blulagon

Ah, merci, je n'ai ni la télé, ni les journaux, ni les réseaux sociaux, en plus c'est copié collé en gros caractères, pas besoin de lunettes, c'est le top.

4 ans est la peine maximum en dessous c'est selon le jugement, ça s'appelle la justice et c'est la loi.

Non, cela s'appelle "il n'y a pas de pleine plancher", la jurisprudence c'est autre chose, allez bosser un peu le droit puis revenez, merci, parce que vous fatiguez à raconter des conneries.

L'état de droit est avant tout la constitution, oui, ne m'expliquez pas ce qu'ils expliquent sur cette chaine, merci, j'ai une bibliothèque.

On sait, vous êtes plusieurs ici à réclamer l'abrogation de l'état de droit, sans vous rendre compte que vous demandez exactement se réclame l'islam radical : l'abrogation du droit.

Double salto arrière pour Constantinople, on admire l'artiste.

C'est mignon ce que vous dites (votre maman) et plein de raison (JFK), mais il n'y a pas d'état de droit pour les uns et aucun état de droit pour les autres en opposition, l'état de droit n'est pas relatif à.

Idem Henri, prenez soin de vous.

Argumenter devant un enfant qui fait un caprice l'auctor décide à un moment que cela suffit, point. (c'est ça l'autorité)

Je vous laisse un aspro, demain sera un autre jour, vous irez mieux.

L'état de droit n'est pas relatif à la singularité des individus...

Avant il n'y avait pas d'attentat islamiste ? Les trois paroissiens de Nice étaient de fervents défenseurs des caricatures religieuses ?

Les caricatures ont peu à voir avec la problématique d'ensemble.

L'état de guerre sous les démocraties et le droit international passe par des processus bien définis. Je crois que vous parlez sous le coup de l'émotion : état de guerre avec qui en France ? Vous voulez envoyer l'armée dans les banlieues colorées au salafisme, rassembler toutes les populations de ces lieux dans des camps sous le doute ou passer chaque cerveau au scanner pour extirper les volontés individuelles de passer à l'acte style Guantanamo (ça ferait du monde à torturer ça) ? Comme à chaque attentat en réaction dans les réseaux sociaux ce ne sont plus des débats mais des exutoires émotionnels, on sort les beretta et les couilles virtuelles, on insulte, on veut passer à la dictature, puis au bout de 30 pages tout le monde va se coucher et se retrouve le lendemain pour recommencer.

Je ne confonds pas, l'auctor en latin est celui qui a autorité pour prendre la parole, il se trouve qu'en démocratie cette possibilité est relative à l'état de droit et la représentativité. La force qui prévaut sur le droit, vous pourrez le retourner tant que vous le souhaitez (et même en vous tordant le bras tout seul) c'est la dictature et non la démocratie.

Vous savez très bien qu'en démocratie les actions menées le sont dans le cadre du droit, quand vous parlez de réduire par la force vous ne nommez pas qui et comment, certains le font dans le débat : la religion en question, les communautés etc...Ce qui signifient clairement des actions globales et massives avec obligation d'outrepasser le droit en vigueur, donc en préalable il faudra sortir de la démocratie.

Comme je le disais plus haut, à mon sens vous tournez en rond, "réduire par la force" c'est bien de dictature dont il s'agit.

La démence en l'état se nourrit elle aussi du contexte contemporain, l'islamisation est tendance en ce moment.

Il va falloir fermer les églises et les synagogues pour mettre tout le monde à égalité ou cela sera réservé qu'à la religion musulmane qui par ailleurs génère un pan radical ?

Ah ok, donc vous vous prônez l'interdiction de la religion musulmane en France, noté. Je le répète souvent, avant internet on pensait à ce qu'on allait dire, aujourd'hui sur les réseaux sociaux les gens disent tout ce qu'ils pensent et cela change radicalement les comportements.

La plupart des musulmans en France sont...Français.

Il se trouve que dans ce dernier attentat la cible n'est pas des militants des caricatures Charlie, mais des catholiques. Pour l'islamisme radical les prétextes à attentat sont nombreux.

Donc retour à la case départ en démocratie où le fait terroriste individualisé ne peut engendrer une réponse issue des pertes de sang-froid sur des pics tel que celui-ci. Il y a nos lois et aussi les européennes puis celles d'autres pays et leurs volontés, renvoyer des gens dans certains pays nécessitent qu'ils soient d'accord ou alors il faudra larguer au-dessus de ces territoires les intéressés par dix mille mètres d'altitude.

Vous allez peut-être découvrir "dans la joie et la bonne humeur" que suivant le statut et le bon vouloir des pays concernés il n'est absolument pas évident, toujours, tout le temps, de remplir un charter pour l'envoyer là où on le souhaiterait. Quant à la force il faut préalablement désigner contre qui elle doit être utilisée ou alors elle le sera de façon arbitraire, dans ce cas adieu la démocratie.

Concrètement les moyens contre qui précisément et de quelle façon, vous tournez un peu en rond, autant être explicite.