Lowy

Que tant que l'on vit , on peut faire , que rien n'est définitif ; Que certaines choses ne changent pas , et que c'est à nous de changer si on décide de s'y adapter , Que certaines personnes ont une nature mauvaise, et qu'il ne sert à rien de justifier leurs actes par des circonstances , ET que oui chacun peut faire autrement, Que les miracles existent , et que trés souvent on ne les voit pas passer quand on est immergé dans le réel cru, explicable et limité, Que certaines choses ne s'expliquent pas , parceque magiques, Que l'on peut toujours apprendre , changer , grandir... Que l'argent ne nous apporte qu'une liberté matérielle, pas le bonheur , que le bonheur est partout et qu'on nous apprends à ne pas le voir ( chacun son ''on'' ), mais qu'on a toujours la possibilité de dire non aux ''on'' et de le retrouver, Que nous ne connaissons la valeur des choses que lorsqu'on les perd, et que le temps est traitre, que tout est éphémères -heureusement- et qu'il faut savoir protéger ce et ceux qui nous aiment , Qu'il faut savoir rester à l'écoute des autres et aussi de nous mêmes , que le tourbillon de la vie est dangereux, qu'il faut savoir prendre des risques pour avancer ... qu'aucun de nous ne représente le nombril du monde, la terre continuera à tourner sans nous, que beaucoup de nos contacts humains sont faux mais parmi le tas , il y'a des gens vrais et bien et qu'il faut savoir faire le tri... Que certaines personnes ne nous aiment pas sans vraiment nous connaitre et que d'autres continueront à nous aimer avec nos pires défauts ... ( j'ai encore des tas de choses en liste... face à ton ''rien'' , je me sens un peu chipoteuse...) Et que les valeurs prennent la marée , mais continuent d'exister aussi... que le monde marche à l'envers aussi ( et ...et...)

Là: De ne pas résumer une vie à une chanson. Les chansons n'étant que des échos de moments de vie.

Chester Bennington est irremplaçable.

Mr tout le monde est un pervers. Ses avocats chercheront à le défendre comme ils peuvent , mais c'est un misérable pervers. Un sordide fait.

Qu'avez vous appris de la vie? Là, à l'instant , ce qui ressort de toute votre existence, Une autre question: est ce que cela vous vient facilement ou il vous faut y réfléchir?

Le déni de l'autre aussi... la validation du mensonge en l'imposant comme vérité

shady come back...

Synopsis Une actrice en herbe, Laura Franco, voit sa vie s'écrouler après avoir appris qu'elle a un cancer. Bientôt, elle rencontre un monstre terrifiant (mais étrangement charmant) qui vit dans son placard. De: Caroline Lindy Avec Melissa Barrera, Tommy Dewey, Edmund Donovan Dans le placard...

Doublon Merci

Il est dérangeant , mais on le regarde. Et il laisse un arrière goût d'imperfection, non pas dans la conception du film mais celle du monde.

« Depuis que je suis arrivée dans cette salle, je me sens humiliée. On me traite d’alcoolique, de complice… J’ai tout entendu. Il faut un sacré degré de patience pour supporter tout cela. En tant que femme, l’humiliation est totale », déclare-t-elle à la cour départementale du Vaucluse qui juge son ex-mari Dominique Pelicot et 50 autres hommes pour violsaggravés. Le premier est accusé de l’avoir violée, droguée puis livrée aux autres pour qu’ils la violent. Du fait de la gestion du planning qui appartient au président de la cour Roger Arata et des récents problèmes de santé de son ex-mari Dominique Pelicot, l’audition de Gisèle Pelicot, commencée le 6 septembre, ne se poursuit que ce mercredi. « La cour a longuement débattu, dans le détail, de l’horodatage des vidéos[trouvées dans un disque dur de son ex-mari et contenant pour chaque accusé les vidéos des viols, NDLR], cela m’a profondément agacée », livre l’ex-femme de Dominique Pelicot, 71 ans, en chemise bleue et jean rose. Elle s’insurge : « Que cela ait duré trois minutes, une heure ou deux heures… Le viol est-il une question de temps ? C’est absolument choquant. Si ces personnes voyaient leur fille, leur mère, leur sœur dans cet état, quel serait leur jugement aujourd’hui ? Tout homme a droit à une défense, mais quel que soit le temps qu’ils y ont passé, ces hommes sont venus me violer. Tout ce que j’entends est tellement dégradant, humiliant, éprouvant. » " En réponse aux accusés qui ont déclaré ne pas s’être souciés de son consentement car son mari, lui, était d’accord, Gisèle Pelicot répond, outrée : « A quel moment un homme décide pour sa femme ? J’ai été sous emprise chimique, jamais sous l’emprise de monsieur Pelicot. Je n’ai jamais dépendu de personne, surtout pas de lui. Mais quand on voit une femme endormie comme je l’étais, on ne se dit pas à un moment qu’il se passe quelque chose ? Je ne juge pas ce qu’il a fait sur sa femme, mais Monsieur M. [jugé pour viols aggravés sur sa femme Sylvie*, NDLR] est le seul dans cette salle à avoir su dire non à monsieur Pelicot. Les 50 autres ne se sont pas posé la question. “On a fait ce que le mari nous demandait”, disent-ils. Mais on a un cerveau ! C’est quoi ces hommes dégénérés, oui, je dis bien dégénérés ? Pas un ne se pose la question ? Et qu’on ne vienne pas me parler “d’actes sexuels”, ce sont des viols ! Je n’ai pas l’habitude de m’énerver, mais là franchement, ça suffit ! » Interrogée par l’avocat général sur la façon dont elle a perçu la phrase de l’avocat de la défense Guillaume de Palma « Il y a viol et viol », Gisèle Pelicot explose : « Ai-je vraiment besoin de répondre à cela ? C’est irresponsable. Et si c’était leur fille, leur sœur, leur mère ? Un viol est un viol ! Qu’il dure 30 minutes, 3 minutes ou deux heures ! C’est absolument abject ! » https://www.nouvelobs.com/justice/20240919.OBS93790/un-viol-est-un-viol-ca-suffit-au-proces-des-viols-de-mazan-le-coup-de-gueule-de-gisele-pelicot.html

Ces ''...'' sont des monstres , je persiste. Ils font partie de la race humaine , mais ils ont ''choisi'' de devenir des monstres, ils ont choisi de commettre un délit , et la justice tranchera au cas par ça, c'est clair. Toutes la parties doivent êtres entendus comme dans tout procès, c'est clair aussi . L'individu Pelicot cherche à émouvoir le tribunal , en mettant en avant son enfance et adolescence , seulement toutes les victimes de viols ou de sévices ne devient pas des violeurs . Pelicot ''justifie'' bien ses déviances par les sévices qu'il a subi. Oui , cela relève de la psychiatrie .

Une dizaine de tués, des milliers de blessés, les hôpitaux débordés, tel est le terrible résultat de l’explosion simultanée, hier, en divers points du territoire et jusqu’en Syrie, de tout un lot de bipeurs, ces petits appareils d’alarme sonore ou écrite équipant – signe des temps – les militants du Hezbollah. Pour les porteurs de ces engins que l’on accroche à la hanche ou à la poitrine, mais aussi pour leurs infortunés voisins, c’était en somme l’éventration ou la mort : le tout déclenché au presse-bouton. Plutôt qu’une cinglante preuve de sa supériorité technologique, c’est un fleuron de taille qu’Israël vient d’ajouter à son palmarès résolument terroriste. Pas plus qu’à Gaza, cet État n’a cure en effet des victimes collatérales que peut causer sa politique d’attentats contre les cadres de la milice. Et si le procédé utilisé hier a effectivement de quoi frapper les imaginations en matière de guerre psychologique, s’il constitue même une sinistre première mondiale, il suscite surtout une foule d’interrogations. La première a évidemment trait à la monumentale faille de sécurité apparue au sein d’un Hezbollah déjà éprouvé pourtant par une série d’attentats contre ses dirigeants. Exclue par les experts semble être la thèse de batteries au lithium explosant sur commande ; les milliers de bipeurs acquis en remplacement des téléphones mobiles aisément infiltrés et localisés par l’ennemi étaient-ils, dès lors, sciemment piégés ? La criminelle préparation de ces archaïques moyens de communication, généralement réservés au personnel hospitalier, a-t-elle eu lieu avant ou après livraison, si bien qu’ils n’attendaient qu’une fatale émission radio pour voler tous ensemble en éclats ? Plus inquiétant cependant que les brèches sécuritaires du Hezbollah est le contexte politico-militaire dans lequel survient cette sanglante folie collective des bipeurs. La veille même, Benjamin Netanyahu faisait officiellement mettre à jour la liste de ses buts de guerre, y incluant en bonne place le retour à leurs maisons des habitants du nord d’Israël. À l’émissaire américain Amos Hochstein, en qui les Libanais placent tous leurs espoirs d’un règlement négocié, il signifiait que ce retour ne serait pas possible sans un changement radical de la situation à la frontière. S’adressant au même Hochstein, le ministre israélien de la Défense Yoav Gallant a été encore plus explicite, affirmant que l’action militaire était désormais le seul moyen de garantir un tel résultat. En notoire désaccord sur la conduite de la guerre de Gaza, comme sur la libération négociée des otages détenus par le Hamas palestinien, les deux rivaux auraient-ils donc choisi le Liban pour terrain d’entente ? À défaut d’une opération d’ampleur susceptible d’embraser la région tout entière, la paire se serait-elle rabattue sur l’option d’une zone tampon au Liban-Sud, vierge de toute présence du Hezbollah ? À l’ère des missiles de précision qui ont détrôné les katiouchas d’antan, Israël serait-il pour autant définitivement hors d’atteinte ? Et pour en venir inexorablement à de tels aménagements, la diplomatie n’eût-elle pas été préférable à la frénésie guerrière des onze mois écoulés ? https://www.lorientlejour.com/article/1427473/le-bip-qui-tue.html

L’affaire de Mazon me révulse. Les prédateurs, leur réseau, leur mécanisme ; des monstres lambda… Gisèle, la victime principale est au-devant de l’accusation, et je me pose la question : combien d’autres victimes anonymes, inconnues à ce jour… et combien d’autres au-delà de ce chiffre de 51 hommes pour qui aucune preuve… La victime a déclaré que la honte devait changer de camp, et je me demande si les monstres ressentent la honte -je ne crois pas- à la pause, ils discutaient calmement entre eux devant la machine à café, et l’un d’eux s’est même permit un doigt d’honneur à l'assistance. Les ‘’accusés’’ chercheront à se disculper. Je me demande de quoi : leurs viols -enregistrés- sur une femme amorphe ( les médecins se demandent comment elle est toujours en vie , au vu des doses de médicaments qu'il lui donnait), ces ‘’ accusés’’ – je ne peux pas dire hommes les concernant, ni nommer Gisèle du nom de son monstre ( pourtant durant quarante années , elle a été la femme de ce…), ces ‘’accusés’’ ne chercheront qu’à prendre un minimum de la ‘’justice ‘’, et après, ils sortiront. Et le pire : cette ‘’chose’’ au banc de l’accusé principal, qui cherche à se justifier par une enfance malheureuse, qui se dit victime et qui essaye d’amadouer la justice pour une mauvaise enfance ou adolescence, ce qui justifierais qu’après 40 ans de vie avec cette femme, il a prit la décision de l’offrir à ces prédateurs sexuels ( sa fille aussi ? ) ; je doute que durant ces 40 années , il a été l’exemple de ce qu’il clame…je doute mais ne veut imaginer … Je me demande quel serait le verdict de la victime si elle pouvait donner le sien ; Et si le vigile avait lancé un avertissement de forme à l’inculpé et l’avait laissé partir, et si le policier n’avait pas fait des recherches en classant le dossier …

Métaphorique