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konvicted

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Tout ce qui a été posté par konvicted

  1. Ouais, et je fais une petite blague à un participant en mettant un cadavre encore frais. Un bon coup de batte et surprise ! c'est pas des bonbons mais des boyaux qui tombent.

  2. Sinon, je pends des squelettes par les pieds, je fourre leur cage thoracique de bonbons, et j'organise une soirée piñata.

  3. Faux.

    Et arrête d'agresser les gens sous prétexte qu'ils ne sont pas experts en informatique, bordel de dieu !

  4. J'envisage de changer des cadavres de tombe pour la prochaine fois mais je me dis que c'est beaucoup d'efforts pour pas grand-chose comme les principaux intéressés ne risquent pas de s'en sentir insultés.

  5. Je ne suis qu'un noob dans le domaine donc je risque de passer pour un petit joueur. Moi, j'en suis qu'aux tags racistes pour l'instant. Je sais, c'est faible. :(

  6. Ah ! je suis justement en train d'écouter ma playlist d'Orelsan, mais ça n'a pas fait tilt, honte à moi.

    Alors comme ça, t'es tombée dans la profanation de tombe quand t'étais petite...

  7. Salop*rie de site de merd* ! On ne peut compter sur personne.

    Je crois que tu me l'as déjà sortie cette blague. Mais ça me fait encore marrer donc ça va. T'aurais quand même pu faire l'effort de citer les cimetières cette fois.

  8. konvicted

    Le beurre allégeant

    Si on n'a plus le droit de se révolter contre les absurdités hydrolipidiques, où va-t-on ?
  9. Il manque une lettre et il y a un accent en trop mais j'apprécie l'attention, je te retourne donc le geste, littéralement : ¡ ıssnɐ ıoʇ à ǝéuuɐ ǝlqɐɹɔéxǝ. On te voit plus des masses, j'ai cru que t'étais mourue. J'étais sur le point d'acheter des chrysanthèmes quand je me suis souvenu que j'étais radin. :|

  10. Non, parfois tout le monde a tort. En outre, quand on rentre dans le domaine de la croyance où la vérité n'est ni incontestable ni primordiale, l'important n'est pas de savoir qui a tort ou raison, mais de déterminer ce qui correspond le mieux à chacun. Prenons l'exemple de l'homéopathie. Selon certains seul l'effet Placebo permet d'expliquer que ça puisse marcher ; selon d'autres, c'est dû au principe controversé de la mémoire de l'eau. Si l'homéopathie parvient à me soigner, qu'est-ce que j'en ai à faire que les partisans de la mémoire de l'eau aient tort ou raison ? L'autre possibilité, c'est que les deux admettent ne pas pouvoir distinguer celui qui a tort de celui qui a raison, si tant est que quiconque ait raison. Édition : coquilles
  11. Respecter des personnes sans accorder le moindre crédit à leurs idées, c'est comme poser de la moquette sur un sol boueux : c'est beau en surface mais quand on creuse un peu c'est dégueulasse. La tolérance, c'est ce qui fait la différence entre "j'ai raison, vous avez tort, alors fermez-la" et "vous avez peut-être raison, parlons-en", ou encore entre le prosélytisme et le débat. Ça manque cruellement à pas mal de monde, croyants ou non, il n'y a qu'à voir comment les débats tournent en rond quand des murs répondent à des murs.
  12. Si tu crois en Dieu, mais que tu es certain d'avoir raison, c'est que tu n'as rien compris à la croyance. "L'enfant est un petit adulte qui sait qu'il croit. (...) L'adulte est un grand enfant qui croit qu'il sait" Grand Corps Malade, Le Blues de l'instituteur.
  13. ♪ Est-il en notre temps rien de plus odieux, De plus désespérant que d'vendre du beurre aqueux ? 1 ♪ En acheter, sans doute. Quel est le raisonnement dément qui peut mener des êtres doués de conscience à succomber à l’oxymore, que dis-je ?, à l’antilogie du beurre allégé ? Qui sont ces gens qui, à défaut d’en rire, se moquent de l’absurde de ce produit infâme ? Ont-ils sacrifié leur cortex préfrontal dans le seul but de perdre du poids et la raison dans la foulée ? Se sont-ils définitivement niqué les papilles gustatives en se brûlant la langue sur la béquille du diable ? Voilà autant de questions auxquelles je ne répondrai pas, n’ayant pas les capacités d’abstraction nécessaires pour rentrer dans l’esprit insondable de ces consommateurs — et oui, dans consommateurs, il y a treize lettres. Est-il besoin de souligner que le beurre allégé n’est grossièrement qu’une dilution des matières grasses — autrement dit de l’intérêt-même du beurre — dans de l’eau ? Vous n’avez peut-être pas encore entendu parler de l’eau, c’est un liquide incolore et sans saveur extrêmement rare et donc très cher. Cependant, altruistes à faire passer l’abbé Pierre pour le squelette d’un connard et aussi soucieux de la santé publique que de leurs profits, les producteurs de beurre allégé la facturent à un coût tout juste supérieur à celui du gras, si bien que vous pouvez acheter cette merveille diététique sensiblement au même prix que l’ignoble beurre doux à 500 % de matières grasses qui obstrue instantanément vos artères, remettant en cause jusqu’à votre droit de vivre ! Bon, je parle d’argent parce que je devine que vous courez après chaque centime, bande de rats ! Mais bordel, ce qu’il y a de plus ignominieux dans le beurre allégé, c’est évidemment l’irrespect le plus total pour les plaisirs de la table qui veulent que l’on réclame et le beurre et le goût du beurre. On pourrait me reprocher de n’avoir jamais essayé de beurre allégé, en dépit de la légitimité établie de la logique expérimentale instinctive qui veut que tout un chacun ait disposé au moins une fois dans sa vie l’un de ses étrons dans son assiette pour connaître le goût de la merde et pouvoir en toute bonne foi affirmer que c’est dégueulasse, mais pas autant que celle de son chien. Mais que voulez-vous ? ma religion me l’interdit. J’ai en effet décidé de dédier ma vie à la quête du saint gras, embrassant la doctrine : « Le gras, c’est la vie » 2. Au nom du père, du fils et de l’esprit saindoux, amen. Bref, j’éprouve un dégoût viscéral pour le beurre allégé que je propose d’ailleurs de rebaptiser dans un souci de transparence « beurre allégeant utilement les portefeuilles que vous vous tuez à remplir, espèces de vaches à lait qui affamez vos quatre estomacs dans la quête aussi ridicule que désolante d’une période de vaches maigres » ou, pour que ça rentre sur le packaging, simplement « beurre allégeant », formule ambiguë qui a toutefois le mérite de mettre en exergue la consternation qui me pousse régulièrement à maugréer un « Ah, les gens ! » presque onomatopéique. Je tiens cependant à féliciter pour leur génie les escrocs qui polluent les rayons de nos supermarchés avec des barquettes, plaquettes et autres rackets de ce beurre estampillé allégé. S’il est presque criminel d’apposer une étiquette « 20 % de matières grasses » sur du beurre — avec une fierté non dissimulée, un sourire en coin des plus sournois et un bras symboliquement enfoncé jusque là —, prouvant que ces capitalistes sans aveu n’ont aucune éthique, ou alors très petite, une éthiquette, il serait de très mauvaise foi de nier qu’ils sont brillants. Moi-même qui ne suis pas l’ombre d’un con, étant donné que c’est elle qui me suit, je me fais tout petit devant ce visionnaire qui osa avancer cette idée révolutionnaire à une réunion des grandes pompes de sa boîte : « Bon, les mecs, le gras, c’est très bien, c’est comme ça qu’on a fait notre beurre jusqu’à présent. Mais en vérité je vous le dis, le beurre de demain sera de la flotte ». Personne avant lui n’aurait soupçonné qu’il puisse exister des gogos pour acheter du beurre à 60 % d’eau et plus si affinité, et pourtant ! Et depuis, c’est à l’enseigne qui se foutra le plus de la gueule des lipophobes primaires qui lui servent de clients.60% de M.G., 40 % de M.G., 30 % de M.G., 20% de M.G. ; j’attends avec impatience le 0%. Il n’y a pas à dire, c’est impressionnant les efforts qu’ils font pour une cause aussi noble… Parce que vous pensiez peut-être que pour faire ces purges à peau de balle en matières grasses, il suffit de plonger du beurre dans l’eau ? Que vous êtes mignons ! Noyer du gras, ça demande tout un tas d’additifs tels que des épaississants, des conservateurs et des émulsifiants. C’est simple, regardons la composition du beurre doux : « beurre à 82% de M.G. ». Et maintenant celle d’un beurre allégeant à 20% de M.G. :« eau, matière grasse de lait, amidon modifié, lactose, maltodextrine, émulsifiants : E471, E472c, E476, sel, conservateur : sorbate de potassium, colorant : béta-carotène, vitamine E, vitamine A » 3. Ils nous entubent, oui, mais ils y mettent les formes ! Malgré toutes les charges qui pèsent contre lui, le beurre allégeant, si abject soit-il, n'est qu'un symptôme de la vision fallacieuse et perverse d’un équilibre dans la privation, ouvrant la voie à toutes les dérives. Aujourd'hui, c'est le beurre, qui nous dit que d'ici quelques décennies, quand la technologie le permettra, on ne trouvera pas de la bière sans alcool, du soda sans sucre, du café sans caféine ou du jambon sans couenne? Qui voudrait vivre dans un monde pareil ? 1 « Est-il en notre temps rien de plus odieux, De plus désespérant que de n’pas croire en Dieu ? » Brassens, Le Mécréant 2 Réplique culte de Caradoc dans la série Kaamelott d’Alexandre Astier. 3 Voir ici.
  14. Oui, j'ai pu dormir 3 heures. Merci, bonne journée. :)

  15. Ah ! je vois qu'on s'est foutu de ma gueule dans les articles que j'ai lus où elle disait vouloir rester anonyme.
  16. Est-ce qu'au moins les deux hurluberlus savaient que leur prof était juive ? J'imagine que oui, sans quoi tout ce battage médiatique serait aussi inutile que ridicule, mais je n'en ai lu la confirmation nulle part, ce qui me paraît étonnant tant la question est primordiale. Et si oui, une autre question se pose : comment l'ont-ils su ? Je crois savoir que les profs sont censés garder leur confession pour eux.
  17. konvicted

    Les poèmes à se pendre

    J'ai rarement lu un tel blasphème envers le petit cheval, je suis choqué.
  18. konvicted

    Le défouloir

    Où est passé ce foutu chauffage, bordel de merde ?
  19. Ce n'est peut-être pas le cas à l'oral (et encore, je n'en suis pas si sûr), mais à l'écrit, je doute que les Anglais fassent autant de fautes d'orthographe que les Français. Pour cause, la grammaire anglaise est quand même relativement facile par rapport aux grammaires française, allemande, espagnole, etc. Un petit exemple pour montrer à quel point la conjugaison anglaise est simple : Sans même compter le subjonctif et le conditionnel, la conjugaison d'un verbe du premier groupe en français admet plus de variantes que la conjugaison du verbe le plus irrégulier qui soit en anglais. Ça dit tout.
  20. Oui, totalement, mais seulement pendant une période de transition. Simplifier l'orthographe nuirait très peu à ceux qui sont naturellement à l'aise avec l'orthographe, et encore moins à ceux qui ne sont pas à une faute près ; et en contrepartie, ça permettrait aux générations futures d'écrire un peu mieux (très peu, mais quand même). Pour qu'on soit bien sur la même longueur d'onde, je précise que je ne parle pas ici de supprimer les exceptions qui ont une justification étymologique, mais seulement celles qui n'en ont pas. Je n'ai aucune idée de la proportion d'exceptions que ça représente, mais c'est autant d'absurdités dont on pourrait allègrement se débarrasser. En tout cas, je pense qu'on s'accordera pour dire que le problème majeur vis-à-vis de l'apprentissage du français est que la grammaire n'est pas maîtrisée au sortir de l'école primaire et que, par conséquent, toutes les réformes qu'on pourrait mener sur l'orthographe lexicale ne suffiraient pas à enrayer les fautes d'orthographe, loin de là.
  21. À part peut-être s'enorgueillir d'un vulgaire prix Nobel de la paix, je ne vois rien de plus vaniteux que de se satisfaire d'un compliment venant du diable en personne. Jedino, tu viens de remonter dans mon estime ! Estime dans laquelle tu venais de dégringoler pas plus tard qu'il y a deux minutes en ne me donnant pas l'argent que je ne t'ai pas demandé.
  22. On est effectivement d'accord sur l'intérêt des synonymes. En revanche, je ne vois pas en quoi des réformes orthographiques présageraient la suppression de mots. Il y a des orthographes absurdes, mais il n'y a rien d'absurde dans les synonymes.
  23. Ouais, bon, je t'accorde que le f étant plus courant que le ph, il aurait été plus simple d'écrire nénufar dès le début. Mais... non, en fait, je n'ai pas d'objection. Je n'ai certainement pas parlé d'appauvrissement de la langue par rapport à cette réforme. :p
  24. Tu extrapoles bien trop loin à mon sens. Il n'y a pas deux mots rigoureusement équivalents dans ta liste de synonymes, ne serait-ce que parce qu'ils n'ont pas qu'une seule définition, ce qui permet des nuances entre les différents termes qui ne connaissent donc pas les mêmes usages. Par exemple, si je te dis : "j'étais joyeux ce soir-là", même sans contexte, tu peux te douter que je parle d'une soirée où je n'ai pas bu que de l'eau. Si tu remplaces joyeux par content, tu retires de l'information. Bref, les prétendues redondances d'une langue contribuent à sa richesse. Je ne vois pas où est l'absurdité dans le fait de retranscrire le phonème [f] par f ou par ph en passant d'un alphabet étranger à l'alphabet latin, du moment qu'on applique le même principe pour tous les mots de la même origine. À moins que ph soit strictement réservé aux mots d'origine grecque et qu'on se soit trompé sur les racines du mot nénuphar. Et oui, je m'entête à l'écrire ainsi pour manifester mon antipathie envers les réformes orthographiques, d'autant que celle-ci ne simplifie rien étant donné qu'il devait y avoir tout au plus deux péglands et demi connaissant l'étymologie de ce mot avant cette foutue réforme. :p
  25. Le problème n'est pas tellement là. Un salut nazi dans un spectacle de Desproges, on ne poserait pas la question de savoir si ça fait partie de l'idéologie de l'artiste ou seulement du personnage qu'il incarne. C'est parce que Dieudonné tient un discours équivoque en dehors des spectacles et donc sans le couvert de l'humour qu'on s'interroge sur son humour. Mais ça n'a rien d'étonnant dans la mesure où Dieudonné dit lui-même se servir de son statut d'humoriste pour mener son "combat" (cf. la première vidéo que Crabe a postée à la première page, à partir de 5:55). Édition : coquille
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