Aller au contenu

Easle

Membre
  • Compteur de contenus

    4 138
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Easle

  1. Et pour te montrer ma rationalité, je suis d'accord avec toi. Je verrais bien si tu es capable de faire de même.
  2. Vivement qu'il n'y est plus que des humains sur terre, la seule espèce digne, belle, intelligente, pacifique, lumineuse, etc. Et plus que du bétail et des zoos pour les autres, éventuellement.
  3. Si seulement tu avais au moins appris à lire... Mais bon, maintenant on est sûr que tu n'as pas pu faire médecine.
  4. Ce qui explique pourquoi je suis ami avec des gens qui non seulement ont été pour certains 1er, mais qui, également, n'ont pas fait ce choix de pauvre type lambda. De ces médecins de salons, rejoignant au conseil municipal, sur le banc LR, le maçon chef d'entreprise tendance RN mais faisant bosser des migrants (parce que eux y sont pas fainéants comme les français), le notaire qui réserve des biens immobiliers aux amis avant les mises en vente, le président du club de foot, etc. Votre réussite n'est pas la mienne. On ne se souviendra pas de vous.
  5. Ni même fortement car ce mouvement hyper individualisme n'avait pas commencé avec 68. L'existentialisme reprenait l'évolution heideggerienne, elle même en partie nietzschéenne, en partie husserlienne, d'un individu pour lequel la société, le divin, la transcendance, le lien est à dépasser. Et on oublie souvent que Heidegger était favorable au nazisme pour de bonnes raisons philosophiques de son point de vue. Appelle ça comme ça pour relativiser si tu veux. tu sais ce qu'il en est, le reste ... des mots, du vent. Chanceuse alors que tu n'as pas la force de faire sans ? Fichtre quelle chance d'avoir à mépriser ce qu'on consomme... C'est bien, et si tu le dis... Oh, tu t'es culpabiliser ? Et de quoi, mais surtout pour qui ? Vu les mecs qui t'intéressent (ah oui, c'est vrai tu vas me renvoyer au fait que je ne te connais pas ...lol), pourquoi ne suis-je pas surpris de ton mépris Arf ! J'ai lu / entendu cela plus de mille fois (et le chiffre n'est pas bidonné). Et j'ai constaté le réel de plus nombreuses fois encore. Les boulets... J'adore ces termes qui veulent tout et rien dire. Absence de précision pour toujours cibler qui on veut de ce qu'on veut : manipulation.
  6. Ah la belle mauvaise foi... On parle de valeur contre l'argent et ô horreur on propose donc de ne plus payer du tout les médecins et de les attacher avec des chaines pour les faire trimer 23 heures sur 24 ? La plupart des médecins que je connais n'ont pas passer 10 heures par jour sur leurs cours. Mais bon, ils étaient presque tous et toutes dans les 20 premiers de leur promo. Ca doit expliquer un peu hum ! Exercer dans la misère... Donc, toujours, celles et ceux qui gagnent la même chose qu'eux et même surtout moins, sont dans la misère... Donc, la France est un pays de miséreux, voire de mort-vivants ? L'ambition d'avoir une grosse bagnole, une villa, etc. Pour finir de la même manière... Quelle représentation du monde de primate mal dégrossi. Je vous laisse à vos rêves médiocres.
  7. Je ne me prends pas pour un philosophe. Mais vous semblez vous prendre pour un médecin. A votre différence il n'y a pas de salaire qui me fasse rêver. Je ne vis pas pour l'argent. Et vous ne risquez pas de travailler un sujet puisque vous ne travaillez que pour le fric. Votre pensée à le poids d'un billet de banque...
  8. Donc lorsque je dis que tu es une héritière de 68, tu comprends "tu as vécu 68 ?" Qu'est-ce que tu ne comprends pas dans le mot 'héritière' ? Bon, oui, tu fais semblant de ne pas comprendre puisque tu ne sais pas comment répondre autrement pour tenter de paraitre à niveau. Tu peux bien t'opposer dans les mots à ce que tu pratiques dans les actes. Tu es une prédatrice. Que cela te soit ou non impossible à reconnaitre. Tu veux tout pour toi... Reste aux autres à faire avec. Il n'ont qu'à savoir se battre ! Donc la haute divorcialité est une lettre de noblesse. La sauvagerie de la nature est une noblesse... Tu dois aimer Sade. La sentimentalité n'a rien à voir avec la nature. Il n'y a aucun sentiment dans la nature. Les dauphins contraignent des mères célibataires à avoir des rapports avec eux en menaçant leurs petits. Les canards pratiquent le viol en bande organisée. Les chats jouent avec les souris, la torture comme plaisir du chasseur.. Tu en veux d'autres ? Tu n'as jamais écouté ton coeur mais tes yeux, et vaguement tes oreilles. Tu te mens donc à toi-même, mais plus probablement surtout aux autres pour conserver une innocence, une belle apparence morale et pouvoir avoir derrière cela les pratiques égoïstes qui vont bien. Crois-tu vraiment pouvoir me faire accroire le contraire ? JE sais, tu me diras que peu importe ce que je pense tu sais qui tu es... Ah la belle phrase de rhétorique, mais surotut de dissimulation. 80 % du langage est utilisé à cela, dans la vie courante comme dans la politique. Ah la belle manip pour dire au final : je veux faire ce que je veux et je trouverais tous les moyens rhétoriques pour y arriver. Et assujettir qui je veux quand je veux. Je suis sûr que tu trompe beaucoup de gens avec ça, c'est un standard des fictions à la sex and the city / desperate housewaife etc. Tout pour se déculpabiliser... Non, c'est une utilité matérielle avant tout. Mais ca fait mal à la mythologie moderne de l'avouer. La relativisation (pas à n'importe quel prix : comprendre, je fixe le prix et il peut changer quand je veux du tout au tout si j'ai mieux à obtenir). Cette fixation du prix est très intéressante. Le libéralisme amoureux, économiciste, calculateur. Mais tu es trop intelligente pour ne pas savoir exactement ce que tu dis, la valeur des mots de façade et le sens réel des actes. Tu as du pouvoir (empowerment) et tu aimes ça. Tu aimes en user, et même en abuser. Mais tu sais, beaucoup de gens savent se justifier de tout et n'importe quoi. Et c'est bien ce qui nous conduit au désastre. La préférence pour la dissimulation.
  9. Nullement des papas et des mamans. Vous avez si peu d'arguments qu'il vous faut abuser votre auditoire, le tromper, essayer d'infantiliser vos adversaires, puisque vous n'avez pas assez de matière grise, d'éducation intellectuelle réelle pour répondre autrement. Avoir une vie n'exige pas d'avoir + de 5000 euros par mois où cela voudrait dire que vous considérez que plus de la moitié des français n'ont pas de vie... Lisez-vous au moins ce que vous écrivez ? Je n'ai pas besoin de trouver des médecins, ce sont des amis. Et ils ont tout autant besoin de moi je vous l'assure. Une société, avant l'argent, le lucre, votre obsession pour le fric, ce sont des relations, de l'échange, du partage. Je vous souhaite de vous en saturer le sang de votre fric. Vous n'êtes probablement bon qu'à cela, comme malheureusement un trop grand nombre de Diafoirus...
  10. En gros "soit beau et tais-toi", "Serres les genoux", "occupe-toi de la maison sans que j'ai à te le demander, j'ai une carrière" Une simple inversion du même registre de domination. Évidemment, pour le faire accepter sans que cela soit trop gros, il faut ajouter, en mots, qu'il s'agit de faire "sa part", chacun à stricte égalité. Mais comme cela prend place dans un modèle idéologique libéral inchangé et même accentué de compétition permanente dans la moindre seconde de vie sociale, il en ressort une praxis hypocrite car connue, identique, tout aussi inchangée qu'inchangeable puisque systémique et systématique. Lorsqu'on a aucun moyen de changer le réel, on en travesti, en mot, idéologiquement, la description. Nous sommes à la grande époque du verbe, du mensonge. Pourquoi ? Cela dépasse le féminisme, mais à beaucoup à voir avec l'écologie. La seule vraie solution écologique, c'est une politique mondiale dénataliste forte, pour retrouver un niveau d'équilibre à calculer (et recalculer de temps à autres en fonction des changement de paramètre). Mais le capitalisme ultra-libéral/libertaire/libertarien n'est pas prévu pour fonctionner sans croissance. Elle doit donc être infinie, ce qui est impossible à terme, qu'elle soit verte, découplée (pure fantasme économiciste), adaptée, partagée, différenciée, etc. L'écologie est le cadre pregnant, simplement la "contrainte" de la vie humaine ! Ce n'est pas un choix politique ou féminin, féministe ou pataphysicien ! C'est une contrainte totale et indépassable de la vie sur terre (et sur n'importe quelle planète d'ailleurs). Le féminisme n'y a aucune part autre que de stratégie de récupération par confusion (on est pas loin du new age avec "la terre mère", voire sainte marie, les femmes plus "sages" que les hommes etc. autant de plats mystiques réchauffés pour gogos). Mais en absence de véritable pensée, de véritables choix, durs mais efficaces, cette gesticulation l'emporte aisément en caressant les médiocrités comportementales et égoïstes dans le sens du poils, ainsi que le plaisir du changement sans changement, selon le célèbre adage. Veulerie et opportunisme font ainsi excellent ménage, et beaucoup de profit pour celles qui savent se 'placer' au cœur des mouvements à la mode
  11. Il faudrait avoir plusieurs sons de cloche. Mais si effectivement les dérives au programme national sont usuelles, c'est un manque de volonté organisationnel. Or, comme pour la médecine, l'éducation est un secteur que l'ultra-libéralisme financier à soif de privatiser pour allonger la durée de vie de sa croissance de profit (une fuite avant d'une bêtise crasse puisque la saturation et la concentration frappera aussi ce secteur ensuite... et une fois la moindre brindille de la forêt brulée, ce système bovin, se retrouvera avec la même absurdité congénitale). Est-il étonnant que l'éducation de la médecine soit si habilement mal gérée ? Qu'elle inspire une réflexion Ô combien intelligente qui se fera jour (sans avoir été aucunement calculé par les gouvernants bien sûr... Sont-ils naïfs !:rolle: ) : Mais, il faut que je paie une prépa privé !!! Une prépa où des médecins greedy gagneront de quoi acheter leur yatch.. Et développeront des liens avec la finance, rejoindront plus massivement les élites, méprisantes et exploitantes des geux. Une belle vision de l'inhumanité, de la médecine comme appât du gain, plaisir du lucre, amour de l'argent. Car l'ultra-libéralisme, c'est l'apologie de l'inégalité naturelle portée à son incandescence. L'amour de l'égoïsme violent, de la compétition, de l'écrasement, de la logique sociale de l'arène. Et plus vous y obliger des êtres humains, plus vous les y habitué, plus vous en recruter, plus vous en aurez, pour le plaisir des gagnants, les vrais gagnants, peu nombreux. Celles et ceux qui ne vivent, ne se repaissent que du plaisir de ce mépris, de voir certain-e-s perdre, gémir, etc. Oui, il y en a toujours eu pour qui écraser d'autres humains, entendre leurs pleurs, leur souffrance, leurs suppliques et se foutre d'eux, leur cracher dessus, les terrasser, est un plaisir, sadique, explicitement et philosophiquement sadien. Et le libéralisme total, est leur politique, la généralisation, la contamination de leur maladie mentale.
  12. C'est bien de s'en prendre aux étudiants de sciences humaines. Cela créé des oppositions entre les bons étudiants et les mauvais étudiants. Je ne sais pas si les étudiants en médecine ont toujours un cerveau. Mais s'ils tiennent ce type de discours mon doute augmente vivement. Cela s'appelle diviser pour mieux régner. C'est une méthode de gouvernement des plus anciennes. Et y participer, c'est soit avoir une opinion de soi très au-dessus de ses moyens réels (comme beaucoup d'animaux de droite), soit que le niveau intellectuel demandé pour médecine est bien celui d'études d'un art, d'une pratique, demandant de la mémoire, certes, mais peu de capacité analytique et de synthèse globale. Ce qui fait d'ailleurs que peu seront ceux capables de faire de la recherche réelle, autre qu'en tant que petites mains. Des efforts, quels efforts ? Je respecterais celles et ceux qui ont compris l'essence hypocratique de la médecine. Un dévouement à autrui, à celui ou celle qui souffre dans son corps de cette inégalité fondamentale qui frappe certain-e-s plutôt que d'autres, aléatoirement, la maladie, l'accident, c'est à dire la malchance... Même celle de n'avoir pas être éduqué parfois aux meilleurs comportements d'entretien de soi. Des médecins intéressés par leur statut, la comparaison de leur véhicule, de leur réussite sociale, etc. ne sont pas des médecins, ce n'est que du vulgum pecus se parant de plumes de paon morales et techniques. Heureusement ce n'est pas la majorité ou alors de peu. Il faudrait une première année de propédeutique composée uniquement d'éthique, de philosophie des sciences, d'anthropologie et de métaphysique.
  13. Easle

    Encore du vandalisme

    Le problème avec les gens comme toi, c'est qu'ils n'ont aucune culture. Leur seule capacité de réponse et d'argumentation réside dans la violence (et encore, dans le dos ou sur internet), dans l'insulte directe à la personne. Je ne suis pas coco comme tu dis. Et non, je sais que tu auras bien du mal, intellectuellement, à l'envisager, mais il n'y a pas que le communisme ou la droite autoritaire, voire totalitaire. Ce qui fait que le communisme que tu décris est un capitalisme d'état capté au profit de très peu de personne contrôlant l'appareil d'état. Ce n'est en rien du communisme. Tu pourrais aussi bien dire que la guerre, c'est la paix, que le feu mouille, que la terre est plate parce que sphérique, etc. Ce que tu dis ne veut donc rien dire, pas plus que ce dont les gens qui mentent en disant se qualifie (de gauche, écologiste, du centre, etc.) Et c'est ton choix de ne pas vouloir apprendre à parler ta langue mais de l'utiliser par simple mimétisme.
  14. Les principes que tu qualifies de désuet, le sont aux yeux d'un manque de connaissance et de réflexion. Ce sont ces principes qui ont permis de construire des sociétés humaines. Des sociétés qui coopèrent dans le cadre d'obligation et de coercition, car l'homme n'est pas un animal social mais un animal politique. Sa sociabilité est relative à ses intérêts. Ce que tu privilégies, comme la plupart des femmes, c'est le pouvoir d'action libre contre toute forme de responsabilité, de contrainte. Tu es une héritière de 68, c'est à dire d'une pensée libertaire/libertarienne. Qui veut le triomphe des meilleurs sous couvert d'épanouissement (entendu pour celles et ceux qui peuvent y accéder... Les autres osef, tant pis pour eux !). C'est une liberté anti-sociale primaire, d'impulsivité du désir, de prédation.
  15. Easle

    Encore du vandalisme

    Et les banquiers qui ont joué avec l'argent de leurs déposants et qui ont perdu et qui vont être renfloués par l'argent public, ton argent, à hauteur de plusieurs milliards sur tes impôts. Ils te fascinent n'est-ce pas ? Tu aimerais en être ? Savoir utiliser la loi pour détourner 10000 fois plus que des dégâts de peinture à ton profit ? C'est cela que tu appelles de l'intelligence humaine ? C'est surtout de la veulerie, de la violence, de la saleté morale qui est étalée dans ces pratiques.
  16. Easle

    Encore du vandalisme

    On voit très bien ici qui sont les VRAIS soutiens des politiques fascistes, ou des autoritaires comme Poutine. Souvent le troisième âge et des capitalistes sans envergures, des petits commerçants. Des peureux, des faibles surtout et des accapareurs, qui se cachent derrière des gens d'armes, payés tels des mercenaires, car ils n'auraient jamais assez de courage pour tenir une matraque en main, mais aiment à donner des ordres aux autres. Les amoureux de la dictature sont toujours aussi prévisibles dans leur frileuse bassesse.
  17. Easle

    Encore du vandalisme

    Je suis sûr que tu applaudirais à ce que la maison ou la voiture de certain-e-s soient bombardées ainsi.. Tu as la colère sélective, donc idéologique. Or c'est bien ce que sont ces actes, des actes politiques, idéologiques.
  18. Il reste qu'individuellement tu n'es rien. Sans société pas de musique, car pas de concepts de musique, car pas même de langage pour l'exprimer. Un orchestre est un collectif. Se développer soi-même se videra toujours de son sens s'il n'y a AUCUNE interaction avec les autres. Tous les ascètes, moines, ermites etc. ont toujours cherché avec une infinie hypocrisie à se faire connaître et reconnaître en tant que tel. Sauf lorsqu'il ou elle avait touché les limites de la folie par la perte de repères existentiels. Tu échanges ici, tu développes tes points de vue car tu ne supporterais pas de n'être qu'un individu, isolé, réellement, totalement. Le développement personnel (donc non tu n'es pas victime d'un biais de perception ) ne cesse d'augmenter depuis une trentaine d'année. Et c'est tout à fait lié, non pas à une quête individuelle réellement volontaire, mais à une désaffiliation sociale qui impose la recherche d'une justification (le plus souvent oiseuse et manipulée) à des situations mal vécues ou pas si heureuses qu'affichées pour la galerie. C'est une complication qui est souvent très surjouée pour au contraire favoriser une relativisation opportune, défendant des intérêts. C'est comme le "complotisme", qui est de plus souvent un terme opportuniste cherchant à faire croire que les complots n'existent pas, qu'aucun humain n'a jamais comploté ou été victime d'un complot. Que le terme même de complot n'aurait peut-être même jamais dû être inventé qui sait, s'il ne décrit rien d'existant... ?
  19. L'idéologie moderne, qui monte depuis le 19e s. est celle de l'individualisme, qui a donné l'existentialisme. Je dirais que le consumérisme en est l'actualité, avec une réification des êtres, sous les discours qui évidemment trouvent toutes les justifications nécessaires (toujours la fonction du langage humain). Et j'ai évoqué l'avenir, un peu. Penser en terme individuel est le problème des deux derniers siècles et plus encore de celui-ci, ou les contraintes collectives sont le mal, l'horreur pour l'ultra-libéral/libertaire/libertarien. Tu dois les jouer ensemble... Si chaque goutte fait ce qu'elle veut, tombe ou ne tombe pas, monte ou descend, part à droite, ou à gauche, tu n'auras plus de la pluie, tu auras le chaos. Physiquement cela aurait un sens ! bien plus que métaphoriquement. Un orchestre où chaque instrument joue une partition totalement différente, ça donne ? Le tout est toujours supérieur à la somme des parties. Et il faut éduquer les parties pour créer ce tout. ... Donc pour toi, les chances de n'importe quel homme sont strictement égales à n'importe quelle femme de trouver en moins d'une heure un-e partenaire non tarifé-e ?
  20. Je te disais JUSTEMENT !!! Qu'il fallait sortir ou du moins alléger l'emprise du jugement moral pour faire de l'analyse des comportements et représentations, réelles ! Pas telles qu'on veut les faire accroire mais pour ce qu'ils sont. Et tu me cites la bible !!! Merci ! Tu ne pouvais expliciter mieux le problème O_O' L'intimité a toujours été jugée moralement car justement elle portait un sens, une portée sociale. Et c'est le jugement moral qui oblige à maquiller, voiler, les comportements. Il me semble qu'il faudrait justement avoir un 'jugement' plus analytique, ou la portée sociale ne met pas en jeu la valeur de l'individu, mais le sens du collectif, les conséquences. La liberté, comme par hasard te fait juger des uns et des autres comme possiblement orduriers... Ne vaut-il mieux pas l'éduquer pour qu'au-delà de ce jugement hâtif et insultant, il y ait un questionnement sur la portée sociale des actes individuels ? Et les efforts éducatifs à apporter pour moins de conséquences néfastes ? Mais donc pour toi une inégalité n'a aucune conséquence ?
  21. Disons que c'est un standard, cette tactique est très souvent utilisée. La psychologisation et la commisération permettre de se mettre en surplomb, de se considérer comme supérieur (psy à l'écoute d'un pauvre et faible patient). C'est une tactique rhétorique courante pour rabaisser l'autre dans un échange. Je n'utilise pas d'arguments d'autorité. Justement non, ce n'est pas seulement une question individuelle mais aussi et même surtout sociétale et c'est moins un jugement qu'une analyse. Se positionner sur le jugement (moral), c'est nécessairement adopter une position en quelque sorte agressive de la liberté individuelle. Or le problème n'est pas là. Nous sommes des animaux sociaux, même si actuellement le mouvement est celui d'une sortie (ou du moins pseudo sortie, simulée, désirée) du social. Ou question, mais analysée du point de vue moral comme un problème. Et c'est là que cela devient justement un problème social, que la problématisation d'une question sociétale. Vis-tu seul, pour toi, ou tiens-tu compte de la société ? Qu'est-ce que faire société pour toi ? Cela ne passerait absolument pas par les rapports sociaux de sexe ? Ils ne seraient que des choses individuelles (cacher ce sein...)
  22. J'ai cité des livres, reste à les lire. J'ai eu des échanges très intéressant avec des gens irl qui en lisaient au moins en partie. Après, recopier des passages ou des articles, long et arides... Qui plus est pour les soumettre à des torsions le plus souvent. C'est le problème des forum, du moins depuis une quinzaine d'années. Sauf de temps à autre. Le coup des a priori, c'est osé. Là encore, pas de côté, inversion.
  23. Tu vois, cet échange dit beaucoup de la difficulté du sujet. Tension morale, mais inversion. Une femme ne peut plus être jugées pour des aventures (et ce n'est pas nécessairement un mal), mais un homme maintenant se juge lui, aussi durement qu'une femme auparavant. Nous sommes empêtrés tant que nous pouvons pas nous défaire de nos préjugés. Et même alors nous restent nos frustrations (nous en avons TOUS et TOUTES), dont il faut prendre recul, qu'il faut au moins en partie suspendre, un peu. Lorsque je parle de neutralité axiologique, cela ne veut pas dire une objectivité totale, mathématique (et d'ailleurs.. cela se discute aussi ), mais d'une tendance.
  24. Des saloperies ? Mais où ? Ce sont des constations... C'est visiblement toi qui considère cela comme des saloperies. Je ne fais que poser le réel, là où la plupart, pour des raisons de puissance, préfèrent conserver l'illusion. Mon Ego, Regonfler sur un forum ? Tu le penses vraiment ? Voilà, nous rentrons dans la phase de discrédit par la blessure narcissique, psychologisation, commisération... etc. hummpph Je comprends.
  25. Pourquoi aurais-tu été une ordure de lui en faire la proposition. Elle aurait fait son choix. Mais en l'occurrence, comme souvent pour la plupart des hommes, cette proposition, et tu l'as sentie en réalité, n'était pas faisable. Les femmes adorent avoir des hommes chiens, des amis, dont le corps, sexuellement n'existe même pas pour elle. La Friend Zone ne s'applique quasiment qu'à des hommes (et là, bien sûr, on va avoir les petits exemples qui montrent que OUI ! il y a aussi des femmes à qui ça arrive, très rarement, avec ces hommes dont j'ai parlé et qui sont en haut de la pile). Mais crois-tu que les femmes ont ce type de prévention ? Demande à Elisa qui a expliqué avoir cumulé les occasionnels. Ah oui... Il est vrai que ce ne sont pas des 'amis'. Bien sûr puisqu'elles peuvent le lever en moins d'une heure. Là où la plupart des hommes vont essayer laborieusement, sur des mois, de se rapprocher d'une amie.
×