Easle

Sauf que tu vas penser la même chose de la plupart des hommes de 50 ans que tu n'aimerais. Après tu peux facilement dire que c'est à cause de l'âge mais tu sais en réalité ce qu'il en est car certains mecs de cet âge tu peux aussi en regarder. Le problème, c'est le pouvoir : CHOISIR ! Et pour cela, il faut le plus souvent mentir pour une femme, soit disant pour ne pas passer pour obsédée, ce que sont les femmes vis à vis de certains hommes. Et pourquoi ne pas assumer ces regards, si c'est pour dire dans le même temps qu'elles ne tiennent pas compte de l'opinion des autres, ce qui est tout aussi souvent et contradictoirement énoncé ? Pour faire perdre le fil, pour dérouter de manière à "garder la main". Ton espèce d'abr..i là, il lui a dit en face à la nana ? Ou même suffisamment fort pour qu'elle se retourne après l'avoir entendu ? Ou est-ce que c'était surtout un commantaire de co....rd à ces potes tout aussi co...rds ?

Mais à ce compte là, à quoi sert le mot débraillé ? Qu'est-ce qui l'est ? Sinon, autant mettre un certain nombre de mot à la benne, non ? Et vulgaire, si ca n'existe pas, idem ? De fait à force de ne plus rien juger rien, on peut mettre le dico à la benne, non ?

Que c'est un mec, ce qui n'est pas désobligeant mais je ne lui dirais pas car il est possible qu'elle ne l'entende pas comme je le dirais, c'est à dire, objectivement comme un être transparent au regard d'autrui comme le sont la majorité des hommes. C'est de plus, pour elle, un choix ! très probablement. Alors que chez la plupart des hommes, c'est une fatalité de la nature renforcée par une fabrication sociale compétitive (si tu me suis bien).

A part certains champignons et quelques autres joyeuseté, peu de choses font mal à très petites doses et utilisés par peu de gens. Ce que tu dis est un moyen rhétorique de permettre à tout le monde de faire strictement n'importe quoi en pouvant dire ensuite "Ah mais je n'avais pas dis ça...", ou de s'abriter derrière un soit disant "humour"... Etc. Il n'y a rien de plus grave et délétère que ce type d'utilisation du langage.

Ce n'est pas un mérite. C'est une fabrication, par une stratégie collective basée sur beaucoup d'argent. Nous sommes dans des oligarchies ploutocratiques. La seule valeur qui est réellement à l'oeuvre et reconnue est l'argent. Tout ce qui permet de faire de la croissance est progressivement légalisé, ou toléré. Et il n'y a d'élection que comme combat de coq ou tous les coups, les plus bas, les plus vils sont permis. La quasi totalité des promesses faites ne sont jamais tenue, le mensonge, la manipulation du langage (tout et son contraire, en même temps), sont défendus de manière à suivre un agenda réel fixé en dehors de toute délibération et même de toute présentation. Donc tu n'es absolument pas démocrate mais anti-démocrate. Tu es républicain au mieux et pour le maintiens d'un régime qui favorise TES intérêts, uniquement Matériels !

La stigmatisation de toute pensée communiste par un exemple historique terrible ne mène pas non plus très loin. Sauf à se dire que le capitalisme est pour l'éternité des éternités la mesure de l'être humain. Ce qui serait aberrant et ignorant de ce qu'est l'histoire d'une espèce vivante.

Car sans maquillage, une femme (ou toi seulement) prête à remarques malveillantes ?

La réalité, c'est surtout que personne n'a VRAIMENT envie de savoir pour quoi il elle est aimé. Mais que chacun-e se l'imagine, et donc uniquement pour la sur valorisation de sa "singularité" exceptionnelle, radicale, transcendante ! Une simple fiction, une histoire qu'on aime à se raconter et qu'on aime entendre éventuellement... Ce qui explique que le mensonge, même massif, soit si bien toléré comme stratégie de drague (dans les faits) et si dédaigné bien sûr verbalement. Bien merci. Et c'est donc une échelle de critères qui font varier les accès aux autres. La première et la plus importante des inégalités ; de TOUTE inégalité.

Oui, excellent exemple. Et le fait qu'elles soient des actrices de x ne change rien puisque beaucoup de nanas font très exactement la même chose pour sortir en soirée. Voire les tutos de ce type sur youtube. Et pourquoi, s'il n'y avait aucun critères de beauté cela se ferait-il ? Pourquoi une telle perte de temps ?

Cette beauté attirante peut parfaitement cacher un coeur pourri et/ou un intellect limité. Je t'accorde que sans un minimum de beauté ou d'harmonie c'est la Chance (ou le Destin) qui fera les rencontres. Un ami, pas spécialement beau, a fait une belle rencontre sans sortir de chez lui: la jeune femme du recensement est venue frapper à sa porte, et puis elle est revenu pas pour son physique mais pour ce qu'il dégageait, pour ses mots, ses pensées. Et là encore je ne défends pas l'amoindrissement d'un handicap ou d'un physique. Mon ami est un peu gras et chauve, dans la rue personne ne se retourne sur lui, ni sur moi non plus d'ailleurs. Et c'est comme ça. Notre manque de beauté ou d'harmonie ne fabrique aucun plus. Mon ami aurait été con et mal aimable que la jeune femme ne serait pas revenu. Aucune vérification n'est possible sans photo. Elle peut dire ce qu'elle veut. Et ta considération est de même, verbale. Je vais prendre des exemples de fiction plutôt connue pour être compréhensible. Marion dans Les aventuriers de l'arche perdue, dirait probablement que le physique d'Indiana Jones est totalement et radicalement étranger à son attirance pour lui... Et je ne la croirais pas un millionième de seconde. Ce serait différent si elle s'intéressait à un gringalet. Idem pour Peggy Carter qui ne "voit" pas Steve Rogers avant qu'il ne soit transformé en Captain America (et qu'elle éprouve le besoin de toucher ... ses pectoraux, à peine sorti de la machine ! Or elle dira probablement que c'est sa "beauté d'âme" et uniquement cela qui l'a séduit. Mentir sur les critères du choix du conjoint, reconstruire nos rencontres, etc. Est l'exercice pratiqué avec le plus de détermination car le plus d'enjeux, Essentiellement par les femmes, mais par quelques hommes aussi (qui espèrent pouvoir en tirer des subsides de considération féminine). Petite chose en passant. Dans mes entretiens et mon vécu, j'ai remarqué que le surpoids masculin était plutôt valorisé, comme rassurant par les femmes. Ce sont plutôt les ectomorphes qui sont les plus invisibles et qui provoquent même du dégoûts chez beaucoup de femmes (à moins qu'ils ne soient jeunes : 20 - 25 max). Il y a un monde entre dire qu'on 'kiffe' quelque chose et l'acter. Et de même entre critiquer quelque chose et faire avec pour des raisons qu'on ne révélera jamais ! Les situations, les contextes, sont la première source de décalage des attentes, mais cela ne change en rien le jugement, l'attente, les représentations qui resteront globalement les mêmes. Ton ex. n'ira pas pour autant vers des mecs comme toi ensuite. Une exception ne fait pas une règle.

D'une part il faudrait admettre que les institutions n'ont aucun impact sur la socialisation, l'éducation, les représentations sociales, etc. Mais bon Admettons... D'autres parts, il faudrait supposer... quoi ? Que la nature humaine est mauvaise, orientée principalement vers les travers qui sont décrits ? Mais bon Admettons... Et donc les 'idées', peuvent-elles être changées ? Hum ?

Le surpaturage en gros, mais si seulement nous ne faisions courir ce risque qu'à notre espèce (ce qui en soi est d'une rare violence puisque c'est un acte volontaire de la part de gens qui sont en petit nombre et qui sont prêt à sacrifier le plus grand nombre pour leur excès de luxe), mais également à de très nombreuses autres espèces. Nous gaspillons 35 à 40 % de l'alimentation que nous produisons nous-même chaque année. Il n'y a pas un être humain antérieur au 19e s. qui en serait pas effaré devant une telle pathologie mentale sociale. Et ce sont plusieurs centaines d'exemples comme cela que nous pourrions prendre de ce dérèglement bien plus idéologique que climatique, mental qu'environnemental.

La vitesse de la lumière est un limite, la durée de vie d'une étoile est une limite, notre durée de vie est une limite, notre corps est une multiplicité de limites... Oui, effectivement vous avez un trouble platonicien du raisonnement... Vous n'avez peur de RIEN, je comprends, cela arrive couramment dans ce type de pathologie de la toute puissance. Sautez d'un avion à 5000 m d'altitude en parachute, vous pourrez vérifier, définitivement vos limites, ou essayez de descendre à 1000 m de profondeur en simple maillot de bain ! Si seulement il n'oubliait que cela...

C'est surtout qu'il nous faudrait sa photo. Car tu passes donc totalement sur les problèmes de peau, de dents, de cheveux, etc. C'est ce qui s'appelle botter en touche.

Tu as raison, là encore, comme toujours............... En théorie. Mais dans les faits, réels, des rencontres sur Tinder, en boite de nuit, sur les bancs de la fac, autour de la machine à café du boulot, etc. Chacun et chacune passe son temps à catégoriser les autres, sans même y penser. Ne me dis pas le contraire s'il te plait, c'est un processus neurobiologique. Tu ne peux pas plus y échapper qu'à une envie de pisser ou une esquive d'un vélo quand tu traverses. Et sur la construction sociale et culturelle de la beauté, il est plaisant intellectuellement de s'y attarder, mais au final, dans toutes les sociétés et toutes les cultures, l'harmonie est favorisée, ainsi qu'une belle peau, un alignement des dents, qu'un non excès de graisse ou de minceur, que les cheveux chez une femme, et un minimum de muscle chez les hommes, etc, etc. La liste est longue et nous sommes tous et toute capable de la faire, et de la comprendre. Tu peux d'autant mieux le comprendre que tu défends ardemment l'amoindrissement par principe, par nature, du handicap. Et tu pourrais me retourner le gant, mais je précise qu'un strabisme léger par exemple peut être, comme un handicap (et depuis le début sur cet autre fil j'ai parlé de handicap non moteur et non mental, on est bien d'accord ?), très séduisant. Ce qui ne veut pas dire beau, mais touchant, sur un plan qui est différent et partiellement indépendant du sens d'appréciation esthétique. Mais chacun-e sait très bien qu'il les préfèrent à une vieille et un vieux plein de boutons au nez tordu et aux dents du bonheur... Et même qu'à la majorité des membres qu'il ou elle côtoie du sexe qui l'intéresse. Sauf à se mentir ou à mentir. Légende urbaine ! Les gens prêts à avoir un-e androïde à visage humain sont très nombreux et les entreprises qui travaillent dessus également. https://duckduckgo.com/?t=ffab&q=robot+visage+humain&iax=images&ia=images

Alors le principe même d'une "élite", c'est de ne pas être générale... Là, nous sommes à l'os. L'aristocratisme est une philosophie, oui, Sade en est le plus dur (et pur) représentant. (le terme aristocratie, qu'on a pu donner à une catégorie d'ouvrier par exemple au début du vingtième, dépasse la catégorie de la noblesse auquel tu la limites peut-être). Le capitalisme c'est l'exploitation de l'homme par l'homme camarade, le communisme, c'est le contraire ! Coluche. Le libertarianisme n'est certainement pas l'inverse du capitalisme, c'est l'expression la plus poussée de l'ultra-libéralisme. Cela se comprend dans les mots mêmes : libéralisme... Libertarianisme. On va simplement plus loin encore dans la liberté. Laquelle ? Celle pour l'individu de faire ce qu'il veut. Les règles sont minimales, l'état est limité, strictement, à ses fonctions dites "régaliennes" (armée, police, justice). Pas d'éducation publique, pas de santé publique, aucune aides et donc très très très très peu d'impôts. Les libertariens, à mon sens, sont collés aux anarchistes, mais si les uns et les autres avalent très mal cette accolement factuels. Leur différence se joue peut-être dans ce que tu dis en dessous : Alors, Friedman, pour ne prendre que lui est un capitaliste libertarien, explicitement dans tous ces écrits. Il file la continuité avec les théories ultra-libérales de Von Mises et d'Hayek (ils ont participés ensemble à la société du mont Pélerin à l'origine du néolibéralisme (ou ultra-libéralisme, dont le libertarianisme est une tendance extrême). Et qui propose de disposer librement de soi et des autres puisque besoin en respectant un cadre légal, contractuel, mais ne tenant aucun compte de différence de situation, de capacité, etc. donc une violence absolue à l'égard de celui ou celle qui n'a pas les moyens de se défendre. Et c'est ce qui donnera la délocalisation pour trouver des salaires quasi inexistant et le travail des enfants dans des pays du sud... Voilà ce qu'est le libertarianisme ! Aux usa, ce sont le tea party et les "faucons" de Bush par exemple !

Je ne sais pas pour Morfou, mais je vais être clair sur ce que c'est pour moi. Je l'ai déjà dit d'ailleurs mais je vois bien qu'il n'y a jamais de réponse, évidemment... Le bout du raisonnement internationaliste c'est la fin de l'inter-nationalisme, l'humanité globalisée, homogénéisée, standardisée par la dilution des frontières. Une dilution nécessaire à la liberté de circulation chère aux internationalistes. Or si, dans le meilleur des mondes, il ne s'agirait que de visite des uns aux autres, courtoises et de curiosité culturelle avant de rentrer chez soi, où l'on se sent bien. Dans le monde réel, actuel, il s'agit de migration de masse, et, pour reprendre les partis de gauche, qui la niait auparavant, et devant l'évidence de cette massification, une "créolisation", c'est à dire une mutation forcée, majeure et rapide qui, si elle n'est pas un 'grand remplacement', relève d'une dynamique générale d'effondrement des cultures au profit des biens culturels, consommables, capitalisables, individualisables. L'internationalisme marche main dans la main avec le mondialisme ultra-libéral, même en s'y opposant (soit-disant et uniquement en mots). La libre circulation des marchandises et des personnes ne peut qu'aller de pair. Et pour une bonne raison, il s'est inventé comme civilisation des moins civilisés, union des intérêts des travailleurs, dans le cadre du travail salarié productiviste dés les 18e s. Il n'est question dans la colonisation et les migrations que de colonisation et de contre-colonisation, ou inversion de colonisation, par le même processus de quête de développement économique, de croissance, d'équipement, de lucre. Dans le cas de l'esclavage oui, mais je ne vois pas le rapport avec ce que j'ai dit, ni avec notre sujet.

Pourquoi donnerais-je des références à votre propos ? Aucun rapport avec le sujet, mais nous y sommes habitué. Votre texte est explicite. Je me doute de votre déni mais je laisse les autres vous lire, justement. Dans plusieurs conférences il est favorable à une non utilisation lorsqu'il y a une alternative, même contraignante, voire à un renoncement. Et proposer un quota de vol à vie est assez explicite de cette intention. Mais si vous êtes favorable à cette limitation, c'est très bien nous avançons, peu importe comment mais nous avançons Continuez à découvrir des écologistes, vous allez évoluer

Nous n'avons pas tous les mêmes critères de beauté ? Alors pourquoi peut-on retrouver autant de points de convergences dans les physiques des acteurs, actrices en fonction de leur ordre de rôle (premier, secondaire, faire-valoir, méchant-e-s, etc) ? Pourquoi être mannequin implique-t-il toujours, et depuis toujours, à peu près les mêmes critères, et les même retouches ? Et si, même, effectivement certain-e-s minoritaire-s peuvent avoir de légères divergences avec la norme dans leur jugement, jusqu'où réellement cela va-t-il ? Et surtout en quoi cela change-t-il la norme ?

C'est un poncif. Des femmes le ressorte dés qu'on parle de beauté, pour mettre un cache sexe à leur regard et leur attention réelle concernant le commun des hommes. Parce qu'il a un nez particulier, il serait laid... Alors qu'il a une excellente symétrie, qu'il a un beau grain de peau, pas de rougeurs, d'érythème ou d'eczéma, pas de poireaux, de strabisme, de calvitie partielle, de cicatrice ou de brûlure du visage, des dents alignées, etc. etc.

Ce que je ressens clairement dans ton message, c'est l'inversion. Car lorsque tu soutiens finalement qu'il n'y a pas d'échelle, donc pas vraiment de beauté ou de laideur, tu détruit un peu plus moralement, celles et ceux qui subissent le rejet des autres, l'invisibilité en raison de ce qui ne serait donc plus le physique, l'apparence mais ... quoi ? Leur comportement ? Donc de leur responsabilité ? Tu les invites à se suicider s'ils n'arrivent pas à modifier leurs comportements ? A se laver le cerveau ? La video que j'ai mise est une blague concernant les mots utilisés. Si je parle de suicide, c'est parce que ton discours est pour moi très violent. De l'ordre du déni et de la culpabilisation qui relève d'un violence symbolique qui peut amener au pire.

Merci, de même !

Donc pour toi un visage harmonieux est beau ! Et si on a un visage harmonieux on est pas laid... (oui, puisque tu viens de dire qu'on était beau) Cependant tu précises "même si on est pas très beau".. Donc on est beau sans être laid mais pas très beau... Et commun ca se place où sur cette étrange échelle ? Oui, bien sûr, Harrison Ford est le laid de qui ? Et je ne cite que lui mais je pourrais citer Nadia, Eric, Valnessina, etc. Mais vu que tu ne les connais pas... Des millions de gens sont trouvés belles, beaux par quiconque. Peut-on éviter les "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" ? Pas trop gentil... je l'aime celle-là... Et comme ça on met la barre où on veut quand on veut... et c'est souvent dans la gu..le de quelqu'un Joke inside !!! Pourquoi ? Dans quelle mesure, souvent ? Pour quel effet attendu ? Et quel effet reçu ? Et tous sont égaux de naissance ?

Axooo !!! OH, oh !! c'est une QUESTION !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! Pas une affirmation ! Ca y est j'ai ton attention ? Or tu écrivais ceci : Donc, non, la beauté n'est pas un critère énoncé par la société, puisqu'elle existe aussi chez d'autres espèces, non sociales. c'est tout. Les humains sont une espèce animal parmi d'autres. Et la situation de ce topic ne t'invite pas à faire l'économie de notre imbrication dans le système du vivant. Merci.

"SI CHACUN", ce qui formule donc ? Un nouveau contrat social (cqfd). Tout peuple qui constate que le contrat social n'est plus respecté est en droit, naturel, de révoquer ces propres obligations...