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PASDEPARANOIA

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Tout ce qui a été posté par PASDEPARANOIA

  1. J'ai posté ici quelques propositions. A vous d'y mettre les vôtres. Y a pas que le PS dans la vie. Ni le PC d'ailleurs. Pas plus que le NPA. Il y le bon sens commun.
  2. La première manif de ma mioche. C'est important la famille. Je lui inculque les notions de racisme, elle qui est petite fille de nègre antillais...
  3. Ne battons pas en retraite ! Tous et toutes en grève mardi 7 septembre 2010 en attendant la construction d'un large mouvement de grève reconductible ! Fini de jouer ! Retraites, fonction publique, licenciements massifs, dérives sécuritaires, stagnation des salaires, chômage partiel, précarité galopante¿ combien de mots encore pour qualifier l'impasse sociale dans laquelle nous plonge le capitalisme ? La crise devait tout changer et rien n'a bougé. étonnant ? Pas vraiment, car quand le patronat et l'état défendent leurs intérêts, la croissance des profits et la continuation de leur domination économique, politique et sociale, ils ne font pas dans l'humanisme¿ Les classes dirigeantes sont en lutte pour leur survie, elles combattent pour conserver leurs privilèges. Un combat bien facile quand, en face, les directions syndicales ne font que gérer les défaites et négocier les reculs. La belle crise que voilà¿ Pourtant, la crise financière n'a pas fait mal à tous, elle sert plutôt de prétexte pour accentuer la pression sur les droits sociaux. Les salariés l'ont vécu de plein fouet, entre licenciements économiques massifs, gel des salaires, développement des contrats précaires, chômage partiel et autres joyeusetés. Mais les patrons, dirigeants politiques et autres gestionnaires du système capitaliste ne s'en portent eux que mieux. Après les larmes de crocodile versées sur le risque d'effondrement et de faillite du système financier mondial, est venu les temps de l'appel aux sacrifice¿ pour les travailleurs. Jusqu'à expliquer que franchement, non, ce n'est plus possible de continuer comme avant, il faut réguler. Et les mesures drastiques tombent pour faire rendre gorge aux infâmes traders et spéculateurs : réduire les dépenses publiques et réformer les retraites. étrange raccourci non ? Réguler le capitalisme à la mode G20, Sarkozy ou FMI (dirigé par un « camarade » du PS¿) serait donc faire des économies sur le service public, garant d'un minimum de cohésion sociale, et faire bosser toujours plus ceux qui déjà triment à en péter les plombs en mettant au chômage les autres millions d'inutiles¿ Tais-toi et marche ! Et pour parfaire le tout, rien de mieux que de mettre au pas ceux qui osent contester. Le plus simple, c'est de prendre le mal à la racine et d'entraver ce qui fait la force des travailleurs : le syndicat. Depuis plusieurs mois, la CNT doit faire face à une vague de répression violente, entre contestation de ses créations de sections syndicales (Baud, Sévelnord par exemple), licenciements massifs de ses nouveaux syndiqués (People and Baby) et tentative de déstabilisation de ses sections déjà très bien implantées (Cinémathèque). Trop gênant ? Sûrement. Quoi qu'il en soit, cela ne fait que prouver que nous sommes sur la bonne voie : gêner les patrons au point d'en devenir leur marotte, voire leur cauchemar, ça ne peut que nous faire plaisir et nous renforcer dans nos orientations syndicales, notre démarche de solidarité de classe et notre refus de la cogestion. Tout comme ce fût le cas de tous les travailleurs de Continental, Total, Caterpillar, Sony, 3M, Phillips-EGP Dreux, Brodard Graphique, et de bien d'autres encore. Leur logique et la nôtre Car, loin des discours et débats de spécialistes, quelques évidences subsistent. Notamment que les richesses n'ont pas disparu, qu'elles ne se sont pas envolées, mais qu'elles sont juste toujours plus concentrées entre les mains d'une minorité. De même que les prétendus déficits publics sont créés de toutes pièces : gel des cotisations patronales, exonérations massives de cotisations sur les bas salaires, généralisation des mécanismes d'intéressement (stock-options, épargne salariale, actionnariat d'entreprise, participation, primes diverses...) tous exonérés de cotisations, dettes de l'Etat vis-à-vis des régimes sociaux, politique de bas salaires et donc de faibles cotisations et médiocres contributions au financement des régimes sociaux, chômage de masse et donc perte de cotisations, fraude massive des entreprises, placements financiers soumis à aucune cotisation sociale, etc. Combien de dizaine de milliards d'euros au final pour un soi-disant déficit de la sécurité sociale de quelque 30 milliards ? Et on voudrait nous faire croire qu'avec le non-remplacement d'un fonctionnaire à la retraite sur deux et le report de l'âge de la retraite on va arranger les choses¿ Mais en toute logique, si certains travaillent plus vieux, les jeunes seront au chômage, et si on supprime des emplois dans la fonction publique le chômage va encore augmenter¿ Réduire les déficits en augmentant le chômage, en voilà une belle idée. Notre force c'est le nombre ! L'enjeu des batailles d'aujourd'hui sur les retraites, les suppressions de postes de fonctionnaires, l'explosion du chômage, etc., est assez évident : Les travailleurs et leurs organisations syndicales doivent sortir d'un « dialogue social » où ils sont toujours perdants pour s'affirmer comme une force sociale apte à imposer leur réalité et leurs exigences. Il est temps de siffler la fin de la récré. Si les salons de Matignon sont douillets, si les locaux de l'élysée sont bien climatisés, si les comités d'entreprise offrent un semblant de débat, si les tribunaux d'instance ou les prud'hommes ont parfois un parfum de satisfaction, ce n'est pas là que se joue le fond du problème. La seule force des travailleurs c'est leur nombre et leur capacité à bloquer la production des richesses qui font les jours heureux et les yachts classieux du patronat. La grève n'est pas un gros mot, c'est un droit et la seule manière souvent de se faire entendre réellement. Plutôt que de perdre quelques demi-journées de salaire tous les deux ou trois mois pour ne rien obtenir, ne vaudrait-il pas mieux tout arrêter quelques jours ? D'autres l'ont fait avant nous, lors des grèves de 1936 par exemple, et personne n'en est mort, personne ne s'en plaint aujourd'hui, surtout pendant ses congés payés¿ Reconstruisons un syndicalisme intransigeant, qui sache opposer la solidarité des travailleurs à la violence patronale, qui sache privilégier la main-mise des salariés sur leurs luttes plutôt que de déléguer leurs voix à quelques permanents éloignés des réalités du monde du travail. Construisons l'espoir d'un autre futur plutôt que de subir encore et toujours les mêmes discours fatalistes et leurs conséquences désastreuses. Le capitalisme n'est pas la fin de l'histoire, notre avenir est entre nos mains, organisons-nous pour le construire ! ! Pour un syndicalisme de classe et d'émancipation sociale, ne battons pas en retraite ! Grève générale pour la justice sociale !
  4. Pourquoi tu ne le laisses pas tel quel ? Juste vernis, les pieds en vert, c'est très bien. Hold scool.
  5. Citation, c'est une cliente qui c'est faite baiser. Au figuré. Ca doit être sympa de voir votre vie sexuelle vous échapper !
  6. Tu admets que t'es une petite peste, c'est bon signe.
  7. Heureusement, sinon ça serait vite le bordel... Mais sérieusement, je suis pour faire des efforts, mais il ne faut pas que ça devienne le quotidien. C'est une question de mesure. Mais il est difficile de juger des histoires de couples, voir impossible, on ne peut que donner son expérience relative, sans pour autant vouloir l'imposer, après, tu fais ton marché dans les témoignages et tu te débrouilles. Faut se méfier des conseillers conjugaux. Mais je te fais confiance, t'as l'air d'avoir un caractère bien trempé et suffisamment indépendant.
  8. On ne fait pas toujours ce que l'on veut. J'ai quitté la mère de ma fille alors que j'en étais très amoureux, mais la vie ensemble était carrément impossible, destructrice même. Et puis t'es jeune, t'as le temps de te prendre la tête, quand t'auras mon âge avancé, tu commences à te dire qu'on n'est pas là pour se prendre la tête non plus, que la vie se doit d'être belle et heureuse, et qu'il faut vite aller à l'essentiel. J'ai pas le temps ni l'énergie pour me prendre la tête.
  9. Des fois tu fais tout pour, et ça foire quand même. Et puis le temps passe et tu te rends compte que c'est mieux ainsi, car tu rencontres quelqu'un avec qui ça le fait mieux. Et tu te dis "C'est ça l'amour ! Youpi !". Et puis ça recommence. Vive l'amour libre !
  10. Je ne suis pas à vendre, et je n'ai pas de crédit à donner à un site. Dommage que ce ne soit pas gratos..
  11. Alors ce soir, olives, k-uète et vin rouge.
  12. Qu'as-tu fais de Daniel ?

  13. C'est très vexant. Faut pas faire ça. Pauvre monsieur.
  14. 15 cm, mon pauvre, ça doit être pénible d'avoir un nano organe. Les filles vont se moquer de toi tu sais, je préfère te préparer l'humiliation. Non, ça ne poussera pas.
  15. Cote de boeuf, pomme de terre sautées et haricots verts.
  16. Dis donc, critique pas mon soyeux pelage.

  17. Comment te dire... Plus belle la rose, plus longues les épines. C'est une constante que je remarque chez les jolies femmes, elles sont chiantes, exigeantes avec les autres, capricieuses, genre fille unique gâtée. Quand ta souffrance sera supérieure à ton égo proportionne à ta beauté, tu changeras. Ou sinon, deviens moche. Ca me fait penser à un autre proverbe à la con : Reste polie si t'es pas jolie.
  18. Ben heureusement qu'on "dérape" un peu quand on picole, sinon à quoi bon ? On n'est pas sur terre pour s'emmerder non plus. Trouve un mec qui accepte, ou mens lui.
  19. Alors on ne dit pas bombe, mais roquette. Je suis sortis avec des filles très jolies, genre mannequin blonde grande, ben ça fait rien. Ca ne remplace pas l'amour. Par contre faut pas être jaloux. La roquette est très sollicitée.
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