konvicted

Certes, mais je n'y vois pas de contradiction avec la définition de Feuille, à moins que tu ne considères pas l'extraversion comme une condition nécessaire à la sociabilité, ce à quoi je n'aurais pas d'objection. L'extraversion c'est vouloir, la sociabilité c'est pouvoir, les deux étant partiellement liés.

Pardon mais j'ai eu l'audace de penser que c'était une proposition que tu voulais nous convaincre d'adopter. Ou alors de l'essayer sans y adhérer, peut-être, façon pragmatisme, wait and see et tout le tremblement.

Sans sous-entendre qu'en l'occurrence elle avait tort, bien évidemment ? Tu n'as pas besoin de dire que tu as raison ; après onze pages de débat, soit quasiment autant à tourner en rond, tu auras suffisamment défendu ton idée bec et ongles pour montrer que tu n'y crois pas qu'un peu.

Non, mais ce n'est pas parce que tu es seule contre le monde que tu as raison. Se remettre en question quand on s'oppose à tout le monde, ce n'est même plus de l'humilité, simplement du bon sens.

Sauf que tu occultes l'effet pervers de la publication de ce vote. Car, ce ne sera que la centième fois qu'on le dit, un apriori tel qu'une note permet difficilement de se faire une véritable opinion personnelle (pléonasme) de quelqu'un qu'on n'a même pas encore lu.

Oui, on me le dit souvent. :blush:

Moi par exemple, mais on n'est que très peu à le savoir, alors ça reste entre nous.

Attention, tu risques de prendre son chemin, tu viens de gagner un 1 en maths.

Et ceux qu'ont pas la moyenne, on les évite ou on a quand même le droit de leur adresser la parole ?

Je ne sais pas dans quel intérêt il serait possible de noter les autres forumeurs.

Je ne peux pas nier ne pas avoir envisagé de laisser une page blanche pour la vanne mais ça me semblait trop prévisible. Peut-être une fois prochaine quand ce ne sera absolument pas approprié. "Encore heureux !", oui, tout du moins du moment que l'imprévu nous est plus excitant qu'angoissant.

Fine observation.

Page blanche On tourne la page et puis on commence Une nouvelle, d'accord mais comment ? J'étais parti pour écrire un roman, Mais tout ce que j'ai c'est une romance Et le syndrome de la page blanche. On croit dans la vie avoir le contrôle, C'est un film dont on écrit le scénar, Mais qu'il soit un chef d'œuvre ou un nanar, Les acteurs ne voudront pas jouer leur rôle. Disons, tant qu'à pointer un responsable, Que c'est une erreur de distribution, Que j'ai lésiné sur les auditions En craignant de chercher l'insaisissable. T'as arraché la page, j'en commence Une nouvelle, mais dans un moment, En notre histoire je croyais vraiment Et en attendant de reperdre mes sens, J'ai le syndrome de la page blanche. Éros n'aura pas fait de vieux fémurs, Alors de retour à la solitude, Je retrouve mes vieilles habitudes, Demande de leurs nouvelles aux murs. Et des tiennes aux photos que j'y vois, Mais en vain, selon toute vraisemblance Elles préfèrent garder le silence ; Je voudrais au moins entendre ta voix. Faut tourner la page... vas-y, commence, Et je te suivrai, mais pas instamment, Juste le temps de semer le tourment, Ou bien d'expérimenter la démence Dans le syndrome de la page blanche.

Ouais, le premier qui dégueule a perdu. J'espère aussi. Merci d'être passée.

A vos ordres, capitaine ! Un apéro de vingt vers, dis-donc, tu bois pas du dos de la cuiller. .tid alec, irceM

Effectivement, l'explication est censée suivre. Mais probablement pas immédiatement tellement je galère avec ce texte. Un peu fort, oui, mais merci.

T'as raison, les hommes sont des salauds, des pas beaux. C'est pour ça que j'préfère les nanas. J'les préfère un peu trop quelquefois.