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Jacques Chirac appelle au calme dans les banlieues


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Membre, Power Bichette !, 44ans Posté(e)
mollebille Membre 3 572 messages
44ans‚ Power Bichette !,
Posté(e)

bah si il suffisait de le dire ça se saurait ,hein ;)

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Membre, 44ans Posté(e)
microlax Membre 575 messages
Baby Forumeur‚ 44ans‚
Posté(e)

tiens on a un président maintenant? il était parti où lui déjà?

Il se réveille car apparement les évènements de clichy prennent plus d'ampleur que prévu?

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Membre+, E-mage, 77ans Posté(e)
usagi Membre+ 363 016 messages
77ans‚ E-mage,
Posté(e)

une du Canard Enchainé du 02 11 05

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Membre+, E-mage, 77ans Posté(e)
usagi Membre+ 363 016 messages
77ans‚ E-mage,
Posté(e)

Lundi, Sarkozy avait essuyé une rebuffade quand les familles de Bouna et Zyed, les deux jeunes décédés, ont décliné sa proposition de les recevoir. Pis : le frère de Bouna demandait à rencontrer le Premier ministre. Finalement, hier à 18 heures, les proches ont été reçus par Dominique de Villepin flanqué de son ministre d'Etat. L'entretien a duré deux heures et le Premier ministre a «témoigné sa profonde sympathie et son appui dans cette terrible épreuve», en assurant les familles «que toute la lumière serait faite sur les circonstances de cet accident». Dans le même communiqué, l'hôtel Matignon a annoncé la tenue d'une réunion, tard dans la soirée, place Beauvau «sous la présidence» de Sarkozy «afin d'ouvrir le dialogue dans un esprit de respect mutuel». Message implicite : désormais, dans ce dossier, c'est le Premier ministre qui décide et Sarkozy qui exécute.

Begag contre Sarko. Histoire de calmer le jeu, Villepin n'avait pas convié à Matignon Azouz Begag, son ministre chargé de la Promotion de l'égalité des chances. Il s'est contenté de le recevoir après, pendant trois quarts d'heure. Discret depuis sa nomination, l'écrivain et sociologue lyonnais s'est transformé depuis deux jours en Robocop anti-Sarkozy. Multipliant les interventions médiatiques, il dénonçait hier dans Libération «la sémantique guerrière» du ministre de l'Intérieur. Une semaine plus tôt, il avait qualifié de «faux débat» la question du droit de vote aux immigrés. Une stratégie de réponse systématique très calculée. Car avec Begag, le Premier ministre pense avoir trouvé un moyen de concurrencer, au moins dans la tonalité, l'omniprésence de Sarkozy sur le sujet, de l'inciter à la surenchère et donc à la faute. Une véritable politique du pire qui inquiète certains ténors chiraquiens. «Villepin va y laisser des plumes. Car même si Sarkozy manoeuvre de façon critiquable, il reste son ministre», assure l'un d'eux. En ayant l'air de se réjouir des incidents de Clichy-sous-Bois, le Premier ministre joue avec le feu au moins autant que les incendiaires de voitures.

La réponse de Sarkozy ne s'est pas fait attendre, sous la forme d'une succession cousue de fil blanc de déclarations à l'AFP. Sept de ses fidèles, pas moins, se sont exprimés. Des députés UMP ont affirmé que les problèmes d'intégration relevaient du ministère des Affaires sociales (Yves Jégo), demandé la démission de Begag (Alain Marleix), dénoncé le «silence assourdissant» de Villepin (Pierre Cardo). Et Christian Estrosi, ministre à l'Aménagement du territoire, a rappelé le devoir de solidarité gouvernementale.

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