konvicted

"Appelez-moi fou." Relance, "où je veux être" :

https://www.youtube.com/watch?v=rVQWhy3vZhA Relance, "l'amour ça craint (moi aussi)" :

Tu sors !

Merci de participer, konvicted ! De rien, konvicted. C'est à moi de relancer, du coup ? Oui, vas-y ! Relance : https://www.youtube.com/watch?v=kjL17UKP-Lg

Le titre ne fait pas tant référence à 50 nuances de Grey qu'à la sagesse populaire, rien n'est ni tout noir ni tout blanc, tout est nuance de gris. Et 36 tout bêtement parce que c'est un nombre qui incarne la multitude. (Ravi de te revoir par ici, ça faisait longtemps. )

(Le verbe croître est intransitif ! Et tu as écrit : "des yeux drôlement apitoiements". Gare aux coquilles !) Je ne vois pas trop où tu veux en venir. Et je pressens que tu vas me répondre : nulle part. Donc je suis bien emmerdé.

36 nuances d’aigri Ce grison renfrogné de cinquante ans N’a pas toujours été loup solitaire, Ni eu le caractère aussi austère, Mais est devenu dur du palpitant. Ce n’est pas la bonté qui le menace De l’étouffer en mâchant son mépris Quand il débat avec son mistigri De ces femmes qu’il appelle connasses, Passé par trent’-six nuances d’aigri. Ce taciturne âgé de quarante ans Accepte sans relent contestataire D’avoir son chat pour seul colocataire, À priori le seul y consentant. Quand la voix de la raison est loquace, On saisit que pour se mettre à l’abri De se faire avoir et des cheveux gris, Renoncer, c’est le remède efficace Contre la loi des nuances d’aigri. Ce jeune actif abordant les trente ans, Pour la deuxième fois célibataire, Se languit de retourner à la terre, La première ayant duré vingt-huit ans. Son amour a tourné les talons, lasse Qu’il ait peur, obsédé par son nombril, Qu’elle le laisse seul, amer et gris À penser que son destin dégueulasse Lui en fait voir des nuances d’aigri. Cet étudiant impatient de vingt ans Désespérant de visiter Cythère Se complaît dans l’attente velléitaire Quitte à calancher sans voir le printemps, Mais craint à mesure que le temps passe De finir, comme si c’était écrit, Misogyne, le cheveu rare et gris, Ayant traversé dans sa carapace Toutes sortes de nuances d’aigri.

Download porn.

Relance, "modèle/exemple (à suivre)" :

Parenthèse vélocimétrique : Relance :

Parenthèse anxieuse : Relance, "les oubliés" :

Relance, 500 connards sur la ligne de départ :

Elle a été plus maigre que ça. Mais peu importe, ce n'était qu'un exemple. L'anorexie est au mannequinat ce que le dopage est au cyclisme ; ce n'est pas obligatoire mais quand même vachement conseillé. Je confirme : J'aimerais bien voir d'où tu tires ta définition de l'anorexie pour y inclure la boulimie.

C'est déjà fini : Relance : https://www.youtube.com/watch?v=qwckm5TqxjY

Relance :

Comment expliques-tu alors la prépondérance des Kate Moss et consorts dans la mode ?

Oui, bien sûr, le culte de la minceur est une préoccupation sanitaire. Les mannequins anorexiques sont d'ailleurs de très bons exemples d'équilibre alimentaire.

Le problème n'est pas tant l'inadéquation individuelle à un idéal esthétique ancré dans le subconscient collectif à grand renfort de bourrage de crâne que l'existence dudit idéal.

Voir les théories de maud75 et pep-psy.

Non, un kilo en plus ou en moins, ce n'est pas une question de santé. Merci d'illustrer mon propos sur l'oppression du culte de la minceur. Les délires de pep-psy n'engagent que lui.

Il y a au moins trois points que tu omets (pas spécialement dans ce message mais en général) : Ton discours culpabilisant passe sous silence l'existence de plusieurs morphologies et métabolismes et ne fait pas la distinction entre les différentes causes de surpoids, qui, comme l'a dit arwena, ne se résument pas à des excès de table. Les femmes qui se trouvent trop grosses ne sont pas nécessairement en surpoids, mais le culte de la minceur les opprime également. Si la minceur est le canon de beauté actuel, ça n'a pas toujours été le cas et il n'est pas immuable. Je serais curieux de savoir quel discours tu tiendrais si les formes plantureuses constituaient la norme esthétique en vigueur que tu ne pourrais pas satisfaire faute d'avoir l'ossature et le métabolisme requis. Tu as lu ça où ? Fallait oser la faire, celle-là. C'est surtout la consommation de viande industrielle qui a des conséquences écologiques graves, et ça ne regarde pas que les gloutons.

Eh bien, y en a qui sont inspirés ! Relance, "les mots que je n'ai jamais dits" :

Parenthèse funéraire : Y avait "comme une sœur" :

Parenthèse "bonne nuit" :

Tu la cases partout cette giedRé décidément ! Mais c'est marrant. https://www.youtube.com/watch?v=E1-Ub2v9EX8 Relance :