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Tout ce qui a été posté par Titsta
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Nan mais il n'y a pas de faillite d'une entreprise qui n'a pas d'employés… Vous savez, les grandes familles font posséder leur bien par des entreprises, et les membres de la famille se transmettent des parts de cette entreprise. Vous savez, une entreprise, c'est pas forcément un truc qui emplois des gens ou qui produisent de la valeur. Le modèle de la société avec sa personnalité morale, c'est très utilisée pour gérer des patrimoines familiaux, étalés sur plusieurs dizaines, ou centaines de membre de la famille. (bon, à la centaine, il y a surement des employés aussi…) Pourquoi croyez vous qu'on fait des lois pour supprimer les droits de successions sur la transmission des entreprises ? Vous croyez vraiment qu'on parle des entreprises-travail avec des salariés et un chiffre d'affaire ?
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J'avais fait un pavé pour répondre à morfou ou j'avais abordé ces nuances, puis je l'ai effacé pour raccourcir. C'est subtil parce que dans notre monde les chefs d'entreprises sont des "dictateurs suprêmes) et le mélanges de plusieurs choses. Enfin, ceci dis, si vous connaissiez un petit peu le monde associatif, vous comprendriez aisément… perso j'en ai croisé d'excellent directeurs, mais moins payés que leurs employés. ça se voit aussi parfois dans les services publics. Quelqu'un peut être chef, c'est pas pour autant qu'il gagne plus que ses subordonnés, ou qu'il a le pouvoir de décider de son salaire. Et je ne vous parle même pas du monde artistique, par exemple le cinéma, ou les chefs sont parfois pas payé du tout, alors que les acteurs le sont… ( Bienvenu dans le monde réel. ça me fait toujours marrer de faire découvrir le monde du travail aux gens persuadés de le connaître parce qu'ils ne connaissent que le monde de l'entreprise ) Vous savez, c'est probablement pour ça que certaines évidences sautent mieux aux yeux des gens de gauches, ils ont plus l'habitude de côtoyer des structures différentes, et ont une conscience beaucoup plus fine des postes, rôles, mérites… et donc des choix réellement possible en matière d'organisation du travail. Alors que les mecs de droites, à part l'archaïque mode tribal du chef de clan, ils connaissent souvent pas grand chose. Bref. Comme je l'ai dis, un dirigeant d'entreprise n'est pas un propriétaire, c'est un métier. Un métier peut être affecté à un esclave, par la contrainte de la force (Si tu ne fais pas bien ton travail, tu es mort et c'est tout). Il peut être plus ou moins bien payer… tout ça c'est des choix de société. C'était d'ailleurs le cas dans l'antiquité, tant en Egypte que dans la Rome antique qu'en chine… Les dirigeants qui effectuaient le travail de direction étaient commandités par les nobles. Les nobles ne travaillaient pas, c'était même interdit au moyen âge. Ils ne se préoccupaient pas d'argent et encore moins des ressources ( c'était indigne de s'occuper de ces choses là. ) Ils bouffaient et profitaient de ce qu'ils avait sur leur terre. Mais ils ne travaillaient pas. Ils dirigeait encore moins des entreprises. Ils commandaient de loin à quelqu'un de s'occuper de ça, et s'il déplaisait un peu trop au seigneur ce quelqu'un se faisait trucider. à la limite, pour entreprendre (plus qu'un petit artisanat), on pouvait en glisser l'idée au noble qui nous accordait une licence, et nous autorisait à piquer les ressources dont on avait besoin dans le "bien commun". ( c'est à dire le peuple… ) Les nobles n'avaient aucun "mérite", et pas même d'argent. À la limite, ils retiraient une gloire aux réalisations qui étaient faite en leur nom. ( mais la gloire, c'est autre chose encore que le mérite. Certaines gloires ne sont pas mérités ) Le maître (ou le noble), c'est un statut (un être). La propriété c'est une possession (un avoir). La direction d'entreprise, c'est un métier (un faire. un savoir-faire). La propriété est un peu un droit aussi, dans le sens où c'est la force civile qui peut la faire respecter, mais notez que la notion de propriété n'existait pas à la renaissance. (ou plutôt est vaguement apparu pendant la renaissance…) C'était plutôt le droit d'usage ou de tradition qui primait. La notion de souveraineté était bien présente aussi. Et tu n'étais propriétaire que de ce que tu utilisais et de ce que ton souverain te laissait avoir. ( Si tu était propriétaire d'une maison et que tu la laissait quelques années avant de revenir… si elle était occupée, elle n'était plus à toi. Tu pouvais te plaindre au seigneur qui tranchais éventuellement, mais pas forcément en ta faveur. ) Si on veux aller plus loin dans les nuances, le monde occidental associe systématiquement l'autorité avec le pouvoir, mais même cette association n'est pas obligatoire. Certaines sociétés amérindiennes séparaient ces deux fonctions. Celui qui avait l'autorité, c'était l'ancêtre, celui qui avait le pouvoir c'était le chef de guerre. L'autorité ne donnait quasiment jamais son avis, et ne faisaient souvent qu'écouter les autres parler avant de prendre sa décision. (on a appelé ça plus tard la démocratie). Le chef de guerre faisait ce qu'il voulait, et dirigeait la tribus, dans le sens où on lui obéissait (c'était le chef quoi). Mais si l'autorité avait parlé et que le chef n'en tenais cure, les gens y mettaient beaucoup moins de bonne volonté. ( distinguer pouvoir et autorité, c'est des principes intéressants, même si ces distinctions nous sont peu familières. ) Bref, toutes ces notions, autorités, pouvoir, souveraineté, propriété, direction, ça peut être tenus par des gens différents. ça peut être tenu aussi par des démocraties, donc des collectivités sans chef. ( parce que la démocratie n'a pas de chef, sinon ça n'est pas une démocratie. ) Une démocratie locale pourrait donc désigner même contre son consentement, un chef pour diriger une entreprise de fabrication de tuiles, et griller le mec sur un bucher si jamais les gens ne sont pas satisfait du résultat. Vous savez, tellement de chose sont possible en terme d'organisation humaine… c'est triste de voir à quel point votre monde est limité uniquement à ce que vous connaissez… l'entreprise privé capitaliste moderne. Vous ne vous rendez pas compte à quel point on est libre de choisir tellement de choses dans nos organisations.
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En Chine, Carrefour retire de ses rayons des lots de viande de chien
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kira dans International
C'est quoi être bien traité ? C'est une bonne question. Ma réponse va tenir aux raisons pour lesquels je pense qu'on doit avoir un comportement particulier. La première, c'est que nos comportements et nos règles doivent être construites sur ce que nous définitions comme un comportement "humain". C'est important et subtil, car la question ne vient pas des animaux ou de ce qu'ils ressentent, mais de notre définition de nous-même. Qu'est-ce qu'être humain ? C'est à dire, quels sont les comportements que nous aimerions avoir pour nous sentir digne, voir même fière, d'être des humains ? Car c'est ça la vraie question, et le seul véritable motif puissant pour adopter un comportement éthique. Et non se cantonner à une mesure de l'efficacité "technique" ou "scientifique" objective. Note que c'est aussi valable pour les comportements entre humains, ou entre nous et la planète. Ce premier principe ne dis pas comment, mais quel effort apporter. La deuxième est le principe permettant une graduation de valeur entre les "individus" (animaux, plantes, choses…). Donc une graduation de l'attention à porter à ces individus. C'est un principe de respect de la conscience. La conscience, ça n'est pas que la sensibilité, c'est la capacité à percevoir notre propre perception. ça exige une certaine complexité cérébrale. C'est la conscience qui permet de passer de la simple sensation à l'émotion, et la mémoire permet le passage des émotions au sentiment. Attention, je parle de respect de la conscience, pas de respect de la vie. ( Parce que je ne respecte pas les microbes, même s'ils sont vivant. ) Une chose n'a même pas de capacité de perception. Une plante ou des êtres unicellulaires me semblent très limitée sur le plan. Les insectes me semblent avoir une perception, mais très mécaniques, et peu de conscience. Au delà, les chats, chien, cochon… me semblent avoir une conscience et une mémoire très évoluée, donc une capacité de sentiments élaborées. Note aussi la nuance vis à vis des consciences non-vivantes. Les intelligences artificielles ont depuis longtemps des capacités de perception, mais commencent à avoir des capacités de conscience d'elle-même. Le respect que nous leur devons devrait croître en parallèle avec celui des animaux. Ce deuxième principe développe plus la manière de traiter les animaux. Une attention à leur souffrance physique (douleur). À leur émotions (peur). Voir, en particulier pour les animaux domestiques, à leur sentiments. Un troisième principe, c'est celui de la pénétration de certaines espèces dans notre imaginaire collectif. Les lions, les tigres, les éléphants, les gorilles, les dauphins, en plus d'être sensibles, ont très fortement imprégnés la culture humaine. Leur espèce doivent à mes yeux être protégées de la disparition, et conserver une certaine forme de liberté "sauvage", même au prix de vies humaines ( donc plus seulement sur des considérations économiques ) Certaines espèces inconnues, ou très peu connus sont moins "prioritaires" à mes yeux que celles qui ont imprégnés notre histoire. Parce que ces dernières provoquerons un manque, donc une souffrance humaine, bien plus importante chez nos enfants. Qui nous en voudrons de les avoir fait disparaître alors qu'ils regorgent dans nos histoires et dans notre Histoire. Il s'agit d'une blessure définitive de l'humanité elle-même, que je souhaiterai lui éviter si on peut y parvenir. Voilà, donc : la dignité que nous souhaitons obtenir pour notre propre espèce ; le respect de la conscience de la sensibilité au sentiments ; Et la pénétration de l'espèce dans notre culture et notre imaginaire collectif. -
Tu peux développer, plutôt que de te vautrer dans la subjectivité ? Fait un effort, je suis objectif, précisément pour qu'on puisse me montrer clairement où me raisonnement ne marche pas. Et toi, tu ne dis absolument rien de ce que tu penses (justement) Si tu remet en cause mon objectivité, tente un peu plus qu'un chantage émotionnel pour le faire. Si tu n'arrives pas à trouver une faille, c'est que mon raisonnement tiens debout objectivement. C'est l'avantage de l'objectivité dans un débat, tu peux ne pas être d'accord, mais tu es forcée de reconnaître que tu ne trouve pas de failles logiques et rationnelles. ça peut être fatiguant, voir attristant. Mais ça n'en fait pas un discourt non-objectif. Je dirais même, c'est précisément parce que mon discourt est objectif que tu n'arrive pas à le contrer (autrement que par de la subjectivité) Après, nous n'avons peut être pas le même sens au mots. Peut être confond-tu objectivité et neutralité ? Est objectif, celui qui exprime des hypothèses et des raisonnements, parle de possibilité, de faisabilité, de causalité. J'ai une pensée et une expression profondément objective. Je parle très peu de mes sentiments ou de mes affects, et je ne suis pas convaincu par les seuls sentiments et affects des personnes en face. La neutralité ça n'a rien à voir, c'est ne pas prendre partit. Mais ont peut être neutre totalement subjectivement. Et avoir un discourt engagé totalement objectif.
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En Chine, Carrefour retire de ses rayons des lots de viande de chien
Titsta a répondu à un(e) sujet de Kira dans International
ça résume bien mon avis. La défense animale ferait mieux de s'intéresser aux conditions d'élevages des animaux, que de faire du spécisme en catégorisant les "bons" animaux qu'il ne faut pas manger, et les "mauvais" que ceux-là, on peut tuer et manger tranquillement. ça va finir en religion ces conneries là. Je n'ai jamais appréciée les ingérences culturelles basées sur du racisme (cette foi), dans le style : bouuu ils font pas comme nous. C'est des méchant. Et non sur des arguments ou des valeurs réelles. Qu'on laisse vivre les gens selon leur coutumes bordel ! Où comment voudrez-vous après aller justifier qu'ils n'ont pas le droit, eux, de dire comment on devrait vivre, nous, selon eux ? Parce que eux c'est des "sauvages" ? (le racisme est là, on le voit) Question principe, moi : Je suis contre la violence animale. Pour qu'on fasse des conditions d'élevage digne, suffisante pour qu'on puisse être fière de notre humanité, même si ça monte le coût de la viande. (dont, de toute façon, il faut réduire la consommation pour des questions de santé) Je suis pour la distinction animaux de compagnie - animaux d'élevage. Qui ne porte pas sur l'espèce, mais sur la manière dont sont traité les animaux tout au long de leur vie. Si tu as une poule dans ton jardin, c'est un animal de compagnie. Tu as tisser des liens affectifs avec. Et c'est à ce titre que ça me semble important de juguler les comportements humains, envers tous individus qu'ils côtoient quotidiennement. (ceux qui martyrisent les animaux sont des pervers à juguler légalement, et s'ils prennent l'habitude de le faire avec des animaux, ils auront moins de problème à le faire avec les humains aussi… de surcroit ça semble être des signes symptomatiques d'un problème dont la société devrait peut être s'occuper avant que ça empire… ) De plus, les animaux de compagnie impliquent un dressage, donc une acceptation de l'animal dans notre société humaine, et une acceptation de sa part des règles qui font notre communauté. Plus que l'espèce, c'est l'acceptation réciproque qu'il me semble falloir reconnaitre. Par contre, les animaux d'élevage, tant qu'ils sont bien traité et qu'il ne s'agit pas d'espèce en voie de disparition, ça ne me pose pas plus de problème que ce soit des chiens, des vaches, ou des cochons. Je vois pas sur quel principe on autorise à bouffer des cochons, et on interdirai les chiens. Les cochons aussi, c'est affectueux et intelligent. >_< -
Non, tu n'as pas compris. ça n'est pas ceux qui essayent de se faire connaître pour représenter des idées. C'est ceux qui réussissent à vendre leur petite personnes aux yeux des médias. Où as-tu vu une idées chez Macron, avant les toutes dernières semaines de la présidentielle ? ^^ Et il était pourtant déjà en tête des sondages. Ceux qui sont vraiment intelligents, et qui cherchent réellement à faire connaître des idées sont rarement les mecs avec un égo démesurés qui préfèrent mettre en avant leur personne La remise en question de soit, nécessaire à la compréhension fine du monde et des idées, est très peu compatible avec le narcissisme. La pédagogie demande une humilité très peu compatible avec le narcissisme. De surcroit, choisir une personne, c'est une chose, choisir des idées une autre. Je ne vois pas pourquoi on devrait à tout prix mélanger les deux. Et les élus n'ont pas à être compétent. Ils ont des conseillers pour ça. Ils ont seulement à être responsables, et écouter réellement les gens compétents. Ce qui, encore une fois, est assez incompatible avec le narcissisme. Et encore moins avec les critères de sélections des médias. (qui préfèrent montrer les exubérances, casseroles, provocations, ou bêtises profonde etc… ) Et encore moins quand on élit très connement quelqu'un sur la base de son propre programme. Ce qui est une démarche monarchique, et certainement pas démocratique. C'est les roi qu'on élisait, en démocratie, c'est le programme qu'on votait. Note la différence entre voter un programme et élir quelqu'un. élir, c'est un terme monarchique-religieux. C'est les religions qui ont des "élus".
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PS : Et je n'ai dis aucune connerie sur le terroriste de nice. C'est d'ailleurs ce bisexuel drogué, alcolo et bouffeur de saucisses de porc qui a continué de me mettre sur la piste que les terroristes de Daesh n'étaient pas musulman pour un sous, et que ça n'avaient strictement rien à voir avec la religion.
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T'as vraiment rien compris au fonctionnement du monde du travail toi. >_< Le président consulte les syndicats. ll les laisse parler, fait des oui-oui de la tête d'ange et de jolis sourire. C'est une astuce archi éculée des dirigeants d'entreprises pour diviser les syndicats, bloquer l'opposition, et calmer le jeu quand il y a du grabuge dans l'air… Avant de sortir d'un coup la version réelle et pleinement sodomite, quand les syndicalistes seront en vacances. T'es vraiment à l'ouest. Mais pas qu'un peu. Tu as déjà lu un bouquin de management sur la gestion des conflits sociaux ? Ce type est tellement un premier de classe qu'il agit comme un livre ouvert bordel ! Ouvre les yeux ! J'en ai strictement rien à foutre qu'il consulte les syndicats. Vu qu'il n'a jamais déclaré qu'il allait poster ce qu'il avait convenu avec eux. Arrête d'essayer de m'enfumer avec une démagogie de maternel. Qu'il laisse la démocratie voter ces putains de loi, plutôt que d'agir comme le dictateur fini qu'il est. Et je n'ai jamais dis que Mélanchon n'avait pas de fantasmes, je ne suis pas Mélanchon ok ? Il a ses fantasmes, c'est très bien. Et comme je ne suis pas débile, je comprend très bien quand il dit qu'il pourrait décrocher une majorité qu'il s'agit de re-motiver des électeurs qui sont totalement défaitiste alors que les choses ne sont pas jouée. Toi t'es un peu simplet sur l'analyse politique. Mais ça aussi, c'est un peu du livre ouvert. Par contre, le passage dans le droit commun des conditions de l'état d'urgence… ça c'est pas un fantasme ok. C'est une crainte parfaitement légitime, et le fait que tu ne la partage pas ne montre QUE ta profonde illusion. Donc arrête de militer un moment. Et pose toi la question : quelle est la limite que je pose à ce président ? Je me fiche de cette limite, mais pose nous cette limite, et dis nous où est-ce que tu arrêtes ta chute abyssale ? Je ne te parle pas élection là, je te parle après. Moi ce qui m'inquiète, (et je suis réellement inquiet), c'est pas les élections que je pense jouée d'avances. C'est des endoctrinés dans ton genre qui sont capable d'aller jusqu'aux assassinat de masse avant de commencer à se poser des questions, à rebrancher leur cerveau et leur esprit critique, et se rendre compte qu'ils étaient aveuglé… tout con qu'ils se retrouvent devant les faits qui auraient dû leur percer des œillères en kevlard. J'ai pas envie que tu sois un profond imbécile qui constate après le désastre que "tu avais été aveuglé". Rebranche ton esprit critique bordel ! ET arrête avec ta défenses de criminel "y a présomption d'innocence tant que rien n'est prouvé"… ( Rien que le fait que tu n'ai que ça comme ligne de défense est franchement effrayant. ) Et répond réellement aux questions qu'on te pose. QUAND ÇA SERA PROUVÉ, QUEL SERA TA RÉACTION ! QUEL EST TON AVIS SUR CES RÉFORMES ! Mouille ton calçon un peu, bordel. Si c'est seulement pour empêcher les gens de réfléchir et flooder, sans jamais donner ton avis, dégage du forum. Je suis sérieux. Le flood et le troll est interdit par la charte du forum. T'as déjà assez fait le con pendant les présidentielle. ( Je n'ai jamais compris ce plaisir que tu pouvais ressentir de passer pour un con au yeux de tout le monde… mais bon… )
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Le principe même de la représentativité ne permet que de choisir ceux qui ont les moyens d'être connu. Donc ceux déjà en poste, les provocateurs incompétent et terrifiants, ceux qui ont beaucoup d'argent ou de soutiens du monde de l'argent, ou ceux qui ont la faveur des médias ( donc le soutiens du monde de l'argent… car les médias ne sont pas indépendant dans notre pays. ) C'est un système basé sur la réputation d'une personne… elle ne pourra poser en lice QUE quelqu'un de profondément névrosé par l'exposition de sa personne. Donc très vite, avec un égo démesurée. Le système de la représentativité est un système facho par excellence. Ceci dit, le problème n'est pas tant dans le choix de la personne. Puisqu'il est difficile de faire autrement. Le problème est dans le choix des idées et du programme, pour lesquels par contre, il serait très facile de faire autrement. La représentativité est une faille majeur dans le fonctionnement démocratique, mais vouloir à ce point confondre le choix de la personne et le choix du programme à appliquer est d'une connerie monumentale. On devrait choisir le programme sur la base des idées elles mêmes. PUIS choisir quelqu'un qui serait seulement chargé de l'appliquer. Et qui serait viré s'il ne l'a pas appliqué. C'est tout. Les propositions d'un programme ne doivent pas êtres des promesses, ça doit être sa mission. Et lui un exécutant de la volonté du peuple. C'est ça la démocratie. Le pouvoir du peuple, par le peuple, pour le peuple. C'est les rois qu'on élisait autrefois. ça serait bien de se souvenir d'où ce dispositif provient. C'est un dispositif monarchique, pas démocratique.
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Juste la preuve qu'il ne s'agit pas d'un fantasme. Mais bien d'une crainte légitime, qu'on peut soumettre à réflexion. Par exemple : s'il le souhaite, qu'est-ce qui l'en empêche ? Puisque les lois ne seront pas votés par nos élus ? Mais attend la version officielle, tu verra bien. De toute façon on ne pourra pas la changer quoi qu'on fasse. Je te demande seulement à ce moment là de te souvenir que c'était ta limite d'acceptation pour la défense de ce gouvernement. Bien que je te pense encore plus sensible à la protection de nos droits concernant notre vie privée… comme la possibilité pour la police de faire des perquisitions sans avoir besoin de l'accords d'un juge (donc des présomptions appuyées sur des preuves), ou de pouvoir assigner quelqu'un à résidence (donc enfermer des gens chez eux) dans les mêmes conditions. Parce que c'est bien d'être motivé, mais s'engager aveuglement sans même réfléchir posément aux limites de confiance aux delà desquels tu cessera ton soutiens… c'est dangereux. C'est comme ça que l'aveuglement conduit aux pire atrocités imaginable. Moi je l'avais fait pour Mélanchon. Et on devrait toujours le faire sur toutes personne à qui on donne du pouvoir : le doute et l'esprit critique. Ton acharnement sur Mélanchon t'as fait oublier d'avoir un regard sur notre président et qui il était vraiment.
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La "farce insoumise" utilise un peu plus les notions de classes que les autres quand même… (euphémisme) Plus que la notion de classe, que je pense un peu inadéquate du la trop grande inhomogénéïté de la classe moyenne aujourd'hui, c'est la notion de rapport de force dans la société qui a été totalement oubliée. Les gens s'imaginent que les élections et les campagnes sont une tentative pour déterminer qui a "raison"… alors qu'il ne s'agit pas de savoir qui a raison, mais de savoir qui va enculer qui. Il n'y a aucune recherche de vérité là dedans, seulement des rapports de forces. Aucun partit n'a "raison" ou "tords", ils mettent la raison au service de leur rapport de force. Pour servir la lutte de ces rapports de forces, on a même tendance à tuer la raison. Cf le comportement de DDR pendant les présidentielles. Ceci dis, l'obscurantisme concernant la critique rationnelle et scientifique de Marx est "en marche". Cette pensée est tellement pertinente et proche de la vérité, que TOUS les efforts de la classes des dirigeants visent à la ridiculiser sans jamais exposer ses principes, à la juger dépassée, voir maintenant des institutions à retirer tout bonnement l'étude du marxisme des programmes. véridique. Le communisme n'est même plus étudié au bac économique et social, on l'a remplacé par la finance bancaire, qu'on essaye de faire passer pour de l'économie… (alors que ça n'en est pas) Et pire, comme seule façon dont fonctionnent les entreprises… alors que non, le financement de la petite épicerie du coin, ou de la PME de 200 employés n'a absoluement rien à voir avec l'organisation financière des banques. Bref, l'endoctrinement dans les classes bas sont plein. On est après tout dans "l'école de la république", conçu pour fabriquer de bons petit soldats pour les multinationales.
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Tu veux dire que c'est du même niveau que considérer que Mélanchon est un dictateurs communiste parce qu'il disait vouloir discuter avec Poutine ? Ou parce qu'il voulait tisser des liens diplomatiques et économique avec la première puissance pétrolière du monde, en opposition franche avec les états unis ? Un type qui prône d'instaurer des mandatas révocatoires contres les élus, même le président, et de laisser le peuple entier (droite comprise) décider de la nouvelle constitution avant de démissionner… Je suis content que tu reviennes un peu à la raison, et constate que tu avaient l'argumentation d'une huitre. J'espère que t'être transformé en huitre ne t'aura pas fait totalement fondre l'esprit critique envers le gouvernement, que ta période "militant décérébrée" est passée, et que tu ne suivra pas aveuglément Macron où qu'il aille et quoi qu'il fasse seulement parce que tu as déshonoré ton cerveau en militant très connement pour lui ici. Note que je ne milite pas spécifiquement en ce moment. Je m'inquiète de l'embrigadement profondément débilisant que je constate tout autours de moi chez de plus en plus de gens.
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Je me fiche totalement de FO. Des combines syndicales, ou de leur appréciation de la méthodes (parce que l'article ne fait que dire qu'il approuve la méthode… pas le fond) FO n'aura aucun pouvoir de décision, ni la moindre influence sur ce qui sera fait. Ils peuvent leur raconter des bobards complets et faire totalement autre chose. Donc la méthode, je m'en branle sévère. Ce que révèlent les articles du monde, c'est pas la méthode, c'est ce qui est préparé. Je n'ai pas besoin de FO pour les juger et les apprécier par moi-même. Je note quand même que tu exprimes très clairement que les réformes que j'expose sont du délire. J'espère que le jour où elle passerons, tu te rappellera de ton propre jugement sur ces réformes. Que c'était délirant. Et donc le fait que tu considérait à l'époque que c'était pour toi une cause profonde de scission d'avec Macron et sa politique.
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C'est deux approches possible. Il y a la version "les élites" manipulent les populations et les asservissent de force, et la version "on a les dirigeants qu'on mérite", que j'aurai même tendance dans échecs révolutionnaires ou démocratiques à décliner carrément en "on reproduit le système qu'on souhaite réellement au fond de nous". C'est une impression, mais j'ai l'impression assez forte quand j'avais des inclinaisons avec les communistes, qu'il existait en eux une volonté réelle de domination de l'état sur toutes choses. Donc qui répondait à une volonté de soumission. Je ne parles pas des anarchistes, mais bien des communistes classiques. Je pense que cette volonté de soumission, assez instinctive à mon avis, est a rapprocher dans le fond de celle des capitalistes aux chefs. Même si la forme est différente. (respect des institutions civiles pour les communistes, respect de la hiérarchie pour les gens de droite) Similitude sur le fond qui explique la similitude dans l'organisation (et même la planification) de la société sous les deux systèmes.
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Justement, le divorce n'est pas forcément la fin de la famille, en particulier lorsqu'il y a des enfants. Le mariage, et le divorce concernent la création ou la disparition d'un foyer, donc de la vie commune. Le gros problème du divorce, encore une fois, est lié au bordel de l'indivision. Et à la re-distribution à des individualités indépendante, de bien communs… alors que la famille réelle continue de fait d'exister. Il faut toujours prendre des décisions commune pour les enfants, et certains biens pourraient très bien rester commun, même s'il y a disparition de la vie commune. Si la famille était déclaré comme "personne sociale", ses membres pourraient clarifier au moment d'un divorce, s'ils quittent ou non la famille. Ce qui permettrai de distinguer et de clarifier énormément de situations. Le divorce "sans quitter la famille" demanderai aussi de redéfinir les changements au seins de la famille en terme d'organisation de la décision, de distribution des droits d'usages etc… Car ce sont bel et bien deux choses différentes que les parents retrouvent leur individualités, et la continuation de l'organisation de la prise de décisions. La "personne sociale" permettrai aussi de clarifier énormément la notion de propriété, en différentiant des actes de nature très différentes selon que les parents achètent une maison en la cédant à la famille, ou en en restant propriétaires eux-même en indivision. La relation entre les individus et leur propre famille, en particulier les relations économiques, seraient ainsi grandement clarifiée. Note que la céder à la famille revient aussi à considérer les droits accordés aux ancêtres (grand parents), frère et sœur, cousin-cousines… voir descendant des enfants eux-même. La nature de cette distribution des droits et de l'organisation de la décision au seins d'une famille n'est pas encore très clair pour moi. Mais elle doit prendre en compte des notions de "distance généalogiques" et de branches familiales. Une famille n'étant pas quelque chose d'homogène. Je parlais plus des entreprises créée pour gérer des patrimoines familiaux. Que des entreprises réelles, créatrices de valeur. Les vraies entreprises créatrice de valeurs, et personne morale à part entière, seraient alors (ou non) elle même propriété soit des membres de la famille, sois de la "personne sociale". ( La famille elle même ). La famille ne serait pas l'entreprise familiale, mais la surplomberai, et possèderai éventuellement, en son nom propre, l'entreprise créatrice de valeur. Pourquoi le droit des sociétés n'est pas adapté ? Parce que les sociétés restent des organisations faites pour l'organisation du travail, pas pour l'organisation de la vie de famille. Faite pour la gestion de la répartition des bénéfices d'une création de valeur, mais très peu adaptée à la gestion d'un patrimoine familial. Faite pour la protection de la propriété des individus dans toute leur individualité et autonomie, pas pour la création d'un bien commun. La logique de répartition des "parts" n'est pas vraiment adaptée au statut familial. Il n'y a pas forcément de liens entre le pouvoir et les droits d'usages ou de consommation accordés au seins de la famille, en particulier devant ses individus faibles qui ont de fort droit d'usage par solidarité familiale mais peu de pouvoir. Le droit des sociétés devient une tambouille glauque lorsqu'il se mêle aux évolutions naturelles d'une famille. Est-ce normal de considérer qu'une personne "vaille" 4, 5, ou 10 fois plus qu'une autre au seins d'une famille, et qu'on puisse chiffrer ce rapport ? Et quid des gens qui vendent leur part à des personnes qui ne font pas partit de la famille ? Des inconnus pour se faire des sous ? Une parts de l'entreprise restent fondée sur la propriété des individus eux-même, qui peuvent en principe en récupérer la propriété individuelle. D'où la volonté de les vendre (à n'importe qui), sans que ça ai de rapport avec les liens familiaux. Alors qu'un bien possédé par une "personne sociale" ne serait en rien la propriété individuel de ses membres. Ils seraient simplement membre d'une entité ayant sa propre propriété. Son propre patrimoine. Toute famille riche d'un certain patrimoine connait le problème de certains désirant "liquider" leur héritage confronté à ceux qui souhaitent le conserver "dans la famille". De plus, comme je l'ai dis plus haut aussi, le droit des sociétés n'est pas adapté à la notion de divisions en branche familiale (qui ne sont pas des séparations). Encore moins des croisements, mélange de deux familles, lors d'un mariage. (et il n'y en a souvent pas qu'un seul, dans une famille). Donc je pense qu'il faudrai se pencher sérieusement sur la notion de "personne sociale", et de sa capacité à la propriété en nom propre. ( nom de famille plutôt… )
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Pour se "nourrir", les êtres humains ont besoin d'entreprise (au sens "organisation"). Je veux bien te concéder qu'ils aient besoins de chefs, parce que c'est dans notre nature (bien que la démocratie, c'est à dire une organisation sans chef, soit parfaitement possible aussi). Mais ils n'ont pas forcément besoin de profiteurs. Que les chefs soient les profiteurs, c'est un choix de société, ça n'a rien à voir avec une nécessité. Un choix… ou un endoctrinement ça dépend. Petit indice : Si penses que ce n'est pas un choix, c'est l'endoctrinement. Après, je comprend ta position. Tu ressens profondément ce que tu dis en vénérant religieusement les dirigeants. Comme tout endoctrinement, il repose sur une "Vérité" profonde, (par Vérité, j'entend sentiment). L'endoctrinement de droite repose sur l'instinct humain profond de la soumission au chef. ( là où l'endoctrinement front national repose sur la peur de l'inconnu. ) Un endoctrinement, ça vise toujours à remplacer la vérité objective (et la raison), par la Vérité subjective : le sentiment. (et la foi) et Mélanchon n'a pas choisi la France insoumise par hasard. Après soyons clair. Je ne dis pas qu'un monde où les chefs seraient des esclaves sous-payés et maltraités, voir entièrement esclaves et tout juste nourri-logés, serait meilleur. Je ne parle pas de mes opinions à moi. Mais objectivement c'est un monde parfaitement possible. Et dans ce monde, les chefs ne seraient pas des profiteurs. Seulement des rôles. Personnellement, étant démocrate, je déteste les endoctrinements. Je préfère que tu ai le choix. Donc que tu ressentent très clairement qu'il s'agit bel et bien d'un choix. Sinon, aucune démocratie n'est possible. Aucune synthèse ou analyse rationnelle n'est plus possible. Parce que tous les intermédiaires entre ces deux extrêmes sont possibles aussi. Au pif, un monde où les dirigeants ne pourraient pas être propriétaire de leur entreprise (séparation des rôles de propriétaire et de dirigeant), et où les chefs devraient être moins payés que leurs subordonné ( et ne travailler que pour le mérite et la gloire justement… ) Il est parfaitement possible (et même très facile) de poser légalement l'obligation de devoir choisir entre vouloir diriger ses semblables ou vouloir s'enrichir. Et ça respecterai la libre entreprise autant que la propriété. On aurait une société où le mérite serait le fondement de la motivation à libre entreprise, et non l'argent. ( Après, il ne faut pas se leurer… les sociétés basées sur l'honneur et la réputation ont leurs défaut aussi ^^ )
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Perso, je vais tout faire pour éviter la révolution, mais il me faut 3-4 ans. Je ne sais pas si Macron va me laisser le temps. Probablement pas. Et si révolution il y a, elle ne se fera pas dans le Larzac, elle se fera en bas de chez toi. Peut être même que tu fera partit des victimes. Tu sais, c'est un peu le propre des révolutions, les victimes innocentes. Après, ma pensée se résume à une petite histoire. Si un imbécile (Macron au hasard) va essayer d'aller frapper les couilles d'un lion affamé en cage par ce qu'il trouve ça bien, si le lion se rebiffe et qu'il se fait bouffer le bras, je considère que le lion est certes coupable, mais l'imbécile responsable. Bien sûr, comme je pense que Macron n'est pas un imbécile, je pense que réveiller le lion pour qu'il aille bouffer le bras de quelques victimes innocentes (comme l'abe résina ?) fait partit de son plan. Pour prendre le contrôle définitif de la cage. ça n'est qu'une petite histoire, mais c'est mon avis. ^^ Dans d'autre circonstance, je ne vois pas une seconde pourquoi un type intelligent irait faire une connerie pareille. (il est aussi possible que ce soit un con fini… après tout, on ne le connait pas.) J'avais parlé à une époque du coût de la paix sociale. Lorsque 90% décident d'exploiter à mort ne serait-ce que 10% de la population, elle est légitime à se révolter, même si elle n'est pas majoritaire. La légitimité, ça n'est pas la majorité. La vraie démocratie, c'est de savoir prendre soin des besoins de tous, pas seulement de la majorité. C'est aussi une des erreurs de base que font ceux qui confondent un simple "système de décision majoritaire", avec un système démocratique.
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Non, les anars de gauchos ont d'autres choses à proposer. ^^ D'une part un programme extrêmement bien détaillé. Ensuite, même si vous n'êtes pas de gauche, de voter pour des candidats qui ne sont PAS "en marche". Ne serait-ce que par principe de précaution. Parmi les propositions de gaucho, tu peux aussi trouver les manifs, les grèves ( même si elles seront difficile à réaliser avec la mise à résidence des grêvistes sans avoir de justification à donner ) Pour les plus virulent, la casse de vitrines assurée. Et certains proposent même la révolution, tu sais ? Perso, sans être vraiment "gaucho", j'ai aussi une solution alternative à la révolution citoyenne échouée de Mélanchon, ou à la révolution. Mais je me la garde pour moi pour l'instant. ^^ T'inquiète, à gauche, ils en ont pleins des solutions.
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DDR vous avez voté pour un mec que personne ne connait ni d'ève ni d'adamn. Qui est en politique depuis à peine un an. Qui n'a jamais été élu, et n'a jamais eu à rendre de compte à un pouvoir démocratique. Autant dire que vous avez élu un type au hasard complet. Type dont le seul acte politique d'importance connu qu'il ai fait, c'est de trahir son poste de ministre à peine entré, en plus des gens qui lui avaient fait confiance pour l'y mettre, afin de courir au pouvoir. Ce qui prouve clairement son manque total de sens des responsabilités, et sa quête de pouvoir à moitié folle. ( qu'il ai réussi son coup n'y change rien. Sa quête de pouvoir est considérable ) Vous souhaitez lui donner les pleins pouvoir, avec une flopée d'amateurs politiques qui lui doivent tout, et c'est moi qui fantasme ? Tu sais ce qui m'inquiète le plus, c'est que vous n'envisagiez même pas les possibles au vu du pouvoir dont dispose un complet inconnu arrivé au pouvoir. Ne serait-ce que par précaution. Comme si votre cerveau et votre esprit critique était complètement aseptisé par la propagande. Mélanchon - dictateur communiste, ce sont de pur fantasmes… et de la diffamation au passage. Car pour autoritaire que sois son caractère, on a de nombreuses preuve de Mélanchon avec des pouvoirs, et il a toujours visé à donner des droits aux gens. Ce que je te raconte ne sont en rien des fantasmes, ce sont de sérieux doutes très étayés http://www.lemonde.fr/politique/article/2017/06/07/reforme-du-code-du-travail-pas-d-agenda-cache-assure-la-ministre-du-travail_5139834_823448.html http://www.lemonde.fr/police-justice/article/2017/06/07/le-gouvernement-compte-faire-entrer-l-etat-d-urgence-dans-le-droit-commun_5140018_1653578.html
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Je ne comprend pas trop d'ailleurs pourquoi tu t'évertue à nier l'évidence DDR. Des remords peut-être ? le doute qui vient ? Tu juge que ce sont des fantasmes, je dois en conclure que si ça arrives tu conviendra que c'était pas une si bonne idée que ça de l'élire ? Si le comportement de ce type, en voulant effacer les droits sans passer par la démocratie provoque des émeutes, tu considèrera qu'en tant que responsable, il sera responsable justement de ce qu'il adviendra ?
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Un détricotage du droit se mesure aux choses qui étaient interdite ou impossible avant, et qui deviennent possible. PS j'ai rajouté un morceau…
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Comme supprimer le droit de retrait par exemple ^^ Celui qui nous permet de dire : heu non, là ma vie est en danger, j'y vais pas… Comme la possibilité de changer les contrats de travail, et d'y introduire les causes de licenciement qu'on souhaite… (comme : si le patron est de mauvaise humeur) Comme la fin de la notion de durée journalière de travail… (pourquoi un maximum après tout ?) Et tant d'autres… Perso, moi ce qui m'emmerde le plus, c'est la suppression pure et simple de nos libertés individuelles, en faisant passer l'état d'urgence dans le droit commun. Donc le droit pour les flics d'assigner à résidence qui ils veulent, sans justifications, et sans passer par un juge… Donc le droit de faire des perquisitions chez n'importe qui, n'importe quand, sans passer par un juge non plus… (donc sans avoir besoin de la moindre preuve ou début de suspission ) On l'avait dit au début, que le droit d'urgence serait continué… et qu'il finirai par devenir la norme. Tout le monde nous riait au nez en disant "mais non c'est pas possible". bah voyons. ^^ Maintenant, moi, je vous dis qu'il est possible que ce type fasse un putch et prenne le pouvoir. ça serait Le pen, tout le monde trouverai ça possible. C'est un type que personne ne connait, je vous rappelle. Et qui ne montre jamais ses intentions. Je ne vois donc pas en quoi ça serait si impossible que ça. SURTOUT avec l'état d'urgence instauré comme nouvelle norme pour nos libertés individuelles. ha j'en ajoutais une… le droit de la presse à protéger ses sources… out. ^^
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bah je le sais bien figure toi. Mais effectivement, le problème est complexe, et à mon avis mal posé. ( un problème complexe est souvent un problème mal posé ) Les liens familiaux ont une reconnaissance légale, mais une famille n'existe pas avec un statut de personne à part entière. Et avec son propre droit d'accès à la propriété par exemple, si ce n'est (ce qui se pratique bien souvent), en créant une "entreprise familiale" qui possèdera l'ensemble des biens commun de la famille… Artifice qui permet d'effectuer toutes sorte d'évasions fiscale, et de réduire l'impact des limitations éventuellement posées à la notion d'héritage. Je pense que le statut de société est assez mal adapté aux familles en réalité. Ne serait-ce qu'à cause de leur progression naturelle en "branche" qui s'éloignent de plus en plus, et leur facultés à se mèller, auxquelles réponde très mal les principes de "scision/fusion/acquisition" des sociétés commerciales. Et avant de vouloir légiférer "quelque chose", il me semble nécessaire de définir plus clairement ce qu'est cette "chose". Le problème étant qu'à ma connaissance, le rapport à la répartition de la notion de propriété, ou de droit d'usage, au seins des famille n'a jamais vraiment été un sujet abordés par les analyses économiques. Elle n'a jamais vraiment été formalisées par les institutions légales. (ce qui fait des "indivisions" un tel bordel) Il n'y a peut-être que les sociologues pour s'y être intéressé. Ce qu'il se passe au seins des familles, dans l'utilisation ou la consommation des biens commun n'a rien d'un processus de "vente" ou de "don" de part sur "l'entreprise". Il s'agit d'autres notions économiques, qui ne sont pas encore très clairement identifiée pour moi. Donc je ne suis pas encore en mesure de faire de "propositions", ou d'avoir un avis construit sur cette notion. Une chose est sûre, je tiens à ce que la famille ai une existence conceptuelle et formelle autonome. L'individualisation de la société me semble être une mauvaise modélisation économique du monde. ( en plus d'être une incitation discutable sur le plan politique )
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Je ne sais pas trop où tu as pu imaginer que je pouvais avoir de telles idées. Quand j'essaye de laver de la propagande, je ne préconise rien. Je ne fais pas de politique, je fais de l'analyse logique et rationnelle. Les trois quart du temps dans mes messages, je n'exprime pas mon avis, ou mes propre jugements de valeurs, mais une analyse de la situation. D'habitude les gens ne font que balancer leur jugements de valeurs personnels, pour se retrouver face à d'autres jugement de valeurs personnel. ça n'est pas ma façon de communiquer. Je rétablis des cohérences ou des nuances entre les termes et les idées, ou révèle les incohérences dans les pensées ou les arguments exposé. C'est pour ça que je ne donne pas mon avis ou mes "solutions" pour règler les problèmes d'attribution du mérite, ou d'héritage. Sauf si on me le demande vraiment expressément. Personnellement, je ne suis pas contre les patrons d'entreprises. Je considère que ce sont des employés comme les autres, avec un rôle et un poste clairement défini. Et surtout, qui doivent être au service de leur entreprise, et non mettre l'entreprise à leur service à eux. Un patron qui se verse un trop grand salaire est un patron incompétent et irresponsable. Simplement parce qu'on le jugerai comme ça si ça n'était qu'un employé ordinaire. Je distingue très clairement le rôle de patron d'entreprise, et le rôle de propriétaire de l'entreprise. Même si ce sont la même personne, ce sont deux casquettes différentes. Un employé doit rester au service de l'entreprise ou être viré. Un patron qui ne se vire pas devant son incompétence est doublement incompétent. Et ne mérite certainement pas son salaire.
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Je ne voulais pas rentrer dans le débat. Mais plus subtilement, quand je répond " Quand je dis qu'hériter n'a rien à voir avec le mérite, je ne dis pas que je suis contre l'héritage"… note que je ne dis pas que je suis pour non plus. Plus sérieusement, je suis entrain de penser à une notion de "personne sociale", (par contraste avec la personne morale et la personne physique), qui représenterai une famille entière, en tant qu'entité existante indépendante. ( un peu au même titre qu'une entreprise est une entité existante indépendante ) Je pense que l'héritage est une notion complexe. Elle est problématique par la transmission d'un pouvoir qui peut être très important, et qui ne tiens en rien au mérite. Elle reste aussi humaine, parce que beaucoup de monde travaille aussi pour assurer un avenir à ses enfants après leurs disparition. Complexe aussi, parce que les enfants, sans en être propriétaires, utilisent bien souvent la maison de famille où ils ont vécu… M'intéressant beaucoup au passé, je constate aussi que la notion de "famille" était extrêmement importante à une époque, et a été totalement perdue dans l'individualisation. Pourtant, elle a une existence manifeste, tant économique que légale. Je compte bien réfléchir en profondeur à ce que serait une société comprenant non seulement des individus et des entreprises, mais aussi des familles. Ce système de pensée (encore à l'ébauche), me semble bien mieux correspondre à une réalité de la tri-partie vie intime / vie sociale / vie professionnelle. La question étant, est-ce qu'une famille à une légitimité à obtenir une existence légale et économique en tant que "personne" à part entière.