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Tout ce qui a été posté par konvicted
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Eh oh, tu n'as pas l'impression de me pomper ma question ? Édition : Ah ! à une minute près, t'as de la chance !
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En fait, le "personnage" qui prend la parole est censé être une allégorie de la dépression qui frappe l'autre. Dans "Allons, tu croyais vraiment t'être débarrassé de moi comme d'un vulgaire cafard ?", cafard est à prendre au sens figuré.
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Que des gens en harcèlent d'autres pour le plaisir, ça ne m'étonne pas vraiment, mais j'ai du mal à m'imaginer ce qui a pu inciter les victimes de ces jeux pervers à continuer à se connecter à ce site pendant des mois malgré tout. Les mineurs fument et boivent de toute façon, et peut-être d'autant plus que c'est interdit.
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Qui ça ? Le personnage qui parle ou celui à qui ce premier s'adresse ? Désolé, je ne te suis pas là.
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Soit, je ne vais donc pas l'oublier. Ah, c'était donc bien un compliment, comme je le redoutais.
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Ce qui va sans dire
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
Mes quoi ? -
J'ai fait une petite infidélité à la poésie pour ... ce truc-là : ....................... Salut, tu te souviens de moi ? Moi, je ne t'ai pas oublié, mais je pense que toi non plus. Cela dit, à voir ta tête d'ahuri, bien qu'elle ne change pas tellement de ta tête de con habituelle, j'ai l'impression que t'es surpris de me voir. Allons, tu croyais vraiment t'être débarrassé de moi comme d'un vulgaire cafard ? Comme tu peux le voir, j'ai ramené tout mon fourbi, j'ai bien l'intention de m'installer ici, que tu le veuilles ou non. Tu me fais faire un tour ? j'imagine que l'appart' a pas mal changé depuis la dernière fois. Première chose que je constate, va falloir refaire un peu la déco, c'est beaucoup trop lumineux par ici. Je parie que t'es réveillé par les rayons du soleil le matin, c'est un truc à te faire lever tôt, c'est très mauvais. Je vois que t'as commencé des travaux dans la salle de bains, ça fait combien de temps ? Trois mois ! très bien, je vois que t'as gardé des bonnes habitudes, j'aurai pas besoin de repartir de zéro avec toi. Fais-moi voir un peu ce qu'il y a dans le frigo. Ouh là là, tu manges vraiment autant ? Ça doit te coûter cher, mais ne t'inquiète pas, je vais te faire perdre l'appétit. Bon, je crois que... Ah, ce putain de téléphone ! Ben, vas-y, décroche ! Qui c'est ? Dis-lui que t'es fatigué, que tu sortiras pas ce soir, ni demain, ni jamais, qu'il te lâche les baskets. T'es à moi, rien qu'à moi. Nous deux, c'est à la vie, à la mort, tâche de ne pas l'oublier. Bon, allez, on se bouge, tes antidépresseurs vont pas se faire prescrire tout seuls.
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Je dois faire partie de la mauvaise catégorie.
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Merci d'être passée.
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Font chier avec leurs droits.
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Ce qui va sans dire
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Si je n'use pas de mon style, qui le fera ? -
Ça ou des connards.
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Peut-être, mais la question de l'intérêt relatif des différentes visions n'est pertinente que si l'on peut en choisir une plutôt qu'une autre, ce dont je doute fort, pessimisme oblige.
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Ce qui va sans dire Paraît que ce qui va sans dire, ça va mieux Encore en le disant donc pour pas répéter Les silences idiots, pudiques de mes vieux, Je vais te balancer plein de banalités. Fatigué le matin d'avoir rien fait la veille, Pour me sortir du lit, t'es le meilleur remède, Tu me fais me lever, pas besoin de réveil, Tu gueul's comme un putois pour avoir ton lait tiède. Complètement gaga depuis qu'je suis papa, J'en viens même, c'est dire ! à être fier de toi Comme si j'avais fait moi-mêm' tes premiers pas, Mais je m'en tire bien, maman l'est plus que moi. Bientôt tu sauras lire et comprendras ce texte Débile que j'écris de peur de demeurer Assez con pour trouver encore des prétextes Pour ne pas avouer de viv' voix t'adorer. Peut-être sauras-tu dir' ces mots avant moi, D'ici là, c'est pratiqu' que tu ne parles pas, Quand maman va rentrer, je dirai que c'est toi Qu'as cassé son vase et pas préparé l'repas.
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Que serais-je avec toi ?
konvicted a commenté un(e) billet du blog de konvicted dans ♪ Quand on est kon ♪
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Balance le nom de l'autre, que j'aille lui dire qu'il a tort. J'admire ton optimisme. Enfin, façon de parler.
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Effectivement, ce n'est pas parce que la masse est nombreuse à avoir tort qu'elle a raison. J'aurais tendance à penser qu'au contraire, la destruction est quelque chose de très humain, mais bon ça doit être une notion très subjective.
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Que serais-je avec toi ?
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Ok, c'est bien ce que je pensais. Ça tombe bien vu que j'ai justement choisi le titre par opposition à Que serais-je sans toi ? de Jean Ferrat. -
Justement, est-il légitime de qualifier quelqu'un d'inhumain sur des critères moraux, et si oui, à partir de quel moment ?
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Sans doute.
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Que serais-je avec toi ?
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Ouais, c'est inné chez moi ; déjà gamin, je prenais les escalators à l'envers. Mais où trouves-tu un contre-pied en l'occurrence ? -
Hmm. Sais-tu donc pourquoi abréviation est un mot aussi long ?
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Que serais-je avec toi ? Les honoraires du psy laissent deviner L'ampleur du souci de cœur du nom de légion Qui me pousse constamment à m'imaginer Ce que serait ma vie si nous la partagions. La nuit dernière encore, je nous ai rêvés Si vivement qu'au réveil m'est venue l'envie De retrouver instamment les bras de Morphée, Rouvrir les yeux dans les tiens ; espoir déconfit. Je me laisse alors aller à tous les fantasmes, Me vois mari et père, partir en voyage Au volant d'un monospace et d'un enthousiasme Inespéré supporter les embouteillages ; Mais réalisant avoir emprunté ce songe, Remets illico ces pieds dans leur chanson *, puis Travaille à échafauder mon propre mensonge Avec rien que ta photo comme point d'appui. Que donc serais-je avec toi ? la question m'obsède, Me réveille dans la nuit si jamais je dors, Alimente ma folie dès lors que j'y cède, Répétant à l'oreiller comme je t'adore. * Monospace de Bénabar, pour ne pas la citer
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Poète, c'est un bien grand mot.
