kost

Et dommage de ne pas un plus regarder le début du geste.... loin du claquage de talons.

Ouais.... on peut tout faire dire aux images. C'est d'ailleurs une pratique courante chez ceux qu'on critique. Selon qui fera le geste on considérera que l'attitude est évidemment très différente. Je ne défends pas Musk et ses idees puantes. Juste je trouve que les raccourcis sont rarement bons dans un sens comme dans l'autre.

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Le travail avec un psy prend du temps. Du coup ça va être compliqué d'expliquer a un gamin de 3, 8 ou 12 ans qu'il comprendra.... mais plus tard. Les enfants maltraités ont bien souvent des sentiments très contradictoires vis a vis de leurs parents maltraitants et on ne peut pas les empêcher de les aimer au prétexte que plus tard un psy leur expliquera. Et puis, même plus tard, c'est toujours très compliqué. Bien plus qu'on ne le croit.

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Les enfants sont presque toujours victimes de leurs proches et en premier lieu au sein de la famille. Le plus souvent les maltraitants sont les parents de l'enfant. Mais il y a toujours cette présomption d'innocence de ceux qui ont donné la vie. Parce que cela heurte profondément la société de penser qu'un père peut être celui qui violente son propre rejeton parce que les parents sont dans l'esprit collectif ceux qui protègent. C'est encore pire quand il s'agit de la mère parce qu'elle est celle qui a inévitablement l'instinct maternel de préservation des petits. Pendant très longtemps il n'y avait pas de retrait de l'AP. Parce que la déchéance elle suit un chemin différent. Mais les retraits étaient rarissimes. C'est moins le cas aujourd'hui avec des retraits obtenus plus facilement notamment lorsque le parquet le sollicite. Mais la perte de l'AP interroge forcément sur le sens de la parentalité. Et la société n'est pas forcément prête à admettre que les liens du sang ne font pas tout. le souci, c'est que très souvent les enfants veulent, au contraire, rester auprès de leurs parents, même quand ce sont eux qui maltraitent, eux qui martyrisent, eux qui violentent. Parce que le travail est long pour qu'un enfant ait les armes suffisantes pour comprendre ce qu'il vit.

L'état n'étant pas omniscient, il faut inévitablement que les gens qui savent, voient, entendent fassent leur part de boulot. Ce n'est pas forcément la seule responsabilité de l'état, c'est la responsabilité de tous.

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Dans les délais dans lesquels interviennent les IVG, ils ne s'agit pas d'un bébé.

Le racisme il est partout et il est surtout de plus en plus toléré. La preuve avec certains propos ici même qui semblent justifier ce qui l'est difficilement.

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Je te propose de ́la chercher.... ca t'aérera l'esprit.

T'es un clown. Arrête ta victimisation.

Tu ne peux pas dire que l'athéisme ou l'islam c'est mal. Moi je pensais que la religion devait enseigner la tolérance. Mais a te lire.... la tolérance t'échappe. Tu critiques pas, tu essayes d'imposer tes convictions. Et à la longue c'est assez lourdingue. Tu discutes pas, tu prêches.

Cesse ta paranoïa. Je ne critique pas plus l'islam que le bouddhisme ou le catholicisme. Par contre venir ici pour expliquer qu être athee c'est mal, c'est plus vraiment de la critique c'est de l'intolérance.

Ben non on a pas le droit, non.

En tout cas, définitivement, les enfants ne sont pas à l'abris. Ils ne le seront pas tant qu'on entendra quelqu'un dire "mais je ne suis pas responsable moi, y a les autres qui z'ont fait des signalements, donc c'est bon" et qui pourra ensuite retourner a ses petites occupations personnelles satisfaites d'elle-même. La matraitance continuera tant qu'on pourra faire des comparatifs avec les hippocampes boliviens qui eux... mais alors eux.... sont vraiment nettement plus violents avec leurs rejetons. Donc finalement, navré pour ces enfants.... mais c'est la nature ! Je crois que l'indécence et la vulgarité c'est parfois pas une question de vocabulaire. La matraitance infantile c'est l'affaire de tous et on peut pas se contenter de dire "oh merde, la pauvre". Et y a pas besoin d'être un super héro pour faire quelque chose et ne pas mater ailleurs.

tu peux citer plusieurs messages. Suffit d'appuyer sur le PLUS sur les messages que tu veux citer.

Non mais je discute sans forcément faire référence a tes propos. Y en a marre à la fin. il y a eu 4 signalements. Mais ce n'est pas de ça que je parle moi. Putain, cette gamine avait 13 ans. Sa soeur et son frère ont pu dire qu'elle était battue et torturée depuis qu'elle était toute petite. ALors ouais y a eu 4 SIGNALEMENTS (puisque cela te semble important de le répéter en boucle et en gros) mais bordel, il aurait du y en avoir plein. Les signalements ne sont pas rendus publics. DONC (puisque cela semble plus intelligible quand c'est écrit en majuscules) plein de gens qui savaient, qui ont entendu, qui ont vu.... et même tous ceux qui n'étaient même pas totalement certains que quelque chose clochait dans cette famille auraient du faire aussi des signalements, auraient du appeler le 119, appeler des flics, en parler à la Mairie, à l'école, à la boulangerie du coin, auraient du faire remonter l'information pas seulement 4 fois, mais 10, 20 ou 50 fois. Il est pas question de dire aux gens d'aller retirer l'enfant eux même. Mais putain entre ça et rester tranquillement assis dans son salon en se disant "oh dis donc, elle a vachement maigrie la petite du dessous, oh dis-donc elle avait encore un cocard, oh dis donc c'est bizarre ces bruits au dessus et les pleurs de cette môme" y a aussi tout un tas d'autres options. Donc la plus facile est d'appeler les flics, les pompiers, le 119, mais de ne surtout JAMAIS FERMER LES YEUX OU MATER AILLEURS.

Si il y a eu des signalements. Les voisins et ceux qui ont pu entendre, voir constater n'en ont évidemment pas eu connaissance.... Mais chacun y va de son "mais qu'est-ce que je peux y faire, moi ?" Chacun y va de son "oh ben y a bien quelqu'un qui fera quelque chose" Mais la réalité elle est douloureuse. On a un vrai problème de signalement", confirme Charlotte Caubel, secrétaire d’État chargée de l'Enfance. Qu'il s'agisse de la famille, de professionnels au contact d'enfants ou de témoins dans la rue, "le signalement ne se fait pas de façon spontanée". Il existe pourtant en France une obligation légale de dénoncer un crime ou un délit. L'article 434-3 du Code Pénal punit en effet "le fait, pour quiconque ayant connaissance de privations, de mauvais traitements ou d'agressions ou atteintes sexuelles infligés à un mineur" et n'en informant pas les autorités, de "trois ans d'emprisonnement et de 45.000 euros d'amende." Appeler ça coûte pas cher. aller chez les flics ça coûte pas cher. Ce qui est coûteux c'est de voir que personne ne bouge en estimant que c'est à l'état ou à d'autres d'intervenir. Pour rappel y a toujours le 119. Si ils reçoivent 40 appels pour une gamine..... y a de fortes chances pour que l'on s'intéresse à son cas. Mais on peut aussi se fendre d'un "ouais mais que peut on donc faire, hein?" en versant une larme polie Et puis passer au fait divers suivant...