Yavin

Booba: «J'ai de plus gros bijoux que Sarko» Dimanche 30 novembre - 15:02 Grand méchant loup, Booba ne laisse personne indifférent Dans «Le Petit Chaperon rouge», le rappeur Booba endosserait facilement le costume du grand méchant loup. A 32 ans, le gaillard de Boulogne-Billancourt est devenu la référence du rap français avec trois premiers albums solos résolument hardcore. Imitant volontiers les postures des Américains, en particulier celles du rappeur 50 Cent, Booba exploite parfaitement les clichés malsains et illicites - misogynie, luxe ostentatoire, glorification du crime et des armes - d'un genre qui s'est éloigné depuis plusieurs années de son identité rebelle. «C'est un jeu, sourit le rappeur monté comme une armoire. Lorsque je dis que je me lave le pénis à l'eau bénite, je ne le fais pas par provocation mais parce que ça me fait rire. Mon but ne vise pas à raconter une histoire mais à assembler des tableaux en forme de coups de poing. C'est ce qui me pousse à écrire.» Les temps changent... «Dans les années 1990, on était des ados pleins de fougue, c'était notre truc à nous. Mon discours a évolué, je ne vais plus crier «Fuck la police» parce que je mène une existence dans laquelle je suis moins confronté à elle. Je vis entre Miami et Paris, donc je ne vais pas raconter ce qui se passe dans mon ancien quartier. Cela n'a plus de sens.» Habile dans la manière de véhiculer son image, l'ex-banlieusard est passé maître dans l'art du marketing: «Bon, c'est une chose, mais on ne peut pas vendre de la merde. éa marche une fois, puis après les gens se lassent. Il faut que la musique soit bonne pour que le marketing soit efficace.» C'est ainsi que les rebelles hardcore ne s'embarrassent pas des paradoxes. Booba doit à son passage à la «Star Academy» en 2006 l'élargissement du cercle de ses initiés: «Je ne regrette absolument pas d'y être allé! J'y ai gagné du respect et une meilleure image. Je voulais surtout prouver que l'on pouvait venir de la banlieue: faire du rap et être aussi pro que Johnny!» Mathias Enatanam Suite de l'article... Source: Le Matin

Quel intérêt dès lors de créer une telle rubrique? :smile2: De plus, d'un point de vue légale, je doute que celà soit possible. :D

Le titre du film est également le titre d'un disque des Béruriers Noirs, le groupe Stereolab va d'ailleurs reprendre ce titre des bérus en hommage. :smile2:

J'ai regardé... Et, bon... Le rap français, ce n'est pas vraiment ma tasse de thé... :smile2:

Le deuxième travail d'Hercules & Love Affaire Vendredi 28 novembre - 19:24 Les New-yorkais sont au boulot sur leur deuxième album -avec les idées très claires de ce qu'ils désirent. Mélodique, transe, ambient, Brian Eno, pop : ces quelques qualificatifs ou noms propres, sortis de la bouche d'Andrew Butler, tête dirigeante du collectif Hercules & Love Affair, peuvent commencer à dessiner un début de deuxième album. Butler, au boulot concret sur la suite du Hercules & Love Affair paru cette année, semble ainsi avoir une idée précise de ce qu'il désire. "J'ai travaillé sur des compositions plus minimalistes, a-t-il ainsi déclaré à The Quietus. Je dirais que j'ai écris deux ou trois morceaux influencés par cette tradition. Il y a quelque chose de doux et qui tient de la transe dans la musique. C'est presque proche de Brian Eno, une sorte de pop ambient. En termes de genres, je confronte la disco et la house à des structures pop efficaces. Il est plus doux à l'oreille que le premier album, je pense qu'il sera un peu moins dissonnant, plus chanté et plus joli. Certains morceaux sont plutôt arty et d'autres sont plus directs, de la disco traditionnelle, avec des choeurs. Mais en général c'est plutôt mélodique." Thomas Burgel Suite de l'article... Source: lesinrocks.com

Les Kings of Leon au bord de la crise de nerfs Vendredi 28 novembre - 19:21 Ca va mal, très mal chez les Kings of Leon, affirment les tabloïds britannique. Problème : le groupe entame bientôt sa tournée mondiale. Certes l'information vient du toujours très léger et fiable tabloïd The Sun. Certes ce ne pourrait être qu'un coup communiquant fumant pour vendre encore quelques dizaines de milliers de tickets à l'orée de la tournée mondiale du groupe. Mais ça a l'air d'aller mal dans la fratrie Followill, raconte à l'élégant quotidien une "source proche du groupe" : les boys en seraient même très récemment venus aux mains, un peu plus sérieusement qu'à leur étrange habitude. En cause, la tête semi-pensante du groupe, Caleb, et son alcoolisme apparemment tenace, et sans doute dangereux pour les prestations du groupe. "Les autres ont expliqué à maintes reprises à Caleb qu'ils n'étaient pas ravis de le voir boire autant, mais il n'en a eu cure" a expliqué la fameuse source. "Les gars se sont toujours beaucoup battus, mais les problèmes étaient réglées dès le lendemain matin. Les choses sont totalement différentes cette fois. Le label craint réellement que s'ils ne règlent pas très vite leurs différends, ils ne pourront entamer leur tournée." Thomas Burgel Suite de l'article... Source: lesinrocks.com

Je ne connais pas la Scred Connexion... :smile2:

Puppetmastaz Vendredi 28 novembre - 18:37 [Musique - Hip-hop & Rap] Puppetmastaz [Musique - Hip-hop & Rap] Lieu : En tournée Dates : du 12 Septembre 2008 au 6 Décembre 2008 Présentation Prenez un concept sur papier plutôt étonnant : un spectacle de marionnettes hip-hop. .. Puppetmastaz est un groupe de hip-hop / électro allemand dont les membres sont réellement des marionnettes. Derrière chacune d'elles se cache un rappeur du groupe. Ce groupe fut fondé dans les années 90 à l'initiative de Mr Maloke, une taupe affublée d'un chapeau haut-de-forme originaire de 'Crooklyn' et résidant à Berlin. Les vingt membres de Puppetmastaz forment aujourd'hui le Gangstoy Band le plus trash de la scène hip hop européenne. Qui tire les ficelles ? Les rumeurs insistantes parleraient de quelques humains bien connus pour agiter les scènes européennes (Gonzales, Paul P.M ., Max Turner, Bomb 20 et Nitro). Puppetmastaz : Le programme Le 1 Décembre 2008 Ninkasi Kao 69007 Lyon 19h30 De 16 à 20 euros Suite de l'article... Source: evene.fr

Raoul Dufy Vendredi 28 novembre - 18:34 [Arts - Peinture & Arts graphiques] Raoul Dufy [Arts - Peinture & Arts graphiques] Lieu : Musée d'Art moderne - Paris Dates : du 17 Octobre 2008 au 11 Janvier 2009 Présentation Le musée d'Art moderne de la ville de Paris présente une importante rétrospective de l'oeuvre de Raoul Dufy. Cet artiste, largement représenté dans les collections du musée grâce au legs de madame Dufy, et par la monumentale 'Fée Electricité' (réalisée pour l'exposition internationale des Arts et Techniques à Paris de 1937), n'avait pas été montré dans une institution publique parisienne depuis la mort de l'artiste en 1953. La trajectoire artistique de Dufy, qui accompagne les avant-gardes parisiennes du début du siècle, en fait un peintre très original. Très tôt, ses recherches mettent l'accent sur la couleur / lumière, sur son goût pour l'arabesque ainsi que sur les nouveaux procédés chimiques empruntés à la technique picturale et textile. L'exposition mettra particulièrement en évidence ses séries (bords de mer, rues pavoisées, ateliers, cargos noirs, etc .), et la conjonction de son oeuvre décorative avec sa peinture. Informations complémentaires De 4,50 à 9 euros - Du mardi au dimanche de 10h à 18h, le jeudi jusqu'à 22h - Musée d'Art moderne de la ville de Paris, 11 avenue du Président Wilson, 75016 Paris - Renseignements : 01.53.67.40.00 Suite de l'article... Source: evene.fr

Je crains déjà pour l'existence de la ou le (futur) protégé de Mylène. :smile2:

J'écoute essentiellement du hip-hop qu'un ami me fait découvrir de manière épisodique, après les australiens de Curse ov Dialect, je me penche désormais sur des productions plus undergrounds et plus expérimentales, de groupe de la trempe de Zucchini Drive ou Cavemen Speak pour ne citer qu'eux. :smile2:

DM Stith - Just Once Mercredi 26 novembre - 18:49 Drôle de tête Entre Antony Hegarty et Patrick Watson, DM Stith fait une entrée discrète mais remarquable dans la cour des songwriters franc-tireurs. Jouons la carte de la découverte, trouvée du côté d'Asthmatic Kitty, label découvreur de Sufjan Stevens et refuge, notamment, de My Brightest Diamond et Castanets. C'est avec un EP composé de 5 titres que le New-yorkais DM Stith (D pour David, pour le M je n'ai pas eu le courage de chercher) fait son entrée, rayon songwriters qui aiment à jouer des grands espaces. Mêlant mosaïques de petits sons, bricolages d'arrangements délicats et souffle lyrique évoquant plus d'une fois Patrick Watson (chronique sur Forumfr) lorsque la voix emprunte le grand huit, Curtain Speech touche par son équilibre bancal et ses envolées pop spectrales. Extrait proposé ici, Just Once accroche par son ouverture ludique et dépouillée, avant de décoller lentement grâce à des arrangements baroques qui alignent les faux départs vers des crescendi, dévoilant le potentiel emphatique du morceau sans se vautrer dans des orchestrations trop ostentatoires. Des envols avortés qui se laissent soudain surprendre par un fortissimo bout-de-ficelle, où clappements de mains et soufflerie dévorent l'espace pour le prolonger en une fête foraine fantôme, qui s'éteint comme elle avait débuté, laissant tourner sa grand roue à la vitesse d'une grande aiguille. La suite en janvier, toujours chez Asthmatic Kitty, pour un format long. Sur le web : Pour télécharger ce mp3... Clique droit sur le lien, puis Enregistrez sous et le tour est joué... Pour plus d'informations : www.myspace.com/dmstith www.dmstith.com Christophe Schenk Suite de l'article... Source: Bon pour les Oreilles

C'est beau ce que je dis, des fois... :D

Ajout effectué!! :smile2:

Bon... Un film japonais, pour changer!! :smile2:

Lord of the War!! :smile2:

C'était facile.