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Tout ce qui a été posté par Engardin
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Finalement il n'y a guère que deux façons d'agir : Soit j'agis "au nom du bien". (Un bien que j'ai au préalable défini objectivement, le prétendant universel.) Soit j'agis "au nom de mon bien". Les deux pouvant parfois se rejoindre parfois non. Mais il existe une sorte de postulat à résonance religieuse selon lequel agir selon un bien universel (prétendu tel, voire d'origine divine) est nécessairement agir pour mon bien. C'est toujours vrai ? C'est parfois faux ? Ma définition du bien est-elle suffisante ?
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Elle évolue même au point d'en devenir une augmentation !
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Je rajoute une idée : Il me semble mais je ne suis pas certain que dans ces premiers instants de notre vie il se pourrait bien que toute souffrance nous vienne ou en tout cas nous semble venir que de l'extérieur. Que toute souffrance nous soit étrangère. Et dès lors, que "le mal c'est l'Autre" ... Qu'il vient de l'Autre. Tout Autre. (Les Autres étant interchangeables). Ce serait donc un comportement primitif très primaire que celui qui consisterait à se venger du mal infligé par quelque Autre sur un tout autre Autre ! Et qui daterait, remonterait à cette première prise de conscience qu'existent des Autres sous ce même visage indistinct, unique de "l'Autre qui n'est pas Moi"...
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Sans doute pouvons nous envisager la génèse du bien et du mal en chacun de nous. C'est un mythe des origines ? Je peux assez facilement m'imaginer, bébé venant au monde. Je suis alors tout le monde ! Mon bagage ? Mes sensations ! Mon seul pouvoir ? Ressentir. Ainsi très vite je vais savoir reconnaître et distinguer les souffrances et le bien être : Je suis programmé pour ça ! Mais petit à petit je vais réaliser que je ne suis pas seul au monde. Qu'il existe des Autres. Des Autres qui comme moi ressentent ! Et qui ressentent probablement exactement comme moi. Ils peuvent donc souffrir aussi ! Ne pourrait-on pas utiliser cette capacité que je connais bien aux fins de les ... manipuler ? Et ainsi d'obtenir d'eux ce que je veux ? Mais alors peut-être que eux aussi cherchent à me manipuler ? Ne m'ont-ils pas déjà infligé quelque souffrance ? Ainsi débute notre vie... et peuvent aussi commencer les ennuis !
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"Dans cette croyances c'est aussi des entités." Non il ne s'agit pas d'une croyance mais de la compréhension ou de la lecture de la réalité. Le bien et la souffrance (ou le mal) ne sont pas des entités agissantes comme je l'ai déjà dit. Ce ne sont pas des SUJETS. Une idée, une pensée n'est pas un sujet pensant ! "Mais on choisit d'agir bien ou de faire souffrir." Oui ! C'est bien pour ça que les sujets, ce sont NOUS qui choisissons d'agir selon ce que nous pensons être mal ou bien. Et non pas le bien et le mal qui nous forcent à nous conformer à eux. "Si on fait souffrir car on n'a pas la foi, même lorsque l'on souffre, alors la souffrance se retourne contre soi, on souffre en retour d'avoir fait souffrir." Ca ce serait bien trop beau pour être vrai ! De plus comme il a déjà été dit, il est envisageable que celui qui agit mal le fait pour s'en sentir mieux. C'est Platon je crois qui disait : "nul n'est méchant volontairement" !!! C'était faire fi des "méandres" psychologiques. Mais Platon était idéaliste ! Comme vous ! Il voulait il croyait en un bien agissant, puissant, tout puissant... Les idées étant des puissances autonomes. "Les conséquences de faire le bien ou le mal, responsabilisent." Exactement ! Et c'est bien pour ça que c'est nous qui décidons de faire (on pourrait remplacer "faire" par "créer" !) le mal ou le bien ! Et non le bien et le mal qui agissent à travers nous. Mais le bien et le mal ne sont pas tout faits, tout préétablis : c'est nous qui les créons, les "fabriquons ". Finalement nous pensons un peu la même chose. la différence c'est que pour vous le bien et le mal nous arrivent tout armés comme Athéna !!ù! Alors que je pense que c'est nous qui décidons de ce qu'ils sont ou doivent ou peuvent être en fonction de notre vécu.. En un mot, c'est nous qui à travers notre morale (notre sens moral) inventons, créons, définissons les notions de bien et de mal à partir des souffrances que nous endurons, que nous expérimentons et de leurs apaisements, de leur atténuations et disparitions que nous avons pris coutume de nommer le bien. Et c'est en cela que nous en sommes responsables. Responsables mais pas coupables ? Si nous éprouvons le besoin de faire souffrir autrui pour moins souffrir nous mêmes est-ce notre faute ? Pas vraiment ! Pourquoi n'avons nous pas trouvé le moyen de moins souffrir sans pour autant transférer notre souffrance sur autrui ? Et d'abord était-ce possible ? c'est là qu'il nous faut creuser. C'est le cas pour certains pour d'autres pas. Est-ce une affaire de complexion individuelle ? D'expérience, de quantité de souffrance subie en valeur absolue ?
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No problémo !
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"le Bien et la souffrance en tant qu'entités conscientes." Le bien et la souffrance ne sont pas des entités (n'ont pas de vie ou d'existence propres) mais des concepts ou des idées, des généralisations d'expériences. L'idée de bien ou de souffrance sont comme la résultante théorique ou virtuelle de toutes les (nos) expérience que nous qualifions de bien ou de bonnes et de nos souffrances. Bien sûr le bien et la souffrance existent (ne sont pas rien) mais n'existent qu'en tant qu'idées, ne sont pas des réalités. Ils ont un intérêt ou une valeur symbolique et ne sont pas ... comment dire ? efficients, agissant par eux mêmes mais seulement par le crédit ou la croyance que nous leur apportons. Sans doute on peut leur trouver une existence non virtuelle mais il ne s'agit alors que d'influx nerveux cérébraux, des ions des réactions chimiques. Mais il ne s'agit là que de leur "support" matériel. De leur existence réelle propre. Qui n'a pas ou peu de rapport avec le sens (la symbolique) que nous leur donnons. De même que l'encre qui va servir à écrire une insulte par exemple, n'est pas une insulte elle-même en tant qu'encre ! L'esprit, le logos n'est pas créatif ou constructeur par lui-même : il doit faire appel à nos petits bras musclés ! Mais je dis mal : l'idée ou le concept ne font pas appel à nous : c'est nous qui les faisons parler à l'origine... Qui les faisons nous donner des ordres. C'est presque une façon de se dédouaner ! Ce n'est pas moi qui suis mauvais c'est le diable qui agit à travers moi ! Moi ? Je suis innocent !
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Je n'y connais pas grand chose en maths, ou en tout cas j'ai oublié ! En philo, on avait un peu parlé des ensembles... avec de crochets un peu genre € mais avec une seule barre au milieu ! Mais c'est loin ! Pour m'aider, pouvez-vous me dire comment vous lisez (avec des vrais mots) l'équation : ∀x (A₁(x) ∨ A₂(x) ∨ A₃(x) ∨ ...) par exemple ? Ce "A" à l'envers, puis ce "v" ?
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Je ne pensais pas aux impacts des météorites pour la température ! Merci de l'idée ! Mais il est vraisemblable que le côté de la lune tourné vers la terre a été plus longtemps "chauffé" par la terre en fusion ? Sl elle était beaucoup plus proche . D'où les "mers" provoquées par des impacts quand le magma remonté du fond encore chaud est resté plus longtemps liquide ? Je vois les choses comme ça mais je peux me tromper. (L'étonnement ça a été quand on a constaté que la face cachée ne ressemblait pas du tout à la face visible.)
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Donc les questions que je me pose et je ne sais pas si on connait la réponse sont : 1) Est-ce que la sphère de la Lune est "équilibrée ou non ? Ou : est-ce que la partie face à la terre est plus dense et plus lourde ? Parce que la plupart des "mers" sont de notre côté ce qui tendrait à prouver que la partie la plus près de la terre était comme chauffée ou liquéfiée par la proximité de la terre encore en fusion ? sui au départ était bien plus proche. 2) Si la lune est... "équilibrée" ne serait-il pas possible de la faire tournée en appliquant des bonnes poussées aux bons endroit ? Sans que cela ne change rien pour nous. Parce que si la lune tournait plus rapidement sur elle-même... Les températures à sa surface y seraient moins extrêmes entre le jour et la nuit et la vie y serait plus facilement adaptable... PS je sais que la Formation de la lune est en ce moment revisitée... On parle d'une météorite ferreuse (et avec du titane) qui aurait pu heurter la jeune lune en formation. Car on a trouvé des anomalies gravitationnelles sur la face cachée... je crois...
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J'ai retenu les passages qui me font tilt ! "Quand je ne souffre pas, je ressens le bien." : Je n'ai pas l'impression : quand je ne souffre pas je ne ressens ... Rien! Marrant comme Rien ressemble à Bien ! Il suffit de fermer la boucle du R pour qu'il devienne un "B" ! Fuir la souffrance c'est se rapprocher du "statu quo"... "Tous les organismes vivants n'ont pas besoin de la souffrance pour que la vie soit possible." Oui ! sans doute ! mais mon idée c'est qu'une tension, la moindre tension est une souffrance en herbe ! Et alors je dirai que sans la moindre tension, la ie est impossible. Pour les organismes très primitifs comme les cellules, cela se passe au niveau de la membrane ! La membrane ou les membranes sont élastiques. je pense que c'est là qu'il faut chercher le "secret" de la mécanique de la vie. Quand une cellule mange trop, sa membrane va se distendre... il va se créer à son niveau une tension que notre brave cellule se doit de résoudre. Une "souffrance" qu'elle doit éliminer. Pourquoi ? Parce que cela la fatigue ! J'ai déjà une idée !!! si elle mange encore et encore, la tension va augmenter ! Jusqu'à ce qu'elle soit insupportable. Et la la cellule va devoir se diviser pour diminuer la tension ! Elle se reproduit ! Voilà ! je viens tout simplement d'inventer le vivant, LA VIE ! (Grâce au mal, grâce à la souffrance...) J'ai bien fait de venir !
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Ce n'est pas une façon de s'adresser à quelqu'un, ta façon. c'est prétentieux. Et je maintiens : la lune ne tourne pas indépendamment sur elle même : elle est rivée, verrouillée à la terre. Même si apparemment en tournant autour de la terre on peut dire qu'elle tourne, relativement à la terre elle ne tourne pas sur elle-même. C'est ce que je voudrais moi : qu'elle tourne sur elle même non pas en 28 jours mais en 1 !
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Eh ? Con toi-même !
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J'ai l'impression que vous mélangez tout mais je peux me tromper ! Réalisez vous qu'en suivant votre raisonnement on en arrive à dire que c'est le bien qui fait souffrir ? A mon avis, c'est la souffrance qui est première. Ou plus efficace à la limite : le bien n'est rien ou pas grand chose. Et c'est par instinct, pour éliminer la souffrance qu'on retire sa main et non vers un bien escompté. La souffrance doit cesser ! Ca c'est sûr ! Qu' au-delà existe un bien ou pas ? Bof ! C'est pas trop le problème ! Ce sont les nerfs qui parlent en premier pas le raisonnement. La souffrance en quelque sorte est seule réelle. Elle est la réalité, le réel : elle nous bouscule, et nous "pousse" (dans les deux sens) nous force à retirer la main. Il ne s'agit pas d'une croyance mais d'une constatation ! Vous dites : "La souffrance comme utile à ne pas souffrir est une contradiction." Mais pas du tout : encore plus qu'utile, c'est une nécessité ! Elle existe en soi elle produit l'évènement de la douleur par influx nerveux et provoque le réflexe du retrait : un autre influx nerveux. C'est de l'ordre d'un mécanisme : oui ou non ? Comme quand on tape sur le genoux et qu'on envoie un coup de pied. je n'y vois pas autre chose. Réfléchissons : Si je dis "je suis bien" cela reste compatible, équivalent avec : je suis... peu ou prou : RIEN ! Et même l'équivalent de au moins "je n'ai pas mal !" Tandis que si je dis " je souffre", là il se passe à coup sûr quelque chose ! C'est du vrai ! Du solide ! De l'évident ! de L'insupportable ! Jusqu'à rendre la vie impossible. Alors je dirai que c'est le mal qui est forcément premier, (et nécessaire, indispensable, quand bien même c'est pour le fuir). C'est lui qui existe réellement et qui est quelque chose que l'on ressent, et non le bien. Ce n'est pas le bien que l'on espère mais le mal que l'on fuit en premier et le plus vivement possible. A mon avis. Notre organisme, notre corps doit sa survie à l'atrocité de la souffrance. Si le bien était une entité souveraine, il n'aurait pas permis cela ! Mais alors la vie n'existerait pas ne serait pas possible. La souffrance (toujours un certain type de souffrance) c'est la vie elle même ! Avoir faim, avoir soif, et même les pulsions sexuelles sont toutes dans leur genre des souffrances (des manques, des besoins, des insatisfactions) qui permettent la vie, nécessaires, indispensables à la vie. Il ne s'agit pas là encore une fois de croyances mais de constatations. Tenez !... même là je pourrais dire que je souffre (en un sens et très très légèrement ! ) pour vous exprimer ce que je pense... puisque j'en éprouve le besoin... Je suis dans le besoin... ce n'est donc pas le bonheur parfait, le bien parfait : je suis vivant !
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Voilà ! Je comprends où nous ne sommes pas (trop) d'accord ! Le bien et la souffrance (ou le mal) pour moi ne sont pas des entités, mais des phénomènes. Des conséquences. Des estimations, des programmation (En particulier pour la souffrance ou le plaisir). Il s'agit de ce que l'on ressent. (Le plaisir ou la souffrance). Le bien et le mal sont des généralisations, des abstractions à partir de ces phénomènes vitaux. Si la souffrance n'existait pas la vie même ne pourrait pas exister. Faisons simple : c'est elle, la souffrance, c'est grâce à elle qui nous retirons vivement la main quand nous nous brulons ! Pas de souffrance et je me crame tout et meurs sur le champ ! Vouloir faire le mal c'est une généralisation à partir de vouloir faire du mal. Qui serait un cas particulier. Mais qui sous entend, qui suppose toute une expérience, des expériences précédentes : celles de connaître pour soi la souffrance. Une certaine souffrance. et de savoir ou pouvoir la transposer sur autrui. Ou même plus généralement sur un ordre établi présupposé de ce qui se fait ou ne se fait pas. De ce qui est licite. en un mot qui va ou non à l'encontre d'un ordre établi qui peut être lui-même rendu -à tort ou pas) responsable d'une certaine souffrance. C'est "l'affreux Jojo" (pour donner une image pas trop antipathique, moins scandaleuse) qui fait le mal ou du mal exprès pour se... "venger"... de sa propre souffrance. l'idée serait que le mal ne pourrait qu'être provoqué ou induit que par une agréssion antérieure, finalement. Mais je peux me tromper. Peut-on envisager le mal comme "génération spontanée" ? J'imagine que ce serait plutôt un conception qui tiendrait du religieux. Un Satan qui insufflerait le MAL, pousserait au mal, arbitrairement, pour son pur plaisir. Pour le Diable, le mal serait un bien ! Un mal, création "sui generis" en quelque sorte. (Qui ne découlerait pas de quelque vengeance.)
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Pas pôssible ! OUI MAIS MOI JE VEUX QU'ELLE TOURNE SUR ELLE-MÊME SANS QUE CE SOIT SYNCHRONISE AVEC SA REVOLUTION AUTOUR DE LA TERRE ! Un tour en un jour ou deux maxi par exemple ! Non mais ! Make moon free again !
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Parce que vous pipez les dés ! Par exemple vous dites : . "Et quand la souffrance nous fait du bien pour nous faire souffrir c'est mal." mais si je dis ; "quand la souffrance nous fait souffrir pour nous faire du bien ?" à l'arrivée c'est du bien ! La souffrance n'est pas une intention c'est un résultat et le bien aussi. Vouloir faire du mal est une intention comme vouloir faire du bien. Au départ, le bien et le mal sont dans l'intention. A l'arrivée, après, le résultat c'est selon... Non ? Et le bien et le mal ont pu s'inverser... Je reconnais que c'est chipoter ! Vouloir faire le mal c'est objectivement mal (au départ) ! Même si ce mal se transforme en bien par hasard ou par inadvertance... Le problème moral reste peut-être : pourquoi et comment vouloir faire le mal peut faire du bien à celui qui veut faire ce mal... On entre là dans la psychologie des profondeurs... Le besoin et la possibilité de se venger d'un mal, de se "rattraper" d'une souffrance subie dans une certaine situation et souvent refoulée dans l'inconscient en en infligeant une par ailleurs dans une toute autre situation et surtout qui n'a rien à voir... C'est là le mystère de notre psychologie. Ou en tout cas le fait que souvent les choses , les/nos réactions ne sont pas au point ! Pas rationnelles... Et s'il n'y a pas de créateur ? ce qui semble bien plus probable... Vu que tout va un peu n'importe comment... Que tout est... franchement BRICOLé !
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Quand on était petits et qu'on faisait une grimace on nous disait : "si la lune tourne tu vas rester comme ça !" Mais la lune ne tourne jamais ! Enfin, par rapport à nous : elle est VERROUILLEE qu'on nous a expliqué. La même face vers la Terre, toujours. Pourquoi ? J'imagine qu'en conséquence ou/et pour cause de ce verrouillage, son poids n'est pas réparti uniformément et que la partie qui nous regarde est plus dense, plus lourde ? Ce qui pourrait s'expliquer lors de sa formation à partir de l'anneau de débris éjecté depuis la terre et tant qu'elle a été plus ou moins en fusion ? Les éléments plus lourds étant "plus attirés" ? Si ce n'est pas le cas et que sa masse est répartie uniformément, ne pourrait-on pas la faire tourner sur elle même ? Plus de grimaces ! (Par crainte !) Ou sinon des grimaces éternelles Faire tourner la lune ! En voilà un beau et grand projet ! Mais là je me demande : est-ce qu'au premiers temps de leurs formations toutes les planètes rocheuses sont systématiquement en fusion ? Et si oui, pourquoi ? Puisque les poussières qui les forment ne le sont pas à l'origine ? La pression ? La radioactivité ? Mais s'il n'y a pas de métaux lourds ?
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J'ai lu que la moitié... Parce que dès le départ, le bien infini ou le mal infini, à mon avis ce ne sont que des mots... Un "fidèle du mal" par exemple (à mon avis) il est déjà à cheval : Il peu faire du mal, sans doute mais parce que ça lui fait du bien à lui, pas du mal... le mal il le veut pour les autres ; pour lui c'est quand même du bien qu'il veut... enfin il me semble... Ainsi en voulant faire du mal c'est quand même son bien qu'on recherche, comme aussi en voulant faire du bien c'est peut-être du mal qu'on risque de provoquer... Même moi qui suis le plus gentil du monde, si je ne pouvais être bien qu'en faisant du mal, je me demande... si je craquerais pas parfois... Après tout le mal des autres je ne le ressens pas vraiment... ou seulement par identification... Il suffirait que je m'empêche de m'identifier ou que j'apprenne à le faire... et alors le mal que j'infligerais serait tout bon pour moi ! Le plaisir de faire mal, le plaisir de faire du mal... ça existe, non ? Un petit mal, une petite souffrance, ça fait déjà du bien quand ça s'arrête... Alors on passe à une souffrance un peu plus forte... puis encore un peu plus... Puis très forte... Il y a même un dicton pour ça : L'enfer qui serait pavé de bonnes intentions... Ou encore "qui veut faire l'ange fait la bête"... Ou encore "un tien vaut mieux que deux tu l'auras !" Ah non ! ça c'est autre chose ! .............. Le bien tout d'un côté, le mal tout de l'autre ? La vie est plus difficile que ça ! C'est d'ailleurs peut-être tout l'intérêt qu'il y a à la vivre ?
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Le môme c'est comme un sacrifice ? Et puis Marie a bien eu son Môme tout en restant vierge ! Le paradoxe est constitutif du christianisme : Jésus est mort mais reste vivant, Marie accouche mais reste vierge, Judas est l'ami le plus sûr mais il trahit... St Jean s'incline devant Jésus, mais finalement ne le reconnaît pas...
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Merci ! J'avais la date... approximative mais je cherchais avec le titre alors que c'était pas ce titre le sujet ! Merci ! Lo troubairé a rèn troubat ! Quand je pense que j'avais pris ce pseudo de Bla-bla-bla d'instinct (après avoir perdu mon mot de passe pour Blaquière) sans même réaliser que c'était la première syllabe répétée 3 fois ! J'en ai quand même profité pour rajouter trois petits bouts ; Le joueur au carré d'AS Le géomètre en calcul (rime riche !) Et St Martin !... (je suis un mécréant !)
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Du tout ! Tout est bien réfléchi ! Et il n'est pas question du... trou Ni de... Tauromachie Seulement d'esthétique Et c'est là ma pratique : La forme qui fait tout ! Par Manitou ! Du fonds ? Je m'y morfonds ! Une courbe parfaite Et mon seul idéal C'est pour moi le Gaal Et je lui fais la fête ! Mon côté mathématicien Ou géomètre Il est question de millimètre Pour l'authentique praticien. Ai-je manqué ma vocation ? My kingdom pour une équation ! Foin de grossièreté C'est la subtilité, la fluidité Des lignes paraboles Voire hyperboles Que je plussoie C'est tout ce qui me met en joie...
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Hier en cherchant autre chose je suis tombé sur ça . Je l'ai pas retrouvé ici sur le forum et pourtant je suis sûr que je l'avais mis. Vers 2019 Je crois... La tirade du cul "Pour en finir avec le cul ?" Ah ça, c'est un peu court, Madame ! Vous me croyez vaincu ? On pourrait dire, Ô Dieu bien des choses... infâmes ! En variant le ton, par exemple, tenez : Parfumeur : Ce cul est une fleur Que j'aime renifler ! Sa fragrance est goulue ! Rustique : je les aime poilus ! Sculpteur : ce cul n'est pas banal, Son volume ? Idéal ! Tendre : ce petit cul pour qui ? J'y fais guili-guili ! Prolétaire : je le fesse avec joie ! Car c'est un cul bourgeois ! Joueur invétéré : Le carré d'AS inespéré ! En Bigot vicelard lui tendant mon mouchoir : Veuillez cachez ce cul que je ne saurais voir ! En astronome fasciné : C’est bien mieux qu’au ciné, de près, au télescope ? Quel beau cul de salope ! En astronaute itou : Par dessus, par dessous, J'y manœuvre mon LEM, J’alunis là où j’aime ! Géomètre en calcul : Je vous le triangule ? En amoureux timide : Ton petit cul rosit Il n’est en rien perfide Ô ma douce Rosie ! Navigateur brutal : C'est à grand coup de rame Qu'on franchit ce canal ! Escrimeur : Je le claque à l'épée ! Et là survient le drame : Mais il est tout fripé ! Rabougri, étriqué ! Et je crois Bien que c'est de la faute à ce froid ! J'en suis catastrophé : Il faut le réchauffer ! J'arrache mon manteau, Et mieux que Saint Martin, Je le lui donne... en plein ! Le voilà tout au chaud ! Le voilà qui sourit ! (mais quel amphigouri !) Il faut que je me calme ! et dire simplement Admirativement : Ce beau cul a la palme !
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Le quart d'heure provençal : devinez de quoi je parle !
Engardin a répondu à un(e) sujet de Engardin dans Littérature
Belle chanson. Merci ! Hier je pensais justement que la musique, les chansons en général (surtout aujourd'hui) dégoulinaient souvent d'émotion préfabriquée et à bon marché, facilement, comme jouant sur un réflexe... issu de notre formatage culturel. Là c'est presque (en partie) le cas, mais c'est d'un autre niveau... et c'est particulièrement bien ficelé -ou travaillé- ! Et en plus c'est pour la bonne cause... ne boudons pas notre plaisir !
