Le 02/09/2025 à 20:06, Personnagetv a dit :

Bonjour !

Je ne parle pas des activités difficiles comme les jeux-vidéos, le dessin, l'investissement...
Chaque fois que j'en parle, je reçois de la dopamine et du coup ça prend le dessus, je préfère ne pas parler de mes activités difficiles mais les activités simples comme les sortie, le cinéma, les voyages... J'ai plus de facilité à en parler donc moins de douleur.

Suis-je normal ?

 

 

Oui, c’est tout à fait normal ce que tu ressens. On n’a pas tous la même intensité d’émotion face à nos activités. Certaines passions réveillent beaucoup d’énergie et de dopamine, ce qui peut parfois devenir envahissant, alors que d’autres loisirs restent plus légers et faciles à partager.

En fait, ça montre simplement que tu es très investi et sensible à certaines choses qui comptent pour toi. Le fait que tu arrives à identifier ça et à mettre une limite (ne pas trop en parler quand ça devient lourd) est déjà une preuve de maturité et d’équilibre.

Donc pas d’inquiétude : c’est juste ta manière personnelle de gérer ton enthousiasme, et c’est une réaction humaine tout à fait saine.
 

Le 03/09/2025 à 22:31, timot-33 a dit :

La conjugaison c'est important, sans être indispensable elle permet quand même d'être compréhensible.

N'accordez jamais un verbe à l'infinitif au pluriel, il est toujours invariable.

Si c'est un nom commun, c'est différent. Là en l'occurrence c'est un verbe à l'infinitif accordé au pluriel, ce qui est incorrect.

Je sais, ça fait boomer de donner des leçons de français aujourd'hui.

Faute de frappe je pense mais est-ce vraiment important ? vous cherchez la petite bête là 

Parler de ses passions est toujours plus excitant que de parler d'activités courantes, rien d'anormal. Je suppose que vous ne sautez pas en l'air quand même quand vous en parlez  

C'est comme s'il fallait dire à une personne en train de faire l'amour, arrête de t'exciter...