orangine

Je confirme le bonheur c'est dans la téte Dans notre coeur il y a des fleurs et des coeurs si tu y ajoute du bonheur la vie , le jour qui viens sera agréable

Ceux là je ne les envie pas

Dédicasse à un homme heureux Paroles de la chanson Un Homme Heureux par William Sheller Pourquoi les gens qui s'aiment Sont-ils toujours un peu les mêmes Ils ont quand ils s'en viennent Le même regard d'un seul désir pour deux Ce sont des gens heureux Pourquoi les gens qui s'aiment Sont-ils toujours un peu les mêmes Quand ils ont leurs problèmes Ben y a rien dire, y a rien à faire pour eux Ce sont des gens qui s'aiment Et moi j'te connais à peine Mais ce serait une veine Qu'on s'en aille un peu comme eux On pourrait se faire sans que ça gène De la place pour deuxMais si ça ne vaut pas la peine Que j'y revienne Il faut me le dire au fond des yeux Quelque soit le temps que ça prenne Quelque soit l'enjeu Je veux être un homme heureux Pourquoi les gens qui s'aiment Sont-ils toujours un peu rebelles Ils ont un monde à eux Que rien oblige à ressembler à ceux Qu'on nous donne en modèle Pourquoi les gens qui s'aiment Sont-ils toujours un peu cruels Quand ils vous parlent d'eux Y a quelque chose qui vous éloigne un peu Ce sont des choses humaines Et moi j'te connais à peine Mais ce serait une veine Qu'on s'en aille un peu comme eux On pourrait se faire sans que ça gène De la place pour deux Mais si ça ne vaut pas la peine Que j'y revienne Il faut me le dire au fond des yeux Quelque soit le temps que ça prenne Quelque soit l'enjeu Je veux être un homme heureux Je veux être un homme heureux

Les gens heureux c'est de l'or dans nos vie parfois ternes, Ils embellissent les jours gris, Ils déposent de ci de la des éclats bonheur et candeur, sur les moments fatigués, leur rire est comme le son d'un tambour, c'est un métal qui ne s'achete pas, ils donnent du simple au merveilleux, Et la terre prés d'eux scintille de plus belle, Moaaa

AH c'a cest le pied

Qui sont ils,? Que font'ils? oû sont'il ? Parlez moi de l'état d'esprit d'etre heureux. Parlez nous de votre état désprit sur votre bonheur Qu'il soit temporaire, permanent ou filant comme une fléche dans notre futur incertain. Tout le monde n'est pas heureux certains certaines ocsillent entre les deux. commeà chaque époque

Une pensée pour tous ceux qui ne travaillent plus : que vos journées sans réveil, sans réunions inutiles et sans collègues bruyants soient douces… et que vous n’oubliez pas trop vite comment on fait semblant d’avoir l’air occupé. Courage à vous, héros de la sieste et champions toutes catégories du “je le ferai demain

Je perçois la vie comme une tension fragile entre ce que l’on voudrait être et ce que l’on arrive réellement à devenir. Ce n’est jamais un long fleuve cohérent : c’est une succession de moments qui parfois s’entrechoquent, parfois s’harmonisent. Il y a dans la vie une beauté particulière : cette capacité qu’ont les instants ordinaires — une voix familière, un rire inattendu, le vent qui traverse un silence — à soudain prendre une importance démesurée. Ce sont ces micro-événements qui, accumulés, donnent une direction à l’existence. Et je crois que chacun porte une version de lui-même qu’il poursuit, comme une silhouette qu’on ne rattrape jamais complètement. C’est peut-être ça, vivre : marcher vers cette silhouette, et accepter qu’elle recule chaque fois qu’on avance. La mort, je la vois comme la limite fixe que nous essayons tous d’oublier mais qui façonne tout. Elle n’est pas là pour effrayer, mais pour donner du relief. Sans elle, rien n’aurait d’urgence, rien ne mériterait d’être choisi — tout serait interchangeable. Je la vois aussi comme une forme d’honnêteté brute : elle nous rappelle que nous ne contrôlons pas tout, que nous sommes passagers. Cette vulnérabilité est douloureuse, mais elle rend chaque geste, chaque lien, presque sacré. Et au fond, la mort n’est jamais totalement “extérieure” : elle se glisse déjà dans la vie, un peu, lorsqu’on change, lorsqu’on laisse derrière soi des anciennes versions de nous-mêmes. On “meurt” plusieurs fois avant de mourir. Pour moi, vivre pleinement, ce n’est pas chasser la mort de la pensée, mais la tenir à distance raisonnable. Suffisamment loin pour ne pas être paralysé. Suffisamment près pour se rappeler qu’il faut oser, aimer, créer, dire, choisir. J'espére tavoir un peu consolée Prens bien soin du reste de ta vie car il y a toujours qu'elqu'un qui vous aimme quelque part et il faudra que toi aussi tu prenne soin de cette personne. La vie c'est la transmision tout comme la mort; on laisse des souvenirs de notre passage par le respect et la gentilesse Il faut aussi garder et préseerver les souvenirs vécus avec nos chers disparus

Bonjour Marine Toutes mes condoléances. Hélas ces choses là font partie de la vie. Il faut profiter de ta propre existence et te dire que l'amour qu'ils t'on donner est leur cadeau avant de partir. La maladie fait partie de la vieJe suis vraiment désolé·e d’apprendre tout ce que traverse ta famille. C’est énormément de douleurs et de stress à gérer en même temps — un cancer, des problèmes de santé importants chez plusieurs proches, et un suicide… C’est normal que cela te bouleverse et que tu te sente dépassé·e.

c'est cool

J’espère que votre journée se passe bien. Savez vous que,le monde est plein de petites curiosités fascinantes qu’on remarque rarement. Par exemple, savez vous que les poulpes ont trois cœurs et que leur sang est bleu ? Ou que certaines plantes peuvent communiquer entre elles via des signaux chimiques, un peu comme un langage secret de la nature ? Et puis, il y a cette idée incroyable que chaque jour est une chance de découvrir quelque chose de nouveau, même si c’est petit : un sourire inattendu, une idée qui fait tilt, ou juste le parfum de l’air après la pluie. La vie est pleine de ces petits éclats qui rendent les moments ordinaires… extraordinaires. Alors, prenez un instant aujourd’hui pour observer quelque chose de nouveau, écouter une histoire insolite, ou simplement vous émerveiller de ce qui nous entoure. Qui sait quelles surprises nous attendent ?

olala j'ai pas tout compris

Plus significatif que les mots, l'abscence des mots aussi c'est une chose réélle. Le silence peut faire grand bruitsdans nos esprits et nos émotions Il peut etre une bénédiction pour l'esprit et le calme qu'il nous donne

Plaire à tout le monde c'est perdre sa personnalité. A force de vouloir satisfaire chaque avis on ne s'affirme plus il n'y a pas de sincérité. A vouloie etre universel on devient invisible

Aggressions verbales, dénigrements devant les autres qui surenchérissent ou se taisent est une violence psychologique et un manquede respect de sois méme et de l'autre. C'est une exposition publique de ma personne et je déteste çà. Cela à atteint mon estime de moi et crée un sentiment d'impuissance Je me sens attaquée par certaines personnes malveillantes à mon encomtre. La peur est là à chaque interaction d'oû sensation d'isolement et solitude. Je suis entrée dans un phénomène de harcelement verbal ou une partie du groupe suit par peur ou par conformisme, et quelques personnes voient clairement que c'est injuste. Je vis un grand malaise et votre silense complice me laisse porter tout le poid. Je suis dans un rapport de domination par ces personnes malveillantes et mon cerveau doit gérer l'humiliation, le regard des autres, la peur de la prochaine attaque, la fatigue émotionnelle et la perte de repéres sur mes valeurs. La peur de mal réagir. Qu'est ce que l'aggresseur va dire la prochaine fois? Comment je vais réagir ? Aurais je du soutien ? Trois types de réponses possibles Je suis choquée; sidérée et bousculée. Je reste choquée parce que l'aggression est imprévisible le regard du groupe m'écrasse, mes valeurs rentrent en conflit, paralysie. Je ne dois pas changer ma personnalité alors qu'elle est déjà atteinte Je ne dois pas etre la seule je crois à supporter cette dérive.

@elisa Je suis secouée depuis hier soir Les éléments de la fatigue on emmelé mes mots devenus aggressifs. Je te prie de m'excuser pour mon entétement à poursuivre ma bétise. Tu viens quand tu veux mais si un jour on devais encore se prendre le chignon soit gentille utilise des mots plus simples:fleur::eva:

Bonjour Blak30 et c'est comme cela qu'il faut agir l'autre derrière l'écran d0oit etre bien traité car il faut la considérer comme une pers0onne fragile

Phénoméne courant sur internet, amplifié par l'anonymat et la facilité d'expression. Il désigne tout comportement verbal, insultes et propos offensants, moqueries harcélement trolling, le mépris envers les opinions différentes et le non respect des régle du forum. Les causes principales en sont l'anonymat,l'abscence de contact direct, la différenced'opinions fortes, la recherche d'attention. Les conséquences sont les suivantes : climat toxique découragement,fausses informations atteintes psychologiques, abandons démotivation à participer Les forums sont des espaces à ce qu'il parait d'echange d'entraide et de partage d'expériences Pourtant dans la pratique on y observe le manque de respect et de bienveillance et bientraitance. Les forums deviennent des lieux de tensions. Le découragement fait qu'un forum se meurt Moaaa

J'ai AUSSI le droit de dire ce que je pense et çà vous avez AUSSI tendance à l'oublier. Le respect ici est souvent à sens unique. Quand je suis aggréssée deux fois je suis forcée de me défendre. Le lynchage ici est un sport. J'estime qu'il serait bien plus honnéte d'utiliser les mp quand vous estimez y a voir litige avec vos convictions

Tu pollue mon sujet tu peux le quitter tu sais parce que la ta bétise m'agace

La vie est une danse, avec laquelle nous devons apprendre à valser, pour en comprendre ses trésors. Un faux pas, puis un pas en avant, qu'importe, si l'on se trompe, l'important est de ne pas arrêter la chorégraphie, et de persévérer malgré les chutes, de garder le tempo quoi qu'il se passe sur la piste. Et au final, celui qui gagne, ce n'est pas celui, qui a interprété les meilleurs mouvements, c'est celui qui aura su être tenace, malgré la difficulté. Joëlle Laurencin Voir sur https://citations.ouest-france.fr/citation-joelle-laurencin/vie-danse-laquelle-nous-devons-133055.html