metal guru

Et le commerçant qui affiche un mec qui n'est pas un voleur et qui n'est pas au courant de ça ? On dit que c'est une victime collatérale ?

J'avais mal lu la phrase, s'il donne le prix demandé par les filles, il n'aura pas à se soucier de la dette de leur mère, ce sont elles qui devront la régler en totalité, sauf si elle était commune avec le concubin !

Tu voudrais dire que Morfou est une deux chevaux ?

...

Et @Morfou qui me fait du rentre dedans, on en parle ?

La version des deux belles-filles Et le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle laisse perplexe Jean-Louis Jausset, l’avocat des deux belles-filles. « Comment peut-on faire croire à ce vieux monsieur qu’il va racheter une maison qui appartient à mes clientes ? », s’étonne-t-il. A l’histoire émouvante de Paul, il superpose une autre détresse : certes ses clientes ont hérité de la maison de Simone mais aussi d’une dette sociale de 60.000 euros auprès du fonds de solidarité de la MSA. « Pour la rembourser, elles doivent vendre la maison », pose l’avocat, surtout choqué que l’élan de solidarité soulevé par la situation de Paul se transforme en haine contre ses belles-filles. La cagnotte mentionne en effet la possibilité qu’une des filles de Simone a pu subtiliser, durant les obsèques, le testament holographe où cette dernière émettait le souhait que Paul puisse jouir de sa maison après sa mort. « On les traite quand même de voleuses sur YouTube ! s’énerve Jean-Louis Jausset et nous allons entamer une procédure en diffamation ». « On peut défendre quelqu’un sans dire des choses fausses, ajoute l’avocat. Nous avons attendu pratiquement un an avant de lancer la procédure d’expulsion, et les filles ont tout tenté avec les services sociaux pour lui trouver un endroit proche où déménager, pour l’aider à obtenir des aides. Il a tout refusé ». https://www.20minutes.fr/societe/4082533-20240321-tarn-histoire-si-simple-derriere-detresse-paul-octogenaire-menace-expulsion-belles-filles

Tu vas pas me pêcho comme ça ! Je ne le connais pas, mais je sais que d'après l'article c'est un squatteur, et je ne t'agresse pas, c'est juste que tu as du mal à comprendre la différence entre ce que tu sais et ce que tu imagines !

Je sais que vis à vis de la loi il est occupant d'une maison sans droit ni titre, donc c'est assez logique que les propriétaires veuillent le faire dégager pour vendre leur maison et qu'elles lui réclament des indemnités d'occupation en attendant qu'il parte !

Moi je dis que je ne sais pas et que plusieurs hypothèses sont possibles, toi tu as écrit leur vie sans les connaitre ! Je ne sais pas, leur père est mort ? Elles n'ont pas d'autre famille ? Elles ne sont pas mariées ? Tu les connais bien ?

La loi actuelle stipule que seul un tribunal est habilité à condamner un individu pour vol ou tentative de vol, mais visiblement ça c'est trop difficile à comprendre pour toi ! Ce n'est pas le commerçant qui décide que la preuve est recevable et qu'un individu est coupable ou pas !

Et toi méfie toi des interprétations hasardeuses, tu ne connais pas l'histoire de cette famille et tu brodes pour faire du pathos ! Ils n'ont peut être pas omis comme tu dis, mais peut être que la mère ne voulait pas qu'il reste dans la maison, tu n'en sais rien ! Ensuite je n'ai pas lu qu'il était leur " père " ni qu'elles se sont tues, tu as trouvé ça à quel endroit ? Tu n'en sais rien ! Tu n'en sais rien ! Le jugement ne va pas le rendre propriétaire des lieux ni l'autoriser à habiter sans aucune légitimité une maison qui va être vendue !

Mais oui, c'est tellement simple !

Donc si j'ai un magasin et que je publie, pour me venger, une photo de l'amant de ma femme qui sort de ma boutique en expliquant que c'est un voleur, c'est un flagrant délit selon la grande juriste Jacky puisque personne ne se pose la question !

S'il avait la possibilité d'anticiper le fait d'être un squatteur et qu'il ne l'a pas fait pendant 40 ans, pour moi c'est qu'il est un peu con, là les filles de la propriétaire ont un squatteur dans leur baraque, elles font ce qu'elles veulent puisque que la maison est à elles !

Il était hébergé et il n'a aucun droit sur la propriété, et les filles de la propriétaire sont tout à fait en droit de la vendre. Là on nous présente la chose avec un parti pris en étant du côté de l'occupant et en faisant de lui une victime des méchantes héritières. Le mec est resté 40 ans là, s'il n'a aucun droit sur la maison c'est sans doute que sa concubine ne voulait pas ou qu'il a été trop con ou laxiste pour faire en sorte que ça change ! C'est un squatteur ! Là c'est pas très compliqué, il a été hébergé pendant 40 ans par l'ancienne propriétaire et les nouvelles ne veulent plus de ça et elles vendent la maison ! Ceux qui trouvent ça injuste ou dégueulasse n'ont qu'à se cotiser pour lui payer une baraque ou proposer de l'héberger !

Parce qu'une photo en elle même peut avoir plusieurs explications et interprétations et que le commerçant n'est pas un magistrat qui peut condamner une personne à partir d'une simple image ! Personnellement ça ne me dérangerait pas que l'on puisse l'autoriser mais légalement je pense que ce n'est pas possible !

Crus, grivois ou violents : saviez-vous que nombre, si ce n’est la majorité, des airs de comptines que vous fredonnez à vos petits-enfants pour les bercer ou les divertir, auraient des origines pour le moins tendancieuses ? Si à la première écoute, elles paraissent tout à fait anodines, leurs paroles d’ailleurs parfois saugrenues révèlent le plus souvent un sens caché. C’est que ces airs ne datent pas d’hier, et qu’ils permettaient ainsi aux initiés qui les chantaient l’air goguenard d’échapper à la censure ; ces doubles-sens, les générations aidant, passent largement au-dessus de la tête de la majorité d’entre nous. Pourtant, entre libertinage, anticléricalisme, critique de la royauté ou violence n’ayant rien à envier à notre cinéma gore contemporain, ces chansons ont le plus souvent des origines toutes sauf candides, comme cette dizaine d’exemples en atteste. Alors, la prochaine fois que vous les fredonnerez en pensant divertir innocemment vos petits-enfants, gardez tout de même en tête ces métaphores parfois osées… Au clair de la lune Commençons par l’une des plus connues, avec son air entêtant reconnaissable dans toute la francophonie. Entre dévergondage et anticléricalisme pour une chanson connue de n’importe quel enfant (le plus ancien enregistrement connu d’une voix humaine, datant de 1860, était d’ailleurs de cette chanson), Au clair de la lune remporte peut-être la palme de ces doubles-sens. Car la chandelle morte, le briquet que l’on bat ou la plume, sont toutes des métaphores phalliques ou sexuelles. Quant au patronyme de Lubin, qui s’en va chez sa voisine rallumer son feu, il s’agit d’un terme en usage depuis le Moyen-Âge pour désigner des moines hypocrites et dévoyés. Une fois que l’on a pris conscience de ce sous-texte, les dernières lignes sont sans équivoque : En cherchant d'la sorte, Je n'sais c'qu'on trouva ; Mais je sais qu'la porte Sur eux se ferma… Savez-vous planter les choux De nouveau, le fin parolier derrière cette chanson était semble-t-il plus intéressé par la sexualité que par les fines nuances de l’art agricole. Après tout, n’a-t-on pas traditionnellement l’habitude de représenter les bébés naissant dans les choux ? Ici, on les plante donc avec tous les membres de son corps : d’abord les doigts, puis les mains, le pied, le coude, le nez, et enfin le genou. Tout un programme ! À la claire fontaine Selon les versions et le genre du narrateur, celui-ci serait délaissé par son partenaire pour des raisons pour le moins égrillardes. En effet, lorsque le narrateur est masculin, celui-ci refuse d’offrir à son amie un bouquet de rose, qui ne représenterait rien d'autre qu’un cunnilingus. Tandis que lorsque le narrateur est féminin, ce serait elle qui aurait trop donné son… bouton de rose — une métaphore fleurie pour parler de l’anus. Le slut-shaming ne date donc pas d’hier. Dans d’autres versions, la pauvre narratrice se retrouve délaissée pour le lui avoir refusé. Quoi qu’elles fassent, les femmes sont donc toujours en tort… Néanmoins, ce chant a connu son heure de gloire en Nouvelle-France (l’ancien Québec) au XVIIIe siècle, avec un sous-texte désormais patriotique. En effet, les patriotes en font un chant d’opposition aux anglais, sans doute en vertu de l’association de ces derniers avec le symbole de la rose. Elle finit même par en devenir le premier hymne de la Nouvelle-France ! À la pêche aux moules Pourquoi diable la narratrice de la pêche aux moules ne voudrait plus s’y rendre ? C’est que, en plus de lui avoir pris son panier, les "gens de la ville" l’ont tout simplement… violée. Les paroles ne laissent guère de place au doute sur le sort qui lui a été réservé : Quand une fois ils vous tiennent, tiennent, tiennent Sont-ils de bons enfants Ils vous font des petites caresses Et des petits compliments On comprend dès lors que la chanson ne traite que superficiellement du thème de la pêche, et pourquoi elle évoque ces caresses et compliments qui n’avaient a priori rien à faire là. Il court, il court, le furet Eh oui, ce furet qui court au sein du bois joli est loin d’être innocent, puisqu’il s’agit là d’une contrepèterie — ce procédé qui consiste à échanger une lettre ou syllabe avec une autre au sein d’une phrase — pour le coup fort grivoise. Une fois qu’on le sait, difficile de ne plus y prêter l’oreille ! Allez, un petit indice pour les moins vifs : il s’agit à nouveau d’une chanson dont le sous-texte tourne les hommes d’église, décidément prompts à servir de cibles aux paroliers les plus inspirés, en ridicule et moque leur hypocrisie. https://lemagdusenior.ouest-france.fr/dossier-900-sens-cache-comptines-enfants.html

Je pense que ce projet de loi va se heurter à la présomption d'innocence, au delà du fait de publier la photo avec un consentement tacite, si le fait de la publier induit la culpabilité de l'individu dont on voit le portrait ça ne pourra pas fonctionner !

J'aime bien cette chanson, je trouve que Michel Sardou savait souvent choisir de bons paroliers !

Qu'il n'y a pas que les présidents français qui épousent des nanas beaucoup plus âgées qu'eux !

Il a été déplacé à Denain !

C'est une sacrée nouvelle mais j'en donnerais pas une guinée pour ton étui !

Le slip c'est papou rien !

Je savais que ça me rappelait un truc le tueur en série qui passe à la télé : John Cooper, connu sous le nom de «The Bulleye Killer», tue quatre personnes entre 1983 et 1996. Ce cambrioleur et voleur à main armée terrorise la communauté côtière de Milford Haven au Pays de Galles pendant plus d'une décennie pour alimenter sa dépendance au jeu. Insensible, Cooper apparaît même à la télévision nationale dans l'émission de télévision «Bullseye» en mai 1989. Il est reconnu coupable et il écope de 4 condamnations à perpétuité. https://tv-programme.com/portraits-de-criminels_documentaire/s03e00-john-cooper-le-multirecidiviste_e596104

Oups, je pensais que c'était la rubrique sexe, c'est quand j'ai lu les réponses que j'ai compris que c'était pas ça !