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J'ai téléphoné à ma maman

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Naluue

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Membre, 23ans Posté(e)
Naluue Membre 1 203 messages
Mentor‚ 23ans‚
Posté(e)

J'ai appelé ma grand-mère maternelle ce matin. De ce côté personne n'est proche, ce sont des gens qui ne savent pas aimer, des gens qui font du mal, d'abord à eux, puis aux autres. Ils font mal aux enfants.

Ma soeur et moi on reste gentilles malgré tout. On est étrangères là-bas, à ces réunions de famille que l'on évite... celles où les murs froids et les étagères trop propres gèlent le corps et tordent le ventre. On y invente des jeux secrets pour s'amuser et s'éloigner de là ma soeur et moi, on joue pour contourner, à 23 et 28 ans, on a pas arrêté de jouer, là-bas.

Souvent je me suis demandée "comment aimer quelqu'un qu'on ne connaît pas ?". Heureusement j'ai grandit avec mes grands-parents parernels, qui incarnent l'amour. Je veux aimer comme ma mamie aime, elle est douce et belle, franche et charismatique, elle est gentille. Papy est silencieux, mais il sourit quand il nous voit, il sourit quand on lui demande de nous parler de ses avions, et petite, il m'avait fabriqué un dés en bois géant.

Bref.

J'ai appris au téléphone que ma maman a passé cinq jours à l'hôpital après une crise d'épilepsie, transportée par hélicoptère. C'est pas la première fois que sa santé la met dans cette situation. J'avais 8 ans, en plein milieu de la nuit quand elle a eu sa première crise. J'avais appris le 15 à l'école.

Je voulais appeler ma maman il y a déjà quelques semaines déjà, parce que j'ai vu Sting en concert grâce à un mon compagnon. J'ai pleuré si fort quand je l'ai vu, j'étais bouleversée. Ma maman aimait Sting, je lui dois mon prénom, Sting me fait penser à ma maman. C'était incroyable ce concert.

Finalement j'ai repoussé l'appel. A quoi je m'attendais de toute façon.

Alors, je me suis dit qu'avec sa crise d'épilepsie, ce serait bien que j'appelle quand même. Du coup j'ai pris de ses nouvelles, je l'ai écouté. J'ai été gentille, je lui ai dit qu'elle était courageuse. Je me suis demandée ce que ça me ferait d'être gentille avec elle. Ma soeur a eu la chance de ne pas l'aimer, moi je l'aime, et à cause de ça j'ai l'ai haï.
"- T'as quel âge toi déjà ? dit ma maman
- 23 ans ! 
- Oh ça passe vite ! Bah tu sais pas mon âge toi non plus haha
- 56 ans.
- Ah merde haha !
- Aha (je sais pas pourquoi j'ai rigolé, mais bon, c'est normal, dans mon monde les mamans ne connaissent rien à leur enfant. I'm used to it.)

Bref, je lui ai parlé de Sting et j'ai pleuré, elle est était tellement excitée "Mais nan ! T'as pas le droit haha ! La chance !", et j'ai pleuré parce que j'ai eu la sensation de connecter avec ma maman, ça a été si court... Puis elle est repartie je sais pas où. Pourtant j'ai baissé ma garde et j'ai même dit "j'aurais voulu que tu sois là" je pleurais discrètement au possible. Elle m'a dit moi aussi.. parce qu'elle trouve le concert cool.

Alors j'avais fissuré cette structure qui me garde impassible, dégoûtée face à elle et j'ai dit "je voulais te dire que je t'aime même si ça a été dur depuis... toute la vie, et que je t'aime, même si c'est compliqué". J'ai oublié que la vérité, c'est que y a que pour ma soeur et moi, que c'est compliqué, que c'était compliqué. sauf quand y a eu les juges mais bon, on dirait que les adultes oublient vite.

Alors elle a dit quelques phrases qui lui ressemblent avec un ton compatissant mais déconnecté, puis elle a commencé à me parler de ses skis qu'elle ne peux plus utiliser, de sa voiture... puis j'ai pleuré en silence en pensant "jamais ma maman ne pourra m'entendre et me dire pourquoi elle était comme ça, jamais elle ne laissera sa fille l'écouter, la comprendre, la pardonner... peut-être comprendre que c'était pas ma faute et que ma maman elle existe derrière tout ça". J'ai même rajouté... "ta vie a été difficile, tu as fait de ton mieux, je ne sais pas si j'aurais fait mieux à ta place", mais mes mots sont tombés dans un vide étrange,

Je n'arrive pas à savoir où ma mère s'est perdue dans sa vie, et ça me fera toujours mal, parce que j'avais des choses à lui dire et à partager avec elle. La musique, les vêtements, les garçons, le maquillage, mes ambitions, mes doutes, son histoire, ses anecdotes, son expérience, mes cours de math, d'arts plastiques (elle aurait bien aimé ça).

Elle ne dit rien de spécial, ne fait rien de spécial, et c'est bien ça le problème quand tout ce qui s'est passé été grave. J'ai besoin qu'elle réagisse ! Qu'elle voit ! Qu'elle parle et dise les mots qui font mal et qu'on ai mal ensemble ! Qu'elle fasse n'importe quoi !Je serais capable de la pardonner ! Je ne demande que ça ! Mais elle est comme morte. Elle l'a toujours été de toute façon.

Mais ma maman est si dure à décrire.. comme ailleurs. C'est comme si elle s'était endormie au fin fond d'elle-même depuis des siècles. Pour une enfant elle est mortellement dangereuse, mais pour une adulte elle parle dans un scaphandre, elle ne parle pas faussement, puisqu'elle ne fait pas exprès. Elle a un écran sur les yeux, je me demande toujours "mais où est-elle ? A qui parle-t-elle ?" On dirait une enfant, un ado. 

Et j'ai dit merci à mon beau père de prendre soin d'elle.

Et je pleure

Mais ça passe déjà

 

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Membre, Voyageur, 71ans Posté(e)
Plouj Membre 112 824 messages
71ans‚ Voyageur,
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Il y a 1 heure, Naluue a dit :

Et je pleure

Mais ça passe déjà

 

C'est une façon de faire passer la tristesse, l'écriture.

Partager sa douleur aide à avancer un peu plus loin.

Bon courage Naluue. 

Modifié par Plouj
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Membre, 63ans Posté(e)
orangine Membre 200 messages
Forumeur survitaminé‚ 63ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Naluue a dit :

J'ai appelé ma grand-mère maternelle ce matin. De ce côté personne n'est proche, ce sont des gens qui ne savent pas aimer, des gens qui font du mal, d'abord à eux, puis aux autres. Ils font mal aux enfants.

Ma soeur et moi on reste gentilles malgré tout. On est étrangères là-bas, à ces réunions de famille que l'on évite... celles où les murs froids et les étagères trop propres gèlent le corps et tordent le ventre. On y invente des jeux secrets pour s'amuser et s'éloigner de là ma soeur et moi, on joue pour contourner, à 23 et 28 ans, on a pas arrêté de jouer, là-bas.

Souvent je me suis demandée "comment aimer quelqu'un qu'on ne connaît pas ?". Heureusement j'ai grandit avec mes grands-parents parernels, qui incarnent l'amour. Je veux aimer comme ma mamie aime, elle est douce et belle, franche et charismatique, elle est gentille. Papy est silencieux, mais il sourit quand il nous voit, il sourit quand on lui demande de nous parler de ses avions, et petite, il m'avait fabriqué un dés en bois géant.

Bref.

J'ai appris au téléphone que ma maman a passé cinq jours à l'hôpital après une crise d'épilepsie, transportée par hélicoptère. C'est pas la première fois que sa santé la met dans cette situation. J'avais 8 ans, en plein milieu de la nuit quand elle a eu sa première crise. J'avais appris le 15 à l'école.

Je voulais appeler ma maman il y a déjà quelques semaines déjà, parce que j'ai vu Sting en concert grâce à un mon compagnon. J'ai pleuré si fort quand je l'ai vu, j'étais bouleversée. Ma maman aimait Sting, je lui dois mon prénom, Sting me fait penser à ma maman. C'était incroyable ce concert.

Finalement j'ai repoussé l'appel. A quoi je m'attendais de toute façon.

Alors, je me suis dit qu'avec sa crise d'épilepsie, ce serait bien que j'appelle quand même. Du coup j'ai pris de ses nouvelles, je l'ai écouté. J'ai été gentille, je lui ai dit qu'elle était courageuse. Je me suis demandée ce que ça me ferait d'être gentille avec elle. Ma soeur a eu la chance de ne pas l'aimer, moi je l'aime, et à cause de ça j'ai l'ai haï.
"- T'as quel âge toi déjà ? dit ma maman
- 23 ans ! 
- Oh ça passe vite ! Bah tu sais pas mon âge toi non plus haha
- 56 ans.
- Ah merde haha !
- Aha (je sais pas pourquoi j'ai rigolé, mais bon, c'est normal, dans mon monde les mamans ne connaissent rien à leur enfant. I'm used to it.)

Bref, je lui ai parlé de Sting et j'ai pleuré, elle est était tellement excitée "Mais nan ! T'as pas le droit haha ! La chance !", et j'ai pleuré parce que j'ai eu la sensation de connecter avec ma maman, ça a été si court... Puis elle est repartie je sais pas où. Pourtant j'ai baissé ma garde et j'ai même dit "j'aurais voulu que tu sois là" je pleurais discrètement au possible. Elle m'a dit moi aussi.. parce qu'elle trouve le concert cool.

Alors j'avais fissuré cette structure qui me garde impassible, dégoûtée face à elle et j'ai dit "je voulais te dire que je t'aime même si ça a été dur depuis... toute la vie, et que je t'aime, même si c'est compliqué". J'ai oublié que la vérité, c'est que y a que pour ma soeur et moi, que c'est compliqué, que c'était compliqué. sauf quand y a eu les juges mais bon, on dirait que les adultes oublient vite.

Alors elle a dit quelques phrases qui lui ressemblent avec un ton compatissant mais déconnecté, puis elle a commencé à me parler de ses skis qu'elle ne peux plus utiliser, de sa voiture... puis j'ai pleuré en silence en pensant "jamais ma maman ne pourra m'entendre et me dire pourquoi elle était comme ça, jamais elle ne laissera sa fille l'écouter, la comprendre, la pardonner... peut-être comprendre que c'était pas ma faute et que ma maman elle existe derrière tout ça". J'ai même rajouté... "ta vie a été difficile, tu as fait de ton mieux, je ne sais pas si j'aurais fait mieux à ta place", mais mes mots sont tombés dans un vide étrange,

Je n'arrive pas à savoir où ma mère s'est perdue dans sa vie, et ça me fera toujours mal, parce que j'avais des choses à lui dire et à partager avec elle. La musique, les vêtements, les garçons, le maquillage, mes ambitions, mes doutes, son histoire, ses anecdotes, son expérience, mes cours de math, d'arts plastiques (elle aurait bien aimé ça).

Elle ne dit rien de spécial, ne fait rien de spécial, et c'est bien ça le problème quand tout ce qui s'est passé été grave. J'ai besoin qu'elle réagisse ! Qu'elle voit ! Qu'elle parle et dise les mots qui font mal et qu'on ai mal ensemble ! Qu'elle fasse n'importe quoi !Je serais capable de la pardonner ! Je ne demande que ça ! Mais elle est comme morte. Elle l'a toujours été de toute façon.

Mais ma maman est si dure à décrire.. comme ailleurs. C'est comme si elle s'était endormie au fin fond d'elle-même depuis des siècles. Pour une enfant elle est mortellement dangereuse, mais pour une adulte elle parle dans un scaphandre, elle ne parle pas faussement, puisqu'elle ne fait pas exprès. Elle a un écran sur les yeux, je me demande toujours "mais où est-elle ? A qui parle-t-elle ?" On dirait une enfant, un ado. 

Et j'ai dit merci à mon beau père de prendre soin d'elle.

Et je pleure

Mais ça passe déjà

 

Ma pauvre tu n'a pas eu de chance Tu sais on ne choisis pas sa famille souvent on la supporte je te comprend parce que cette situation  ressemblait à une famille connue Tu sais on choisis ses amis. On est libre comme l'air. Tub est une personne intelligente et trés humaine dans tes aptitudes et attitudes tu va gagner sur tes peines morales. Tu gagne sur ta façon de penser et de dire les choses telles qu'elles sont Tu a une force en toi Tu est une combattante  Tu peux et tu va gagner ta liberté morale. Tu sera une" jolie maman car tu porte en toi un esprit de liberté et beaucoup d'espérances dans ta vie.

  • Merci 1
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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 2 395 messages
Maitre des forums‚ 58ans‚
Posté(e)
Il y a 1 heure, Naluue a dit :

J'ai appelé ma grand-mère maternelle ce matin. De ce côté personne n'est proche, ce sont des gens qui ne savent pas aimer, des gens qui font du mal, d'abord à eux, puis aux autres. Ils font mal aux enfants.

Ma soeur et moi on reste gentilles malgré tout. On est étrangères là-bas, à ces réunions de famille que l'on évite... celles où les murs froids et les étagères trop propres gèlent le corps et tordent le ventre. On y invente des jeux secrets pour s'amuser et s'éloigner de là ma soeur et moi, on joue pour contourner, à 23 et 28 ans, on a pas arrêté de jouer, là-bas.

Souvent je me suis demandée "comment aimer quelqu'un qu'on ne connaît pas ?". Heureusement j'ai grandit avec mes grands-parents parernels, qui incarnent l'amour. Je veux aimer comme ma mamie aime, elle est douce et belle, franche et charismatique, elle est gentille. Papy est silencieux, mais il sourit quand il nous voit, il sourit quand on lui demande de nous parler de ses avions, et petite, il m'avait fabriqué un dés en bois géant.

Bref.

J'ai appris au téléphone que ma maman a passé cinq jours à l'hôpital après une crise d'épilepsie, transportée par hélicoptère. C'est pas la première fois que sa santé la met dans cette situation. J'avais 8 ans, en plein milieu de la nuit quand elle a eu sa première crise. J'avais appris le 15 à l'école.

Je voulais appeler ma maman il y a déjà quelques semaines déjà, parce que j'ai vu Sting en concert grâce à un mon compagnon. J'ai pleuré si fort quand je l'ai vu, j'étais bouleversée. Ma maman aimait Sting, je lui dois mon prénom, Sting me fait penser à ma maman. C'était incroyable ce concert.

Finalement j'ai repoussé l'appel. A quoi je m'attendais de toute façon.

Alors, je me suis dit qu'avec sa crise d'épilepsie, ce serait bien que j'appelle quand même. Du coup j'ai pris de ses nouvelles, je l'ai écouté. J'ai été gentille, je lui ai dit qu'elle était courageuse. Je me suis demandée ce que ça me ferait d'être gentille avec elle. Ma soeur a eu la chance de ne pas l'aimer, moi je l'aime, et à cause de ça j'ai l'ai haï.
"- T'as quel âge toi déjà ? dit ma maman
- 23 ans ! 
- Oh ça passe vite ! Bah tu sais pas mon âge toi non plus haha
- 56 ans.
- Ah merde haha !
- Aha (je sais pas pourquoi j'ai rigolé, mais bon, c'est normal, dans mon monde les mamans ne connaissent rien à leur enfant. I'm used to it.)

Bref, je lui ai parlé de Sting et j'ai pleuré, elle est était tellement excitée "Mais nan ! T'as pas le droit haha ! La chance !", et j'ai pleuré parce que j'ai eu la sensation de connecter avec ma maman, ça a été si court... Puis elle est repartie je sais pas où. Pourtant j'ai baissé ma garde et j'ai même dit "j'aurais voulu que tu sois là" je pleurais discrètement au possible. Elle m'a dit moi aussi.. parce qu'elle trouve le concert cool.

Alors j'avais fissuré cette structure qui me garde impassible, dégoûtée face à elle et j'ai dit "je voulais te dire que je t'aime même si ça a été dur depuis... toute la vie, et que je t'aime, même si c'est compliqué". J'ai oublié que la vérité, c'est que y a que pour ma soeur et moi, que c'est compliqué, que c'était compliqué. sauf quand y a eu les juges mais bon, on dirait que les adultes oublient vite.

Alors elle a dit quelques phrases qui lui ressemblent avec un ton compatissant mais déconnecté, puis elle a commencé à me parler de ses skis qu'elle ne peux plus utiliser, de sa voiture... puis j'ai pleuré en silence en pensant "jamais ma maman ne pourra m'entendre et me dire pourquoi elle était comme ça, jamais elle ne laissera sa fille l'écouter, la comprendre, la pardonner... peut-être comprendre que c'était pas ma faute et que ma maman elle existe derrière tout ça". J'ai même rajouté... "ta vie a été difficile, tu as fait de ton mieux, je ne sais pas si j'aurais fait mieux à ta place", mais mes mots sont tombés dans un vide étrange,

Je n'arrive pas à savoir où ma mère s'est perdue dans sa vie, et ça me fera toujours mal, parce que j'avais des choses à lui dire et à partager avec elle. La musique, les vêtements, les garçons, le maquillage, mes ambitions, mes doutes, son histoire, ses anecdotes, son expérience, mes cours de math, d'arts plastiques (elle aurait bien aimé ça).

Elle ne dit rien de spécial, ne fait rien de spécial, et c'est bien ça le problème quand tout ce qui s'est passé été grave. J'ai besoin qu'elle réagisse ! Qu'elle voit ! Qu'elle parle et dise les mots qui font mal et qu'on ai mal ensemble ! Qu'elle fasse n'importe quoi !Je serais capable de la pardonner ! Je ne demande que ça ! Mais elle est comme morte. Elle l'a toujours été de toute façon.

Mais ma maman est si dure à décrire.. comme ailleurs. C'est comme si elle s'était endormie au fin fond d'elle-même depuis des siècles. Pour une enfant elle est mortellement dangereuse, mais pour une adulte elle parle dans un scaphandre, elle ne parle pas faussement, puisqu'elle ne fait pas exprès. Elle a un écran sur les yeux, je me demande toujours "mais où est-elle ? A qui parle-t-elle ?" On dirait une enfant, un ado. 

Et j'ai dit merci à mon beau père de prendre soin d'elle.

Et je pleure

Mais ça passe déjà

 

Bienvenue au club des mamans absentes pour leurs enfants...

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Membre, 23ans Posté(e)
Naluue Membre 1 203 messages
Mentor‚ 23ans‚
Posté(e)
Il y a 4 heures, orangine a dit :

maman car tu porte en toi un esprit de liberté et beaucoup d'espérances dans ta vie.

Merci, de tout mon cœur pour ces mots

Il y a 4 heures, G6K972 a dit :

Bienvenue au club des mamans absentes pour leurs enfants...

On devient brave quand on a pas de parents. C'est un club aux personnes valeureuses.

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Membre, 58ans Posté(e)
G6K972 Membre 2 395 messages
Maitre des forums‚ 58ans‚
Posté(e)
Il y a 2 heures, Naluue a dit :

Merci, de tout mon cœur pour ces mots

On devient brave quand on a pas de parents. C'est un club aux personnes valeureuses.

Peut-être un peu trop brave d’ailleurs, mais c'est comme ça...

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