiast 13/03/2008

Les Etats-Unis vont-ils au devant d'une crise économique globale ? Quelle serait l'ampleur de cette crise ? Serait-elle plus ou moins forte que celle de 1929-33 ou pire, serait-elle véritablement systémique, touchant l'économie « réelle » américaine au c¿ur ? Qui en seront, au delà de l'économie américaine, les premières victimes ? Les pays liés étroitement à cette dernière (zone dollar) ? Les pays asiatiques ou les pays européens qui disposent d'une plus grande capacité de résistance ?

Pour tenter d'éclaircir ces questions que ne peuvent laisser personne indifférent, notamment en Europe, nous allons tenter de fournir quelques éléments de réflexion. Nous examinerons d'abord les indices incontestables montrant que la crise se rapproche. Nous rappellerons ensuite les ponts faibles systémiques (il faudra préciser ce terme) de l'économie américaine et derrière elle de l'économie mondialisée libérale.

En contrepoint de ces propos, le lecteur gardera en tête la grande question que devraient se poser tous les Européens et que nous traiterons dans un ouvrage à paraître "L'Europe ou le vide de puissance, JP. Bayol" : "que pourrait faire l'Europe pour sauvegarder ses fondamentaux, c'est-à-dire, concrètement, les facteurs de production liés à son économie réelle qui lui permettraient de ne pas mourir de faim en cas de crise étendue?".

Les indices d'une crise économique américaine qui se rapproche

L'économie américaine est menacée de récession, selon les experts. Il s'agit d'un thème de plus en plus évoqué dans la presse internationale de la fin février et du début mars 2008. Cette récession se caractérise d'abord par des pertes d'emplois. L'économie a supprimé 63.000 emplois en février, une grosse déception pour les analystes qui tablaient sur 25.000 embauches nettes. De plus, les chiffres de janvier ont été révisés pour faire ressortir 22.000 licenciements (au lieu de 17.000 annoncés initialement). Le niveau des suppressions d'emplois est le plus fort enregistré depuis mars 2003, au début de la guerre en Irak. C'est aussi la première fois que l'économie enregistre deux mois de licenciements consécutifs depuis juin 2003.

D'où proviennent ces pertes d'emplois ? Directement, de la crise de l'immobilier, qui entraîne une diminution des mises en chantier et donc de l'emploi dans la construction. Indirectement aussi de la crise de l'immobilier, qui se traduit par l'augmentation du nombre des ménages incapables de rembourser leurs prêts. Obligés de vendre à perte, ils ne peuvent maintenir leurs niveaux de consommation courante, ce qui pénalise de nombreux producteurs et distributeurs, lesquels licencient du personnel. D'autres éléments de récession s'y ajoutent, que nous examinerons ultérieurement, et qui sont liés à la crise mondiale du capitalisme financier.

Rappelons d'abord les causes de cette crise de l'immobilier, popularisée dans le monde entier sous le nom de crise des subprimes. Elle est née des excès de la dérégulation économique américaine, qui a favorisé la multiplication de sociétés d'investissements immobiliers à la moralité plus que douteuse. Michel Rocard, dans un article récent, a très bien décrit le mécanisme (Le Monde, 6 mars 2008). De véritables margoulins ont prêté massivement à des populations aux revenus faibles de quoi acheter ou faire construire un logement. Leurs espoirs de gain était fondés sur la perspective de revente de maisons dont les premiers propriétaires insolvables auraient été expropriés. Plus d'un million de ménages étaient concernés au départ par cette spéculation, mais le nombre des victimes ne cesse d'augmenter.

Note: Voici présentés en termes du langage courant, le principe de l'opération « Moi, société de construction immobilière, je dispose d'un titre par lequel Smith, candidat à la construction d'un logement, s'était engagé à me rembourser les $50.000 que je lui avais prêté pour l'aider à rassembler la somme nécessaire à la construction d'une maison coûtant $100.000. Mais je sais qu'il ne pourra pas s'acquitter de sa dette. Je pourrai donc faire saisir sa propriété sur laquelle je dispose d'une hypothèque et la revendre pour $100.000 sinon davantage (somme résultant de la valeur du bien calculée sur la base du prêt et des apports personnels de Smith). Je peux aussi vendre ce titre de créance à une banque dont je sais qu'elle aura les reins plus solides que les miens pour faire face aux éventuels délais ou problèmes de revente ». La banque concernée tiendra le même raisonnement. « Je dispose d'un portefeuille de créances dont les unes sont saines ¿ je sais que le débiteur remboursera sans difficultés ¿ et les autres douteuses. Je vends le tout à un établissement financier plus solide que moi qui pourra faire globalement son affaire de tous les recouvrements à réaliser. Pour plus de sécurité, je ne lui dirai pas que certaines créances sont douteuses ». La revente peut prendre la forme d'une transformation du paquet d'obligations en actions, ce que l'on nomme la titrisation. L'acheteur de ces actions spécule en bourse sur la hausse ou la baisse des cours. En cas de croissance économique, les dettes seront facilement remboursées, et le titre sera valorisé. Dans le cas contraire, désastre. Mais, rappelons-le, dans ce cas, la perte sera "en bourse" et aux dépends du spéculateur. Elle ne touchera pas immédiatement l'économie réelle.

Les banques petites et grandes , entraînées par l'espoir d'un gain dans un marché en croissance, n'ont pas fait l'effort d'analyser au cas par cas les créances, pour refuser celles qui n'étaient pas fiables. Elles n'ont pas non plus anticipé le ralentissement de l'économie américaine dû notamment à d'autres facteurs, comme la désindustrialisation que nous évoquerons ci-dessous. Ce ralentissement a diminué la demande sur le marché de l'immobilier, entraînant la baisse de la valeur en capital des immeubles. Devant l'épidémie des non-remboursements en chaînes, les établissements financiers les plus solides ont été mis en difficulté. Ces derniers jours les fonds d'investissement américains, qui avaient fait la réputation carnassière du capitalisme d'outre-atlantique (Carlyle, OEP, KKR) semblent avoir aussi des difficultés, une partie de leurs réserves se révélant définitivement "pourrie".

Rien n'indique aujourd'hui que le mécanisme puisse être enrayé puisque personne, même pas les fonds d'investissement, ne viendra payer les dettes des débiteurs défaillants. L'économiste Martin Feldstein a bien proposé, devant l'accroissement du nombre des saisies, jugé par lui « le risque le plus grand que l'on ait vu depuis 1930 » que le gouvernement fédéral lance un programme de prêts immobiliers à taux réduit aux personnes à risque, sécurisé sur leur revenu ultérieur. Encore faudrait-il que l'Etat fédéral, déjà très endetté, accroisse encore sa dette. Il faudrait aussi que les emprunteurs soient assurés d'un revenu ultérieur ¿ autrement dit que l'emploi reprenne.

Or cette crise des subprimes et le climat de méfiance qui s'est installé chez les investisseurs et dans les banques ont entraîné une baisse importante de la demande et donc des emplois. Dans le seul secteur privé, les licenciements nets se sont chiffrés à 101.000 en février 2008, avec de fortes pertes d'emplois dans le bâtiment (-39.000) et dans l'industrie (-52.000), surtout pour les entreprises liées à l'immobilier. Mais le commerce de détail a aussi souffert (-34.000) tout comme les services (-20.000). Même la baisse du chômage, qui est passé de 4,9 à 4,8%, n'arrive pas à réconforter les analystes. Ils soulignent qu'elle s'explique avant tout par la baisse du nombre de personnes sur le marché de l'emploi (le même phénomène se note en France, quoique prétende le gouvernement). Toute détérioration de l'emploi se traduit par une baisse des revenus, ce qui peut être calamiteux dans une économie portée par la consommation. Elle se traduit finalement par la baisse de la confiance des ménages et des entreprises.

Pour remédier à cela, la plupart des économistes et des hommes politiques, G.W.Bush en premier, demandent à la Banque Fédérale d'augmenter les liquidités qu'elle compte injecter sur les marchés pour soulager la crise du crédit. Aussi les marchés réclament-ils une réaction « vigoureuse » de la part de la banque centrale. Celle-ci à déjà répondu favorablement, tout en annonçant des "concertations serrées" avec les autres banques centrales dans le monde. Elle avait déjà réduit son taux directeur de 2,25 points depuis l'été pour le ramener à 3%. Il sera sans doute être abaissé d'un point supplémentaire au cours des deux prochaines réunions de la Fed, dont la première est prévue le 18 mars. La baisse du taux encourage les emprunteurs mais ne suffit pas toujours à créer un climat de confiance chez les investisseurs. La Fed a par ailleurs annoncé que 100 milliards de crédits ont été ouverts sous forme de prêts aux banques afin d'accroître les liquidité du marché. Le président Bush avait précédemment annoncé de son côté que 156 milliards de déductions fiscales seraient programmés pour relancer la consommation, sans provoquer beaucoup de réactions.

Ajoutons qu'il est douteux que les autres banques centrales, notamment la BCE, non plus que les gouvernements européens (exception faite du malencontreux « paquet fiscal » de Sarkozy) suivent longtemps les Etats-Unis dans cette voie - sauf pour faire un geste. L'Europe commence à se préoccuper sérieusement des risques d'inflation, par excès de la demande sur l'offre entraînant la hausse des prix. La bonne logique consisterait à ne pas encourager la demande par la distribution de crédits à la consommation. Il faudrait au contraire encourager l'investissement par des aides aux entreprises de l'économie réelle, celles qui produisent de vrais biens, de préférence biens de production (comme dans le secteur des énergies renouvelables) et non des valeurs financières spéculatives.

Ceci dit, penser que la crise de l'économie américaine peut être attribuée à des causes évènementielles, comme la crise des subprimes, ne voient pas que le mal est bien plus profond.

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Membre, Posté(e)
WEAPON Membre 6 171 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

lundi, je vais vendre mes actions de chez eurotunnel

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Membre, 39ans Posté(e)
smodelajungle Membre 188 messages
Baby Forumeur‚ 39ans‚
Posté(e)

http://www.europe2020.org/spip.php?article530〈=fr

Crise systémique globale - Fin 2008 :

Déroute des fonds de pension

Communiqué public GEAB N°23 (15 mars 2008) -

15/03/2008

Selon LEAP/E2020, d'ici la fin de 2008, nous allons assister à une formidable déroute de l'ensemble des fonds de pension de la planète, mettant en péril tout le système des retraites par capitalisation. Ce cataclysme financier aura une dimension humaine dramatique puisqu'il correspond à l'arrivée à la retraite de la première vague des baby-boomers aux Etats-Unis, en Europe et au Japon : les revenus des fonds de pension s'effondrent au moment même où ils doivent commencer à effectuer leur première grande série de versements aux retraités. Dans ce numéro 23 du GEAB, notre équipe anticipe l'évolution de cette prochaine crise des fonds de pension, précise les pays les plus touchés (notamment en Europe) et présente des recommandations opérationnelles et stratégiques pour y faire face.

Parallèlement, dans ce GEAB N°23 (sur abonnement), LEAP/E2020 anticipe les prochains mois de cette crise systémique globale qui est désormais une évidence pour tous, s'attachant à anticiper les effets pervers des prêts de la Réserve fédérale américaine qui sont en train de fragiliser encore plus l'ensemble du système financier américain, et analysant les risques à venir qui pèsent sur les établissements bancaires aux Etats-Unis et dans certains pays européens particulièrement exposés. Parallèlement notre équipe analyse l'impact de la crise économique et financière US actuelle sur les probabilités et les conséquences d'une attaque de l'Iran par Israël et les Etats-Unis avant les prochaines élections présidentielles américaines.

En tout état de cause, avec l'annonce d'un plan de sauvetage d'urgence de la cinquième banque d'affaires US, Bear Stearns [1] (prélude à sa vente ou à sa mise en liquidation dans les prochaines semaines), on assiste bien à la faillite d'un grand établissement financier dès le premier trimestre 2008, comme anticipé par notre équipe dans le GEAB N°19 [2].

Simultanément, le Dollar US a repris sa chute libre par rapport à l'Euro, au Yen, au Yuan ; l'or est à plus de 1.000 USD/once, le pétrole à plus de 110 USD/baril, les bourses mondiales en baisse de 20% en un trimestre, et la dernière tentative de stopper la crise financière avec le prêt de 200 Milliards USD aux banques par la Réserve fédérale américaine a déjà montré qu'il avait échoué ... tous les fondements de l'ordre économico-financier de ces dernières décennies s'écroulent sous nos yeux, à un rythme de plus en plus rapide. Ce sont bien tous les signes d'une crise systémique [3].

La prise de conscience désormais généralisée que le monde fait face à une crise d'une ampleur et d'une nature nouvelles permet déjà à nos chercheurs d'affiner certaines de leurs anticipations. Ainsi, en ce qui concerne les devises, notre équipe a entrepris de revoir ses estimations sur la valeur du Dollar US par rapport aux trois autres monnaies mondiales stratégiques, à savoir l'Euro, le Yen et le Yuan. Ainsi, LEAP/E2020 estime désormais que le taux EURUSD atteindra 1,75 à la fin 2008 (au lieu de 1,70 comme l'avait anticipé notre équipe dès 2006) ; le taux USDYEN tombera à 90 et le taux USDYUAN à 6 [4].

Evolution du Dollar Index (panier de monnaies références [5]) au 14/03/2008 / Source FxStreet

graph310.jpg

Devant l'ampleur de la Très Grande Dépression US désormais en plein développement [6], LEAP/E2020 se félicite de constater que les autorités américaines, suite aux nombreuses protestations [7], ont finalement décidé de maintenir la parution synthétique des indicateurs économiques US sur le site EconomicIndicators.Gov. Dans une période aussi troublée, il est en effet important que l'information statistique sur l'économie des Etats-Unis reste aisément et largement disponible. Les finances d'une multitude d'acteurs privés et publics, individuels et collectifs en dépendent.

Dans cette même logique, la Réserve fédérale d'Atlanta fait oeuvre utile en diffusant gratuitement un DVD intitulé « Se préparer à la crise : reconnecter son flux financier vital » (« Crisis Preparedness : Reconnecting the Financial Lifeline »), qui permet aux opérateurs de toute nature d'anticiper la crise, et donc de mieux s'y préparer [8]. Dans la perspective de la phase d'effondrement de l'économie réelle aux Etats-Unis, prévue pour Septembre 2008 par LEAP/E2020 [9], ces conseils officiels prennent tout leur sens. Notamment, comme nous le soulignons depuis des mois, en cas de crise grave, « le liquide est roi » (« Cash becomes king » comme le répète ce DVD), et ce que la crise soit liée à un désastre naturel ou provoqué par les hommes comme l'illustre parfaitement le fait que les assureurs américains ont désormais perdus plus d'argent à cause de la crise des subprimes qu'à cause du cyclone Katrina, pourtant le pire désastre naturel de l'histoire des Etats-Unis [10].

Réserves propres des établissements de dépôts américains (1950 ¿ 02/2008) / Source Réserve fédérale de Saint Louis

graph410.jpg

Pour finir, des courbes comme celle ci-dessus illustrent de manière frappante combien la situation est infiniment plus grave que ne peuvent même l'imaginer les dirigeants les plus intelligents (et ils sont peu nombreux). Elle montre à quel point le système financier américain, et derrière lui celui d'une grande partie de la planète, est atteint mortellement. Les banques US n'ont plus d'argent ; c'est aussi simple et dramatique que cela. La contagion va maintenant entrer dans une seconde étape de son développement et va donc bien générer une nouvelle série de faillites bancaires d'ici l'été, comme anticipé dans le GEAB N°20, entraînant la rupture du système financier mondial dans la seconde moitié de 2008.

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Membre, 40ans Posté(e)
cheuwing Membre 16 423 messages
Maitre des forums‚ 40ans‚
Posté(e)

Honteux, vidéo qui fait un révisionisme historique dangeureux pour tenter d'établir un lien entre Allemagne nazi et amérique actuelle en accusant totalement à tort la Grande Bretagne

Lien plus sérieux, même si je ne crois pas cette date de septembre 2008 car ca peut arriver plus tôt ou plus tard.

Smode tu fais des mélanges douteux dans tes vidéos.

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