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Titsta

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Tout ce qui a été posté par Titsta

  1. un petit bisou en passant :)

  2. Titsta

    Combats du féminisme

    Commençons par respecter la nature des femmes. On pourra réfléchir à l'acceptation du genre par la suite. Au demeurant, celles qui se sentent femmes sans l'être par nature sont plutôt de mon avis : il y a bien une différence entre les hommes et les femmes. Il n'y a que les misogynes comme vous pour penser qu'il n'y a aucune différence. Je respecte les femmes, infiniment plus que vous. Je n'ai jamais rien dis de sexiste. Tu n'es pas capable de me citer un seul passage qui présenterai ne serait-ce qu'une vague tendance à considérer les femmes comme inférieure aux hommes. PAS UN SEUL ! Tu ne fais que tomber dans l'insulte gratuite et sans le moindre fondement. Parce que tu n'as pas le moindre argument à me présenter pour contrer ce que je raconte. En fait, je devrais être content… tu es d'accord avec moi en réalité, même si ça ne te plait pas. Puisque tu n'a pas le moindre argument contre ce que je raconte. Pas le moindre. ça n'est pas en affirmant des conneries misogyne que tu les rendra vraie pour autant. Les femmes ne sont pas des victimes des hommes. Il y a, un rapport de force, qui n'a rien d'aussi binaire oppresseur/opprimée. Et d'ailleurs pas même forcément entre les hommes et les femmes. (il peut être aussi entre les femmes et la société ) Tu ne raconte que des mensonges primaires. Et s'il peut y avoir des situations où elles sont défavorisée, considérer qu'il n'y a AUCUNE situation qui les favorise… considérer qu'elles n'ont AUCUN pouvoir dans cette société. Qu'elles seraient tellement faible qu'aucune d'entre elle n'aurait le moindre moyen d'opprimer qui que ce soit… Tu es d'un machisme affligeant. :-/ Les femmes ne sont pas aussi faible que tu aimerais le faire croire. Je ne peux pas te laisser propager tes idées puantes dans la société. Les féminisme n'a rien à voir avec ce que tu défends. Rien, tu n'as rien d'un féministe. Ni les deux trois autres femmes qui essayent de me faire passer pour un misogyne afin de tenter de cacher leur propre misogynie malsaine que j'ai pu révéler.
  3. Tu élimine trop vivement le problème de la pudeur. La pudeur n'est pas enfreinte que par de la provocation. On peut choquer la pudeur même sans provocation. J'ai du mal à argumenter, vu que pour moi, même une femme se baladant à poil ne me pose pas de problème. (et comme je vois venir beaucoup d'idiot… les femmes allaitant leur enfant en public ne me posent aucun problème.) Mais je maintient que c'est un problème de pudeur, plus que l'allaitement proprement dit qui dérangerait. La pudeur, c'est quelque chose de subtile, et très lié aux habitudes. Il ne s'agit pas d'une question de surface. Mais de situation et de ce qui est vu exactement. Dans la photo que nonobonobo a posé, on voit par exemple des parties de sein que nous n'avons pas l'habitude de voir en dehors de l'intimité. Non, la première est pleine d'intimité, la deuxième de vulgarité. Mais l'intimité aussi est impudique, plus que la vulgarité d'ailleurs (et malheureusement). La pudeur peut aussi être choqué par une situation extrêmement intime, située dans un lieu public. Une nana aurait des orgasmes en pleine rue, ça choquerai la pudeur des gens, même si elle ne dévoilait rien du tout en terme de "surface de peau". Le problème n'est pas que ce soit un acte naturel ou non, comme je l'entend dire souvent à ce propos. La pudeur est choqué par ce qui est naturel. Le problème, c'est est que c'est un acte intime, donc privé, ou social, donc public. Et ça n'est pas une question si simple que ça à régler, parce qu'elle demande un changement culturel. Si réelle volonté il y a de changer cette culture, les intéressées devraient peut-être se bouger, si possible ensemble, pour faire de l'allaitement un acte social. Par exemple des réunions allaitement, entre femme enceinte, dans la rue. Avec l'habitude, cet acte passerai dans les têtes d'un acte intime à un acte social, et il serait beaucoup plus accepté. ça va demander un peu de temps et un peu d'effort. (rien ne s'obtiens sans effort)
  4. Titsta

    Combats du féminisme

    Pitié !! >_< ça n'est pas parce que quelques imbéciles me qualifient de misogyne afin surtout de cacher leur manque d'argument qu'il faudrait les croire sans s'être fait sa propre opinion. Merci de ne pas tomber dans leur basses manipulations pour étouffer le débat et les questions qui les dérangent. Je n'ai jamais même supposé qu'une tâche était plus attribuée à une femme qu'à un homme. ( f'in mis à part les tâches évidement physique comme le fait de porter un enfant. ) Je n'ai pas vécu au siècle dernier comme certains ici. J'ai toujours vécu dans un milieux où les femmes ne savent pas plus (voir moins) faire la cuisine ou le ménage que les hommes. ( C'est d'ailleurs mon cas… c'est toujours un peu moi qui fait la cuisine et le ménage à la maison. ) Au demeurant, si le féminisme à changé les rôles au seins de la société, depuis l'attribution du droit de vote, je ne suis pas certain qu'il ai augmenté le pouvoir des femmes. Les femmes avaient du pouvoir avant aussi. Et je ne pense pas que le pouvoir qu'elles avaient sur les hommes ai réellement changé. D'ailleurs à y réfléchir, le gain de pouvoir sur le couple aurait peut être même plutôt baissé. Les femmes autrefois avaient un pouvoir considérable, du fait même que certaines tâches essentielles leur étaient réservée. Elles en devenaient nécessaires. Les entreprises connaissent bien le problème : laisser un employé s'attribuer une tâche, le rend indispensable, et donc beaucoup plus puissant pour réclamer des avantages. Rendre les personnes interchangeables ne renforcent en aucun cas les pouvoirs des uns ou des autres. Je ne pense pas que le féminisme ai changé grand chose du pouvoir des femmes dans la société. Il a seulement changé la nature des rôles (donc la nature de ce pouvoir), dans un sens que je trouve plutôt bon. Et surtout, il a aidé à la prise de conscience politique des femmes. Donc à ce qu'elles essayent d'exprimer leur pouvoir sur la société. Mais dans l'absolu, je pense que leur pouvoir réel a plutôt régressé. Ce qui n'est pas plus mal remarque. L'important, ça n'est pas d'avoir du pouvoir, c'est de pouvoir s'épanouir en tant qu'adulte autonome et responsable. Même si ça implique avoir moins de pouvoir.
  5. Oui, c'est vrai qu'on a tendance à se focaliser sur l'allaitement dans le débat, alors que le problème à la base, c'est plutôt de montrer ses seins dans des lieux public. Quel qu'en soit la raison. ça n'est pas un problème d'intolérance à l'allaitement, c'est un problème de pudeur.
  6. Titsta

    Combats du féminisme

    Selon toi, il serait impossible qu'une femme soit misogyne ? Réfléchis un peu, je t'en pris. Dès qu'une idée te semble surprenante, elle devient fausse pour toi ? Tu as déjà été confronté à la différence entre la vérité et la vraisemblance ? Non, on a ici des femmes qui méprisent la féminité, au point de vouloir totalement la nier. Considérant simplement qu'elle n'existe pas. Qu'elle n'est qu'une "vue de l'esprit", un artefact artificiel uniquement due à un formatage du cerveau. C'est une forme assez extrême de misogynie. Haïr la féminité au point d'en nier même l'existence. De vouloir la faire disparaître. Je veux bien croire que les femmes défendant cette thèse ici ne se sont pas rendu compte du fondement profondément misogyne de leur point de vue. Mais si tu réfléchis, c'est logique. Si comme Fafaluna, tu es intimement convaincu que la moindre différence avec les hommes seraient forcément une infériorité. Tout l'effort de l'argumentation sera poussé par cette volonté de prouver à tout prix (même contre l'évidence) que les femmes ne sont pas différentes des hommes. Mais avoir peur de quelque chose, c'est quand même y croire. Quelqu'un qui a complètement intégré que les femmes n'ont rien d'inférieure aux hommes n'a pas de problème à réfléchir sur ce qui les différenties. Sur ce qui fait les particularités des uns et des autres. Il n'a aussi aucun problème à dégager des conséquences des comportements des uns ou des autres, et leur influence sur la société, et sur l'autre groupe. Analyser les rapports de pouvoir de l'un sur l'autre (ce qui est indispensable avant d'oser prétendre rechercher l'équilibre) Les seuls à avoir un problème avec la critique sont ceux qui se pensent tellement inférieures que la moindre critique leur devient insupportable. Et c'est bien ce qu'on a ici. Des femmes qui ont tellement effrayée par leur croyance en leur propre infériorité, qu'elles ne supportent pas que je puisse parler des différences de comportements, ou parler des conséquences négatives que peuvent avoir certains de leur comportements… tant sur leur "camp" que sur l'autre bord. C'est assez fou d'être traité de mysogine dès qu'on parle d'un pouvoir que possèderaient les femmes sur les hommes par exemple. Comme si la seule voie possible pour ne pas être misogyne, ça serait de considérer que les femmes sont toutes totalement soumise, et ne possèdent aucun pouvoir sur les hommes. Bah pour moi, c'est exactement ça, le point de vu misogyne : le vôtre. Et je ne cèderai pas à votre idéologie pourrie. Même devant les menaces et les insultes. Je respecte trop les femmes pour adhérer à vos exigence de les considérer comme des victimes et des êtres inférieurs et sans le moindre pouvoir dans cette société.
  7. Titsta

    Combats du féminisme

    Deux phrases… qui prouvent par leur antinomie que les propos de cette femme n'ont absolument rien de scientifique ^^ Si le cerveaux des hommes et des femmes étaient pareil… ils fonctionneraient pareil. Point. Ils fonctionnent différemment, c'est dit dans la deuxième phrase. ça prouve le ridicule de cette affirmation. (qui n'a rien de scientifique… comme beaucoup de ses confrères transformant la neuro-science en tout sauf de la science… ils ne font que propager leur préjugé, et des assertions non vérifiable et non scientifique, sous couvert d'une carrière scientifique. Le tout afin de faire des best-sellers… l'esprit américain a perverti la science. ) La seule vérité scientifique établie, c'est que le cerveau des hommes et des femmes fonctionnent différent. Et cette femme le prouve. C'est un fait, observé et démontré. Peut importe quel pourrait en être la cause, c'est un fait avéré aujourd'hui. Je suis le premier à penser que la culture peut re-formater le cerveau et compenser la nature. Mais ce débat est théorique. AUJOURD'HUI les femmes ne pensent pas comme les hommes. Et quiconque respecte les femmes doit apprendre à respecter les femmes telle qu'elle sont, et pas telle qu'elle serait s'il avait le pouvoir de re-formater entièrement le cerveau de toutes les femmes de la planète. ( vous faites vraiment froid dans le dos avec votre misogynie masochiste, les femmes d'ici… apprenez à respecter les femmes avant de prétendre vouloir parler pour elle >_< ) Plutôt que de m'insulter encore, cite moi un seul de ces propos incriminant, avant de me traiter de misogyne. Je n'ai jamais rendu les femmes coupable de tous les maux de la société. Mais je n'ai pas la connerie de penser que les comportements des femmes ne sont responsables d'aucuns des maux de la sociétés. Un minimum d'honnêteté intellectuelle te ferai le reconnaître. Au demeurant, c'est moi ici qui ai répandue et défendue la thèse selon laquelle le comportement des femmes que j'incrimine dans certains maux n'est pas de leur fait, mais culturel. Et en tant que tel autant du fait des hommes que des femmes. Je suis aussi ici le seul qui ai développé et défendue la différence entre la causalité d'une pratique et la responsabilité d'un acte. Ce qui suffit à montrer que je n'ai jamais incriminé les femmes… même quand je parle des maux provoqués par leurs comportements. Tu n'as, à aucun moment contré le moindre de mes arguments.
  8. Titsta

    Combats du féminisme

    Montre moi UN SEUL de mes propos mysogyne. UN SEUL ! Tu n'en trouvera pas un seul en réalité. J'ai trouvé infiniment plus de marque de mépris pour les hommes dans vos propos que tu n'en verra dans les miens. Ce que je raconte te dérange, mais il n'y a aucune marque de mépris ou de désamour pour les femmes. Contrairement à vous ici, je n'ai même jamais fait la moindre trace d'humour contre les femmes. Car je les estime trop pour trouver ce genre d'humour drôle. Alors que la plupart de vos posts grouillent de misandrie… Vous êtes haineuse, ET insultante envers tous les hommes qui interviennent ici… sauf ceux qui disent que les femmes sont de pauvres victimes, innocentes et pure, sans le moindre défaut. Vous êtes une hontes pour les femmes sur un tel sujet. ça n'est pas parce que ce que je dis ne te plais pas que je suis misogyne. Trop facile. Que Fafaluna soit misogyne, oui… ça je l'ai montré à de nombreuses reprises, lorsqu'elles voulait faire croire que toutes différence avec les hommes serait forcément une infériorité… ou des choses comme ça. C'est de la misogynie (mal) refoulée. Pour ce qui est des femmes, peu importe de ne pas toutes les connaître. ça reste vrai que j'en connais plus que toi, et j'en ai fréquenté plus que toi, et que je sais mieux de quoi je parle que toi en réalité. Toi non plus tu n'a pas fréquenté 3 milliards de femmes, non ? Donc de quel droit oses-tu parler pour les femmes alors ? je te retourne l'argument ridicule. Et je n'ai pas parlé d'un seul exemple ici. J'expose l'argument que les hommes ne sont pas forcément moins bien placé que les femmes pour comprendre et connaître les femmes. J'ai même tendance à penser qu'ils sont mieux placé, à condition qu'ils les écoute et s'y intéresse, ce qui est mon cas. J'ai probablement été à plus de réunions de femmes que toi. Se connaître sois même n'a rien d'évident, un point de vu extérieur est souvent bien plus pertinent, bien plus neutre, bien plus apte aussi à trouver les défauts dans les comportements. Le point de vu intérieur est biaisé… surtout quand on a tendance à prendre son cas et ses désirs pour des réalités, à s'idéaliser. ( Exemple, je suis capable de te citer des défauts des hommes… es-tu seulement capable de me citer des défauts des femmes ? j'en doute… ) Je pense le point de vu inverse vrai aussi. Une femme sera beaucoup plus apte qu'un homme a en déterminer les défauts, les fonctionnements généraux, les tendances… les comportements des hommes dans l'intimité etc… C'est juste du bon sens. Mais tu n'en est que peu pourvu si tu ne le comprend pas. C'est toi qui semble avoir peur de perdre un bou de quelque chose. Rien ne t'empêche d'aller vivre sur une ile déserte dénué du moindre homme. En attendant, tu vie avec des hommes, ils font partit de la société et il va falloir que tu apprennes à t'y faire. Et que tu commence à apprendre à les respecter et à les écouter. Si tu cherche à vivre toute seule, va, je ne te retiens pas. Si tu cherche l'égalité entre les hommes et les femmes, apprend à écouter les autres. Si tu ne cherche qu'à dominer (ce que je pense), effectivement, apprendre à respecter les hommes, c'est pas ta tasse de thé. Mais dans ce cas, tu n'as aucune légitimité à te prétendre féministe. Tu n'es qu'une machiste inversée.
  9. Titsta

    Combats du féminisme

    Je t'en pris, n'insulte pas les féministes en considérant que Fafaluna en est une ^^ Je n'ai pas croisé de pire machiste qu'elle ici.
  10. Titsta

    Combats du féminisme

    On en doute, parce qu'on ne compte plus le nombre de personnes qui considèrent que le féminisme sert autant la cause des hommes que celles femmes. Qu'il ne chercherai que "l'égalité" et la non-domination d'un sexe sur l'autre. Alors qu'en réalité, il cherche uniquement l'amélioration de la cause féminine. Je suis le premier d'accord qu'on ne demande pas à une association de défense des noirs de s'occuper du bien être des blancs. J'ai plus de mal lorsqu'on essaye de faire passer le féminisme pour autre chose que ce qu'il est. Qu'on ridiculise par exemple la nécessité de créer aussi une "association s'occupant du bien être des blancs"… voir vraiment mieux, une association qui s'occuperai du bien être indifféremment de la couleur. Beaucoup ne comprennent pas cette nécessité. Et encore moins que le féminisme ne peut pas remplir cette fonction. J'en ai relevé plusieurs. Un des facteurs inégaux sur lequel il faudrait lutter, et qui de loin me semble le plus important, c'est le taux de suicide 4 fois supérieurs chez les hommes que chez les femmes. Après dans la BD, il signale aussi d'autres combats à mener. Le fait que les SDF sont majoritairement des hommes. La justice qui condamne plus durement les hommes que les femmes. Marie-Christine Caubet pilote Volkswagen France Isabelle Kocher, est à la tête de la Lyonnaise des Eaux Sophie Dubois, est présidente de Nestlé Purina Petcare France Elisabeth Fleuriot, est présidente de Kellogg's France Maryvonne Guillou, est DG de Le Duff Pascale Sourisse, est à la tête de Thalès Communications Nathalie Andrieux, est à la tête de Mediapost Marianne Romestain, Cartier & Fast Retailing Annie Gain, présidente du directoire de Cofidis Sylvie Duffaud, assurances-vie de Prévoir Sylvie Hénon-Badoinot, est PDG de Bacardi-Martini France Danièle Kapel-Marcovici, est présidente de Raja Dominique Senequier, est PDG d'Axa Private Equity Clara Gaymard, est à la tête de General Electric France Isabelle Parize, est vice présidente de Mangas Gaming Anne Leitzgen, dirige Schmidt Béatrice Cazala, est présidente de Bristol Myers Europe, Moyen-Orient et Afrique Martine Odillard, est DG de Chargeurs Catherine Charrier-Leflaive, est la future DG des assurances de La Banque postale Teresa Cremisi dirige Flammarion Pour l'étranger Craft Foods, PepsiCo, Facebook, The New York Times… sont dirigé par des femmes. Les femmes sont très minoritaires parmi les PDG d'entreprises. De là a dire qu'il n'y en a aucune… faudrait quand même pas pousser. >_< Non c'est faux >_< Le cerveau fonctionne différemment. On arrive à peu près aux mêmes résultats, par des méthodes différentes. Il n'y a pas de "supériorité" ou "d'infériorité", seulement des différences dans la façon de traiter et de voir les choses. Il y a une forme très malsaine de mysogynie dans vos façons de nier les différences entre les hommes et les femmes. Respecter les femmes, c'est aussi savoir respecter les différences qui font d'elles des femmes. Il n'y a aucun respect des femmes chez ceux qui nie leur différence. (et pire du coup, leur droit à la différence) :plus: :plus: :plus: Note que le féminisme n'a pas à être défendu que par des femmes. ça serait pas mal qu'on arrête de considérer qu'une femme serait plus légitime en tant que féministe qu'un homme. Surtout aujourd'hui, où la plupart des femmes féministes décrédibilisent leur mouvement. Si les femmes n'arrivent pas à trouver la voie de leur forces dans leur différences, alors c'est aux hommes de les aider à le faire… voir de le faire à leur place si elles s'entêtent à vouloir rester faible et victimes. Les femmes, seules, ne sont pas forcément les plus aptes à se connaître. Elles se focalisent sur les hommes, mais chacune d'entre elle connait en général beaucoup moins les (autres) femmes que les hommes. Elles sont plus apte à voir les qualités des hommes, beaucoup moins à voir les qualités des femmes ( leur concurrentes… ^^ ) Il est beaucoup plus facile d'être neutre et objectif lorsqu'il ne s'agit pas de nous. Il est aussi beaucoup plus facile pour les hommes de percevoir les fonctionnements généraux chez les femmes… alors que les femmes ne se connaissent surtout qu'elles-même. (Et je ne parles même pas de connaître les autres femmes dans l'intimité… ou dans un quelconque rapport homme-femme. Une femme ne peut avoir qu'une vision très partielle et très réduites des femmes. ) Idem. Pour connaître les hommes, je préfère nettement avoir l'avis d'une femme qui en a connu beaucoup, que l'avis d'un homme… biaisé et centré uniquement sur sa petite personne, ses intérêts, et sa façon de penser à lui. Et surtout très peu enclin à voir objectivement les "défauts" qu'il pourrait avoir, lui comme ses semblables. C'est à mon avis un handicap sévère de pas mal de femmes pour défendre leur "camps". Trop investies par leur propre intérêts et point de vu purement égocentrique, elles n'arrivent pas à prendre assez de distance pour trouver de réelles valeurs légitime à revendiquer, et décrédibilisent leur mouvement. Un peu comme les imbéciles considérant comme harcèlement (de rue) n'importe quel homme qui lui parle sans qu'elle en ai le désir… Tellement centré sur leur petit désir égocentrique qu'elles confondent leur désir avec le droit. Ou dit autrement, considérant que le seul droit que peuvent avoir les hommes, c'est de suivre leur désir à elle… >_< Alors qu'un droit, un vrai, se mesure justement dans l'autorisation de faire quelque chose même si l'autre n'aime pas ça. C'est le principe même d'un droit. Une femme à le droit de porter une jupe… même si ça gène le vieil intégriste sur son banc. ça c'est un droit. OR on a le droit parfaitement légitime d'addresser la parole à quelqu'un dans la rue. Et ce même s'il n'en a pas le désir. ça n'a rien d'un harcèlement, ça n'a rien d'illégitime, et ça n'a rien d'irrespectueux non plus. On a le droit de regarder quelqu'un, le droit d'exprimer son désir, son intérêt (tant qu'on ne l'insulte pas) sont des droits fondamentaux en réalité. Considérer que ces sentiments sont quelque chose de mauvais, ça c'est irrespectueux. Et si l'autre se sent géné, son vrai devoir, c'est avant tout d'apprendre à moins l'être. Tout comme le vieil intégriste. D'apprendre à se remettre en cause, et apprendre le respect de l'autre et de ses droits. D'apprendre à vivre avec ceux qui l'entourent en fait. C'est aussi simple que ça. D'arrêter d'écouter son propre désir, et prendre sur lui (elle), d'avoir la politesse d'écouter et d'échanger un minimum. Plutôt que de considérer de façon extraordinairement égocentrique qu'il est parfaitement normal que ce soit aux autres de changer, et de suivre son petit désir personnel… Et pas à elle de changer pour suivre un peu aussi le désir de l'autre. ( Je sais beaucoup de femmes, très rapides à dire que les hommes devraient se plier à leur désir, vont se récrier en entendant l'idée qu'elles aussi pourraient avoir à se plier un minimum aux désirs des autres… Alors que ça tombe sous le sens. Bin voyons… seuls les hommes devraient se soumettre… Et ça prétend vouloir l'égalité des droits ^^ )
  11. Mmmm dans ce que tu cites, je ne pensais pas au point de vu de la victime, plus du violeur. Je ne suis pas certain que le point de vu, ou le comportement de la victime change grand chose à l'histoire. Et plus à une convoitise qui se tisse dans la durée. Je pensais aux "viols d'amis". Où à ceux qui ont un égo surdimensioné et pas l'habitude qu'on les refuses (genre star couvert d'adulée devant une qui refuse… ) J'ai vraiment beaucoup de mal à imaginer la situation d'un type qui fait ça, sans frustration sexuelle, pour la première fois, devant une inconnue. Il me semble que pour que la convoitise soit suffisante pour pousser à l'acte… il faut quand même sacrément de convoitise… donc une relation longue. ( mais il y a tellement de type de viol différent aussi >_< ) Je pense aussi que ces comportements sont issues d'une habitude de ce genre de pratique. :/ Une habitude, comme tu dis, de ne pas tenir compte de l'avis de leur victime. Ce qui conduit effectivement à une "approche" pas particulièrement séductrice. Mais elle me semble une conséquence de leur volonté assumée de viol. Mais j'imagine quand même qu'il y a dû y avoir un temps où ils ont tenté, avant d'adopter ce cynisme destructeur. :/ ( Et pour le coup, sacrément sociopathe. ) ( PS : Excuse-moi si je parle franchement hein. :) Je sais que ça n'est pas forcément évident de parler de ça. :/ Et ne prend surtout pas mon point de vu comme quoi que ce soit d'autre qu'une recherche des causes qui peuvent pousser les hommes à agir ainsi, et à ce qu'on pourrait changer dans la société pour diminuer l'apparition de ces comportements. )
  12. Je ne blâme pas les femmes. Je dis que la tendance de notre culture pousse les mecs à s'asservir aux femmes pour obtenir leur faveurs. Et que les femmes en bénéficient, de fait. Toutes, et qu'elles le veulent ou non d'ailleurs. ça n'est pas parce qu'elles en bénéficient qu'elles en sont les instigatrices ou les responsables. Et je ne blâme même pas les femmes d'en bénéficier. Ces fonctionnement sont, pour la plupart, totalement inconscient. Si j'en ai blâmé certains, c'est les comportements de dénis, (je ne blâme jamais que des comportements ) qui visent à nier cet avantage qu'offre notre culture aux femmes, et ce lorsque ce déni vise en réalité à protéger ces prérogatives et ce petit confort offert par l'asservissement des hommes. La considération totalement hypocrite que les femmes n'ont jamais le moindre avantages dans la société, et que leurs comportements ne peuvent en aucun cas avoir de conséquences négative sur la société, et ne devraient en aucun cas être remis en cause… à tendance à m'énerver. Je pense que le problème trop culturelle pour le prendre individuellement. Tes comportements sont parfaitement normaux dans notre environnement culturel. Ce que j'aimerai remettre en cause, c'est cette culture elle-même. Ce qui ne peut se faire qu'à très long terme. L'idée, c'est d'arrêter de considérer que les relations "amicales" soient asexuées. Car elles ne le sont pas. Ou de considérer que s'il y a désir, il occulterai d'autres sentiments plus "nobles" (et même de considérer que le désir ne soit pas "noble", voir même irrespectueux. ) Aucune intimité n'est possible sans qu'il y ai désir partagé de part et d'autre. C'est notre culture infantilisante et fortement castratrice (autant des femmes que des hommes) qui nous pousse dans l'erreur de croire qu'il n'y a pas de désir entre amis… Ou que ce désir "casserait" quelque chose. Or c'est lors de ces amitiés que se créent beaucoup de frustrations. (Tu te souviens, je parlais du processus de l'obsession qui prenait un certain temps pour se mettre en place) Si la sexualité était beaucoup mieux considérée et naturelle entre adultes (ou adolescent), beaucoup plus libérée, et beaucoup plus mêlées aux sentiments réels qui peuvent se tisser dans l'amitié, je pense qu'il y aurait beaucoup moins de frustré, beaucoup moins de comportement irrespectueux au sein de la sexualité... et les couples n'auraient certainement plus à craindre de la prostitution, même gratuite. Car les relations seraient basée sur de réels sentiments, pas sur la frustration sexuelle. Le problème, c'est que notre modèle du couple, et notre culture, est basée depuis des millénaires sur des principes de prostitution des femmes et de frustration des hommes. C'est entre-autre pour ces raisons que la sexualité a été bridée. Les règles sociales, devenue morale voir religieuses, ont construit les relations homme-femme sur une frustrations sexuel de l'homme à l'extérieur et la prérogative d'avoir droit au "devoir conjugal" en échange d'un confort, de soins, et d'attentions matérielles "éternelle" pour la femme. Ce qui avait un sens dans une société où seuls les hommes possédaient les biens et pouvaient travailler pour obtenir les sources de richesses. Aujourd'hui nous avons fait sauter depuis longtemps ces prérogatives. Et donc la légitimité des femmes d'être entretenue par les hommes. Mais est resté la construction sociale du couple, basée sur la frustration préalable des hommes, afin qu'ils prouvent leur soumission à apporter un confort matériel et une stabilité affective… avant de leur accorder le droit à la sexualité. Et non après. Avantage en nature des femmes qui déséquilibrent fortement les relations, à une époque où elles ont autant accès aux richesses et au salaire que les hommes. Ce que je préfère d'ailleurs. Je pense cette égalité d'accès et de travail bien plus apte à faire naître des relations basées sur les sentiments plutôt que sur le besoin matériel. Reste à faire tomber cette fichu barrière de la frustration sexuelle, pour réellement baser les relations sur les sentiments. Or aujourd'hui, si une femme peut combler ses besoins "matériels" sexuels assez facilement, en acceptant simplement un homme. La prostitution reste la seule construction sociale qui permette d'équilibrer les choses côté masculin. Ce qui prouve en sois le déséquilibre existant actuellement, sur la facilité à combler ce besoin. Ce déséquilibre est peut être niée très facilement par les femmes, puisqu'il leur est bénéficiaire. Pour les hommes "l'aveuglement" au devant des avantages des femmes en la matières, et la nécessité de les "servir" pour obtenir leur charme est beaucoup moins évident. Et fini par être la source d'un grands nombres de ressentis. Qui, à mon avis, s'expriment par certain à travers le viol. (ou un mépris des femmes) S'ajoute à cela l'hypocrisie de la situations, car en réalité les femmes "exigent" des services (ou conseillent aux hommes d'être gentils, attentionné et serviables pour séduire … et les hommes écoutent malheureusement un peu trop les femmes lorsqu'ils s'agit de conseil pour les séduire. ) Mais elles ne sont réellement attirée que par les hommes qui ne les servent pas. Il y a un énorme décalage entre ce que la culture nous incite à faire, et la pratique réelle des femmes. Qui n'ont aujourd'hui simplement plus besoin du soutiens et de la stabilité que leur offre les hommes. Et donc ne lui accorde plus aucune valeur… Elles disent le contraire systématiquement. Mais ce sont des qualités qu'elles ne regardent qu'après être en couple. Jamais une femme n'irait se mettre en couple avec un homme simplement parce qu'il est "gentil et attentionné". ( Tu parlais du désir tout à l'heure ) Et je suis désolé de le dire, mais la séduction des femmes est en réalité bien plus basée qu'on ose l'assumer sur la pratique du viol. Par le passage par cet implicite nécessaire. Embrasser une femme sans lui demander la permission explicite avant, ce genre de choses. Si on lui demande, elle dira non… on n'est plus des gamins en primaire… Mais après ce comportement, elle constatera après coup -souvent étonnée- qu'elle s'est laissé faire finalement, que ça lui a fait plaisir… voir en redemande. Et que l'homme avait raison de la "violer" en l'embrassant. - même si elle n'emploierai pas le terme, dans les faits, c'est bien ça qui se passe. Comment voulez vous que les hommes apprennent à respecter ces barrières si c'est ce genre de comportement qui est réclamé et efficace ? Le problème à la base est là. Le viol est en réalité un composant implicite intégré à l'ensemble de nos processus de séductions. Le simple fait "ordinaire" de considérer que c'est aux hommes d'amener les femmes à baisser leur barrières, et aux femmes de se coller des barrières … afin de "sélectionner" ceux qui arriverons à les passer, c'est un comportement qui conduit à favoriser le viol. Barrière malheureusement nécessaire devant la "demande" trop importante, des hommes en manque sexuels. (pas des violeurs, mais des hommes en manque) C'est là où éliminer la frustration à la base renforcera les comportements équilibré de part et d'autre, en diminuant effectivement les "demandeurs" et malheureusement aussi pour les femmes les "services" rendu par cette population de demandeur. Mais elle permettra de retrouver un équilibre dans les rapports, et permettra aux femmes d'abaisser leur barrières sans avoir à exiger des hommes qu'il les abaissent pour elles. Et parfois même, (souvent) contre elles-même ! Va comprendre la subtilité entre abaisser une barrière qu'une femme s'impose à elle-même … ( parce ce n'est pas bien, parce que ce n'est pas convenable, parce qu'elles ne veux pas être une salope… parce qu'elle balise dans sa tête sur tout les possibles…) mais qu'elle n'attend qu'une chose qu'on l'abaisse pour elle… et un viol. >_> Je ne sais plus qui me parlait du passage à l'acte. Tout ce que vous apprenez aux hommes en réalité, c'est d'accepter peu à peu ce passage à l'acte, pour enfin poser les choses. ça fait partit des choses que j'ai appris avec l'âge. Qu'être trop respectueux des barrières des femmes, que de s'arrêter dès qu'elles disaient non… c'était la meilleur chose à faire pour rester puceau toute sa vie, et la dernière chose à faire pour leur plaire ou se faire désirer. C'est malheureux, et comprend bien que je suis le premier désolé d'avoir découvert cette réalité d'adulte. Je garde toujours secrètement en moi un enfant, qui aimerait qu'on puisse séduire les femmes en leur montrant combien nous somme attentionné avec elles, au petit soin, et tout près à leur faire plaisir. Je sais très bien que dès que je montre ce côté là de moi, les femmes fuient en courant. Et qu'elles ne s'intéressent qu'à celui qui saura "jouer" avec elles, et les poser dans des situations où elles "n'arrivent pas à refuser". Elles ne sont pas responsables, je suis aussi le premier à apprécier ces jeux. Mais la moindre des choses, c'est de comprendre que les plaisirs de ces subtilités ont comme prix des victimes de ceux qui n'ont pas le "niveau". 100% d'accord avec toi
  13. Mmmm oui tu as raison. Certaines valeurs peuvent probablement conduire à vouloir "accumuler" un certains nombres de "conquêtes", qu'elles soient ou non consentantes. J'ai malgré tout un peu de mal à croire que ce genre de valeur puisse devenir importante s'il n'y a pas eu, à la base, ou dans un certain passé, une frustration importante qui a pu conduire à placer aussi haut l'importance de la sexualité "pure" dans la vie de quelqu'un. Mais tu as raison. Ceci dis, je me demande quel pourrait être l'impact d'une pédagogie de la sexualité, sur ces personnes, qui manquent en réalité de certains "repères" qu'il n'ont pu construire dans leur enfance. Je pense l'abandon de la question de l'éducation sexuelle, par la pratique, est fortement responsable de cette situation, qui ne semble à mon avis pouvoir se construire que dans des milieux "isolés" culturellement parlant. La convoitise peut aussi cibler une personne particulière, qui nous refoulerai. Et ce même si nous avions accès à d'autres. Ceci dis… le comportement obsessionnel autours d'une personne prend souvent racine dans une frustration "pure", en réalité. Qui fini par être "sublimé" en "amour transi". L'obsession est un processus long à mettre en place. Et si, à la base, cette personne avait pu avoir accès rapidement à une autre personne pour le combler, elle ne serait pas forcément entré dans cette obsession sur cette personne là. En tout cas, je pense, avec beaucoup moins de force. Effectivement, les solutions que je propose ne résoudrais pas tous les cas de viols.
  14. Ce qui est amusant, c'est de voir que vous voulez parler du viol sans vouloir surtout vous pencher sur les problèmes déplaisants et déplacées. ^^ Ha oui… nous somme dans "société", il est tellement important de devoir respecter les convenances... Il faudrait surtout trucider les violeurs, mais surtout sans chercher à comprendre ce qui peut les pousser à agir. Ce qui vous débecte, c'est que je dévoile la sordidicité de ce monde. Et que les sources de ce sordide se situe dans les comportements quotidiens que vous pouvez vous aussi, avoir. Arrêtez de jouer les saintes nitouches. Vous savez très bien que vous profitez de la frustration des hommes. Rien de grave à ça. Rien de coupable non plus, puisque c'est l'ensemble de la société qui vous éduque ainsi. Mais j'imagine que ça doit être déplaisant de devoir assumer ses responsabilités. Il est tellement de convenance de dire que les femmes sont "pures", des princesses, la source de toutes les bonnes choses de ce monde… et que seuls les hommes sont "mauvais", que seul leur comportement est nuisible à la société Tellement facile de dire que les violeurs ne sont pas humains, juste des "démons" venu sur terre, et que surtout aucun comportement des autres (et des femmes qu'ils ont pu rencontrer dans leur histoire) n'ai pu influer, en aucune manière, sur leur état. À moins que je vous estime encore un peu trop… que vous sachiez que vous en profitez, mais que vous ne vouliez surtout pas qu'on touche à vos prérogatives. Ce serait risqué… on pourrait moins vous prendre pour des princesses, moins vous servir en fin de compte, moins vous mettre sur un piedestal et vous traiter en vérité d'égal à égal… ce qui serait une sacrée chute pour vous. Tsss si les hommes pensaient comme moi, ils ne vous serviraient plus pour votre cul, mais seulement pour le plaisir de vous faire plaisir… quel malheur ! Ils seraient libre d'arrêter si vous leur déplaisez trop. Ou si vous ne les respectez pas. ^^ Dangereux, effectivement. ^^
  15. C'est pour ça que j'ai toujours dis un des moteurs du viol. Même s'il ne me semble pas forcément le moteur principal, il me semble nécessaire au viol. Il existe d'autres comportements "sociopathe" engendrée par l'envie de domination, d'humiliation. Mais elle ne conduiront pas au viol s'il n'y a pas aussi un problème de frustration sexuelle à la base. Enfin, dans l'immense majorité des cas. (on peut toujours trouver des exceptions)
  16. C'est pour ça que je pointais non pas sur une légalisation pur et simple de la prostitution. Qui me semble extrêmement contre-productive. Mais d'un service de santé publique, libre et gratuit. Qui pourrait porter un autre rapport qu'un rapport marchand "obectisant" effectivement la femme (ou l'homme) : un rapport de soins, un rapport de pédagogie. Dans lequel le respect du "médecin" ou du "soignant" peut être respecté. Le tout pouvant être emprunt d'une volonté politique, d'éducation du respect de l'autre. Tout en permettant de toucher les populations les moins accessibles par les moyens traditionnels. Et qui permettrais aussi un éventuel suivit et traitement des comportement à risques avant qu'ils ne deviennent trop problématiques. Après, que la société actuelle soit très loin d'être capable d'appréhender la sexualité ainsi… oui. La plupart des gens méprisent la sexualité, et n'arrivent à la concevoir que comme une soumission… une double soumission dans le cas des couples… mais comme une simple soumission dans un rapport professionnel. Et non comme un moyen d'échange comme peut l'être un repas partagé avec quelqu'un qui a faim. :/ Je parlais de la publicité pour ça Le contenu des films et série étant hypersexualisé PARCE-QUE poussée par l'univers de la publicité, afin de poser le cerveau dans de bonnes prédisposition à l'encrage. (On dit que ce sont ces séries qui sont "réclamée" on oublie de dire qu'elles sont, du point de vu des chaînes qui les diffusent, réclamée PAR la publicité qui les payes plus cher… et non par le public qui les regarde gratuitement… ^^ ) Certains oui. Mais objectivement beaucoup moins. Si tu regardes les faits, sans être aveuglé par l'idéologie plaisante d'égalité des hommes et des femmes, non. Les hommes n'ont pas le même comportement vis à vis de la frustration que les femmes. Les hommes auront plus tendance à violer que les femmes. Après, que la cause soit culturelle ou naturelle… un peu des deux, et à mon avis beaucoup naturelle quand même. Reste qu'on ne peut nier que le viol concerne beaucoup plus les hommes comme coupable et les femmes comme victime. Oui, ça n'est pas un systématisme, et quelques hommes, trop oubliés, en sont aussi victimes. ce serait idiot de penser que pour autant les hommes et les femmes sont semblables en la matières. Du coup, effectivement, la recherche d'une solution ne devrait PAS faire l'impasse sur la différence malgré tout énorme du sexe sur ce comportement. Il serait peut être temps d'arrêter l'angélisme, et de considérer que puisque les comportements diffèrent d'un sexe à l'autre, il est aussi normal que des solutions soient plus adaptée à un sexe qu'à l'autre. Instaurer la prostitution comme un soin me semble, à court terme, favoriser beaucoup les hommes. Mais à moyen terme, une fois la chose devenue respectable, je pense que les femmes seraient les premières et les plus nombreuses à vouloir en bénéficier. Le fait qu'elles ne se transforment pas en violeuses ne signifient pas qu'elles ne souffrent pas elles aussi des frustrations. Elles le manifestent autrement, et bien souvent par un comportement tournée contre elle-même. Je ne les imputent pas à un sexe en disant que les femmes bénéficient des frustrations des hommes. Et que toute notre société s'est bâties sur l'apprentissage, aux jeunes filles, de ce fonctionnement. Les hommes comme les femmes participent à la mise en place de ces apprentissages. En tant qu'homme, j'ai été le premier à "servir" fidèlement des femmes de moi même, dans l'espoir de leur montrer ce que je valais et que je "méritais" qu'elles tentent un couple avec moi. Évidement, mais inconsciemment, je le faisais sur les femmes les plus capables de me frustrer sexuellement. Et donc de générer et d'entretenir un désir. (et de faire entrer dans un cycle masochiste où on se "sacrifie" pour l'autre ^^ ) ça n'est pas parce qu'aujourd'hui, avec un peu plus d'expérience, j'ai compris ces mécanismes et m'en suis sortit qu'ils n'existent plus dans la société, et qu'ils ne touchent pas un grand nombres de jeunes… et influent par la suite sur les (dé)considérations des plus vieux sur les femmes. Les femmes apprennent, tant par notre culture que par l'expérience, que la frustration des hommes leur apporte des avantages "plaisant". L'immense majorité n'ont même pas conscience de cette frustration qu'elles ont appris à provoquer. Reste que c'est ces mécanismes qui sont en jeux en réalité, et c'est la réalité des mécanismes qui m'intéressent, pas de déterminer un "coupable". Que cette société d'hyper-consommation poussent aussi les hommes à "consommer" et "jeter" les femmes aussi… oui. Mais au final, elle pousse aussi les femmes ainsi frustrée et rejetée à chercher à dominer plus encore les hommes à l'avenir, à être plus "exigeante", à plus "déconsidérer" les hommes, à être plus castratrices aussi, à réclamer plus de "preuve" préalable d'engagement, de services… avant de coucher. etc… Blessant ou frustrant des hommes… qui par la suite "consommeront" des femmes qu'ils considéreront et respecteront beaucoup moins. Il est connu qu'à chaque couple, on doit finalement arriver à régler les problèmes que les précédant ont légué à notre partenaire actuelle. Cette frustration est un cercle se propageant d'homme à femme et réciproquement. Je suis d'accord, personne n'en profite. Mais c'est là où la différence de comportement face à la frustration joue… et provoque de fait plus de violeur homme que de femmes. C'est aussi là où on voit que se préoccuper de la frustration masculine jouera AUSSI en faveur des femmes.
  17. Mais à ma décharge, je parles d'un faisceau de choses qui le favorise. Ou d'un faisceau de choses qui pourrait en diminuer la présence. Le problème étant que dans la réalité, le non n'est jamais pleinement non. Les femmes ont très souvent la volonté que l'homme devine ce qu'elles désirent, sans qu'elles aient à l'exprimer. Pire, l'explicite leur ôte tout désir, Et elles vont très souvent balancer un mec à qui il faudrait "tout dire", sans qu'il soit capable de deviner. Et tout l'art de la séduction des femmes consiste à toujours se placer DANS le lieu de ce non-dit. C'est une pratique culturelle, qui d'ailleurs vise à la soumission des hommes pendant le rapport de séduction. De façon plus pernicieuses, et inconsciente, elle place l'homme dans une situation de violeur systématiquement. Laissant à la femme le pouvoir de décider - si elle était d'accord - de laisser passer le truc, ou si elle n'était pas d'accord de culpabiliser l'homme. ( Je parle de comportement pré-coïtaux mais on leur attribue malheureusement la même charge que le viol… beaucoup sont près à considérer que leur adresser la parole alors qu'elles ne le veulent pas est assimilable à du viol… qu'un baiser volé est un viol… qu'un cadeau non consentit est un "viol"… si si j'ai connu ça aussi ^^ ) ça reviens à dire à quelqu'un : agit… et je te dirais APRÈS si tu es coupable ou pas, selon mon désir. Après, je suis soumis moi aussi à cette culture. J'aurai beaucoup de mal à accepter que nos pratiques de séductions se transforment en des comportments uniquement explicites et formels. (voir contractuels) Et j'apprécie ma capacité à "deviner" ce que désire les femmes, sans qu'elles l'exprime. ( Et quand on passe à un autre niveau, il y a aussi des différences considérables entre ce que désirent les femmes, ce qu'elles "acceptent de subir" à condition que ce soit l'homme le "méchant", ce qu'elles assument désirer, ce qu'elle acceptent "officiellement", ce qu'elles ont décidé et qu'il faudrait accepter, ce qu'elles tolèrent ou ce qu'elles ressentent… ) Reste que j'ai assez de lucidité pour comprendre que la limite entre le viol et le comportement autorisé ne repose bien souvent que sur la capacité d'interprétation de l'homme sur les barrières qu'il est ou non autorisé à "forcer". Qu'ils sera bien souvent fortement déconsidéré s'il respecte des barrières que la femme voulait ardemment qu'il tente de forcer. Et que ces déconsidérations des "respectueux" finissent par conduire certains à ne plus respecter les femmes. Dans le monde réel, mis à part le viol "évident" du violeur de rue, le viol n'est pas toujours si évident que ça. Je dirais même qu'à mon avis, il est rarement si évident que ça. Et il y a bon nombres de cas réel où le "viol" n'est déterminée qu'après coup… comme bon nombres de cas où bien qu'il y ai eu comportement de viol, la femme a tellement apprécié que ce sera vénéré comme quelque chose d'extrêmement positif. Si, c'est le cas ! Et même assez souvent le cas. Les femmes apprécient beaucoup que les hommes fassent sauter les barrières et les conventions que notre culture leur imprime jusque dans l'inconscient. La contrepartie, c'est que certains vont trop loin. Mais précisément dans le but de lutter contre le viol réel, je refuse de céder à l'imbécilité d'une chasse aux sorcières visant à caricaturer le comportement des violeurs. Cet aveuglement des "bien pensant" à seul but d'assouvir leur pulsions morbide sur des "coupables caricaturés" nous aveugle sur les problèmes réels à résoudre si nous souhaitons réellement combattre ces pratiques. Je pense que ces biens-pensant sont pour une petite part responsable des viols, en nous empêchant de les percevoir tel qu'ils sont, et en empêchant aussi les femmes de s'en préserver.
  18. Oui, quand un mec viole, c'est -entre autre- le résultat de frustration sexuelle. (ça n'est pas suffisant, mais c'est nécessaire. Sinon, il évacue ses problèmes autrement que par le viol. ) ça ne veux pas dire pour autant que lorsque nous faisons un couple, c'est uniquement pour combler nos pulsions sexuelles… Je ne vois pas le problème ou la contradiction que tu sembles vouloir soulever ??? Je te rappelle que je répondais à l'argument qui disait, grosso modo, que si les hommes avaient la possibilité de ne pas être frustrés sexuellement, ça ferai disparaître les couples épanouissant. >_< Ce qui sous-entendait que les hommes ne restent en couple, ou ne font des couples, QUE pour combler leur besoin sexuels.
  19. La différence porte sur la raison de cette violence. Si c'est seulement pour condamner un acte qui a fait du mal, c'est de la vengeance, pas de la justice. OR c'est ce que tu pointes. Tu veux que ceux qui ont la folie de vouloir faire du mal aux autres doivent être tué. C'est de la vengeance. La justice est plus objective. Elle ne prend pas en compte ce qui est bien ou mal. (c'est bien pour ça qu'elle peut être violante) Elle vise la construction d'une société. Or il y a deux choses essentielles que tu oublies dans ta volonté de vengence, c'est la possibilité de guérison de ce problème, et le fait que ces fous ne le sont pas par nature, mais qu'ils le sont devenu par le comportement de la société. En quelques sorte, ils sont les produits de cette société. C'est en ce sens qu'une société qui détruit des individus, pour les condamner à mort après n'est ni une société civilisée, ni une société juste. Nous parlons ici de fou. S'il ne s'agit pas de folie, mais de décision rationnelle, là on peut commencer à parler de la culpabilité de l'individu. Je serais catégorique, si tu parles de justice, on ne peut être responsable et donc coupable, que de ce que nous avons décidé nous-même. S'il s'agit de se défendre contre des individus dangereux, mais non coupables, nous avons d'autres moyens que la peine de mort pour protéger la société. Une véritable justice condamnerai ceux qui ont provoqué ce danger, à savoir la société elle-même si leur folie à été "produite". Et si leur folie est liée à leur nature elle même, un handicap mental, alors il n'y a tout simplement pas de coupable. Seulement un individu dangereux dont ils faut se protéger, mais qu'il n'y a aucune raison de condamner. Note qu'ici, je n'argumente pas forcément contre la peine de mort. J'argumente contre la condamnation de la folie. Se comporter illégalement ou irrespectueusement n'est pas un signe de folie. Le simple intérêt personnel peut conduire des individus à agir illégalement, et irrespectueusement. Pas besoin d'invoquer la folie dès que quelqu'un a un comportement qui te déplais. Je ne suis pas d'accord. Je ne vois pas l'intérêt de défendre les grandes industries qui "oublient" l'impact pédagogique que peuvent avoir la diffusion de masse d'une idéologie, et ce sans précautions aucune, afin de défendre les "intérêts" financier de la vente libre. Si la publicité ou ces jeux vidéos rendent réellement fous un certain nombres de personnes, ils sont responsable. Tout autant que ceux qui vendent un produit qui ne tuerai "que quelques pourcents" d'utilisateurs fragiles. (mais c'est de leur "faute", ils n'ont qu'à pas être fragile ! >_< ) Et ceux qui défendent la vente libre et massive de jeux qui rendent fous certains, uniquement pour leur petit plaisir personnel… sont tout autant coupable. Puisqu'ils acceptent bien de sacrifier des innocents, pour défendre leur petits plaisirs personnels d'acheter ces jeux en vente libre, sans avoir à se faire chier à prouver au préalable sa bonne santé mentale. Nier l'impact ou les conséquences négatives que peut avoir une pratique courante dans la société, c'est irresponsable. À fortiori si les conséquences réelles ne sont pas indiquées. Et encore plus si on ne laisse pas le choix aux individus de "consommer" ou non. (la pub, que je sache, est imposée aux individus. ) Cette irresponsabilité est encore plus condamnable lorsqu'il s'agit de défendre une pratique visant exclusivement l'appropriation du plus de richesses possibles aux dépends du reste de la société. Il ne s'agit pas de nier la culpabilité d'actes volontaires de criminels. ( Mais je croyais qu'on parlait de folie ? Il faudrait savoir ) La justice "immédiate" doit être soutenue par une réflexion politique réelle, cherchant à tarir à la source du problème, plutôt que de condamner à outrance des produits de la société. Lorsque l'idéologie politique vise à stopper la recherche des réelles sources d'un problème, pour défendre les intérêts privées, et ce au prix d'une violences "légale" qui devien(drai) nécessaire pour "juguler" les conséquences produites par la recherche de ces intérêts privés… ça s'appelle légaliser le crime organisé. Certes, c'est rentable. Mais de là a dire que c'est civilisé… ou même juste…
  20. Tu sais, philosophiquement, je n'ai rien contre la vengeance personnelle Ce qui me dérange, c'est la vengeance institutionnalisée. Les institutions sont garantes de ce que nous décidons être un comportement humain civilisé. C'est important, car c'est ce qui nous permet de nous sentir fière d'être humain, et d'être fière de faire partit de cette société. Je considère qu'être humain, c'est respecter la vie de ses semblables. Et ne pas tuer, ni les fous, ni les vieux inutiles à la société, ni les criminels… Non pas parce qu'ils faudrait leur pardonner, mais parce qu'ils sont humains. Un point c'est tout. ça c'est un acte civilisé, qui servirait de preuve que l'humanité a quelque chose de bon en elle, et qui me ferai me sentir fière de faire partit d'une société qui fonctionnerai comme ça. ( Un truc assez oublié dans l'organisation de nos société d'ailleurs… le besoin d'en être fière) Et je pense que c'est bien plus important que la différence de coût entre la peine capitale et l'emprisonnement à vie. ( Au demeurant, je suis partisans d'exploiter économiquement les condamnés, de façon à ce qu'ils rapportent à la société plus qu'ils ne coûtent pour leur entretien. Ce qui me semble la moindre des choses, et règlerait pas mal de problèmes. ) Après, je n'ai rien contre les vengeances personnelles. Je considère quiconque agit égoïstement doit assumer les conséquences de ses actes, encore plus face à quelqu'un qui agit comme lui. ça me rappelle une histoire. Un noble avait assassiné pour le simple plaisir quelqu'un. Et demandait la grâce au roi. Le roi, un type très intelligent, lui a répondu grosso modo : Je t'accorde cette grâce. Mais je l'accorde aussi d'emblée à celui qui te tuera pareillement ou par vengeance. Considérant que si on cherchait à s'extraire de la justice (par cette demande de grâce), on ne pouvait plus être défendue par elle. à méditer ^^
  21. Entre autre, effectivement. Car tu changes totalement le rapport de force si ça n'est pas le client qui paye. D'une part, tu élimines par ce biais la prostitutions mafieuses, puisqu'elles ne supporterons pas la concurrence déloyale. (les mafia ont toujours abandonné un truc devenu légal) Ce qui déjà en soit devrait être une raison largement suffisante. D'autre part, tu permets aux prostituées d'opérer dans des lieux descend et sécurisés, où elles seront en position de force si quelque chose se passe mal. Ce qui change aussi énormément les choses. À fortiori si c'est la règle pour pouvoir bénéficier de leur services. Tu permets aussi, par la légalité, de faire respecter la loi au sein de la relation. Ta boulangère, tu ne la frappe ou ne l'insulte pas, tout simplement parce qu'elle a les moyens de se défendre légalement. Ce que n'ont pas les prostituées illégales. De surcroit, les prostituées ne servent surtout qu'à ceux qui ont de l'argent. Elles bénéficient aux riches, pas à ceux qui en ont besoin. Le critère n'est pas social, mais uniquement pécuniaire. Or c'est précisément la population la plus "exploitée" qui est aussi la plus susceptible de violence, et de viol. Ceci dis, je rappelle que je n'ai pas parlé que de cette mesure. Une bonne partie des viols se font par des proches. Et la plupart du temps, à cause du célibat forcé de ces dernier, et des positionnements que peuvent prendre les nanas qui "souffriraient" de la concurrences des prostituées, en terme de servitude que les hommes acceptent de subir pour tenter de leur plaire et de les mettre dans leur lit. Il me semble aussi nécessaire de mettre fin à ces pratiques culturelle jugée "normale" aujourd'hui. Même si la libération de la prostitution aiderai beaucoup à aller dans ce sens. ( Surtout en "coupant l'herbe sous le pied" des femmes qui profitent de la frustration masculine. Rétablissant un rapport d'égal à égal. ) Une autre grosse partie proviendrai de l'interdiction de la publicité. Car de fait, c'est une industrie de la manipulation visant expressément la frustration de la population. Et à saper leur bien être, pour les maintenir dans un état de "manque" et d'infériorité permanente, et l'impossibilité de pouvoir se sentir avoir "réussit" sa vie. (Je pense d'ailleurs que c'est l'élément qui a le plus d'impact. Et pas que sur le viol, sur l'ensemble des violences sociales. )
  22. Elle est infiniment plus épanouissante qu'aucune relation du tout. C'est facile de comparer à mieux… Ta solution, c'est de fournir systématiquement un couple épanouissant à tout homme en faisant la demande ? Tu es sérieuse ? Et si une relation avec une prostituée est loin d'être épanouissante, alors les couples ne souffriront en rien de la concurrence. Les relations amoureuses basée uniquement sur le cul, et sur le fait de se "vider les couilles" sans avoir à chercher une nana bien loin, n'ont aucune valeur satisfaisante, je t'assure. Les relations amoureuses satisfaisantes ne sont pas basées sur la frustration sexuelle. Mais sur l'accord de personnalité, sur la volonté de vivre ensemble, sur la construction de quelque chose en commun, d'égal à égal… Sur l'intimité qu'on peut construire avec quelqu'un qu'on connait, et avec qui on décide de tisser sa vie. En fait, absolument rien de ce qu'apporte la prostitution. Donc elle ne nuirait en rien aux couples véritablement épanouissant Ouuu la débauche !! que c'est mal !!!! C'est tellement pire que le viol !!! Ceci dis, je te rejoint sur le fait que la prostitution peut mener à une corruption, si elle est menée à but lucratif. Entre un client et un "produit" qu'il a acheté, et non entre une personne qui fourni un service et quelqu'un qui en bénéficie. Si l'accès à se service nécessite un partenariat consentit de veiller chacun au plaisir de l'autre, on ne devrait pas tomber dans les travers de la prostitution classique. Peur de perdre ton homme s'il n'avait pas le cul pour rester ? ^^ As tu conscience que c'est considérer que ton homme ne reste que pour le cul ? Et que c'est extrêmement réducteur pour tous les hommes en couple qui aiment leur copine ? Il serait peut être temps de considérer un peu mieux les hommes. Ils sont capable d'avoir des sentiment eux aussi. Ils ne sont pas que des obsédé dirigés uniquement par leur besoins sexuels. >_< Non. À moins de considérer que les hommes sont incapable d'avoir de vrais sentiments pour des femmes, qu'ils n'auraient que des couilles. Et j'invite toutes les femmes qui pensent ça à se remettre sérieusement en cause, parce qu'elles participent à la déconsidération générale des hommes et à la culture du viol. (d'où vient à votre avis ce mépris pour les femmes chez les violeurs ? bah de ce mépris que vous exprimez pour la plupart sans vous en rendre compte sur les hommes. Cherchez pas plus loin. ) Ce qui déshonore la dimension psychique des relations amoureuse, c'est de baser le couple sur une manipulation grossière. Semblable à celle avec laquelle on apprivoise les chiens : je suis celui qui t'apporte toujours à manger, donc reste toujours à mes pieds, et n'aboie que quand je t'y autorise. Jouer sur le réflexe pavlovien pour fabriquer un "amour" de synthèse chimique n'a rien de très honorant, je t'assure. Faux. Ce qui gâche la vie de couple, c'est en tout premier lieux ses participants. Les prostituée n'arrivent que pour réparer les dégâts lorsqu'ils sont déjà fait. Et si elle n'était pas là, le couple se terminerai plus vite, c'est tout. ( D'ailleurs, c'est aussi le cas des amantes… C'est bien connu qu'elles renforcent les couples, et non le contraire. ) Faux. Et complètement tordu. Encore une fois, il faudrait sérieusement que tu arrêtes de considérer que les relations homme-femme dans un couples sont au même plan que les relations prostitué-client. Sérieusement. C'est un peu comme si tu considérais que ta relation avec ton garagiste salissait et méprisait les relations sociales et familliales saines.... La relation que tu as avec ton garagiste n'a RIEN d'une relation familiale. >_< Faudrait être sacrément atteint pour penser un truc pareil. Après, je suis d'accord. ça éliminerai pas mal de couples : ceux qui sont là uniquement pour combler les besoins sexuels, et qui n'apportent strictement rien d'autres. En résulterai une très nette amélioration des couples. Ne resterai que ceux basés véritablement sur les sentiments, l'envie d'être ensemble et de construire quelque chose, et non sur les réflexes pavloviens. Mais bon, je sais très bien que je touche là à la source de la domination féminine sur les hommes, dans cette société où les hommes sont fortement dominés. Et que très peu d'entre elles sont prête à vouloir jouer à jeu égal avec des hommes qui ne seraient pas frustrés, et donc pas à leur pieds. Quitte à sacrifier certaines de leur semblables au viol, pour conserver leur pouvoir individuels. Mais c'est tellement plus important de pouvoir traiter son mec comme un petit toutou ! ^^ C'est précisément pour ça qu'il y a, et aura toujours des violeurs. Tant que les femmes chercherons à préserver leur prérogatives leur permettant de dominer et exploiter les hommes. Tant qu'elles considèreront que c'est "normal" qu'elles puissent tirer avantage (autre que sexuel) de la frustration des hommes. Tant qu'elle accepterons de se comporter comme des prostituées, ( et donc d'en souffrir la concurrence. ) Mais qu'on ne viennent pas me dire que les femmes ne dominent pas les hommes, si la simple perspective de se retrouver face à des hommes non frustrés leur fait craindre pour leur petit pouvoir personnel au sein de leur couple. Le problème est effectivement là. La cause véritable des viols, c'est bel et bien la chape de plomb du pouvoir que les femmes détiennent sur les hommes dans notre société. C'est aussi, de mon avis, la cause du taux de suicide 4 fois supérieur des hommes par rapport aux femmes.
  23. Bah justement, je trouve intéressant que pour une fois, on pose un débat sur une autre question que ce que c'est que "Dieu", ou "quel dieu", mais enfin sur un autre concept bien plus enrichissant : la croyance. Une chose que j'ai toujours regretté sur les forums généralistes, c'est que cette question du concept de Dieu efface toutes les autres questions du domaine religieux ou spirituel, alors que c'est très loin d'être le plus important.
  24. Sauf que je te parle d'éliminer les frustrations. Pas de supprimer quelque chose d'utile à notre épanouissement. On s'en fiche que d'autres en profitent, si ça élimine la plupart des viols. tu serais prête à abandonner une solution seulement parce que d'autres en profiterait ? C'est quoi le problème ? Les mesures que je propose affecterai profondément les moteurs du viol, mais aussi de la plupart des agressions, des problèmes de santé, et des affections au bien-être de façon générale.
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