Ocytocine

Tu n'as pas demandé la définition, tu as demandé à quoi ça servait.

à vivre ensemble ?

Mince, je croyais qu'il était mort.

J'ai du mal à croire que des femmes au foyer propriétaires d'une maison et dont le mari travaille touchent l'APL. A 1000¿ net par mois de salaire, je n'y avais pas droit, en couple et au chômage, monsieur travaillant, on y a toujours pas droit. Les plafonds ne sont pas élevés, cela me semble tiré par les cheveux. A moins que ces dames aient 8 enfants, ce qui ne doit pas courir les rues quand même.

Bonjour. C'est une situation assez courante : peu de personnes sont prêtes à vivre une autre histoire après la rupture quand l'histoire a été longue et pourtant à ce moment-là on a envie de séduire pour se rassurer. Elle est prise tout simplement dans ce dilemme. Elle n'a pas été en mesure d'envisager une histoire légère, un flirt ou du sexe et de définir le "contrat" comme tel. Comme c'était une relation sérieuse qui était envisagée, elle s'est retrouvée obligée d'avouer qu'elle n'était pas prête, pour être honnête avec toi, parce qu'elle ne pouvait pas s'impliquer de cette manière. Cette aventure ne signifie pas forcément qu'il y avait des sentiments forts, juste l'envie d'être aimée à nouveau. Il n'y a donc aucune garantie que tu la "récupères", prochainement ou plus tard.

N'importe qui, même pas très intelligent peut comprendre votre choix, mais si vous montrez du mépris envers ceux qui préfèrent travailler pour une misère parce que cela leur donne de la dignité, vous ne risquez pas de remporter des suffrages. La dignité c'est une notion personnelle ; vous vous sentez dignes de profiter du système de protection sociale parce que le système est exploitant, mais respectez ceux pour qui il est plus digne de gagner leur pain. Chacun sa notion de dignité, pas la peine de comparer et de hiérarchiser. Personnellement si je ne partage pas vos idées, il ne me viendrait pas à l'idée de les mépriser. J'apprécierais que vous fassiez de même de votre côté. En tout cas je vous remercie de défendre ici votre choix malgré les désapprobations, cela permet d'y réfléchir.

Aaah, la rebelle attitude sur canapé. Ok pour le choix de faire la fine bouche concernant l'emploi, mais opter pour le chômage pour lutter contre le système, permettez-moi d'être sceptique. EDIT : oups, je me suis trompée de topic.

Comme tu as conscience de ce qui arrive et que tu prends les choses en mains pour t'en sortir, je pense que le chemin vers la guérison est déjà à moitié parcouru. Avec un petit coup de main, je suis certaine que tu peux vite remonter la pente.

Je ne suis pas sûre que ces hommes (les clients de ce psy) seraient vraiment capables de vivre avec leur "femme idéale" : il peut y avoir un monde entre ce qu'on fantasme et la réalité où l'on s'aperçoit que finalement ce qu'on espérait s'avère très ennuyeux. Un peu comme quand on définit un genre : " ce mec est tout à fait mon genre d'homme" et finalement on fait sa vie avec quelqu'un qui ne ressemble pas du tout à ce "genre" fantasmé. EDIT : oups, c'est le point de vue déjà exprimé par mimisoleil.

Ceci me fait sourire. C'est être libre que de dépendre de la charité publique ?

Peux-tu préciser ce qu'est un partenaire fiable ? Cela pourrait aider les lectrices.

Pour les stages dits "d'observation". Sinon pour un employeur le stagiaire est de la main d'oeuvre gratuite alors qu'un embauché lui coûte cher. Il faut juste comprendre le raisonnement de l'employeur que ça sécurise de prendre quelqu'un qu'il connaît ou qu'on lui a recommandé plutôt qu'un inconnu. Une fois j'ai un eu un CDD par piston. J'étais surqualifiée pour le poste, même la personne qui m'a recrutée me l'a dit, alors je ne pense pas qu'on pouvait dire que je n'en valais pas la peine. Mais plutôt que de se casser la tête à chercher, elle a pris quelqu'un qu'on lui a proposé et qui convenait.

Je crois qu'on peut distinguer vivant et viable.

Il faut consulter un gynécologue pour en déterminer la cause. On peut parfois trouver une solution si elle est identifiée.

Oui, en l'occurrence je ne vois pas en quoi l'IVG menace le bien commun, ce serait une bonne chose de nous éclairer.

J'ai voté "je ne sais pas". Le chômage m'a menée à la dépression et j'ai été soulagée d'obtenir n'importe quel boulot, pourtant faire un travail qui ne correspond pas du tout aux compétences et aux aspirations rend malheureux à la longue. Comme Pheldwyn, il me semble qu'il est plus important de créer de vrais emplois, avec une valeur intrinsèque, que de vouloir occuper les chômeurs à tout prix. Et ça me fait sourire d'entendre les gens dire qu'il faut juste se bouger les fesses. Non, ce n'est pas ça ; il n'y a pas assez d'emploi et on le trouve surtout par piston, c'est la réalité des choses, même si on voudrait bien faire culpabiliser ceux qu'on estime profiteurs.

Non pourquoi ? Je sais que tu es assez narcissique, mais il se trouve que je ne rebondissais pas que sur les propos du très grand et unique Babrius. Le reste de ton post est sans intérêt puisque tu t'imagines que je ne parle que de toi. Il est inutile que je réponde. Et bien déjà parce qu'une société se renouvelle avec des enfants. Qui paieront la retraite et les aides des célibataires aussi et pas seulement de leur pomme et de leur famille. Tu raisonnes trop individuellement.

@ tav58 : Il existe des associations d'enfants précoces ou de parents d'enfants précoces (c'est le terme qu'on emploie aujourdhui à la place d'enfant surdoué), sans doute pourront-elles t'orienter pour un diagnostic.

Sans blague ? Et s'il n'y a pas de père ? Et si la mère a 14 ans ? Elles sont "normales" les conditions ?

Je me demande bien comment font certains qui s'expriment ici pour prévoir que leur conjoint est le bon ou pas, pour prévoir qu'ils vont être au chômage ou pas, ou tomber malade ou pas. Faut donner le truc au lieu de critiquer les autres. Comme dans tout sujet qui aborde la question des allocations, on perçoit bien les grandes jalousies de personnes qui s'imaginent que des gens profitent des aides, voire s'enrichissent avec.

Cela dépend comment chacun conçoit ce qu'est un embryon. Je me permets de reposter un truc que j'ai mis sur un autre sujet: C'est une question compliquée.

Les mères aussi meurent. Parce que dans notre pays la mortalité maternelle a chuté, on s'imagine que la grossesse c'est du billard, mais plus de 70 femmes meurent chaque année de leur grossesse ou des suites de leur accouchement. Ce n'est pas beaucoup, pourtant cela rappelle que porter un bébé ce n'est pas sans risque.

Non, ce ne sera jamais le même. A choisir je préférais ne jamais être née que commencer ma vie en pouponnière, coupée de ma mère (les carences affectives du nourrisson conduisent fréquemment à des troubles névrotiques ou psychotiques), puis de services sociaux en services sociaux, voire en famille d'accueil, le temps que la paperasse soit réglée et que je sois adoptée, pour finir par éprouver à l'adolescence et à l'âge adulte un manque à ne pas connaître ma mère biologique, à me savoir rejetée. Ce qu'on estime être un égoïsme de la part de la mère peut se voir aussi comme une préservation de l'enfant. Parfois il vaut mieux ne pas naître que vivre malheureux.

Avortement parce que l'enfant n'aura pas les conditions d'un développement psycho-affectif normal.

La bioéthique dégage trois conceptions de l'embryon: 1. l'embryon humain est une personne et appartient à la communauté morale. Pas de statut moral entre les différents stades de développement de sorte que l'embryon fécondé est aussitôt membre de la communauté humaine et ne peut subir manipulation ou avortement. 2. l'embryon humain est une chose (ce qui permet les techniques de reproduction artificielle) dans la mesure où l'on applique la même vision de la vie que celle qu'on utilise pour la mort : la mise en route ou l'arrêt des fonctions cérébrales. Ce sui signifie que l'embryon est une chose, mais le foetus devient un être humain dès que ses fonctions cérébrales sont opérantes. 3. l'embryon humain est une simple entité biologique s'il n'est pas investi d'un projet d'enfant, mais une personne potentielle s'il est investi d'un projet d'enfant. Cette position graduelle basée sur le lien social donne la prééminence à la mère. Selon la position qu'on adopte en son âme et conscience on est pour ou contre l'avortement.