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Tout ce qui a été posté par de ghoul
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est-ce-que il y a autre moyen à dire 191 en francais ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de saynow dans Langue française
J'imagine bien un gars qui compte avec ses pieds -
Dans les souvenirs de l’enfance, les jouets prenaient une valeur unique grâce à leur personnalisation. Les "géants", ces figures adultes ou plus âgées, organisaient des tournois pour les enfants, où se mêlaient jeu, compétition et initiation aux codes du quartier. L’auteur, se décrivant comme une "poule mouillée", n’a jamais réussi à devenir le "coq du village", ce leader reconnu. Les matchs de foot, souvent rudes et impulsifs, opposaient les enfants de différents coins, comme le chemin de Carmel face à la rue Dazey. Ces affrontements, parfois violents, laissaient des blessures, mais faisaient aussi partie d'une enfance riche, pleine de souvenirs et de jouets chéris. Ces deux parties se retrouvaient souvent dans des batailles rangées. La violence était le seul jouet qui me restait dans ma caboche.
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Certaines moisissures peuvent provoquer une méningite à un nouveau né et ce fût le cas de mon bébé qui en a succombé
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Je pense qu’aucun enduit ne résiste durablement aux moisissures. Il faudrait d’abord éliminer la source de l’humidité, qui peut provenir de différentes causes : un tuyau mal protégé, une fissure qui permet à l’eau de s’infiltrer, ou encore une mauvaise ventilation...éliminer la source pour réparer ensuite.
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J'avais payé son billet de 100 livres égyptiennes. Bien que des signes de joie paraissaient sur son visage, il a, pour la forme, un peu rouspété : — Merci beaucoup, mais je ne peux pas accepter. Il a joint le geste à la parole en plongeant la main dans la poche de son pantalon, mais j’ai été plus prompte à refuser, l’empêchant d’en sortir ses quelques pièces. Il a fait une moue boudeuse, puis m’a remerciée une seconde fois. Je ne sais pas si c’est ma conscience qui m’a dicté d’aider Réda — c’est le nom de ce jeune homme — ou s’il m’était tout simplement sympathique. Je l'avais considéré comme un fils, bien que ma fille fût un peu réticente. Pour elle, ce débordement de paternalisme était injustifié, et elle prédisait une arnaque : — Papa, tu es trop bon avec ce jeune homme que tu ne connais même pas. Il se pourrait que ce soit un aventurier en quête d’une proie facile… ou un escroc. D’autres voyageurs, surtout des Européens munis de sacs à dos, attendaient sur le quai. Le train arriva enfin et s’immobilisa devant nous, comme s’il nous invitait à monter à bord.
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Sa compagne était elle aussi franco algérienne et c'est. C’est avec fierté qu’elle me l’avait fait savoir. Les Français de souche restaient à l’écart, laissant leurs compagnons s’occuper des billets de transport. Un jeune homme, sac au dos, donnait l’impression de vouloir me parler. J’ai senti qu’il était un peu perdu, ce qui m’a poussé à lui demander sa destination. — Tu veux rejoindre Al Ismaïlia ? — Oui, m’a-t-il répondu. Il était lui aussi Algérien. Il n’avait que 19 ans. — Tu peux rester avec nous. On va rentrer ensemble à Al Ismaïlia. Un sourire de reconnaissance a illuminé son visage.
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C comme le ramadhan
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Où va le temps gagné ? (Une réponse à la manière de Devos et du Petit Prince) On nous avait promis que la technologie allait nous faire gagner du temps. Et c’est vrai. On gagne du temps. Beaucoup. Assez pour devenir riches. Riches en heures. Riches en minutes. Mais alors… où va ce temps gagné ? Chez Raymond Devos, la question aurait provoqué un sourire, une pirouette absurde : > "On a mis le temps dans une banque… mais une banque sans intérêt." Et en effet, ce temps, nous ne le plaçons pas. On ne le fructifie pas. On ne le savoure pas. On le dépose, machinalement, dans les coffres-forts numériques des grandes plateformes, qui nous le rendent sous forme de notifications, de scrolls infinis, de contenus en boucle. Ce temps ne dort pas. Il est phagocyté, digéré, recraché en miettes d’attention. Et nous ? Nous sommes devenus les businessmen du Petit Prince, ceux qui comptent les étoiles sans jamais en voir la lumière. Nous cliquons. Nous trions. Nous accumulons des données, des images, des likes… Nous remplissons nos journées comme on remplit des tableaux Excel : sans vraiment savoir pourquoi. > “Je suis sérieux, moi ! Je suis un homme sérieux !” disait le businessman en costume, qui ne levait jamais les yeux vers le ciel. --- Un temps sans choix C’est peut-être cela, le drame silencieux de notre modernité : le temps gagné ne nous appartient pas vraiment, car nous n’en décidons rien. Il est aspiré par des logiques plus fortes que nous : la logique de l’algorithme, la logique de la productivité, la logique de l’occupation constante. > Nous croyons choisir, mais nous réagissons. Nous croyons gagner du temps, mais nous le troquons contre de la distraction. Nous croyons être libres, mais nous sommes toujours pressés. --- Et maintenant ? Alors que faire ? Peut-être simplement commencer par reprendre le droit de choisir. Choisir de perdre du temps… vraiment. Choisir de ne rien faire. Choisir de contempler. De marcher. De lire lentement. De créer. De jouer. D’écrire. De parler à quelqu’un sans écran entre les deux. Car le temps ne vaut quelque chose que s’il est vivant. Et parfois, pour le rendre vivant… il faut accepter d’en perdre un peu.
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Une question qui fait réfléchir et qui doit être posée directement au monde entier. Répy tu es un homme qui réfléchit. Je vais essayer de répondre
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Au ralenti par rapport à la vitesse d'internet.
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"Nous sommes logés à la même enseigne." Je l'utilise surtout pour des recherches scientifiques qui me paraissent ardus Internet accélère presque tous les échanges et processus dans nos vies. Sans lui, tout prendrait plus de temps, car il faudrait revenir à des moyens plus lents de communication, de recherche et d’organisation
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Désormais, chaque sac à dos que je voyais était, à mes yeux, l’étendard d’un pèlerin d’Al-Ismaïlia. Devant le guichet, une bonne douzaine d’Européens formaient une file serrée. Les semelles grinçaient sur le carrelage usé, les fermetures éclair cliquetaient, et le murmure des conversations se mêlait au souffle chaud des ventilateurs fatigués. Parmi eux, j’avais repéré des Français. Deux, d'entre eux surtout, m’avaient frappé : la peau hâlée, les gestes précis, et ce timbre de voix qui roulait légèrement les « r ». Franco-Algériens, pensais-je. Une intuition qui ne me laissa pas le temps de douter : quelques phrases échangées avec ce couple, et la confirmation tomba, nette comme une signature au bas d’un passeport. L’un d’eux me confia : — Mon arrière-grand-père était de la Casbah d’Alger. Il s’est retrouvé en France après la Seconde Guerre mondiale. Mais moi, je n’ai jamais mis les pieds en Algérie. Ses yeux brillaient comme s’il parlait d’un pays qui lui appartenait un peu… mais qu’il ne connaissait qu’à travers les récits.
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Une semaine sans internet: Lundi Matin : Pas d’alerte météo sur ton téléphone. Tu écoutes la radio pour savoir le temps. Les infos sont moins nombreuses, mais plus synthétiques. Travail : Si ton métier dépend d’emails ou de visioconférences… tu te déplaces en personne ou tu envoies des lettres/courriers par service express. Soir : Pas de Netflix ou YouTube. Tu regardes la télé, écoutes un podcast en FM, ou sors discuter avec des voisins. --- Mardi Courses : Pas d’achats en ligne. Tu vas en magasin ou tu commandes par téléphone. Actualité : Les nouvelles du monde datent d’hier ou avant-hier. Tu les découvres dans le journal papier du matin. Vie sociale : Pas de Messenger ni WhatsApp. Tu appelles tes proches au téléphone ou tu leur écris. Les échanges prennent du temps, mais sont plus profonds. --- Mercredi Santé : Tu ne peux pas prendre rendez-vous sur Doctolib. Tu appelles directement le cabinet ou tu passes sur place. Éducation : Les cours à distance sont remplacés par des livres, des rencontres en salle, ou des documents envoyés par courrier. Divertissement : Tu ressors un vieux jeu de société ou un roman. --- Jeudi Travail : Les dossiers voyagent en version papier ou sur clés USB échangées physiquement. Les décisions sont plus lentes, mais parfois mieux réfléchies. Vie quotidienne : Tu apprends qu’un événement a eu lieu dans le monde il y a deux jours, mais sans avalanche de rumeurs ou fake news. --- Vendredi Soirée : Tu vas au cinéma, au théâtre, ou tu invites des amis. Pas de scrolling infini. Rencontres : Les gens se croisent plus dans la vraie vie. Les cafés redeviennent des lieux de discussions et d’informations locales. --- Samedi Shopping : Tu parcours les marchés et boutiques pour trouver ce que tu veux. Tu discutes avec les commerçants. Culture : Tu vas à la bibliothèque, tu empruntes des livres, CD ou DVD. --- Dimanche Temps libre : Tu fais une balade, tu cuisines, tu écris une lettre à un ami. Réflexion : Tu réalises que tu as plus de temps libre… mais aussi que tu manques d’accès instantané à certaines choses. --- Bilan : La vie serait plus locale, plus lente, plus physique. On perdrait beaucoup en vitesse et en confort, mais on gagnerait en présence réelle, en échanges humains, et peut-être en sérénité. Ce qui serait le plus dur, ce ne serait pas de vivre sans internet… mais de supporter l’idée que tout le monde autour de toi vit aussi au ralenti.
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Donc le problème vient de toi? N'est ce pas? Le problème est physique pour le moment. C'est ta maladie qui a créee cette situation
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Tu veux dire l’orgasme, oui Probablement qu’il veut dire "pas forcé", c’est-à-dire que ça vient naturellement, sans effort. "mais pas apressiable" → et pas appréciable", pas très agréable". N'est ce pas?
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Tu m'excuse mais c'est important. Est-ce que tu ne vas pas jusqu'à l'orgasme?
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D’abord, je veux te dire que ton message est touchant. Ce que tu vis est douloureux, et c’est normal d’être chamboulé après 8 ans de vie partagée. Si tu veux en parler, je suis là pour écouter. Tu dis qu’elle est partie comme si de rien n’était… Tu veux raconter ce qui s’est passé ? Qu’est-ce qui, selon toi, a mené à cette séparation ? Parfois, poser les choses, même juste en mots, ça aide à y voir plus clair et à reprendre un peu de souffle. On peut en parler tranquillement, sans jugement. Courage à toi.
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Ça répond toujours pas à la question. Mais « on » a l’habitude… Et pourtant l'eau clair d'un beau ruisseau qui coule, n'est pas aussi net que mes paroles.
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Attention il ne faut pas se focaliser sur le forum. Rien de mieux que de revoir un ami, par exemple dans un café et discuter ensemble.
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Ah, le "on"… ce petit pronom modeste mais courageux. "On", c’est pas un froussard. "On", c’est ce bon vieux citoyen anonyme, qui observe, qui réfléchit, qui parle au nom du bon sens. "On" n’a pas besoin de majuscule, mais il porte des idées qui en méritent. "On", c’est celui qui se lève tôt, qui bosse dur, qui en a marre qu’on le prenne pour un idiot. Et surtout, "on", il en a ras-le-bol qu’on lui tombe dessus dès qu’il ouvre la bouche. Parce que vois-tu, "on", il n’aime pas qu’on joue au prof de grammaire pour camoufler un vide d’arguments. "On", il n’est peut-être pas parfait, mais il vaut mieux que ceux qui confondent correction grammaticale et petite revanche personnelle. Alors oui, "on" s’est exprimé. Et "on" te salue bien.
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Discuté, nous sommes là pour te remonter le moral
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comment se faire des amis sur ce forum ?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de stefhh stefhh dans Près de chez vous
Cherche tu trouves, il y en a en quantité et qualité. -
BRAVO la mairie ! Grâce à vous, les ados découvrent les joies du travail précaire avant même le bac. Travailler 3h par jour, 3 jours par semaine, pour 60 euros, c’est parfait pour apprendre que : – leur temps vaut moins que le prix d’un ticket ciné et un kebab, – le travail des jeunes, c’est un bon plan pour les budgets serrés des communes, – et que l’exploitation, c’est encore plus digeste quand on l’enrobe de "petits plaisirs d’ados". Une idée à répandre, oui... mais dans un manuel de management cynique.
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Article indéfini qui englobe différents personnages. Il est vain de vouloir les citer. Article indéfini qui englobe différents personnages. Il est vain de vouloir les citer.
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Le livre ou le film qui vous a marqué à vie et pourquoi?
de ghoul a répondu à un(e) sujet de de ghoul dans Littérature
Je voudrais bien connaître ton interprétation