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Tout ce qui a été posté par al-flamel
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Je ne sais pas de quoi tu parles. Il n'y a pas de problème de l'Homme blanc en sociologie. Ou peut être qu'il y en a pour certains sociologues mais ce n'est clairement pas représentatif. Si tu t'y connais je veux bien que tu me cites des sociologues et des travaux qui parlent de ça. Tu parles de quel ennemi au juste ? Franchement je sais pas de quoi tu parles ? tu délires complétement mon vieux. Ressaisis toi.
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Non je ne le nie pas bien entendu. La question, c'est comment tu poses le problème et ensuite qu'est-ce que tu en fais ? Un problème avec l'islam ? Un problème de civilisation ? Je ne crois pas que ce soit le cas et que l'occident soit irréconciliable avec les pays arabes. Et je ne crois pas que la solution consiste à interdire aux gens de pratiquer leur religion à partir du moment où elle respecte un cadre légal et que ce cadre légal respecte lui même certains droits fondamentaux vis à vis de la liberté de conscience et de culte. En revanche au delà du respect de la loi, ce qui est sûr pour moi c'est qu'une bataille culturelle doit être menée pour lutter contre l'obscurantisme islamique et contre l'obscurantisme religieux de manière générale. C'est fondamental. Il faut y mettre les moyens. il y a toute une stratégie de communication subversive à opérer. Ça peut paraître très naïf, mais je suis convaincu qu'en y mettant les moyens, en trouvant des axes et des canaux multiples de propagande (cinéma, littérature, musique, etc.), qui ne visent pas nécessairement qu'un public musulman, ou en tout cas pas de façon ostentatoire et essentialiste, on arrivera à un certain résultat.
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Éliminer par qui ? De quoi tu parles en fait ? Genre concrètement c'est quoi la souffrance dont tu parles ?
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T'aurais dû remplacer le mot gauche par droite dans ton titre. il n'y a que la droite qui a des problèmes avec l'islam ou plutot avec les arabes, l'islam ils s'en moquent en réalité. Si ça avait été des Mexicains qui parlent espagnol et qui se baladent avec des sombreros toute la journée ça aurait été le même délire. Il n'y a qu'à voir le problème de la latinisation des Etats-Unis évoqué par l'extrême droite Américaine similaire en tout point au problème du grand remplacement évoqué par l'extrême droite Française. C'est la droite qui a un problème l'immigration, avec le féminisme, et avec les homosexuels, et avec tout ce qui n'est pas conforme à une identité et une culture fantasmée. Toutes les thématiques que tu évoques ne sont pas des problèmes de la gauche mais des problèmes de droite. Les seules personnes que ça intéresse sont des gens qui se touchent la nouille sur toutes les thématiques identitaires imaginables et qui ont besoin de se rafraîchir l'été avec les moulins à vent des chaines d'info continues.
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Ils travailleront alors pour d'autres raisons que la nécessité, comme se réaliser dans leur vie, rendre service aux autres et/ou améliorer la vie en collectivité par exemple.
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"Le plus fort n'est jamais assez fort pour être toujours le maître, s'il ne transforme sa force en droit, et l'obéissance en devoir." J.J. Rousseau, Du contrat social, 1762
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Le nazisme est un corpus de pensées politiques imprégné d'une certaine vision du monde dans laquelle on conçoit les nations comme les espaces vitaux, les biotopes, des différentes races qui peuplent la terre. C'est une vision dans laquelle les pratiques et normes sociales sont confondues avec des traits biologogiques, i.e. génétiques, propres à l'essence des races et des espèces, se reproduisant en permanence pour les porteurs de ces gènes, et contre lesquels il est inutile d'aller à l'encontre. Le mieux est donc d'instituer cette nature le plus fidèlement possible. Ce sont aussi des darwinistes sociaux en ce sens qu'ils considèrent qu'il y a une lutte pour l'existence entre les nations et notamment entre les races. Cette vision du monde dont découle le mouvement nazi est bien loin d'avoir disparue et s'est poursuivie sous des formes nouvelles et actualisées ... Au delà de cette perspective, le nazisme est aussi à intégrer avec des mouvements politiques plus larges comme le fascisme que les marxistes conçoivent comme les mouvements politiques permettant de réguler les grandes crises du capital à travers toujours là même logique de pointer un bouc émissaire aux problèmes générés par le capital, là où le libéralisme a surtout pour objet de défendre le capital en temps normal. Voir les choses ainsi permet d'anticiper ce à quoi on doit s'attendre pour les années qui viennent. La crise que nous subissons est très profonde. Aucune institution actuelle n'est en mesure de la résoudre. L'avenir s'annonce radieux. La prospérité est au coin de la rue comme disait l'autre...
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Y a-t-il une philosophie de la grève ?
al-flamel a répondu à un(e) sujet de DroitDeRéponse dans Philosophie
Où avez vous vu un retrait des corps intermédiaires ? Par ailleurs, c'est une question que je pose je ne suis pas spécialisé dans ce domaine mais les personnalités morales autres que l'Etat, ne sont elles pas toutes des corps intermédiaires jouissant de droits et s'interposant entre l'Etat et les individus ? Pourquoi la question des corps intermédiaires n'a jamais concerné les sociétés anonymes et autres sociétés juridiques représentant l'entreprise ? -
Mes graphiques, c'est les chiffres de l'OCDE. https://data.oecd.org/fr/emp/heures-travaillees.htm Pour les chiffres de l'eurostat que vous donnez. Vous parlez du temps de travail pour les salariés à temps complet. Or, on sait qu'une proportion plus importante en Allemagne et en Angleterre, travaille à temps partiel à travers les contrats mini jobs en Allemagne par exemple et les contrats zéro heure en Angleterre. De fait le temps de travail moyen des salariés a tendance à diminuer dans les pays développés en Europe. La question c'est : est-ce que cette diminution se fait par de la précarité, par de l'emploi non salarié, des contrats à temps partiels etc, ou par une amélioration des conditions de vie. Ou pour le dire autrement la question porte sur le coût du travail comme d'habitude.
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Vous avez vu ça où ? www.ladepeche.fr/amp/2021/10/13/coree-du-sud-allemagne-france-dans-quel-pays-travaille-t-on-le-plus-9848620.php
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"On ne comprendra rien au comportement de cette fraction de la bourgeoisie, si on ne l'entend pas murmurer à mi-voix: "plutôt Hitler que Blum!"." Emmanuel Mounier https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k300686/f21.image
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Adèle Haenel appelle à la grève générale et accuse le gouvernement d'être "composé de violeurs"
al-flamel a répondu à un(e) sujet de metal guru dans France
La lutte des classes existe bel et bien. Le prolétariat ne s'est jamais réduit à l'ouvrier spécialisé de même qu'il ne se réduit pas à un pays. Le prolétariat, c'est la classe de ceux qui ne sont rien sans leurs emplois, sans lequel aucun accès au marché n'est possible dans un monde où rien n'est accessible sans marché. Le prolétariat c'est la classe de ceux qui fabriquent tous les produits consommés, y compris eux-même, que ce soit ici ou à l'autre bout du monde même s'il est convenable de considérer que ceux de l'autre bout du monde n'ont pas à avoir les mêmes droits pour lesquels les générations qui nous ont précédé se sont battues pour les obtenir. Croire qu'en raison du fait que les gens travaillent dans des bureaux en Europe ou ailleurs avec des jolis costumes ou des tenues à la mode, il n'y a plus de lutte de classe: il n'y a plus un groupe de personnes sans lesquels vous ne pouvez pas régler vos factures, vous nourrir et vous loger s'ils n'éstiment pas à leur guise que votre travail ne vaut rien, c'est ne pas avoir compris ce qui constituait le propre de la lutte des classes et le propre du pouvoir dans le capitalisme. Évidemment, et il en va de même dans tous les systèmes politiques, il y a différentes couches dans ces deux classes sociales. Celui qui travaille dans le bas de l'échelle de l'exploitation minière en Asie du sud est ne bénéficie pas des mêmes conditions de vie qu'un employé du service marketing dans je ne sais quelle boîte européenne. La lutte des classes existe bel et bien. Et à l'instar du capitalisme, elle est totale. Les institutions qui font l'État social et le monde du travail en France se détricotent. Le néo-libéralisme infuse lentement dans les institutions mais surtout dans les mœurs sa doctrine, au point que plus aucune conscience de classe prolétaire n'apparaisse. Il n'y a que des individus libres sur des marchés, libres d'être employés ou uberisés, libres de désirer ce que le maître désire, ou libres de désirer leur perte. -
Adèle Haenel appelle à la grève générale et accuse le gouvernement d'être "composé de violeurs"
al-flamel a répondu à un(e) sujet de metal guru dans France
Faut quand même pas sortir d'Harvard pour capter que c'est d'un soutien à l'actrice dont je parlais... Et qu'une oeuvre ne se réduit pas à son réalisateur ou à celui qui en profite. T'as des tas de gens qui ont bossé derrière et qui ont fait ce film. C'est bien beau de réfléchir mais si tu contestes rien, autant ne pas t'épuiser pour rien, t'arriveras au même résultat. -
Adèle Haenel appelle à la grève générale et accuse le gouvernement d'être "composé de violeurs"
al-flamel a répondu à un(e) sujet de metal guru dans France
Lool, ou les voir en streaming ça marche aussi. La palabre et la paralysie inutile c'est pas mon truc. Arrête de vivre et monte une religion si tu veux consommer des produits sains. -
Adèle Haenel appelle à la grève générale et accuse le gouvernement d'être "composé de violeurs"
al-flamel a répondu à un(e) sujet de metal guru dans France
Je connaissais pas mais ça me donne envie de voir ses films. C'est rare de voir des personnes suffisamment courageuses et engagées pour ne pas aboyer l'opinion ambiante comme le ferait tout bon petit toutou. Il y a encore de l'espoir. -
Je ne sais pas si c'était déjà le cas pour vous, mais la comptabilité nationale est une discipline assez rare dans les facs d’Économie. Et même lorsqu'elle y est, on l'a vite oublié pour se focaliser sur ses cours de microéconomie et de macroéconomie pour y apprendre des choses très utiles... Pour répondre honnêtement et sur le fond à ce que vous dites. Je suis d'accord avec vous que les pensions de retraites versées actuellement ne sont pas considérées comme de la production de valeur ajoutée et ce n'est pas ce que je dis ou si je l'ai dit je m'en excuse. En revanche les pensions de retraites apparaissent bien dans les comptes nationaux et dans la décomposition de la valeur ajoutée, dans les comptes d'affections des revenus secondaires. https://www.insee.fr/fr/statistiques/6438765?sommaire=6438793 Si vous prenez ce compte pour les administrations publiques et allez en bas de la page, normalement vous avez en emploi du compte d'affectation secondaire du revenu l'ensemble des prestations sociales versées (peut être pas jusqu'au détail des pensions de retraites, mais c'est là qu'elles s'y trouvent normalement). Ici on peut voir ces emplois comme financés par les ressources que sont toutes les cotisations sociales prélevées sur les entreprises, ménages et autres. Donc un Économiste libéral vous dirait qu'effectivement, les entreprises produisent un tas de choses par du travail et du capital, les distribuent proportionnellement à la productivité marginale de ces facteurs sous forme de revenus primaires, puis l’État en prélève une partie, et les redistribuent sous forme de revenus secondaires. Mais un Keynésien vous répondrait que l’Économie c'est un circuit. Faut toujours avoir en tête que ces ressources employées en réalité sont dans le même temps consommées par ceux qui en bénéficient et sont réinjectées dans la valeur des entreprises. Cette même somme d'argent apparaît en réalité plusieurs fois parce qu'elle a circulé plusieurs fois dans plusieurs mains différentes. Elles sont dans une certaine mesure constitutives des ressources produites. Et cette redistribution n'est d'ailleurs pas neutre sur la valeur ajoutée. Les libéraux considèrent que ça un impact négatif sur le PIB, et d'autres pensent que c'est l'inverse. Et un marxiste hétérodoxe et assez sensible au fétichisme de la marchandise chez Marx vous répondrait que la notion de valeur ajoutée est biaisée par le fait que c'est le Capital dans notre société qui définit ce qui a valeur ou non, et que la libération des travailleurs passe par une réappropriation perpétuelle par les travailleurs de ce qui fait la valeur dans notre société...
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Vous êtes vraiment économiste? Parce que si c'est le cas ce que vous dites est affligeant ou au mieux n'a pas de sens. Les retraites et toutes les prestations sociales rentrent dans le PIB, parce que le PIB peut se voir sous trois approches differentes : revenus, demande et production. Le PIB, c'est de la valeur ajoutée, ce n'est pas que des biens et services produits et surtout échangés d'ailleurs. C'est la somme de leur valeur. Et la valeur vous pouvez en décomposer la production, en décomposer la demande, ou en décomposer les revenus distribués. La critique qu'en feraient un Tirole ou un Blanchard serait de distinguer la production des revenus distribués en effet. Tous les économistes font cette distinction d'ailleurs, y compris les incapables comme vous dites. Même s'ils sont comptablement nécessairement égaux dans une économie fermée, la relation entre les 2 est plus complexe en effet. Les économistes comme Tirole ont une approche macroéconomique assez simple en fait sur le fond dans laquelle l'offre sur le long terme dépend des facteurs de production capital et travail sans s'attarder d'ailleurs sur ce que veut dire capital et travail (c'est tout le problème à mon sens). Ils estiment que pour compenser la baisse du facteur travail du fait du vieillissement de population, il faut rallonger la durée de travail. Vous pouvez avoir plusieurs critiques de ce raisonnement. Une critique classique sur le fait que la productivité du travail n'est pas constante dans le temps. Mais des études montreront sans doutes que les gains de productivité ne compensent pas le vieillissement de la population (à vérifier je pense). Une autre qui me vient à l'esprit, c'est que passée la génération des baby boomers, la pyramide des âges retrouvera un aspect "normal" et que le déficit ne serait donc conjoncturel et non pas structurel. Enfin dans ces critiques le cadre normatif n'est jamais remis en question. L'Économie, ce n'est pas de la physique. C'est une science sociale. Dans les sciences sociales vous avez des doctrines politiques qui sont là pour justifier un certain cadre institutionnel. Donc, comme toute science sociale son objet dépend du cadre institutionnel préexistant. Ce que ces personnes ont tendance à nier par ailleurs. Il suffit de jeter un oeil aux modélisations théoriques des économistes orthodoxes pour se rendre compte qu'ils n'atteignent rien de concret, c'est bien pour ça que leur modèle ne marchent pas d'ailleurs... Ces gens là peuvent bien avoir des prix de la Banque de Suède s'ils y trouvent une forme de gratification, tant mieux pour eux mais il faut vraiment pas que les gens se leurrent sur le statut éminemment politique et moral de ces questions parce que c'est de notre vie au final qu'il s'agit.
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La littérature produit des images qui permettent de capturer et saisir le sens global de certaines choses sans passer par une quelconque analyse. C'est quelque chose de très fort : par le style elle permet de véhiculer des messages qu'aucun philosophe ne parviendra jamais à transmettre par la "raison". Pour moi, philosophes et les littéraires ne sont pas respectivement dénués d'imagination ou de rationalité. Ils s'attardent juste sur l'expression de l'un ou de l'autre. Pour filer votre métaphore, je dirai que la métaphysique est une terre inconnue dont les rivages n'apparaissent jamais aux malheureux cherchant à en fouler le sol .
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Pour ceux que ça intéresse et qui ne veulent pas se satisfaire des conneries relayées par des gens qui manifestement n'y connaissent rien. https://blogs.alternatives-economiques.fr/gadrey/2019/12/29/parler-de-la-part-des-depenses-de-retraite-dans-le-pib-est-une-ineptie-economique-et-humaine Si vous voulez approfondir la comptabilité nationale la source est plutôt fiable : https://www.comptanat.fr/principe/introg.htm Vous pouvez aussi vous rendre sur les sites de l'INSEE et de la Banque de France pour consulter les derniers chiffres. Un dernier conseil, osez comprendre par vous même, ça peut toujours servir .
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Libérer les autres, c'est se libérer soi même .
al-flamel a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Inclassables
On ne vit pas longtemps malheureux. On peut en devenir dingue. Notre organisme et notre cerveau trouve tous les petits subterfuges adéquats pour préserver un certain équilibre homéostatique. Sa meilleure stratégie dans un tel cas de figure, c'est la résignation et le reformatage. Il faut changer ses affects pour qu'ils soient conformes à ce qu'il est possible de désirer. Il faut donc apprendre à désirer ses entraves. -
Libérer les autres, c'est se libérer soi même .
al-flamel a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Inclassables
Et quand ce n'est pas possible ? -
Libérer les autres, c'est se libérer soi même .
al-flamel a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Inclassables
Je veux dire que nous ne sommes jamais tout à fait libres. Nous nous enchaînons les uns les autres à tour de rôle pour le meilleur et pour le pire. -
Il me vient une idée à laquelle je ne peux pas m'empêcher de m'interroger depuis: le monde physique tout entier ne serait-il qu'un signifiant (insignifiant), une émanation ? Il est toujours douloureux de se poser des questions métaphysiques. Dans les réponses qu'on y trouve on ne peut s'accrocher à rien ...
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Libérer les autres, c'est se libérer soi même .
al-flamel a répondu à un(e) sujet de bouddean dans Inclassables
Se libérer nous-même revient à se conformer à la pensée des autres. Libérer les autres revient à conformer les autres à notre pensée. Tout en sachant bien sûr que notre pensée n'est jamais tout à fait la notre et jamais tout à fait celle des autres. -
