Ocytocine

http://www.rue89.com...a-racine-218159 Cela ne va pas te plaire, ce n'est pas le salon beige, désolée.:D

Mon garçon joue à la poupée Jeudi 04 octobre - 17:30 [/JUSTIFIER] [JUSTIFIER] [/TAB]"Mathis préfère jouer avec les poupées de sa soeur plutôt qu'avec ses petites voitures, dois-je m'inquiéter ?" [TAB]Marie-France Le Heuzey, pédopsychiatre, relativise la portée de ce comportement. Un petit garçon qui joue à la poupée sera-t-il nécessairement moins viril, comme le pensent certains parents ? M.-F. Le Heuzey : Absolument pas. De tout temps, les petits garçons ont joué à la poupée. C’est un jeu d’identification comme un autre… L’enfant joue avec ses playmobils, il est cow-boy, commandant de bord ou aventurier… Quand il habille et déshabille son poupon, il se projette également la plupart du temps dans un rôle masculin, celui du père ou du médecin. D’ailleurs, on demande maintenant aux papas de participer davantage à l’éducation et à la garde des enfants. Pourquoi serait-ce choquant qu’un petit garçon change la couche de son baigneur ? Mais si, en revanche, il se projette dans un rôle féminin ? M.-F. Le Heuzey : S’il s’imagine comme une future femme — « Plus tard, je serai une maman» ou bien « Quand j’aurai un bébé dans mon ventre… » —, ce peut être le signe d’un trouble d’identité de genre, c'est-à-dire qu’il souhaite être une fille ou se considère déjà comme une véritable fille dans un corps de garçon. Il faut bien faire la différence avec l’homosexualité, qui n’est pas un trouble mental mais un choix d’orientation sexuelle, dont il ne peut être question avant l’adolescence. A partir de quel âge peut-on dépister un trouble d’identité de genre ? M.-F. Le Heuzey : Cela peut se voir dès trois ans. Mais jouer à la poupée n’est pas un symptôme suffisant. On constate généralement une accumulation de comportements suspects. Par exemple, les garçons concernés se travestissent souvent avec des affaires de femmes adultes : bijoux, robes, chaussures à talons… en se disant : « Plus tard, je serai comme ça. » Comment réagir ? M.-F. Le Heuzey : Il ne faut pas s’affoler. Dans la majorité des cas, les choses sont passagères ou peuvent évoluer. C’est pourquoi il ne faut pas hésiter à en parler à son pédiatre ou à son généraliste, même si la démarche n’est pas facile. Si c’est nécessaire, ils sauront vous orienter vers un pédopsychiatre. Quel est le rôle de la structure familiale et du comportement des parents dans la construction de la personnalité du tout-petit ? M.-F. Le Heuzey : Les positions respectives et les comportements de chacun au sein du cercle familial sont déterminants. L'enfant aura du mal à assumer son propre sexe si l'homme n'a pas le beau rôle. Par exemple, certains petits garçons disent vouloir être une femme plus tard parce qu'ils ont vu leur père battre leur mère. Les hommes ne sont alors pas, à leurs yeux, des êtres respectables. L'attitude de la mère est tout aussi importante : je me souviens d'un petit garçon chez qui j'avais détecté une idéalisation du sexe féminin... sans doute parce que sa mère ne supportait pas les hommes "brutaux et vulgaires qui ne pensent qu'à faire la guerre". Ce qui est certain, c’est qu’il ne faut surtout pas interdire à un garçon de jouer à la dînette ou à la poupée. D’ailleurs, vous risqueriez d’aboutir au résultat inverse, car interdire quelque chose de façon trop autoritaire peut donner envie de le faire en cachette. S’il joue à la poupée, les parents doivent simplement vérifier que l’identification est bien masculine… Et ne pas encourager une fascination naissante pour les valeurs féminines. Dans tous les cas, la figure masculine (le père, le beau-père, le grand-père…) doit, de son côté, donner une image positive de l’homme. l'article... Source: www.infos.bebes.com

De quoi parles-tu ? Larousse

Pour en savoir plus sur la crèche : http://www.dailymotion.com/video/xp9jxp_a-la-creche-departementale-bourdarias-de-saint-ouen_news Il est vrai que ce terme "accompagner", qu'il utilise, est un peu ambigu. http://www.dailymotion.com/video/xp9nf3_a-la-creche-departementale-bourdarias-de-saint-ouen-avec-suzanne-francois-et-les-enfants_news?search_algo=2

Ce message est très intéressant. Il démontre qu'en réalité, les anti-mariage gay s'en fichent comme de leur première chemise du mariage, qu'ils se balancent de l'intérêt de l'enfant adopté, ce qui les gêne c'est d'imaginer la sexualité homosexuelle. Cela les dégoûte, ils font une fixation là-dessus, s'imaginant que les homos forniquent à longueur de journée. Ils sont incapables d'imaginer que ces personnes puissent éprouver de l'amour et de la tendresse. Alors chercher x arguments contre le mariage gay c'est d'une hypocrisie sans nom. Dites simplement qu'ils vous répugnent, s'il vous plaît, ça ira plus vite.

Mais qu'est-ce que c'est que c'est que ça ? "le tabou immémorial du mariage hétérosexuel "????:mef2:

Cela me paraît bien péremptoire.J'ai souvenir d'avoir eu à ma disposition des Pl indiens et tuniques bleues, autant que de Barbies, et d'y avoir joué avec plaisir pendant des heures, ainsi qu'un circuit de voitures et un autre de train. Par contre, avec le temps et les influences diverses, les choix se sexualisent plus. Mais les premières années, on apprécie de toucher à tout. Je ne crois pas être une exception. Pour les garçonnets et les poupées, bon, faut voir : je les ai plutôt vus arracher les cheveux par expérimentation, plutôt que de les brosser, c'est vrai.:D En fait, comme on perpétue de génération en génération les mêmes schémas et qu'on propose certains jeux en fonction du sexe, je me demande comment on peut savoir comment ça se passerait sans aucune influence sur le genre. _____________ H.S.: Perso, je rêve du jour on l'on arrêtera de ne proposer pratiquement que des vêtements roses pour les filles et des pyjamas bleus pour les garçons. Je comprends ce que tu veux dire, mais la question que je me pose c'est : est-ce vraiment nécessaire de ne proposer aux garçons que des jouets dits "de garçon" et aux filles des jouets "de fille" en partant du principe que de toute façon c'est forcément ça qu'il faut, plutôt que de leur proposer un plus large choix ? Tes jumeaux ont des jouets en commun, le garçon n'a-t-il jamais au moins palpé, examiné un jouet de sa soeur et vice-versa ? La variété ne va-t-elle pas accroître les connaissances, l'esprit d'ouverture et de tolérance. Un truc qui me gêne beaucoup aussi, ce les copies pour petites filles d'aspirateur, cuisine, fer à repasser (je dis petites filles parce que c'est souvent rose - et oui, encore - et qu'on les trouve dans les ages pour gamines pas pour garçonnets) : cela me semble procéder à installer des habitudes de ménage cantonné aux femmes alors qu'on se plaint qu'elles se coltinent 80% des tâches ménagères. A faire finalement que les garçons méprisent des activités jugées complètement féminines. Mais en fait ce n'est même pas que je voudrais que les garçons puissent toucher un jouet-balai, c'est plutôt que ça me gonfle que les enfants jouent à ça pour faire comme les parents, mais une fois ado, impossible de leur faire toucher une serpillière ou ranger une chambre.:D @ Williama : je crois que tu te focalises sur l'idée qu'on va imposer aux garçons des jouets de fille et vice-versa, mais il semble qu'il n'y a rien d'imposé. source On ne peut pas forcer pas un enfant à jouer à quelque chose.

Pourtant il y en a ici qui affirment qu'un petit garçon qui joue à la poupée deviendra homosexuel... En fait, ce que tu es en train de nous dire c'est que ce qui est féminin est dégradant. Je remarque que les actions de la crèche ne te gênent que dans un seul sens.

Là où ça me gêne un peu cette nudité étalée, c'est que ces beaux corps jeunes, minces, parfaits, exaltés par la pub, les stars coachées et photoshopées, ils filent d'énormes complexes.

@ epmd71 : peux-tu nous proposer une étude démontrant que jouer à la poupée féminise un garçon ?

Tu n'as pas répondu à ma question, pourtant je ne pense pas avoir été agressive. Puisque nous en sommes tous aux hypothèses, plutôt que de les démolir toutes, ne voudrais-tu pas pour changer étayer la tienne ? Oups, je ne suis pas la seule à le souhaiter.:D

Je pense que tu peux trouver le même ressenti chez un homme. Mon compagnon change les couches de la petite par choix, parce qu'il a envie de s'occuper d'elle, ce n'est pas moi qui lui demande, je ne lui ai pas imposé et n'en ferais pas un drame si jamais cela le dégoutait. Il ne se sent pas pour autant emasculé (je lui ai demandé avant de répondre), ses copains n'ont plus, ne le trouvent pas féminin. On peut côtoyer une féministe et survivre, tu sais. Et même conserver son identité. :D

Je comprends le désir de vengeance - et de mort - d'une victime ou ses proches, je me mets à leur place j'aurais des envies de meurtre dans une telle situation. Par contre jamais je ne demanderais à la société de m'offrir cette vengeance, qui ne m'apportera rien puisque c'est un tiers qui aura décidé, jugé, condamné et frappé ; tout ce que je demanderais à la société, à travers sa justice, c'est la justice, justement - et simplement. Il n'est pas question de punir la violence par la violence, la mort par la mort sous peine de prendre le costume du violeur ou du meurtrier. Comment dormir avec cela sur la conscience, sachant qu'on a commis exactement le même crime sur une vie ? L'important c'est la reconnaissance du crime, pour retrouver la paix. L'équité ce n'est pas donner une mort pour une mort, car c'est commettre le même crime. C'est compenser. Mais je t'accorde que la justice paraît terriblement injuste de nos jours.

Ben ce n'est pas la question, moi je ne prétends pas être un juge, décider de la culpabilité ou de l'innocence, prononcer une sentence de mort...

@ Simplicius : Pourquoi une race serait-elle intrinsèquement dégénérescente et pas l'autre ?

Tu apprécierais, toi, que quelqu'un ait le droit de vie ou de mort sur toi en fonction de son jugement sur tes actes ? C'est intéressant cette façon de se plaindre d'une augmentation de la violence et pourtant en même temps de souhaiter la violence (mettre quelqu'un à mort ou le mutiler)... Tu oublies qu'un criminel ne peut être dissuadé par la peine de mort car il croit toujours que ce sont les autres qui se font attraper et pas lui (et encore, s'il a conscience de faire mal...).

Je parle de choix, bien entendu. Mais de toute façon s'il n'a que ça et que ça ne l'intéresse pas, il jouera avec autre chose. Parfois un enfant a des jouets à disposition et préfère pourtant un bout de carton ou une ficelle.:D Hum, la vie d'un enfant ne se réduit pas à la crèche et à son influence, il a d'autres interactions sociales.

Hum, c'est peut-être une évolution qui gêne finalement. Et si les petites filles en jouant aux camions se mettaient à revendiquer l'égalité homme-femme à l'âge adulte ? terrible, tu imagines !:D Qu'un homme change les couches de son bébé n'a rien de dévirilisant. Qu'un petit garçon joue à changer un poupon ne l'empêchera pas non plus de savoir qu'il est un garçon et de devenir un homme.

Oulah le danger ! Un garçon jouer à la poupée quelle horreur ! Autant l'emasculer direct ! Nan mais sérieusement... J'ai eu une mallette de bricolage petite fille, je tapais du marteau, je sciais avec mon papa, cela ne m'a pas empêchée de devenir une femme, d'être hétérosexuelle, d'avoir un enfant, d'exercer des métiers plutôt féminins. Ce que j'en retiens c'est que je ne laisse pas le bricolage à mon conjoint, que c'était autrefois une activité de partage avec mon père. Il y en a qui s'effraient de peu. La diversité c'est enrichissant.

Puisque nous sommes dans la logique, on ne peut les mettre sur le même plan puisque dans un cas il s'agit de plusieurs personnes alors que dans l'autre il n'y en a que deux.:p

@ Vagary : Excuse-moi de m'être exprimée. Je quitte le sujet, je te laisse avec des gens intelligents.

Quel rapport ?:gurp:

Le cancer de la prostate touche plus fréquemment les Noirs que les Blancs. Ce ne sont pas ours et écureuils. Comment veux-tu qu'ils empêchent un cancer de la prostate ? Il n'est même pas question ici de choix ou de faiblesse intrinsèque puisqu'à son tour le Blanc est plus fréquemment sujet à d'autres cancers.

Ah bon ? Comment le sais-tu ? Il y a quand même une différence considérable entre mutiler quelqu'un et se mutiler soi-même.:gurp:

Tout à fait.