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Tout ce qui a été posté par Fiphi
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Eric Zemmour poursuivi pour discrimination raciale.
Fiphi a répondu à un(e) sujet de nanouchka47 dans France
Ridicule ! Les témoignages, les portraits robots, recueillis auprès des victimes sont souvent très explicites. Ca ne vient pas des flics ... On ne peut tout de même pas tout leur coller ! Sopo : Nier l'évidence ! -
Eric Zemmour poursuivi pour discrimination raciale.
Fiphi a répondu à un(e) sujet de nanouchka47 dans France
Sur-délinquance des étrangers et jeunes issus de l'immigration = majorité des délinquants sont des noirs et des arabes, non ? Il faut une "pince à sucre" pour s'exprimer ? Nier l'évidence ... etc ... Sopo démontre bien qu'il est difficile "d'illustrer" la délinquance telle qu'elle se présente dans notre pays. Sujet tabou ! Censure ... -
La politique d'un état est dans sa géographie. (Napoléon)
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Un soupçon de réalisme, un brin d'anticipation, une référence, l'histoire. Je ne crois pas être oiseau de mauvais augure : une nation sur endettée qui fait peser sur ses enfants le poids de ses chimères, incapable de financer ses prétentions, appauvrie, arrogante, impertinente, en paiera forcément le prix, tôt ou tard. Les conséquences seront douloureusement humaines ! Point de frustration en ce qui me concerne.
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Il n'y a pas parmi nous l'ombre d'un tyran qui ne ressent rien à la douleur d'une famille qui se voit refuser un titre de séjour qu'elle désire tant. Il n'y a pas parmi nous l'ombre d'un tyran qui se moque de la douleur ressentie de cet enfant, essentiellement à cause du désespoir de ses parents de ne pouvoir lui offrir une vie choisie dans notre pays. C'est à contre-coeur que je tiens parfois les propos qui sont miens, parfois aussi non sans une certaine douleur. Il m'aurait été tellement plus facile de dénoncer ce fait comme d'autres. Je tiens ces propos cependant parce qu'ils sont la raison même quand bien même elle s'avère douloureuse, persuadé que la dignité ait été préservée, parce que je ne cède point au sentimentalisme appuyé par le réseau RSF, qui devrait aussi se charger ou aider pour démasquer les réseaux clandestins voire ne serait-ce que les dénoncer, parce que je crois en une décision de justice qui connaît les faits, qui a pu les apprécier et se fonder sur ceux-ci pour rendre une décision grave, parce que je tiens plus que tout au maintien de l'ordre dans notre République, que cet ordre est sans cesse menacé, en raison de la clandestinité notamment, que vous ne sembliez pas en être inquiété comme je peux l'être pour notre avenir, lequel s'assombrit plus vite que vous ne pouvez le croire, parce que je crois en un juste équilibre des choses humaines et qu'une France qui se paierait le luxe d'offrir l'asile à toutes les peines du monde ne survivrait pas à la paix, déjà fragilisée. Je lis avec regrets chez certains d'entre vous une appréciation éludée du fonctionnement de nos institutions, telle la gendarmerie en charge de la police judiciaire, placée sous la direction du Procureur de la République, réprésentant du Ministère Public devant nos juridictions. Je remercie Enzo d'avoir appuyé mon analyse. Pour finir, je dirai que les choses iront mal, étant à peu près certains qu'elles ne s'amèlioreront pas, et que vous n'hésiterez pas à faire appel à ceux que vous dénoncez pour votre propre sauvegarde.
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D'une, les gendarmes n'expulsent pas ; c'est une juridiction qui prend une décision par application d'une loi et sur le fondement de critères précis. Deux, les gendarmes ne vont pas chercher l'enfant dans la classe ; ils se le font certainement remettre auprès du responsable de l'établissement, dans la discrétion, en présence du parent (en garde à vue à priori). Trois, tous les pays du monde ont adopté une loi sur l'immigration et celle de la France n'est pas plus inhumaine bien au contraire que celle d'autres pays (Honte à la France, non merci !). Quatre, dans d'autres pays, ca ne peut arriver puisqu'on n'y entre pas comme en France (ils se sont débarassés de ce problème) et que l'on y est pas encouragé par des associations mafieuses financées par l'état. Cinq, il faut une loi sur l'immigration, sur les conditions d'entrer et d'aide au séjour en France comme sur les conditions d'aide au retour dans le pays d'origine. La france est novatrice (OFII). Six, je connais assez ces associations qui éludent les vérités sur les situations des gens qui désirent vivre en France, et qui se sont fourvoyées dans une situation dont ils connaissaient l'issue. Sept, vos argumùents finissent par agacés les français qui ne trouveront bientôt d'autres alternatives que de voter Front National. Huit, je rejoins Pyrenne qui dénonce l'irresponsabilité d'adultes qui malmènent leurs enfants d'un pays à l'autre, au mieux s'en servent pour le bénéfice d'aides sociales ou d'une autorisation de séjour. Pour finir, assimiler une situation d'irrégularité en France à un génocide semblable à celui connu au XXème siècle (l'humanité en a connu d'autres - exterminations, persécutions ...) est particulièrement déplorable.
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La famille est en situation irrégulière depuis quelques mois. Elle est prise en charge malgré tout par le reseau associatif. L'enfant est scolarisé, donc le milieu éducatif n'ignore pas non plus la situation irrégulière des parents. La famille se voit opposer un refus de délivrance de titre de séjour ; la décision est forcément motivée par une juridiction. La famille est invitée à quitter le territoire, d'elle-même. Elle dispose d'un mois. Au delà, elle s'expose à une mesure d'éloignement immédiate. On ne respecte pas la décision, et un certain cercle les y encourage. Je précise que lorsque qu'une famille est invitée à quitter le territoire, elle est aidée financièrement et matériellement par l'office français de l'immigration et de l'intégration. On ne sait rien de la famille des interessés, précisant qu'il est aisé d'invoquer le refuge politique (Monsieur est russe, et non arménien). Les gendarmes, lors d'une banale patrouille, interpellent un individu qui commet une grivèlerie de carburant. Il s'agit d'un ressortissant russe en situation irrégulière. Il est père d'un enfant et vit avec une Arménienne, ce que les gendarmes doivent apprendre au cours de la garde à vue (bien d'autres le savaient avant eux !). Ils s'en remettent aux autorités pour qu'une décision soit prise. Un APRF est délivré. La famille est placée en centre de rétention (il ne s'agit pas d'un hall de gare ou d'un gymnase !). Un recours est toujours possible. Je ne sais qui doit avoir honte du terme d'une telle situation. Pour ma part, les reseaux associatifs et éducatifs sont aussi coupables d'avoir laisser s'enterrer une situation dont ils pouvaient présager l'issue ! Par ailleurs, l'article méritait que l'on connaisse la situation précise de cette famille, de ses conditions d'entrée en France, de sa vie antérieure en Russie, de l'existence d'une famille dans le pays d'origine, du fait qu'elle soit reconnue ou non par le pays d'origine ...etc... Informations essentielles pour formuler un avis, non sur la loi, mais sur la décision prise par la juridiction qui a opposé un refus de séjour à cette famille. C'est là l'essentiel. La décision de refus au séjour pour asile politique était-elle réellement motivée ? Enfin, je précise à toutes fins utiles que les centres de rétention ont été crées en 1981, qu'ils répondent à des normes strictes, de même que la loi est stricte d'application, et qu'elle n'est pas nouvelle.
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Marine Le Pen était sur France 3, je crois, avant hier-soir. Autant vous dire qu'elle a pris une certaine assurance et qu'elle se défend bien sur tous les sujets. Gare à ceux qui s'y colleront. Les débats seront savoureux Gauche-Droite-Fn. Bien entendu, elle fut interrogée sur un fait de son père qui n'interessait pas (Durafour). Mais il fallait absolument que les journalistes détournent le débat et stigmatisent. C'est épuisant, de plus ça produit l'effet inverse, car flagrant. D'autre part, dans mon entourage, ou parmi les gens que je rencontre, de toutes les professions, de plus en plus de gens paraissent séduits par sa posture et son discours ... Alors ?
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Le droit pour un enfant d'avoir une mère et un père, dans le cadre de la protection de l'enfance et donc de l'adoption, prime sur toutes autres considérations d'autant plus lorsque le choix de l'adoption est choisit en raison de son orientation sexuelle. Un droit, voire un principe de "précaution" rappelé par Marinelou.
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Bravo !
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Faut pas être sorti de St Cyr pour comprendre que ces prières de rues sont justes provocatrices. Je trouve aussi curieux et funeste d'élever l'Islam au rang de l'Eglise Chrétienne sur nos territoires ! L'Islam, avant de recueillir mon approbation, va devoir sérieusement se mettre au diapason de notre culture et de nos considérations humaines. La liberté de culte chez nous, c'est une faille qu'elle exploite. Le renoncement à la foi chrétienne lui donne de l'espace, c'est un problème pour nous, européens. Je respecte donc cette religion et ses adeptes, d'autant plus dans les pays du maghréb, j'admets qu'elle puisse se pratiquer, point trop s'en faut publiquement, et je mets en garde et je m'insurge à l'égard de son prosélytisme, comme du comportement des siens, trop criminels, trop délinquants, trop soumis à leur loi religieuse au point de négliger nos lois républicaines. Il faut savoir dire non ! non et non !
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Il appartient à la religion Islam de s'adapter à l'état laïc. Est-elle seulement capable de le faire ? Pas aujourd'hui ! Quant aux musulmans qui acceptent la laïcité, sont-ils toujours "musulmans" au regard du Coran et des Hadiths ? La laïcité est un concept occidental défini à l'époque des Lumières lorsque la religion Chrétienne était seule influente. La séparation de l'Eglise et de l'Etat est un compromis qui n'engageait que l'état républicain français et la religion chrétienne. Et même si de nombreux pays occidentaux se disent laïcs, ils n'ont pas pour autant abandonner totalement leur référence religieuse chrétienne. Il n'y a qu'en France où nous sommes assez absurdes et, hypocrites surtout, pour nous permettre d'enfouir notre modèle culturel chrétien. Une conséquence, et non des moindres, est notre incapacité à combattre l'intégrisme religieux, notre incapacité à exiger d'une religion la necessité d'une réforme, d'une représentativité, d'une adaptation au monde moderne, d'autant plus si elle nous menace d'attentats !
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Je pense au contraire que les propos d'Hassan II et de Tariq Ramadan méritent d'être commentés et qu'il n'est pas nécessaires que Dihyia en rajoute, du moins pour le moment. Elle s'est prononcée sur le sujet en apportant un témoignage. A d'autres de nous dire ce qu'ils en pensent ou d'apporter un témoignage qui soutienne leur avis. Pour ma part, l'Islam tel qu'il se montre aujourd'hui n'est pas adapté à la laïcité. Je pense sincèrement qu'un musulman qui souhaite entrer dans le cadre de la laïcité doit faire de nombreuses concessions sur le plan religieux, point de vue inavouable pour les représentants de l'Islam en France. Il manque d'autre part en l'Islam une représentativité unique, similaire à la primauté papale pour la religion chrétienne, qui lui a notamment permis d'évoluer et de se réformer (conciles oecuméniques).
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Je défends l'idée que l'Islam est une religion régressive en terme des droits de l'individu, trop peu réformée ou modérée pour qu'on lui laisse un champ trop large en France, en Europe même, cédant bien trop facilement aux voix de l'intégrisme. Je vois trop de comportements anormaux ou immoraux en France parmi ses pratiquants et je ne fais que constater ce qui se passe dans d'autres régions du monde. A cela s'ajoute mon sentiment que notre culture n'est pas seulement née après la révolution ou après la création d'une prétendue laïcité, mais qu'elle s'est forgée depuis quelques millénaires, qu'elle est encore étroitement liée à la chrétienté, qu'il ne s'agit pas de décréter multiculturalisme ou pluriculturalisme pour croire qu'Islam, Chrétienté et République puissent s'épanouir dans la paix, qu'il ne suffit pas de se dire athée pour feindre l'ignorance des dangers de l'intégrisme. Je constate malheureusement qu'un certain nombre d'entre-vous souhaite nous faire "oublier" notre histoire, préférant appliquer des théories fumeuses à la marche des hommes. Pour autant, je n'ai pas le sentiment d'être un vendangeur de peurs, tentant en définitive de mettre en garde contre l'aveuglement, le déni, le mensonge de réalités que l'on se refuse à énoncer. J'ajoute en substance que les idées défendues par moi ou d'autres n'ont rien d'extrémistes dans d'autres régions occidentales, que ce prétendu extrémisme dont vous nous affublez ne se mesure qu'au regard de vos propres pensées.
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Nous y sommes " ...de l'islam modéré". Cette religion a donc besoin de modération ! Enfin, lorsque j'entends "intégration" résonne en moi les émeutes récentes des banlieues.
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La France est un eldorado social et médical ... Pour combien de temps encore ?
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Justin Vaïsse, historien et enseignant à Sciences-Po tient un propos effectivement interessant. Je crains que son expérimentation soit risquée et que le modèle français laïc en perde son latin. J'approuverai ... sauf que son analyse est forcément fondée sur le mensonge d'état, le mensonge politique, les non dits ... l'hypocrisie à la française quoi où l'on nie certaines évidences, certaines vérités et où l'on se refuse à certaines recherches, certaines statistiques ! Je fais partie de ces français qui ne veulent pas faire partie de l'expérimentation pour la simple raison qu'elle pourrait très rapidement nous conduire à une sorte de guerre civile ... En clair, les dés sont pipés !
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Vous me faîtes bien rire avec la laïcité, la République et tout le toutim ... La France n'est pas épargnée par la déferlante de l'intégrisme islamique. Magus peut opposer que les musulmans de France sont essentiellement malakites, à juste raison peut-être. Il n'en reste pas moins que la République et ses lois ne sont pas soutenues contre cette forme d'intégrisme, par les mulsulmans même malakites. La laicité est d'une part trop divisée pour y faire face et ne représente plus grand chose si ce n'est une théorie politicienne qui aura vécu alors que la France n'était que catholique ; elle vole en éclat. Les musulmans de France, pour un certain nombre, et non des moindres, sont bien trop attachés à leur patrie religieuse. Le bled est bien plus considéré que notre terre de France. La laïcité, c'est le cadet de leur soucis, d'autant plus s'il s'agit de partager sa religion, plutôt guerrière et intolérante, regressive dans tous les domaines du droit, avec une autre religion qui lui est si différente et qui lui fait tant d'ombres. Occtroyer aux musulmans des lieux de cultes. Pourquoi pas ? L'intégration ne se fera pas mieux pour bien d'autres raisons que celle-ci. Pour ma part, il nous faut être très vigilant à l'égard de cette religion, non pacifiste, particulièrement sensible aux voix de l'intégrisme, parce que c'est sa conception du rapport de l'homme à Dieu qui l'y entraïne. Qui ne sait pas tirer les leçons de 3000 ans vit seulement au jour le jour (Goethe)
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Je suis difficilement le débat pour des raisons professionnelles. J'ai lu très rapidement ce qui a été dit. J'ajoute à ce que j'ai déjà pu écrire. Je ne m'oppose pas à ce qu'un couple homosexuel élève un ou plusieurs enfants dès lors que les enfants sont nés de l'un des membres du couple homosexuel (existence d'un père et d'une mère). Je crois comprendre que certains défendent le fait que d'adopter un enfant est un droit et que de l'empêcher pour un couple homosexuel est discriminatoire. D'autres encore préfèrent, pour un enfant, orphelin, abandonné, une adoption par un couple hétéro plutôt que par un couple homo. La raison principale avancée est l'équilibre potentiel, psychologique de l'enfant. C'est ma position en ce qui concerne l'adoption, précisant par ailleurs que ce type d'adoption semble avoir d'abord pour but de satisfaire le souhait pour des individus homosexuels d'avoir un enfant plutôt que le but essentiel et primaire qui est celui de sortir un enfant d'une existence miséreuse, sans parents. Je redoute l'envie pour ces couples homosexuels de vouloir ressembler aux couples hétéro avec enfants. C'est un don de la nature de faire naître des enfants par l'accouplement homme - femme. Il me parait tout aussi naturel que l'enfant ait besoin de la présence de ses deux parents des deux sexes opposés pour grandir (Cf Freud, De Greef ...). Je comprends cependant qu'un couple homosexuel, équilibré et stable, veuille un enfant. Cette seule réponse, pourtant, ne me suffit pas pour accepter ce type d'adoption. Elle m'insatisfait d'autant plus lorsqu'on y oppose le droit à la liberté, aux choix de vivre sa vie, sexuelle notamment, sans discrimination. Pour préciser ma pensée, - Les parents qui adoptent doivent d'abord penser au sort de l'enfant. L'adoption est délicate pour diverses raisons, évoquées par Lyli Greycat (nouveau milieu, nouvelle vie ...). Je vais plus loin. Bien souvent, l'enfant adopté a déjà un vécu. Il est déjà âgé (3 à 10 ans). Il ne s'agit pas d'un vécu sans traumatisme, bien au contraire. Selon le pays d'origine, il peut s'agir d'un enfant maltraité, agressé, victime d'abus notamment sexuels. Ces paramètres doivent être pris en compte et envisagés par la famille d'adoption. Car le retentissement viendra plus tard, au cours de l'adolescence et à l'âge adulte (risque de réitération). La présence des deux sexes peut s'avérer sinon utile, incontournable. - La protection de l'enfance est supérieure au droit de prétendre à l'adoption. En terme de choix du couple adoptant, la protection de l'enfance est primaire. Il me parait donc tout à fait normal qu'un couple hétéro soit prioritairement choisi (notre modèle de société, n'en déplaise aux couples homosexuels). L'attribution de l'adoption ne peut se faire non plus selon date de la demande.
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Une chose est sûre : - Le vote Fn sera déterminant, non négligeable - Marine Le Pen les fera tous vaciller !
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Comme on ne peut pas avoir d'enfant, on souhaite en adopter un ! C'est détourner l'adoption pour satisfaire un égo que celui d'avoir un enfant. Vous voulez un enfant, après tout, faites - le ! Adopter est bien plus délicat que d'élever son propre enfant, notamment selon l'âge de l'enfant orphelin et sa provenance ! Le choix de la famille est donc essentiel. Entre une famille hétéro et une famille homo, le choix selon toute vraisemblance, en toute logique, se portera sur la famille hétéro.
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Du fric pour l'école ... C'est déjà un gros budget. Chacun sait qu'il y a mieux que de verser toujours des subsides dans un système déjà moribond. Pour bien apprendre, il faut principalement un bon enseignant et de la discipline, et des élèves qui ont le goût et l'envie d'apprendre. Pour ceux qui mettent leur enfant à l'école privée, je les comprends : plus de tranquillité d'esprit, de sécurité, de sérénité, plus de discipline aussi, moins de polémique. Car à l'école laïque, tout est polémique. Nous l'avons déjà évoqué et c'est insupportable.
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Je m'interroge sur le developpement psychologique des garçons plus que pour les filles ... D'autre part, les "expériences" existantes sont tronquées du seul fait que l'homosexualité s'est déclarée ou s'est affirmée après une vie de couple homme - femme lors de laquelle l'enfant est né. Il me semble que nous n'avons pas d'études assez précises sur le developpement de l'enfant de 0 à l'âge adulte qui permettrait de lever tous les doutes quant à l'assurance d'un developpement normal d'un enfant chez un couple d'homosexuels (j'ai une référence - Freud). Ce qui me dérange, c'est que l'on modifie la "norme". Nous n'en mesurons pas les conséquences. De plus, vous la voulez "contre nature". J'ai assez vu par expérience des individus qui présentent des troubles psychologiques ou du comportement (normaux pour le commun des mortels mais horriblement tracassés) pour bien moins que ça que l'absence d'un père ou d'une mère mais simplement parce que l'un ou l'autre des parents n'avait pas eu le rôle qui aurait du être le sien ... Sur l'exemple : des enfants ont connu l'absence d'un des deux parents et vont très bien : il y a une explication à l'absence d'un parent, comprise dans la "norme". Je posais la question d'un âge minimum de l'enfant pour une telle adoption. Cette question ne me semble pas dépourvu de tout intérêt.
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On pense au Christ quand on meurt, quand on est malade, quand on aperçoit une église, un calvaire, lors d'une cérémonie, ou d'un jour férié, près d'un ancêtre. Cessons d'être de mauvaise foi. La présence du Christ est plus présente qu'il n'y parait ou qu'on veuille bien le faire croire ... Le Christ fait partie de notre histoire, familiale, et de notre nation, comme de notre paysage ... On peut se dire athée ... C'est un état transitoire !
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C'est la religion catholique qui est durablement ancrée ...