Axo lotl

J aime bien solaris et saouls eternity. C'est sympa.

Selon la loi, ils doivent prendre toutes les plaintes. Point barre. Certains, trop, choisissent que non parce qu'en fait ça les gonflent la paperasse. Leurs excuses ? L'accusé est trop jeune il se passera rien inutile de perdre du temps, ou votre ex a mal pris la séparation il va se calmer ou qu est ce que vous voulez qu on fasse tant qu ils vous a pas agressé il a le droit de passer devant chez vous plusieurs fois par jour vous n'avez qu'à l'ignorer......des trucs graves aussi comme allons c'est votre mec il a sûrement pas tue votre chat vous vous faites des films, ou vous n'avez pas de trace rien ne prouve que votre mari vous a violé...c'est insupportable. Ou comme celui là il est 17h on ferme. C'est devenu tellement banal que les gens pensent que c'est comme ça la procédure. A quand les plaintes en ligne ? En supposant que ça améliore un peu les choses.

Et une faute grave. Non respect de la loi (obligation de prendre les plaintes). Plus les conséquences.

Vous avez raison. D'où l'importance de protéger notre société d'idéologies dangereuses. Votre remarque se voit concrétisée d'ailleurs dans des sociétés gangrenées par les dictatures ou l'extrémisme religieux ou la violence érigée en loi. Il est important de protéger notre liberté individuelle et morale pour protéger la liberté collective et ainsi de suite. Perdre ce combat, c'est perdre la liberté.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-question-philo/la-question-philo-du-samedi-27-janvier-2024-5111810 Étonnante question... D’abord parce que nous sommes des animaux sociaux, qui vivons en collectivité, et donc devons apprendre à être libres ensemble, à faire cohabiter la liberté des uns avec celle des autres, c’est même peut-être la définition de la société ........ La liberté de faire le bien ou le mal, ou plutôt de vouloir faire le bien ou le mal, bref la liberté morale, implique en effet une conscience seule face à elle-même : vous savez : quand on peut « se regarder devant sa glace », ou quand on a « sa conscience pour soi », ou quand on a « la conscience tranquille ». C’est seulement dans la solitude de sa conscience morale que nous savons si nous avons ou pas été à la hauteur, à la hauteur de notre devoir d’humain, bref de notre liberté au sens moral. Peut-être qu’il faut avoir été éduqué par des autres, des parents ou des professeurs, des écrivains ou des maîtres, pour pouvoir devenir un être moral, autonome et moral, mais à l’heure d’exercer ma liberté morale, bref de bien me comporter ou pas, je suis en effet seul face à ma conscience.

Et la seule personne à même de déterminer s'il s'agit d'une vexation ou d'une blessure est la personne elle même, le récepteur du message. Cela lui appartient. L'émetteur est incapable de savoir, il ne peut juger que subjectivement, d'autant qu étant la source de la blessure, il se cherchera des excuses et utilisera des stratégies pour éviter de se sentir responsable.

Est ce que vous vous demandez ce que cette phrase détestable et jugeante peut faire aux gens qui sont venus sur ce topic dire qu ils se sentent susceptibles. ? Ah j'oubliais vous êtes une pierre maladroite, ce n'est pas votre faute, ni votre problème si vous avez blessé des gens. C'est à eux de se démerder avec. Mais vous n'êtes pas agressif bien entendu, vous n'avez pas dit de grossièreté. Ahlala....

Brillant esprit universitaire comme son père, Leah Dale se donne à fond dans son travail. D’une grande probité, elle attend de ses étudiants le même investissement. Aussi, quand Rose Vaughan lui remet une dissertation d’une qualité inhabituelle, elle la soupçonne de ne pas en être l’auteure. Ce cas ordinaire de tricherie va rapidement se transformer en une relation destructrice qui aura des répercussions bien au-delà de l’université.

Mercredi 31 janvier 2024 , Augustin Trapenard recevra : Enki Bilal, pour son livre « Shakespeare – Bilal Une rencontre » (Éditions Marie Barbier). L’ouvrage se penche sur l’adaptation de Roméo et Juliette de William Shakespeare par Enki Bilal. Publié en 2011, Julia & Roem reste l’adaptation la plus audacieuse en bande dessinée du mythe shakespearien. Elle convoque le théâtre, le cinéma, la peinture, mais aussi la danse. Enki Bilal raconte également les multiples rebonds de cette aventure artistique. Camille de Peretti, pour son livre « L’Inconnue du portrait » (Calmann-Levy) En 1910 à Vienne, Klimt peint son Portrait d'une dame, tableau à l'histoire mouvementée et au modèle inconnu. Camille de Peretti imagine l'histoire de cette femme et de ses descendants dans une fresque s'étendant de Vienne à Manhattan et mêlant secrets, amours et drames. Yannick Haenel, pour son livre « Bleu Bacon » (Stock) L’écrivain a passé une nuit au Centre Pompidou lors de l’exposition Francis Bacon. Il raconte ici son aventure initiatique et se demande s’il est possible de ressentir intégralement la peinture, de la vivre comme une ivresse passionnée ? Yannick Haenel dévoile un aspect moins connu de la peinture de Bacon : la sensualité de ses couleurs, et particulièrement de son bleu. Thomas Schlesser, pour son livre « Les yeux de Mona » (Albin Michel) Mona est atteinte d’une maladie et va bientôt perdre la vue. Son grand-père, un homme érudit et fantasque, décide de l’initier chaque mercredi à une œuvre d’art avant que la cécité prive Mona des beautés du monde. Ensemble, ils vont sillonner le Louvre, Orsay et Beaubourg. Ensemble, ils vont s’émerveiller, s’émouvoir, s’interroger, happés par le spectacle d’un tableau ou d’une sculpture. Nine Antico, à l'occasion de la grande exposition que lui a consacré le Festival International de la Bande Dessinée d'Angoulême. Son livre « Madones et putains » est paru en janvier 2023 aux éditions Dupuis

Ah ben ça nous rajeunit pas. :)

Effectivement le vous c'est une distance relationnelle. On vouvoie les gens qu on ne connait pas.

Toujours la faute de l'autre, jamais de remise en question, jamais de 50/50... C'est ce qu on voit beaucoup sur ce forum d'ailleurs.

quelques jours et lâcher prise total.

@eriu, notre échange me fait penser une phrase qui m'a marqué : "Quand comprendras-tu que les mots ont juste le pouvoir qu’on leur donne ?" Amélie nothomb. Le livre des soeurs Les mots ont une valeur. Peut être plus pour le récepteur que pour l'émetteur au final.

C'est très difficile de répondre, je doute d'ailleurs qu il y ait une solution sinon celle utopique de gommer les émotions de la communication. On peut sans doute limiter le risque, en prenant le temps avant de dire , de réfléchir à comment cela va être perçu, de tenter de ne pas communiquer lorsqu'on ressent des émotions fortes, de prendre conscience de ce qu'on dit et pourquoi on le dit, de vouloir protéger l'autre... Mais je doute que ce soit possible.

Je suis d'accord, si une relation compte, le risque d'être blessé est plus important, sans doute parce que ce que pense l'autre de nous est important. Cela rejoint le topic sur la reconnaissance.

Ça ne peut être que du ressenti d'après moi. C'est la dimension compliquée de la communication, pourquoi on le dit, comment on le dit, qu'est ce que l'autre entend, ressent. Lorsqu'il s'agit de messages qui parlent de l'autre, souvent des critiques d'ailleurs, des phrases qui commence souvent par "tu", il y a toujours un risque de blesser l'autre volontairement ou pas. Nous sommes forcément dans la partie émotionnelle d'un message d' après moi.