Luchik

Je l'avoue, j'adore les blagues racistes

Et même en écrivant "j'emmerde la gauche" sans tous ces chichis personne ne t'enverrait au gnouf

Ah la bonne vieille victimisation des pauvres gens de droite ostracisés par la bien-pensance de gauche... Bien sûr que si tu peux dire ce que tu veux (c'est ce que tu fais là non ?). Après si quelqu'un a envie de te répondre que tu es un ringard, un facho ou que sais-je, c'est sa liberté aussi.

En se désignant le RN comme principal adversaire plutôt que le parti au pouvoir, LFI et la gauche en général perd toute chance de devenir une alternative crédible face à ce dernier - qui soit se frotter les mains de voir que sa statégie du diviser pour mieux régner fonctionne mieux que jamais. Renaissance met un signe "=" entre Le RN et LFI, Le RN met un signe "=" entre LFI et Renaissance, tant que LFI ne mettra pas un signe "=" entre Renaissance et le RN, elle restera un allié objectif de Renaissance, qu'elle le veuille ou non.

On part de très loin, je me souviens quand j'étais gamin les pubs Le Trèfle je ne comprenais même pas que c'était du PQ tellement ils avaient axé leur com sur la subtilité du parfum des papiers. Dans mon esprit c'était des étoffes parfumées qu'on achetait pour le plaisir de les sentir. Pour les serviettes hygiéniques ça a évolué, on est passé du liquide bleu au liquide rouge ! Ce qui participe du même mouvement que les dialogues entre vulves : le sexe féminin n'est plus du tout tabou (contrairement au sexe masculin, du moins dans la pub).

Le film "Marquis" ? Il était tout de même interdit aux moins de 16 ans. Depuis il y a eu "One eyed monster", un film d'horreur où les meurtres sont commis par une bite tueuse (et autonome !). Il y a eu un vagin tueur muni de dents aussi "Teeth" . Mais là c'est du cinéma trash, pas de la pub grand public.

Alors là-dessus j'ai une analyse radicalement inverse. Par nature la pub (commerciale) ne cherche pas à faire émerger une idéologie quelle qu'elle soit, elle se contente d'épouser les tendances sociétales à la mode et caresser l'éventuel acheteur dans le sens du poil (si j'ose dire ). C'est ainsi que chaque expression à la mode finit par se retrouver recyclée dans la pub, et que le greenwashing par exemple est devenu inévitable. Quand il y a tentative de provocation, c'est toujours dans le sens de la tendance décelée, jamais à contre-courant. Quant à la plus forte représentation des minorités dans la pub, elle répond avant tout à un objectif mercantile : les minorités sont des cibles commerciales, et il faut qu'elles puissent s'identifier à l'acheteur potentiel. Je te rejoins sur ta dernière phrase ceci dit, même si je coupe rarement, par flemme. La pub, pas le sujet. Pour ma part je ne cautionne pas la vulvarité.

Ah oui merci ! J'ai pourtant cherché sur Google ET sur Youtube, j'ai vu d'autres de leurs pubs mais pas celle en question Je ne la connaissais pas celle de Veet, en effet ils ont fait fort (trop apparamment) ! Ceci dit ça montre bien une tendance, et une pub équivalente "quand mon pénis est tout doux (dur ? )" n'aurait même pas été diffusée 3 jours, personne n'aurait osé ne serait-ce que l'imaginer !

C'est le concept de la dernière pub pour les produits d'hygiène intime Hydralin. La vidéo de la pub n'est pas dispo. On y voit deux femmes en maillot de bain sur leur transat, la caméra descend au niveau de leur pubis et filme la conversation sur l'hygiène intime entre les deux vulves, soulignée par des bulles façon bande dessinée (pour bien signifier que ce sont les vulves et non leurs propriétaires qui dialoguent !) Ca ne me choque pas le moins du monde, par contre je me suis demandé ce que donnerait l'équivalent masculin, une conversation entre deux pénis dans leur slip de bain, parlant par exemple des problèmes d'irritations suite au coïts trop prolongés Ca aurait pu être un sujet pour l'Asile mais il me semble que ça dit quelque chose de notre société, de même que le fait que dans de nombreuses pubs les hommes (souvent le mari) soit présenté comme un gentil neuneu (qui achète tout le magasin quand il va faire les courses, qui attend comme un con avec sa valise devant chez lui deux jours avant le départ en vacances...), alors que la femme fait figure de référent responsable et la tête sur les épaules du couple. Cela s'explique sans doute parce que les pubs visent en majorité les femmes, majoritairement responsables des achats (la fameuse "ménagère de moins de 50 ans"), mais ça ça a toujours été le cas, et on ne voyait pas ce genre de pubs avant. Avez-vous remarqué ça aussi ?

Sur le fond je ne suis pas en désaccord avec elle, mais elle aurait pu le dire avec d'autres mots, de façon plus diplomatique.

A nouveau tu dénatures et interprètes de travers mes propos, comme s'il fallait absolument que je rentre dans la case du gauchiste qu tu penses avoir identifié - alors que j'ai juste évoqué une réalité statistique, à savoir à savoir la corréaltion entre taux de pauvreté et pourcentage de population immigrée par commune. 1) Je ne nie aucunement la dimension culturelle du problème des cités, ce que je dis c'est qu'il n'y a pas QUE ça, qu'il y a AUSSI une dimension socio-économique. Le problème culturel est un facteur aggravant. Tu relègues n'importe quel type de population dans des ghettos, la criminalité y explose (c'est vrai aux Etats-Unis alors que les Blacks et Latinos ne sont pas majoritairement musulmans). Si en plus il y a incompatibilité de la pratique religieuse avec les valeurs de laïcité qui nous sont chères, au problème de criminalité vient se surajouter celui du communautarisme et de l'intégrisme religieux. 2) Je n'ai pas de tabou avec l'immigration, je dis que dans le principe je ne suis pas contre stopper l'immigration, tout en faisant remarquer que dans les faits c'est impossible, du moins tant que nous sommes dans l'UE (et tu ne réponds pas sur ce point d'ailleurs). 3) Je ne diabolise pas particulièrement l'extrême-droite, j'ai déjà dit ici que considérais les trois partis politiques principaux comme extrémistes chacun à leur manière et que je serais prêt à voter RN si ça pouvait faire dégager tout guignol affilié à Renaissance.

Oui bien sûr elle me donne son avis sur plein de choses, c'est dès lors que c'est personnel, impliquant, que c'est plus compliqué. J'essaie de m'adapter, de ne pas lui poser trop de questions sur les choses dont je sais qu'elle préfère les intérioriser. Mais là par exemple notre dernier différend (qui me concerne aussi donc), j'aurais effectivement aimé avoir des réponses. Ceci dit tu as raison, il faut que je lui fasse comprendre que si de mon côté je respecte sa volonté de ne pas vouloir parler de ses soucis perso, il faut aussi qu'elle respecte mon besoin de dialogue lorsque je suis impliqué dans les soucis en question.

Tu déformes mon propos, je n'ai pas dit qu'on avait une immigration trop importante pour nos capacités d'intégration. Avec une répartition plus équilibrée sur l'ensemble de l'espace urbain, l'assimilation aurait (peut-être ?) été possible, mais avec des communes où les populations immigrées ou issues de l'immigration représentent un tiers voire quasi la moitié de la population c'est clair que c'était voué à l'échec. Il y a eu une loi pour mieux répartir les logements sociaux géographiquement mais arrivée bien trop tardivement et largement contournée via divers prétextes par les communes les plus argentées. Freiner l'immigration je suis plutôt d'accord, mais dans ce cas va falloir sortir de l'Europe car il n'y a plus de frontières entre les Etats de l'UE et un immigré qui entre par n'importe quel pays de l'UE peut potentiellement arriver en France. Or aussi bien Le Pen que Zemmour qui déclarent vouloir stopper l'immigration ne parlent à aucun moment d'une sortie de l'UE, donc je ne vois pas trop comment ils feraient concrètement. Pour ce qui est de la vidéo, c'est marrant comme aujourd'hui dès qu'on évoque un sujet, quel qu'il soit, il y a systématiquement un discours consistant à l'opposer à un autre qui n'a rien à voir, comme une sorte de concours de qui est le plus victime : la France périphérique souffre donc la France des banlieues ne souffre pas; il y a un racisme anti-blanc donc il n'y a pas de racisme anti-Arabes ou anti-Noirs. Comme s'il fallait choisir son camp. Moi je n'ai pas de camp, je suis convaincu qu'il existe un racisme anti-Arabes/Noirs ET un racisme anti-blanc (et même un racisme de certaines minorités envers d'autres), et le fait que la France périphérique souffre n'empêche pas cette réalité statistique qui est que les communes où les immigrés sont sur-représentés sont parmi les plus pauvres de France. Les voitures qui brûlent les 31 décembre, les 14 juillet, et tous les autres jours de l'année, ce ne sont pas celles de la France périphérique, mais des habitants eux-mêmes de ces cités. Ils sont les premières victimes des racailles, et sont probablement pour beaucoup des immigrés ou issus de l'immigration comme les racailles en question. Autant je n'ai aucune compassion pour celles-ci, autant j'en ai pour les habitants des cités qui n'ont rien demandé qui vivent la violence et l'insécurité au quotidien (ce qui ne m'a pas empêché de soutenir le mouvement des Gilets Jaunes).

Je ne comprends rien à ce que tu racontes Globure.

Rien à voir avec le fait que les communes soient de droite ou de gauche. Tu me demandais la génèse, je t'ai répondu. Le mal est fait, on ne peut plus que gérer les conséquences.

Certes. Mais quelques chiffres. Clichy-sous-Bois Revenu moyen : 22 413 €. Taux de pauvreté : 42%. Population étrangère : 37%. Neuilly-sur-Seine Revenu moyen : 89 553 €. Taux de pauvreté : 8%. Population étrangère : 11%. Deux exemples emblématiques, mais une corrélation qui se confirme pour chaque recherche (si vous voulez en juger par vous-mêmes => https://www.linternaute.com/ville/) Quand les populations étrangères - qui se trouvent être les plus indigentes - se retrouvent cencentrées dans des proportions abrerrantes dans un même espace caractérisé par un mode d'urbanisme que tous ceux qui en ont les moyens aspirent à fuir, toute intégration est illusoire et il ne faut pas s'étonner de l'explosion de la criminalité et du communautarisme.

Les deux. Il y a une surreprésentation d'étrangers ou de personnes d'origine étrangère parmi les délinquants, du coup les policiers vont davantage contrôler les personnes d'origine étrangère et être moins amènes avec elles qu'avec d'autres.

Zut la fin de mon post était passée à la trappe. C'est rectifié.

L'évitement de sujets de conversation lourdingues ou répétitifs oui ça ce comprend. Pour ma part je n'ai pas particulièrement envie de maintenir un lien avec des personnes qui ont des idées ou des comportements qui me posent problème. Un très bon copain en principe il doit être digne de confiance et savoir pratiquer le "cloisonnement" s'il est aussi pote avec quelqu'un que tu détestes. Moi ça m'est arrivé de me retrouver à causer avec deux ex que j'apprécie l'un et l'autre, ma règle c'est que je ne répète rien de ce qui m'est dit en privé. On m'a déjà demandé ce qu'une personne disait en privé de lui, ma réponse est toujours la même : "souhaiterais-tu que je répète à cette personne ce que tu me dis en privé ? Je suppose que non. Ben c'est pareil". Mais c'est assez inconfortable, surtout quand ce sont des personnes qui se détestent. Après si l'une des deux me semble sincère et l'autre non, ça va influer sur mon envie de continuer à dialoguer avec la seconde.

Ah non moi je n'élude pas, surtout si mon positionnement sur la question concerne mon interlocuteur et a une importance pour lui. Si c'est une question indiscrète je dis clairement à la personne que ça ne la regarde pas, mais dire "ca ne te regarde pas" ou "je n'ai pas envie d'en parler maintenant" c'est déjà une réponse. Certaines personnes se livrent peu sans que cela traduise un manque de confiance, c'est plutôt une forme de pudeur qui les en empêche, et peut-être le fait que face à une contrariété, elles trouvent davantage de soulagement à parler de choses légères, amusantes, plutôt que de ce qui les préoccupe.

Oui, le fait de ne pas avoir envie de parler de ses problèmes, ou à un autre moment, je peux le comprendre. J'ai intégré que mon amie fonctionnait comme ça, du coup je ne me formalise plus qu'elle ne réponde pas, je la laisse venir quand elle a envie de parler. Ah les gens qui s'expriment de façon sybilline, je déteste aussi !

Ne pas se positionner quand on estime ne pas avoir les infos pour le faire je trouve ça tout à fait louable. C'est taire son avis pour ne pas déplaire que je ne comprends pas. Perso je préfère qu'on me dise clairement "je ne suis pas d'accord" que de parler d'autre chose ou pire, de ne pas répondre du tout.

Oui c'est vraiment une façon d'être chez elle. Et je te rejoins sur les aspects positifs, c'est pour ça que je ne dissocie pas les côtés agaçants du reste, ça va avec.

Pas particulièrement, hormis ces dernières années, mais je crois qu'elle a toujours été comme ça. Sa mère l'était aussi.

Zemmour ? Tout ça le fait bander, il va en foutre partout !