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metal guru

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Tout ce qui a été posté par metal guru

  1. metal guru

    Une affiche, un film (jeu)

    J'ai eu un doute une fois que je l'ai vu écrit, je trouvais qu'il y avait trop de " H ", alors je suis allé vérifier et ... paf le chien ! C'est gentil mais je ne connais pas la règle, il faut mettre une image qui représente un bout d'affiche, c'est ça ? Je suis simplement juste avec moi même !
  2. metal guru

    Une affiche, un film (jeu)

    Philadelphia ? J'avais écrit avant mais je suis allé vérifier l’orthographe, j'ai perdu 30 secondes et tu m'as volé la victoire ! Je m'en souviendrai la rouquine !
  3. Et si dieu n'existe pas, tous ces gens qui auront perdu une grande partie de leur à prier le vent et à se priver de plein de choses pour finir bouffé par des asticots, c'est quand même un peu du gâchis non ? Quoique que comme ils ne sauront jamais que leur dieu n'existait pas ils s'en branlent un peu !
  4. Oui, beaucoup n'y croyaient pas et ont changé d'avis en lisant les différentes publications et les positions officielles des associations Emmaüs, de la Fondation et de l'église qui le connaissaient mieux que le grand public et qui condamnent unanimement le comportement du mec que tu défends ! Il y a un topic sur Tarik Ramadan qui est certainement aussi innocent que l'Abbé Pierre selon toi, puisque pas condamné, tu devrais aller t'offusquer de ceux qui le jugent coupable !
  5. metal guru

    Une affiche, un film (jeu)

    Non, j'ai retrouvé, c'est : Quand vient la nuit , j'ai bien aimé ce film, je ne connaissais pas Enfant 44 !
  6. metal guru

    Une affiche, un film (jeu)

    Je l'ai vu mais je ne m'en souviens plus très bien, elle est handicapée ou avec une grosse cicatrice non ? Et lui c'est un badboy qui la protège il me semble !
  7. Il n'y a rien de glorieux à défendre un agresseur sexuel, même s'il n'a pas été condamné au pénal mais seulement par l'église et les institutions dont il était le fondateur ! Tu n'as rien à te retaper puisque de toute façon tu veux rester dans le déni !
  8. Se branler c'est pas vraiment une agression sexuelle !
  9. Et aussi maintenant comme un agresseur sexuel protégé par l'église, il devient multicarte à titre posthume ! L'agression sexuelle est une cause intemporelle, la prescription c'est pour le pénal, pas pour la mémoire des victimes !
  10. C'est pas plus con que de se préoccuper de garder une bonne réputation à un agresseur libidineux mort depuis 17 ans !
  11. Le topic prend comme point de départ un communiqué de la Fondation Abbé Pierre et Emmaüs, soutenues par l'église, qui dénonce les agressions commises par l'abbé ! A la suite de cette publication des institutions fondées par l'homme qu'elles accusent, d'autres témoignages sont venus s'ajouter à ça, et on apprend que ces trois entités étaient en fait au courant depuis les années 50, pourquoi n'ont-elles pas fait ça de son vivant ? Il faudrait peut être le leur demander ! J'ai vu que la direction de la fondation avait changé depuis 2003 et que c'est une femme, qui est dans le groupe depuis longtemps qui est devenue la dirigeante, c'est peut-être le déclic qui manquait pour que ça devienne public, mais peu importe, maintenant tout le monde sait que cet homme n'était pas celui qu'on nous a vendu, même si ça en défrise certains !
  12. Les femmes agressées étaient aussi incapables de se défendre, et quand elles parlaient on ne les écoutait pas, mais visiblement c'est moins important pour toi que de protéger la mémoire d'un sérial agresseur, là il va tomber de son piédestal, il faudra que tous les believers s'y fassent !
  13. On peut aussi éliminer tous les sportifs professionnels comme ça on verrait peut être mon concierge courir le 100 mètres en 23 secondes et choper la médaille d'or !
  14. Peut-être parce que dans le football c'est la norme et au judo l'exception !
  15. Affaire abbé Pierre : « On a laissé se fabriquer une idole, plutôt que rendre justice » Pour Patrick Goujon, les révélations concernant les agressions sexuelles qu’aurait commises l’abbé Pierre sur de nombreuses femmes illustrent le danger pour l’Église de laisser des idoles émerger en son sein. Elles interrogent aussi notre vision de la sainteté comme perfection. « Quel malheur pour vous lorsque tous les hommes disent du bien de vous ! » (Luc 6, 26) Le Dieu de l’abbé Pierre nous avait semblé incarner la justice du Royaume. Non seulement, l’abbé s’occupait des pauvres, mais il avait renversé l’ordre de la charité. Il ne donnait pas les richesses en trop que l’Église possède. Il ne faisait pas la charité. Il partageait la vie des pauvres et les élevait par le travail à la dignité. L’œuvre d’Emmaüs continuera de donner un aperçu de la justice que le Messie est venu proclamer. On le souhaite ardemment. Mais cette justice n’a cessé d’être bafouée par un homme et par l’institution qui masqua la réalité. Après le rapport rendu la semaine passée, une tribune rédigée par des spécialistes des violences dans l’Église, a donné quelques éléments nouveaux, bien documentés dans Le Monde. On avait envoyé en traitement psychiatrique Henri Grouès, de son vrai nom, à la fin des années 1950 pour ses compulsions, cause d’agressions sexuelles à répétition. Des membres de l’épiscopat étaient au courant aussi bien que le mouvement Emmaüs. Fabriquer une idole On a donc préféré laisser se fabriquer une idole, plutôt que faire la vérité et rendre justice. Certes, l’époque n’était guère à la protection des femmes, mais ce dont Henri Grouès se rendait coupable, au vu et au su de ses responsables, était déjà bel et bien condamné et par les Écritures (« tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain »), et par le droit canonique, et par le Code pénal. On préféra se laisser répandre l’image d’un homme qui était bon pour le peuple (n’avait-il pas été résistant ?) et surtout pour les plus pauvres d’entre eux. De loin, il avait tout l’air d’un saint ! Dans les années 50, l’Église montrait à la France qu’elle œuvrait à part entière avec la Nation jusque dans ses institutions républicaines. Dans les années 80, le bon abbé adoucissait les traits d’un nouveau rigorisme moral catholique qui s’abattait sur la France et l’Église en général. Argument cynique, dira-t-on ? On en lit de semblables dans les Évangiles de la part des autorités religieuses. « Vous n’y comprenez rien ; vous ne voyez pas quel est votre intérêt : il vaut mieux qu’un seul homme meure, et que l’ensemble de la nation ne périsse pas »… Ici, la logique s’est retournée. Vous ne voyez pas l’intérêt ? Il vaut mieux sacrifier quelques victimes et maintenir notre idole pour que l’image de l’Église nous soit favorable grâce à ce petit frère universel. Machisme et cléricalisme n’ont pas de peine à se donner la main. Qu’est-ce que voler un baiser et tâter des seins au regard de la Vérité à sauver en ces temps de péril ? Les confidences de l’Abbé Quelle image de la sainteté nous faisons-nous donc pour nous être laissés prendre ? Il y avait bien eu les confidences de l’abbé sur sa difficile chasteté, à la fin de sa vie. Il aurait vécu une relation amoureuse, consentie – comme l’on dit. Cela le rendait d’autant plus aimable ; « le pauvre homme », si seulement on donnait aux prêtres la permission de se marier. Vous voyez, l’Église est bonne mère, elle n’a pas chassé son fils à la chair un peu faible… https://international.la-croix.com/fr/opinions/affaire-abbe-pierre-on-a-laisse-se-fabriquer-une-idole-plutot-que-rendre-justice
  16. Des premiers signalements dès les années 1950, étouffés par l’Église politique du silence•Des documents consultés par « Libération » montrent que certains membres de l’Église catholique et d’Emmaüs étaient au courant dès les années 1950 des faits de violences sexuelles commis par Henri Grouès, vrai nom de l’abbé Pierre es révélations sur l’abbé Pierre, longtemps personnalité préférée des Français, se succèdent depuis le 17 juillet et la publication d’un rapport indépendant dans lequel sept femmes ont confié avoir été victimes d’agressions sexuelles depuis les années 1970. Depuis, une dizaine de nouveaux signalements ont été faits. Mais d’après des documents consultés par Libération, les violences sexuelles commises par Henri Grouès – vrai nom du prêtre – auraient commencé dès 1955, soit quelques mois après son appel à la solidarité lors de l’hiver de 1954. Des échanges épistolaires révélateurs des comportements de l’abbé Pierre D’après des échanges épistolaires entre Marshall Suther, un étudiant américain qui a accompagné Henri Grouès aux États-Unis en 1955, et des responsables d’Emmaüs à l’époque, les premières plaintes de femmes face au comportement du prêtre ont été signalées au mois de mai de cette année-là. Les carnets, sorte de « journaux intimes » du philosophe catholique Jacques Maritain, professeur à Princeton, qui a monté l’opération outre-Atlantique de l’abbé, révèlent ainsi qu’il a été alerté en mai 1955 que deux femmes de New York se plaignaient du comportement d’Henri Grouès à leur égard. Le cardinal Spelmann et le cardinal Samuel Stritch auraient également été avertis. Éviter le scandale Toujours selon Libération, la solution trouvée pour éviter le scandale est d’écarter l’abbé Pierre car ses comportements ne s’arrêtent pas à New York. D’autres incidents ont lieu à Chicago et à Washington. Les notes du philosophe catholique indiquent qu’il propose un retour direct de Chicago à Paris lors d’un appel téléphonique avec son étudiant, Marshall. L’affaire semble assez grave outre-Atlantique pour qu’un jésuite américain conseille au professeur de Princeton de rencontrer le cardinal Spellman pour prévenir l’archevêque de Paris que l’abbé Pierre ne reviendra plus aux Etats-Unis. À l’été 1955, à son retour en France, Jacques Maritain prévient alors les autorités catholiques, avec l’aide de René Voillaume, l’un de ses conseillers spirituels. Début septembre, Henri Grouès doit s’expliquer avec l’archevêché de Paris. Deux ans plus tard, en 1957, un « socius », à la fois chaperon et conseiller spirituel, est adjoint par les autorités catholiques à l’abbé Pierre alors que ce dernier enchaîne des soins en cliniques et des retraites spirituelles puis, l’internement en Suisse, en 1958. Henri Grouès sera ensuite écarté de la direction du mouvement Emmaüs. D’autres scandales à l’étranger De cette affaire aux États-Unis, rien ne filtre. « La décision que la politique du silence était la meilleure pour le moment était précisément basée sur ce désir de protéger [des] buts fondamentaux », a écrit l’étudiant Marshall, le 23 mars 1956, à l’un des responsables d’Emmaüs, retranscrit par Libération. Suite et fin :https://www.20minutes.fr/societe/4104058-20240801-abbe-pierre-accuse-agressions-sexuelles-premiers-signalements-annees-1950-etouffes-eglise https://www.20minutes.fr/societe/4104058-20240801-abbe-pierre-accuse-agressions-sexuelles-premiers-signalements-annees-1950-etouffes-eglise
  17. Je pense que, dans le contexte actuel de libération de la parole, les dirigeants en place de la fondation et d'Emmaüs ont eu la trouille de se retrouver devancés par des journalistes et qu'ils ont préféré prendre les devants en publiant le communiqué ! Ça leur permet de se préserver partiellement des retombées négatives qui vont certainement se produire, sachant que ces structures sont financées en quasi totalité par les dons du public ! Mais je trouve ça bien de crever l’abcès, ça permettra peut être de relancer la machine sans vivre dans la peur de se retrouver au cœur d'un scandale sans pouvoir en maitriser la communication ! Et en ce qui concerne l'église, elle a pris le train en marche après des décennies de silence !
  18. Faudra peut-être pas espérer une petite fellation j'imagine ?
  19. https://www.vidal.fr/maladies/psychisme/depression-adulte/deprime-depression.html
  20. Les russes étaient déjà exclus avant l'Ukraine pour Dopage organisé par l'état ! ( Si vous avez Netflix, regardez " Icare " un super documentaire qui vous fait voir comment fonctionne le sport en Russie ! )
  21. Guerre Ukraine - Russie : au-delà, 7 autres conflits sanglants dans le monde aujourd'hui Cependant, si l'on compare avec d'autres conflits qui existent dans le monde aujourd'hui, il y a plus de morts et de souffrances humaines causées dans d'autres guerres qui reçoivent moins d'attention et d'aide internationale (voir ci-dessous dans ce rapport sept conflits graves qui reçoivent relativement peu d'attention internationale). C'est le cas du conflit au Yémen, qui dure depuis au moins 11 ans. Les chiffres sont choquants : plus de 233 000 morts et 2,3 millions d'enfants souffrant de malnutrition aiguë. La population manque d'eau potable et de soins médicaux. L'Organisation des Nations unies (ONU) classe le Yémen comme la pire situation humanitaire au monde. Également loin des projecteurs de la diplomatie internationale, une guerre a débuté en novembre 2020 en Éthiopie entre le gouvernement central et un parti politique de la région du Tigré. Le conflit n'a aucun signe de fin prochaine - et on estime que plus de 9 millions d'Éthiopiens ont besoin d'une forme d'aide humanitaire. Des rapports font état de crimes de guerre, tels que des meurtres de civils et des viols collectifs. 'Certains sont plus égaux que d'autres' Le déclenchement de la guerre en Ukraine a conduit les personnes impliquées dans d'autres conflits à se demander pourquoi il existe une telle différence dans le traitement international des événements. "Sur notre continent, il a été surprenant de constater que tous les conflits armés ne sont pas traités avec le même manque de détermination que de nombreux combats en Afrique", écrit le journaliste algéro-canadien Maher Mezahi, en comparant les répercussions du conflit ukrainien avec d'autres en Éthiopie et au Cameroun. "Oui, [dans les conflits africains] il y a des déclarations d'inquiétude et des envoyés internationaux en mission, mais pas de couverture 24 heures sur 24, pas de déclarations télévisées en direct des dirigeants mondiaux et pas d'offres d'aide enthousiastes." "Nous sommes tous égaux, mais certains sont plus égaux que d'autres". Pour le président de l'ONG International Crisis Group, Comfort Ero, il est inquiétant de constater qu'il y a tant de souffrance humaine dans le monde aujourd'hui et que ce problème devrait être en tête de l'agenda international. "Il est vrai que l'une des préoccupations dans le monde, et en particulier en Afrique, est la prise de conscience que la rapidité de l'Europe et de ses alliés, notamment les États-Unis, [à réagir à la guerre en Ukraine] suggère qu'un conflit en Europe est pris plus au sérieux", déclare Ero à BBC News Brazil. L'organisation surveille les conflits dans le monde et a dressé plus tôt cette année une liste de dix conflits internationaux qui nécessitent l'attention de la communauté internationale. Parmi ces conflits figurent le Yémen, l'Éthiopie, Haïti et le Myanmar. Mais même Crisis Group a placé l'Ukraine en tête de sa liste - comprenant qu'il y a des risques spécifiques en Ukraine qui font de ce conflit une menace pour la sécurité mondiale, même si le nombre de morts et de personnes en situation de détresse humanitaire est plus faible qu'ailleurs dans le monde. "Pour Crisis Group, la guerre en Ukraine n'est pas plus importante parce qu'elle se déroule en Europe. Chaque mort, chaque victime, chaque personne déplacée pendant la guerre est une tragédie, peu importe où elle se déroule. Mais cela étant dit, je crois que la guerre d'Ukraine a le potentiel d'être le danger immédiat le plus sérieux pour la paix et la sécurité internationales, et est probablement la violation la plus grave de la souveraineté d'un autre pays depuis au moins l'Irak", déclare le président de l'ONG. Voici sept conflits qui ne font pas toujours la une de l'actualité, mais qui ont causé des souffrances humaines à grande échelle. https://www.bbc.com/afrique/monde-60751514
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