J'ouvre une enquête : aidez-moi !

Il y a 17 heures, Engardin a dit :

...La croix et dans le cas d'Hitler la croix gammée, semble s'opposer comme symbole "universel" ou absolu à l'étoile. 

Voir définition Svastika (et Sauvastika ?) 

il y a 36 minutes, picenboule a dit :

Voir définition Svastika (et Sauvastika ?) 

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https://encyclopedia.ushmm.org/content/fr/article/history-of-the-swastika

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https://www.caminteresse.fr/histoire/quelle-est-lorigine-de-la-croix-gammee-11192035/

 

A mon avis ...

La croix est un symbole 'psychologique de... Castration ! Ce qui me parait assez évident. La barre verticale (=érection) étant "coupée" par la barre horizontale.

La svastica elle est une croix dont les 4 branches ont elles-mêmes été "cassées" !

Cr qui en fait une... castration de castration ! 

Ce qui en fait donc un symbole (psychanalytique !)  de forclusion !

Je ne saurais mieux dire que Wikipédia :

D'après le Vocabulaire de la psychanalyse, le verbe verwerfen et le substantif Verwerfung seraient employés par Freud dans des acceptions variées qui pourraient se ramener à trois : 1) le « refus » sur le mode du refoulement, 2) le « rejet » en tant que « jugement conscient de condamnation » (Urteilsverwerfung), 3) le sens qui va être mis en avant par Lacan, qu'on trouve par exemple dans Les psychonévroses de défense (1894), quand Freud parle d' « une sorte de défense bien plus énergique et bien plus efficace qui consiste en ceci que le moi rejette (verwirft) la représentation insupportable en même temps que son affect et se conduit comme si la représentation n'était jamais parvenue au moi »^[1]. Mais le texte sur lequel Lacan va s'appuyer avant tout pour promouvoir la notion de forclusion est un passage de L'homme aux loups, où Freud observe chez le sujet la coexistence de plusieurs attitudes vis-à-vis de la castration rejetée (verworfen) ; Freud rapporte aussi une hallucination de son patient à l'âge de cinq ans^[1].

D'autres termes que Verwerfung employés par Freud se rapprochent du concept de forclusion chez Lacan : ablehnen (écarter, décliner), aufheben (supprimer, abolir), verleugnen (dénier)^[1].

Tandis que dans les premiers textes freudiens, le mécanisme de la projection correspond chez le psychotique à un rejet d'emblée dans l'extérieur et non pas à un retour du refoulé inconscient, la projection est interprétée ultérieurement à un temps secondaire au refoulement névrotique et n'est plus considérée en ce sens comme le ressort essentiel de la psychose^[1]. Dans les « Remarques psychanalytiques sur l’autobiographie d’un cas de paranoïa : le président Schreber », Freud reconnaît plutôt que « ce qui a été aboli (das Aufgehobene) à l'intérieur revient de l'extérieur »^[1].

Dans ses derniers travaux, Freud centre davantage sa réflexion autour de la notion de Verleugnung ou « déni de la réalité » qu'il étudie dans le cas du fétichisme comme perversion apparentée à la psychose^[1].

Il ne s'agit donc pas d'une "érection" retrouvée (ce serait trop beau ! ) mais de la négation de la castration même qui continue son travail de sape en sous couche ! Dans l'inconscient... et enfle la psychose.  C'est alors le phallus (du père) et son autorité (la loi) qui sont effacés dans une fuite en avant perpétuelle (jusqu'à la folie, la perte totale de la réalité, de repères -- re-père !!! --*)  que symbolise aussi l'aspect giratoire effréné de la svastica qui ne peut plus s'arrêter de tourner.... Qui ne peut que s'emballer...

C'est ce que j'y vois et en comprends.

* ça c'est juste pour s'amuser : c'est ni une preuve ni un argument ! 

il y a 3 minutes, Engardin a dit :

A mon avis ...

La croix est un symbole 'psychologique de... Castration ! Ce qui me parait assez évident. La barre verticale (=érection) étant "coupée" par la barre horizontale.

La svastica elle est une croix dont les 4 branches ont elles-mêmes été "cassées" !

Cr qui en fait une... castration de castration ! 

Ce qui en fait donc un symbole (psychanalytique !)  de forclusion !

Je ne saurais mieux dire que Wikipédia :

 

D'après le Vocabulaire de la psychanalyse, le verbe verwerfen et le substantif Verwerfung seraient employés par Freud dans des acceptions variées qui pourraient se ramener à trois : 1) le « refus » sur le mode du refoulement, 2) le « rejet » en tant que « jugement conscient de condamnation » (Urteilsverwerfung), 3) le sens qui va être mis en avant par Lacan, qu'on trouve par exemple dans Les psychonévroses de défense (1894), quand Freud parle d' « une sorte de défense bien plus énergique et bien plus efficace qui consiste en ceci que le moi rejette (verwirft) la représentation insupportable en même temps que son affect et se conduit comme si la représentation n'était jamais parvenue au moi »^[1]. Mais le texte sur lequel Lacan va s'appuyer avant tout pour promouvoir la notion de forclusion est un passage de L'homme aux loups, où Freud observe chez le sujet la coexistence de plusieurs attitudes vis-à-vis de la castration rejetée (verworfen) ; Freud rapporte aussi une hallucination de son patient à l'âge de cinq ans^[1].

D'autres termes que Verwerfung employés par Freud se rapprochent du concept de forclusion chez Lacan : ablehnen (écarter, décliner), aufheben (supprimer, abolir), verleugnen (dénier)^[1].

Tandis que dans les premiers textes freudiens, le mécanisme de la projection correspond chez le psychotique à un rejet d'emblée dans l'extérieur et non pas à un retour du refoulé inconscient, la projection est interprétée ultérieurement à un temps secondaire au refoulement névrotique et n'est plus considérée en ce sens comme le ressort essentiel de la psychose^[1]. Dans les « Remarques psychanalytiques sur l’autobiographie d’un cas de paranoïa : le président Schreber », Freud reconnaît plutôt que « ce qui a été aboli (das Aufgehobene) à l'intérieur revient de l'extérieur »^[1].

Dans ses derniers travaux, Freud centre davantage sa réflexion autour de la notion de Verleugnung ou « déni de la réalité » qu'il étudie dans le cas du fétichisme comme perversion apparentée à la psychose^[1].

 

Il ne s'agit donc pas d'une "érection" retrouvée (ce serait trop beau ! ) mais de la négation de la castration même qui continue son travail de sape en sous couche ! Dans l'inconscient... et enfle la psychose.  C'est alors le phallus (du père) et son autorité (la loi) qui sont effacés dans une fuite en avant perpétuelle (jusqu'à la folie, la perte totale de la réalité, de repères -- re-père !!! --*)  que symbolise aussi l'aspect giratoire effréné de la svastica qui ne peut plus s'arrêter de tourner.... Qui ne peut que s'emballer...

C'est ce que j'y vois et en comprends.

 

* ça c'est juste pour s'amuser : c'est ni une preuve ni un argument ! 

et dire que ça part de ça, mais là c'est en couleur:

il y a 2 minutes, picenboule a dit :

et dire que ça part de ça, mais là c'est en couleur:

 

C'est quoi ? Une étoile, une planète ?

il y a 7 minutes, Engardin a dit :

C'est quoi ? Une étoile, une planète ?

C'est moins nébuleux que ton image première de "ton enquête" !

il y a 8 minutes, picenboule a dit :

C'est moins nébuleux que ton image première de "ton enquête" !

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https://www.eso.org/public/france/images/eso2109a/?lang

 

Génial ! Et je suis bien content que tu parles de Bételgeuse ! Et que tu nous la montres !

Depuis quelques mois j'ai remarqué qu'elle brille bien fort de nouveau !

 L'année dernière, j'avais remarqué qu'elle brillait carrément moins que les autres de la même constellation ! Là elle a repris sont éclat nettement supérieur.

 Je suis content pour elle ! 

Je voulais le signaler, c'est fait !

il y a 14 minutes, Engardin a dit :

Génial ! Et je suis bien content que tu parles de Bételgeuse ! Et que tu nous la montres !

Depuis quelques mois j'ai remarqué qu'elle brille bien fort de nouveau !

 L'année dernière, j'avais remarqué qu'elle brillait carrément moins que les autres de la même constellation ! Là elle a repris sont éclat nettement supérieur.

 Je suis content pour elle ! 

Je voulais le signaler, c'est fait !

À défaut de voir des étoiles sur des boutons "de culottes", tout au moins t'arrives à les voir au loin, y-a du progrès au niveau de la vision