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Tout ce qui a été posté par idunn
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oui elles sont belles les "repower"
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des arbres et le ciel ...
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L'intelligence: innee ou acquise?
idunn a répondu à un(e) sujet de kyrilluk dans Actualités - Divers
j ai rien a ajouter -
nike cave and the bad seeds .. love letter
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Gnarls Barkley - Crazy
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Moi j ai adore le dernier album "In Rainbows" >> Sinon, j tout de radiohead
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"the straight story"... y avait longtemps qu un film ne m avait pas fait chialer comme une madeleine!!!
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Meme si je crois pas en dieu, ni a d'autres coutumes d'ailleurs(comme hanoucca, ou noel). Neanmoins, je souhaite que ce mois sacre qu'est le ramadan apporte joie sante bonheur et prosperite a ton les musulmans !
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Sappy... ah oui c est joli (je vais l ecouter apres ....) Radiohead, fake plastic trees
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ah oui, dŽaccord la dessus .. car eux ont ete vraiment loin dans la musique.. on peut meme pas les qualifier de groupe"hard rock" je trouve et ca.. . franchement faut se le procurrer cŽest magnifique ce dvd
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Grigore...thatŽs for you http://www.dailymotion.com/video/x2dj8d_le...n-friends_music my friend.. le plus beau groupe qui mŽest donne d entendre et j ai mis ca si ca interresse quelqu un de voir un guitar hero (meme en reve je fait pas ca) un solo guitar de J. page (si la video interresse quelqu un... faites moi signe) http://myspacetv.com/index.cfm?fuseaction=...ideoid=15400945
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lol oui il est celte nunez .... j aime bien heroes del silencio, paco ibanez et paco de lucia
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Death in Vegas -- Rocco (Sing for a Drink Mix)
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Je recherche des films sur des artistes
idunn a répondu à un(e) sujet de savoir partager dans Cinéma
frida (kahlo) : http://www.youtube.com/watch?v=5xcR0n9sTPg un chien andalou ( bunuel / dali ) http://video.google.fr/videoplay?docid=829...h&plindex=0 vincent van gogh : http://www.youtube.com/watch?v=VUrBMKfThvo -
irreversible ... je sais pas c est pas passe ce film, j ai eteinds avant la fin
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bon anniversaire mes voeux les plus sinceres
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ca me fait rire ca... t as tout faux mon gars en faisant d un cas une generalitee. Si tu vas sur des sites de rencontres c est pas etonnant... essaye d aller la ou les gens sont naturels (en boite, dans les bars, un concert, va a l opera, au musee, une exposition.... on y rencontre des gens interressants , mais pas sur le net je t en prie! allez sors c est vendredi!! va rencontrer des gens en vrai!!!! :D tient parce que tu le vaux bien
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une de plus ca peut pas faire de mal (j ai pas lu les 27 pages desolee)
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Liberté Sur mes cahiers d'écolier Sur mon pupitre et les arbres Sur le sable de neige J'écris ton nom Sur les pages lues Sur toutes les pages blanches Pierre sang papier ou cendre J'écris ton nom Sur les images dorées Sur les armes des guerriers Sur la couronne des rois J'écris ton nom Sur la jungle et le désert Sur les nids sur les genêts Sur l'écho de mon enfance J'écris ton nom Sur tous mes chiffons d'azur Sur l'étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J'écris ton nom Sur les champs sur l'horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J'écris ton nom Sur chaque bouffées d'aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J'écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l'orage Sur la pluie épaisse et fade J'écris ton nom Sur les formes scintillantes Sur les cloches des couleurs Sur la vérité physique J'écris ton nom Sur les sentiers éveillés Sur les routes déployées Sur les places qui débordent J'écris ton nom Sur la lampe qui s'allume Sur la lampe qui s'éteint Sur mes raisons réunies J'écris ton nom Sur le fruit coupé en deux Du miroir et de ma chambre Sur mon lit coquille vide J'écris ton nom Sur mon chien gourmand et tendre Sur ses oreilles dressées Sur sa patte maladroite J'écris ton nom Sur le tremplin de ma porte Sur les objets familiers Sur le flot du feu béni J'écris ton nom Sur toute chair accordée Sur le front de mes amis Sur chaque main qui se tend J'écris ton nom Sur la vitre des surprises Sur les lèvres attendries Bien au-dessus du silence J'écris ton nom Sur mes refuges détruits Sur mes phares écroulés Sur les murs de mon ennui J'écris ton nom Sur l'absence sans désir Sur la solitude nue Sur les marches de la mort J'écris ton nom Sur la santé revenue Sur le risque disparu Sur l'espoir sans souvenir J'écris ton nom Et par le pouvoir d'un mot Je recommence ma vie Je suis né pour te connaître Pour te nommer Paul Eluard in Poésies et vérités, 1942
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films émotion sentiment histoire réflexions morale
idunn a répondu à un(e) sujet de savoir partager dans Cinéma
ah oui Edward Norton... tout ce qu il fait j aime!! la 25 heure de spyke lee .. comment il est super poignant ca merite bien qu on s y attarde ... http://www.youtube.com/watch?v=7qpjeMTRq7w -
quel joli topic !!! Les Erynnies : (Les Furies, ou Euménides) Le monde infernal Les Furies ou, par antiphrase, les Euménides, c'est-à-dire en grec les Bienveillantes, sont appelées aussi les érinnyes. Ce sont les divinités infernales chargées d'exécuter sur les coupables la sentence des juges. Elles doivent leur nom à la fureur qu'elles inspirent. Ministres de la vengeance des dieux, elles ont dû exister dès l'origine du monde : elles sont vieilles comme le crime qu'elles persécutent, comme l'innocence qu'elles s'efforcent de venger. Selon les uns, elles ont été formées dans la mer par le sang de Cælus, lorsque ce dieu antique fut outragé et blessé par Saturne. Selon Hésiode, qui les fait plus jeunes d'une génération, elles naquirent de la Terre qui les avait conçues du sang de Saturne blessé par Jupiter. Ailleurs ce poète les dit filles de la Discorde. Eschyle prétend qu'elles ont été engendrées par la Nuit et l'Achéron. Enfin Sophocle les fait sortir de la Terre et des Ténèbres, et épiménide les suppose filles de Saturne et d'évonyme, s¿urs de Vénus et des Parques. Leur pouvoir s'exerce non seulement aux Enfers, mais encore sur la terre et même dans le ciel. Les plus connues des Furies, les plus souvent citées par les poètes sont Tisiphone, Mégère et Alecton. Tisiphone, vêtue d'une robe ensanglantée, est assise, et veille nuit et jour à la porte du Tartare. Dès que l'arrêt est prononcé aux criminels, elle s'arme de son fouet vengeur, les frappe impitoyablement, et insulte à leurs lamentations ; de la main gauche elle leur présente des serpents horribles, et appelle ses barbares s¿urs pour la seconder. C'est elle qui, pour punir les mortels, répandait la peste et les fléaux contagieux ; c'est encore elle qui poursuivit étéocle et Polynice, et fit naître en eux cette haine insurmontable qui survécut même au trépas. Cette furie avait sur le mont Cithéron un temple environné de cyprès, où ¿dipe, aveugle et banni, vint chercher un asile. Mégère, sa s¿ur, a pour mission de semer parmi les hommes les querelles et les disputes. C'est elle aussi qui poursuit les coupables avec le plus d'acharnement. Alecton, la troisième furie, ne laisse aux criminels aucun repos ; elle les tourmente sans relâche. Odieuse à Pluton même, elle ne respire que la vengeance, et il n'est point de forme qu'elle n'emprunte pour trahir ou satisfaire sa rage. Elle est représentée armée de vipères, de torches et de fouets, avec la chevelure entortillée de serpents. On appelle parfois érinnyes la première des Furies, et son nom est devenu un terme générique employé pour les désigner toutes ensemble. Les érinnyes avaient un temple près de l'Aréopage, à Athènes. Ce temple servait d'asile inviolable aux criminels. C'est là que tous ceux qui comparaissaient devant le tribunal de l'Aréopage étaient obligés d'offrir un sacrifice et de jurer sur les autels qu'ils étaient prêts à dire la vérité. Dans les sacrifices offerts aux érinnyes, Euménides ou Furies, on employait le narcisse, le safran, le genièvre, l'aubépine, le chardon, le sureau ou l'hièble, et l'on brûlait des bois de cèdre, d'aune et de cyprès. On leur immolait des brebis pleines, des béliers et des tourterelles. Ces déesses redoutables étaient partout l'objet d'hommages particuliers : c'est avec respect que l'on prononçait leur nom, et c'est à peine si l'on osait jeter les yeux sur leurs statues et les sanctuaires qui leur étaient consacrés. Quelques auteurs ont confondu érinnyes avec Némésis et par suite les érinnyes avec les Némèses, Celles-ci, selon Hésiode, n'étaient qu'au nombre de deux. L'une, la Pudeur, retourna dans le ciel après l'Age d'or ; l'autre, la véritable Némèse ou Némésis, fille de l'érèbe et de la Nuit, resta sur la terre et dans les Enfers, pour veiller à la punition des fautes et à l'exécution des règles imprescriptibles de la Justice. Elle avait une inspection spéciale sur les offenses faites aux pères par les enfants. Elle était invoquée dans les traités de paix, et en assurait la stricte observation. C'est elle qui maintenait la foi jurée, vengeait l'infidélité des serments, recevait les v¿ux secrets, courbait les têtes orgueilleuses, rassurait les humbles, et consolait les amantes abandonnées. Sur une mosaïque d'Herculanum, on voit la malheureuse Ariane consolée par Némésis : le vaisseau de Thésée fend les mers et s'éloigne, tandis que, près d'Ariane, l'Amour se cache et verse des larmes. En résumé, Furies et Némèses avaient pour devoir le maintien de l'ordre et de l'harmonie dans la famille, la société et le monde moral. Elles inspiraient la crainte des remords, des châtiments inévitables, et par là même faisaient comprendre aux hommes les douceurs d'une honnête conscience et les avantages de la vertu. Ce n'est pas en vain que l'on voyait Némésis, un doigt sur la bouche, et tenant un frein ou un aiguillon ; il était facile d'en déduire qu'elle recommandait la discrétion, la prudence, la modération dans la conduite, en même temps qu'elle excitait au bien. --------------------------------------------- Orestès (extrait d un recit) Eh bien ! Qu'importe ? J'ai racheté mon sang, et la vipère est morte. Elle empoisonnait tout de sa morsure. Elle a Tué l'homme et vendu l'enfant... mais la voilà Tranquille maintenant, et pour jamais, je pense. Des équitables Dieux j'attends ma récompense ! Il regarde le cadavre. Qu'elle est grande ! On dirait qu'elle m'écoute... non ! Je l'ai frappée au coeur, sûrement. L'acte est bon. Justice est faite. Il faut que tout forfait s'expie. Ils siégeaient, triomphants, dans leur puissance impie, Les mains chaudes du meurtre ; ils se disaient, contents : «Nous avons tout, le trône et le sceptre éclatants, Et la vieille maison du roi Pélops ! Nous sommes Les dynastes d'Argos et les pasteurs des hommes ; Commandons, aimons-nous, et vivons sans remords». Et moi, je viens, je frappe ; et les tyrans sont morts ! Maintenant, de ceci j'effacerai les traces : L'une au bûcher funèbre, et l'autre aux chiens voraces. Que le peuple s'empresse à l'Agora ! Demain, Le sceptre paternel brillera dans ma main ; Parmi les chefs vaillants je m'assoirai, semblable Aux Dieux ; avec le bruit de la mer sur le sable, Hellas acclamera mon nom, disant : «C'est bien. Il a vengé son père et reconquis son bien !» Il regarde le cadavre. Pourquoi ne pas fermer ta sanglante paupière, Cadavre ? Que veux-tu ? Va ! Mon coeur est de pierre : Je ne crains rien, j'ai fait pour le mieux. C'est assez ! Ne me regarde pas de tes yeux convulsés ! Je t'ensevelirai, toi, mes maux, et le reste, Dans l'oubli, comme il sied d'un souvenir funeste. A quoi bon épier mes gestes et mes pas ? Regarde dans l'Hadès, ne me regarde pas ! Il lui ramène sur la face un pan du péplos. Tendant les bras vers le tombeau. Et toi qu'ils ont couché sous ce tertre sans gloire, Père ! Monte à travers la nuit immense et noire, Apparais à ton fils qui te venge aujourd'hui ! Il t'appelle, ô chère ombre ! Entends-le, viens, dis-lui Que devant tous les Dieux du ciel et de l'abîme L'action qu'il a faite est droite et légitime ! Deux Erinnyes se dressent de chaque côté du tombeau. Ah ! Qu'est-ce que cela ? D'où viennent celles-ci ? Vieilles femmes, parlez : que faites-vous ici ? Trois Erinnyes apparaissent autour du cadavre. Encore ! Par les Dieux ! Ces faces de squelettes Pour mordre ont retroussé leurs lèvres violettes. Ah ! Monstres, vous grincez des dents affreusement ! Arrière ! Les Erinnyes apparaissent de tous côtés. En vérité, c'est un fourmillement De spectres ! Et je suis traqué comme une proie ! L'épouvante me prend à la gorge, et la broie ! Non, ce n'est point un songe, et je suis là, debout, Eveillé ! Malheureux ! C'est cela, je sais tout : Ce sont elles, ce sont les chiennes furieuses De ma mère ! ... pourquoi rester silencieuses ? A qui me montrez-vous de vos doigts décharnés, O louves de l'Hadès ? Je vous attends, venez ! Vous ne vous trompez pas. C'est moi ! Je l'ai frappée ! Voyez ce sang. La terre en est toute trempée. Il m'inonde les pieds, il me brûle les mains. Mais, quoi ! Vous le savez, ô monstres inhumains, Elle a tué mon père. Eh bien ! J'ai fait justice : La voici morte. Que l'abîme l'engloutisse, Avec sa trahison, sa haine et sa fureur ! Ah ! Ah ! Vous vous taisez, monstres ! Les Erinnyes se jettent toutes sur lui. Horreur ! Il s'enfuit. D'autres Erinnyes lui barrent le chemin. Oreste poursuivi par les Erynnies (william Bouguerreau)
