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Peyo

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  1. ça commence à sentir le roussi pour trump : LE DECOMPTE A 23h (Majorité : 270) Joe Biden : 264 grands électeurs Donald Trump : 214 grands électeurs Au revoir Trump, prépare tes déclarations d'impôts...
  2. Peyo

    Macron : putain, encore 600 jours !

    Comme on disait en 68 ; ce n'est qu'un début .....................
  3. Où ça, des preuves, des écrits, des liens, assez de brèves de comptoir. ne me dis pas que tu es de gauche, j'te croirais pas ....
  4. ça n'égalisera jamais la peste brune, la shoa, les millions de morts dans les camps de la mort des nazis, la solution finale, l'idéologie nazie qui persiste encore dans l'extrême droite comme au rn ou ses groupuscules satellites.
  5. ça n'égalisera jamais la peste brune, la shoa, les millions de morts dans les camps, la solution finale, l'idéologie nazie qui persiste encore dans l'extrême droite comme au rn ou ses groupuscules satellites. mais c'est vrai l'anticommunisme fait parti des programme de l'extrême droite, comme il l'était dans le programme du nsdap
  6. Le rôle des multinationales dans les violences en Afrique http://www.cadtm.org/Le-role-des-multinationales-dans-les-violences-en-Afrique
  7. Bénin : le capitalisme de copinage étouffe le pays https://www.contrepoints.org/2017/08/11/296584-benin-capitalisme-de-copinage-etouffe-pays Oui je reconnais là, le leitmotiv de l'extrême droite qui en fait son fonds de commerce, mais jusque là, aucun chiffrage sérieux, si ce n'est ceux du rn, mais c'est du pipo....
  8. Afrique : le fléau de la corruption entre dirigeants et multinationales https://www.contrepoints.org/2018/06/19/318485-afrique-le-fleau-de-la-corruption-entre-dirigeants-et-multinationales
  9. « L’Afrique au sud du Sahara est frappée depuis un demi-siècle par la malédiction de la guerre, plus qu’aucun autre continent (...) Les deux dernières décennies du XXe siècle ont vu la guerre s’installer au quotidien, avec son économie de pillage, ses atrocités... »1 Cette phrase tirée de l’ouvrage Géopolitique de l’Afrique et du Moyen-Orient, illustre parfaitement notre thème. « Pillage des ressources et conflits en Afrique : Quelle réparation ? » Cette question à première vue très simple, soulève néanmoins quelques difficultés. La responsabilité des grandes puissances dans le pillage des ressources en Afrique ne fait aucun doute. Le problème, c’est la reconnaissance de ces dernières de leur responsabilité qui ouvrirait la voie à la réparation du tort qu’elles ont causées à l’Afrique. Il semble cependant que ces dernières nient toujours leur implication dans ces conflits malgré les différents rapports qui prouvent le contraire. Il appartient donc aux mouvements sociaux de mener des actions pour dénoncer ces agissement et interpeller l’opinion publique sur la question. https://blogs.attac.org/groupe-afrique/article/pillage-des-ressources-et-conflits L’Afrique est riche en ressources qui sont des éléments vitaux pour le développement de l’économie des pays sous-développés. Cependant, elle subit le pillage de certaines multinationales étrangères qui, en toute impunité, cherchent par tous les moyens à s’accaparer les terres, les gisements de minerais, les sources d’énergie et de matières premières, etc. Comme les États africains n’ont pas mis en place de politiques efficaces pour protéger le principe de concurrence saine, les multinationales usent souvent de leur pouvoir et leurs connexions afin d’évincer leurs concurrents locaux. Ce copinage conduit souvent à des situations de monopole, ou du moins des positions dominantes sur les différents marchés africains. Les marchés non réglementés constituent le véhicule privilégié d’extorsions tant financières que sociales. Pour exemple, l’absence de lois antitrust conjuguée à une protection anémique des consommateurs des pays africains, aboutit à ce que seules deux ou trois grandes sociétés dominent les marchés de denrées comme le sel, le sucre, le lait, la farine, l’huile et le thé. De même, ces multinationales contrôlent des ressources naturelles précieuses, notamment dans les pays où il existe de graves conflits. Selon la commission d’enquête mandatée par les Nations Unies, les multinationales jouent un rôle dans les conflits armés en Afrique en général et en RDC en particulier : elles soutiennent des groupes armés et profitent de la situation de guerre pour accéder aux matières premières à vil prix par les contrats léonins par lesquels tous les avantages leur sont attribués, et par l’exploitation de sol et du sous-sol près des belligérants. Dans un rapport publié par un panel d’experts de l’ONU le lundi 2 octobre 2002, il ressort que deux hommes ont été impliqués dans le pillage de la RDC : l’homme d’affaires belge Georges Forrest et l’entrepreneur John Bredenkamp. Ainsi, la course aux marchés et aux profits illicites pousse plusieurs multinationales à faire fi du respect des droits de propriété et de l’éthique du marché, qu’elles observent pourtant en dehors de l’Afrique ; d’où la nécessité de comprendre pourquoi. RESPONSABILITÉ DES DIRIGEANTS AFRICAINS Quand on parle du pillage de l’Afrique, on pense immédiatement aux multinationales occidentales, mais il ne faut pas oublier qu’il est pratiqué avec la bénédiction et la complicité des dirigeants africains. Ce soutien explicite ou implicite prend plusieurs formes : violation des droits de propriété des communautés indigènes, non-respect du principe d’appels d’offres transparents et équitables, instrumentalisation de la justice pour évincer des concurrents, etc. Ces dirigeants qui sont supposés défendre le peuple et protéger ses intérêts n’hésitent pas à détourner les fonds publics. C’est le cas du président angolais Jose Eduardo Santos, qui a été au pouvoir de 1979 à 2017. Il a été considéré en 2018 par le magazine Forbes comme le chef d’État le plus riche du monde noir. Ajoutons qu’il est associé à la grande corruption et au détournement des fonds du pétrole provenant en grande partie de l’enclave du Cabinda. Durant toutes ses années au pouvoir, sa famille a accumulé un important patrimoine surtout immobilier dont des maisons dans les principales capitales européennes et des comptes bancaires en Suisse et dans des paradis fiscaux offshores. Par ailleurs, les dirigeants africains sont de mèche avec les multinationales et signent des contrats aux conditions douteuses en échange de soutiens politique, financier et militaire pour rester au pouvoir le plus longtemps possible. L’affaire Bolloré a permis de mettre en lumière un mécanisme dans lequel les chefs d’États guinéen et togolais auraient bénéficié de services sous facturés d’une filiale du groupe Bolloré dans leurs différentes campagnes présidentielles ; cela en échange de marchés très juteux dans les ports. RESPONSABILITÉ DES MÉDIAS Quant aux médias, on observe un certain silence ou une certaine complicité via le verrouillage médiatique alors qu’ils ont le devoir de nous informer de la vérité et d’éveiller nos consciences. Les médias dépendent de l’appui financier des annonceurs constitués des hommes d’affaires, politique et des dirigeants africains qui influencent la presse avec le pouvoir financier du placement des annonces et qui bradent la suspension d’articles en guise de représailles contre la publicité négative. C’est le cas de la presse ougandaise qui, en 2012, a massivement couvert le cas de corruption au cabinet du Premier ministre concernant un détournement de financement des bailleurs. Mais le cabinet du Premier ministre étant l’un des plus grands annonceurs en Ouganda et avec le gros budget des annonces publiées par ce dernier, peu de publications ont été faites sur le scandale. Comme l’a dit le directeur de publication du Daily Monitor, Don Wanyama, des investigations plus poussées auraient pu être faites mais la peur du manque à gagner des revenus publicitaires a imposé le silence à tout le monde. Par ailleurs, les chaines d’information, les quotidiens, l’essentiel des hebdomadaires de référence appartiennent à 10 dirigeants de firmes internationales (Bouygues, Xavier Niel, Dassault, Bernard Arnault, Bolloré, etc.). Ils contrôlent les médias et les exploitent pour soigner leurs images et continuer à travailler sereinement en Afrique. C’est le cas du groupe Bolloré qui s’était entouré des services de l’ex-rédacteur en chef du journal camerounais Le Messager. Avec le contrôle direct de médias (Direct 8, Direct soir…), des structures qui les alimentent en informations (Institut de sondage CSA, Associated Press), du 6ème groupe mondial de publicité et de communication (Havas) et des contrats de publicité, le groupe Bolloré possède un puissant moyen d’influence sur les clients, les partenaires privés et les décisions étatiques. Somme toute, l’on s’aperçoit que le pillage des ressources de l’Afrique est une responsabilité partagée entre des multinationales occidentales, des dirigeants et médias africains. Dès lors, afin de juguler ce phénomène il faudrait s’attaquer à tous les maillons de la chaîne pour espérer limiter les opportunités du pillage au détriment de l’intérêt des populations africaine. https://www.contrepoints.org/2019/06/14/346693-pillage-de-lafrique-les-multinationales-seules-responsables
  10. Faut pas oublier que sans la résistance Française, et sans l'armée rouge qui a arrêté les nazis à Stalingrad, au prix de 26 millions de morts civils et militaire, nous serions peut-être encore sous domination du 3eme reich .... ""la diarrhée rouge"" pouvez-vous m'expliquer ce terme ? Merci
  11. Peyo

    Macron : putain, encore 600 jours !

    ton discours ressemble étrangement .................... ressemble ............. dans le négatif , la critique excessive , c'est fatiguant .... si je ne pense pas pareil, je le dis, pas ma faute si ce pouvoir est négatif pour son peuple, ................ on n'est pas obligé d'agresser l'autre, .................. je ne t'agresse pas j'argumente ........ Et puis je vais te dire, si l'on veut faire de la politique sur un forum, faut s'acheter une susceptibilité en tergal pour ne pas être froissé ..... ce n'est pas de l'agressivité, mais un trait d'humour.
  12. De la fin de la Seconde Guerre mondiale jusqu'en 1967, la France avait sur son territoire métropolitain plusieurs bases militaires utilisées par ses alliés occidentaux de l'OTAN, essentiellement par les forces armées des États-Unis qui disposaient d'un total de 187 complexes en 19671. Elles furent fermées ou rétrocédées à l'armée française après la décision du général de Gaulle de retirer la France du commandement militaire intégré le 7 mars 19662. Le retrait total des forces de l'OTAN fut effectif au cours de l'année 1967.
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