Petitpois

J'en suis désolée pour toi. Mais, de ce que te lis (depuis 12 ans qd mm), je crois en toi. Crois en toi, toi aussi.

Je répondais seulement @Crom- . Je te pense capable de bcp moins de sectarisme, et que, malgré la peur du passé qui peut se répéter, plus capable de t'ouvrir quand une femme te plaira vraiment et où les sentiments dépasseront les raisons/présomptions négatives. Pardon pour cette question indélicate, mais est-elle réellement morte, physiquement, ou métaphoriquement ?

Oui. Meuh nan, pas forcément. Il te suffît d'être plus ouvert aux autres , de te dire que le passé est le passé, et qu'il peut te servir pour avancer mieux, désormais. Je sais que c'est plus facile à dire qu'à faire...

Oignon? Donc bcp de larmes. Désolée pour toi. Mais de là a considérer que toutes les femmes sont les mêmes et indignes de toi....il te faudrait faire un travail sur toi et ta peur devenue viscérale ,que l'on peut comprendre, peut-être. Et puis, l'autre n'ai jamais vraiment seul(e) coupable d'un échec....

Il faut surtout qu'il n'y ait pas d'ambigüité (plus ou moins cachée) de l'un ou de l'autre. j'ai cru, pendant 10ans (quand même) entretenir des liens d'amitié (émue du souvenir de notre passion) avec un ex qui jouait le jeu. C'était chouette. Et puis un jour de St Valentin, il me tél et me pourrit de reproches, genre: "et pourquoi on n'est plus ensemble?" et de "Quand tu reviens ?"...et plus encore ...etc. OUP's ....électrochoc. J'ai fini par raccrocher et l'ai mis en "bloqué", bien à regrets.

Elle n'exclut pas : "Mon utopie: que l'on puisse se promener seul-e, quels que soient l'endroit et l'heure, que l'on soit femme ou enfant, sans courir le moindre risque car il n'y aurait plus de psychopathes et autres prédateurs en maraude. Les parents ne vivraient plus dans la crainte quant à leurs enfants qui pourraient jouer dehors ou dans la forêt d'à côté et s'éloigner de la maison sans surveillance particulière. Modifié il y a 1 minute par Passiflore"

Je l'ai fait. C'était à côté/avec un SDF (à l'époque on disait clodo) pas trop alcoolisé, mais quand même... En fait, je devais faire un exposé sur l'alcoolisme, d'où mon approche et intérêt. Je crois que c'est la personne qui m'en a appris le plus sur le monde hors celui que je croyais connaitre ! Ce devait être un sdf philosophe. Je n'oublierai jamais.

En plus, 'faut quand même pas être fute-fute, quand t'es dans une lodge en "immersion "avec des animaux sauvages en semi-liberté ! C'est pas comme si elle avait été dans un refuge pour randonneurs !!

Parler à "mes morts". Mes proches partis trop tôt. Genre hier j'ai acheté une jolie robe, je me suis dit, je vais la montrer à... Ha ben non, partie. Bon, je tél à.... ben non plus, tant pis, visio avec....bah non, plus possible....etc. C'est mon utopie.

Je pense que ça, c'est le "savoir vivre sa vie". Et @eriu m'a semblé vouloir aborder plutôt le "savoir vivre" dans nos rapports avec les autres.

Oui, sauf que cela m'est déjà arrivé de dire à une personne que je souhaite que l'on s'évite, ou alors que j'entends tenir des relations professionnelles mais sans amitié (j'organisais des teufs mais ne l'invitais pas, elle l'a mal pris, j'ai dû préciser...). Mais là, ça dépasse le savoir vivre, c'est limite vie privée et surtout affinités. Je le lui ai dit avec la plus extrême des politesses A un moment donné, le savoir vivre ne doit pas empiéter sur ton "savoir être".

ON NE TIRE PAS LA LANGUE !

J'le savais ! J'le savais que tu allais me dire un truc du genre !

Ouille ouille ouille, c'est tout à fait vrai, mais qu'est ce que c'est difficile !

A moins de manquer d'intelligence et d'un minimum de connaissances des cultures, on doit pouvoir accepter certaines différences, dans le respect de chacun.

Le gougnafier doit venir, avec sa pseudo petite famille, chez moi fin Juillet......là, je serais chez moi, et je pense pouvoir me permettre, avec bcp de précautions, rectifier qq peu le tir.

Bref, pour le sujet, pour moi, le savoir vivre c'est éviter de froisser les autres ( sauf intentionnel) et de tenir une communication acceptable, voire aimable. Le savoir vivre ensemble en qq sorte. Que la personne "se tienne mal", mange comme un porc ou se néglige....etc, je m'en fous un peu. Pour moi, c'est juste maintenir un rapport poli et plus ou moins bienveillant en "société" (familiale/et ou plus large)

Ha ben, il tombe bien, pour moi, ce sujet ! Je suis outrée par le manque de savoir vivre d'une personne devenue "proche" par choix d'une de mes très proches. Exemple très concret où j'ai dû, moi , savoir preuve d'un max de savoir vivre, surtout pour éviter les conflits si je faisais une des réflexion qui me démangeait. Le Mr, certes orphelin de mère (le père a-t 'il su l'éduquer un minimum?) dit à peine bonjour et surtout est toujours sur son portable. Nous nous sommes retrouvés deux à table( belle -mère, beau -père), avec le dit Mr. Pendant que sa compagne s'occupait de coucher leurs deux enfants. Silences, grands silences. j'ai tenté des amorces de conversations...."oui", "non" en simple réponse. Puis il s'est concentré sur son portable, pendant que nous débarrassions la table, chez eux. Oh punaise!! je ne sais comment j'ai pu me taire ! Impolitesse, aucun savoir vivre...tout ! Bref, je n'irai plus jamais chez eux; parce que si je craque, ça va être grave ! (ouf, merci, ça fait du bien de pouvoir le dire). Pierre dac et Francis blanche, non ?

Hormis que j'ai limite une phobie des fourmis, le cliché est superbe !

C'est vrai que le terme "plouc" est peu approprié. Plouc, , c'est plutôt "paysan" en péjoratif (primaire , voire primitif), comme il a été dit. Quand on vit en ville, les "ploucs" n'y sont pas. Et en campagne, pas forcément. Bref tu n'aimes pas Le Havre et ses habitants, et ça, c'est différent. Il est très difficile de vivre dans un endroit qui vous insupporte. Tu ne peux pas envisager un déménagement ? Perso, citadine du littoral, je me suis retrouvée en rase campagne et j'ai failli en crever. Mais pas le choix, ni possibilité d'en partir. Si , toi, tu l'as, barre toi !

Beau, mais effrayant !