Et le mot est faible!
Comme il est facile de retourner sa veste alors que, fut un temps, Saddam Hussein était reçu avec tous les honneurs et force poignées de main, tant qu'il avait des armes à acheter...quelle hypocrisie!
Cela me rappelle un certain dictateur, roi du zaïre, que l'on disait ami un jour, puis ennemi le lendemain, selon l'humeur politique...
Aucun pays n'agit sans y trouver ses intérêts, et les américains, avec leur texan fanatique à leur tête, ont trouvé en Saddam le parfait bouc émissaire à abattre ( l'or noir fait tourner bien des têtes).
Et sans Saddam, comment stopper la réaction en chaîne qui en découle???