Aller au contenu

zeyas

Membre
  • Compteur de contenus

    3 398
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    2

Tout ce qui a été posté par zeyas

  1. Il y a les hommes ..il y a les femmes Ceux qui parfument et colorent la vie. Qui sont toujours la solution, jamais le problème. Ceux qui connaissent l'art de l'écoute, et qui ne nous jugent pas. Ceux avec qui nous nous sentons tout de suite à l'aise, qu’on a l'impression de connaître depuis toujours. Des hommes et femmes qui nous offrent le bien-être lorsqu’on reste auprès d’eux parce que nous sentons qu'ils dégagent des énergies positives. Parce que les belles âmes se reconnaissent instantanément .. Il suffit d'un regard, en respirer le parfum Des hommes des femmes qui parfument d’amour les pensées
  2. Si des personnes très âgées réussissent à rester ensemble et à s'aimer plus de 50 ans jusqu'à leur mort, c'est que cela est humainement possible. Si beaucoup n'y arrivent pas, c'est parce que l'un des deux ne fait pas sérieusement les choses pour rester uni. Quand vous voulez sérieusement rester uni, pas d'infidélités, de mensonges, de trahison. De la communication, du respect, des efforts, des compromis, du soutien, de l'amour, c'est ce que chacun veut avant le mariage, n'est-ce pas ? À croire qu'il y a beaucoup d'hypocrites qui oublient ce que ces gens-là voulaient avant le mariage dans leur célibat. Il faut arrêter les excuses, bien trop d'excuses pour des actes indignes et honteux. Le mot sérieux devient une chose du passé, comme une sorte de chose nostalgique que les gens évoquent pour plaire, mais lorsqu'il s'agit de l'être, ils ont toujours une excuse pour ne pas l'être. Pour ma part, c'est très très simple : Soit tu es sérieux/sérieuse, soit tu ne l'es pas, point. Pas d'excuses. Pas sérieux/sérieuse ? Incapable de s'engager sérieusement et de respecter cet engagement ? Reste seul, amuse-toi à ta convenance, c'est ton jugement, pas le nôtre, mais laisse les gens sérieux entre eux.
  3. oui j"ai vu son message mais je suis d'une belle méfiance ne vous tracassez pas
  4. "La vieillesse" « Il me semble qu'ils fabriquent des escaliers plus durs qu'autrefois. Les marches sont plus hautes, il y en a davantage. En tout cas, il est plus difficile de monter deux marches à la fois. Aujourd'hui, je ne peux en prendre qu'une seule. A noter aussi les petits caractères d'imprimerie qu'ils utilisent maintenant. Les journaux s'éloignent de plus en plus de moi quand je les lis : je dois loucher pour y parvenir. L'autre jour, il m'a presque fallu sortir de la cabine téléphonique pour lire les chiffres inscrits sur les fentes à sous. Il est ridicule de suggérer qu'une personne de mon âge ait besoin de lunettes, mais la seule autre façon pour moi de savoir les nouvelles est de me les faire lire à haute voix - ce qui ne me satisfait guère, car de nos jours les gens parlent si bas que je ne les entends pas très bien. Tout est plus éloigné. La distance de ma maison à la gare a doublé, et ils ont ajouté une colline que je n'avais jamais remarquée avant. En outre, les trains partent plus tôt. J'ai perdu l'habitude de courir pour les attraper, étant donné qu'ils démarrent un peu plus tôt, quand j'arrive. Ils ne prennent pas non plus la même étoffe pour les costumes. Tous mes costumes ont tendance à rétrécir, surtout à la taille. Leurs lacets de chaussures aussi sont plus difficiles à atteindre. Le temps lui-même, change. Il fait froid l'hiver, les étés sont plus chauds. Je voyagerais, si cela n'était pas aussi loin. La neige est plus lourde quand j'essaie de la déblayer. Les courants d'air sont plus forts. Cela doit venir de la façon dont ils fabriquent les fenêtres aujourd'hui. Les gens sont plus jeunes qu'ils n'étaient quand j'avais leur âge. Je suis allé récemment à une réunion d'anciens de mon université, et j'ai été choqué de voir quels bébés ils admettent comme étudiants. Il faut reconnaître qu'ils ont l'air plus poli que nous ne l'étions ; plusieurs d'entre eux m'ont appelé monsieur ; il y en a un qui s'est offert à m'aider pour traverser la rue. Phénomène parallèle : les gens de mon âge sont plus vieux que moi. Je me rends bien compte que ma génération approche de ce que l'on est convenu d'appeler un certain âge, mais est-ce une raison pour que mes camarades de classe avancent en trébuchant dans un état de sénilité avancée ? Au bar de l'université, ce soir-là, j'ai rencontré un camarade. Il avait tellement changé qu'il ne m'a pas reconnu. Phillipe Noiret
  5. Finalement, on aime à 90 ans comme à 15 ans, l’âge ne change rien… C’est la seule émotion qui arrive toujours à tout chambouler. Peu importe le corps, les rides. Peu importe l’enveloppe, il n’y a que le cœur qui compte… Et tant qu’il bat, il peut aussi vibrer
  6. On devrait vider nos cœurs comme on vide une vieille malle. Se débarrasser des tristesses qui débordent, des regrets trop poussiéreux qui embrument nos lendemains. On devrait décorer nos cœurs de couleurs vives et chaudes, oublier le gris des années de pluie et accrocher un soleil au-dessus de nos portes. Chaque matin, poser notre main sur notre poitrine et sentir notre cœur battre, signe de vie et d’espoir
  7. Une pensée, une petite flamme, pour que ce Monde Aille mieux, allumer son cœur Pour une douce mélodie Dans le cœur d'une Amie ou d'un Ami
  8. C'est peut-être ça la vie : beaucoup de désespoir mais aussi quelques moments de beauté où le temps n'est plus le même. C'est comme si les notes de musique faisaient un genre de parenthèses dans le temps, de suspension, un ailleurs ici même, un toujours dans le jamais
  9. « Ce qui manque le plus à nos vies c’est l’émerveillement. Rencontrer ceux qui s’émerveillent encore ; d’un rien, d’un papillon, de la pluie battante, d’un coquelicot, du chant d’un oiseau… Presque rien. Beaucoup. Tant de petites choses, d’humbles petits trésors. Sans ces beaux complices, joueurs éclairants, sans leurs yeux d’enfance précieuse, sans leur sourire hautement solaire, nous ne serions que des vivants de marbre : figés de l’intérieur (Jacque dor)
  10. "Pour paraître plus légers, on se déleste de vaines espérances, on se quitte, laissant sur les arêtes de trottoirs qui on était, avec ses chagrins et son sens aigu de la justice. Nos mues sont abandonnées dans des couloirs de métro, sur des quais de gare, à des stations de taxis, pantelantes, elles gisent au bord des caniveaux quelques instants puis sont piétinées inconsidérément par les passants. On ne sait jamais en marchant dans une ville le nombre de rêves que l'on foule."
  11. L'important c'est de semer L'important, c'est de semer, un peu, beaucoup, sans cesse, les graines de l'espérance… Sème le sourire : qu'il resplendisse autour de toi. Sème ton courage : qu'il soutienne celui de l'autre. Sème ton enthousiasme, ta foi, ton amour, les plus petites des choses, les riens. Aie confiance, chaque graine enrichira un petit coin de terre. moi au matin
  12. Quand on y pense, les belles choses ne font pas de bruit. Une guerre fait du bruit, une dispute fait du bruit. Mais les câlins et les regards ne font pas de bruit. Même le bonheur, éphémère ou constant, aime le calme. Celui qui se crée dans l’âme quand nous voulons bercer et protéger nos précieux moments. C’est tout un mouvement de cœurs et de respirations, mais il n’y a pas de bruit. Et une fleur... une fleur s’épanouit en silence.
  13. Ces fleurs sont pour vous car je sais que derrière votre écran vous êtes là enclins à donner de votre temps de votre savoir. Tous et toutes nous lisons, partageons une méme philosophie celle du partage et de l'amitié. Alors je décide de vous donner de mon temps à mon tour parce que nous le valons bien. Un calin ou un bisou?
  14. “On ne s’aperçoit pas toujours que l’on parcourt chaque jour un nouveau chemin.”
  15. « Vous allez vous rendre compte un jour - que le bonheur n'a jamais été question de votre travail, de votre diplôme, ou d'être en couple. » Le bonheur n'a jamais été de suivre les traces de tous ceux qui sont venus avant vous, il n'a jamais été d'être comme les autres. Un jour, vous allez le voir – que le bonheur a toujours été question de découverte, d'espoir, d'écoute de votre cœur et de le suivre partout où il choisit d'aller. Le bonheur a toujours été d'être plus gentil avec soi-même, c'était toujours d'embrasser la personne que tu devenais. Un jour tu comprendras. Ce bonheur a toujours été d'apprendre à vivre avec soi-même, que le bonheur n'a jamais été entre les mains des autres. Ça a toujours été à propos de toi.
  16. «Le bonheur est dans chacun de tes sourires, chacun de tes regards, chacune de tes paroles. Le bonheur c’est t’avoir auprès de moi, te serrer dans mes bras, vivre chaque instant avec passion et garder précieusement en mémoire toutes ces émotions qui nous construisent jour après jour "Moi, j'ai très peu de choses au fond de ma poche : un ou deux sourires, deux ou trois phrases glanées dans quelques livres. J'ai une petite boîte avec moi, qui n'existe pas mais qui ne me quitte jamais. Elle ressemble à ces petites boîtes dans lesquelles les enfants s'amusent à mettre des perles. Dedans, j'ai mis quelques sourires et parfois je les regarde et ils sont aussi beaux et neufs qu'autrefois. C'est l'Amour qui est dans cette petite boîte. Ce qui existe de manière plus forte que le monde entier. Je peux tout perdre mais pas ça. Quand je l'ouvre, je retrouve le vrai sens, la vraie direction, l'unique certitude que je peux avoir. C'est quelque chose de minuscule mais d'indestructible. Je n'ouvre pas souvent cette petite boîte. Je ne l'ouvre que de temps en temps, pour que rien ne s'évente mais le regard que j'y jette a cette durée très longue des éclairs et j'en ramène un sentiment d'éternité (Christian Bobin)
  17. Les liens humains sont l'essence même de notre existence. Chaque relation, qu'elle soit familiale, amicale ou amoureuse, agit comme un fil invisible qui tisse la toile de notre vie. Ces liens apportent soutien, réconfort et un sentiment d'appartenance, nous rappelant que nous ne sommes jamais vraiment seuls. À travers l'amour, l'amitié et la compassion, nous trouvons la force de surmonter les épreuves et de célébrer les moments de joie. Les mains qui se serrent, comme sur cette image évocatrice, symbolisent le soutien mutuel et la solidarité. Ce geste simple mais puissant montre comment nos relations peuvent façonner notre perception du monde, nourrir notre âme et enrichir notre existence. Investir dans nos liens humains, c'est investir dans notre propre bonheur et celui des autres. C'est dans l'échange, la compréhension et l'affection que nous trouvons la véritable essence de l'humanité. Que chaque main tendue, chaque mot doux et chaque acte de gentillesse soit un rappel du pouvoir transformateur de nos relations. Soyons des artisans de liens forts et sincères, car ce sont eux qui donnent un sens profond à notre voyage sur cette terre. Nick Kodana
  18. "Nous passons nos vies à essayer de paraître plus beaux, plus belles, plus intelligents, plus intelligentes. Mais j’ai compris deux choses. Ceux qui nous aiment nous voient avec leur cœur et nous parent de qualités au-delà de celles que nous avons vraiment. Et ceux qui ne veulent pas nous aimer ne se satisferont jamais de tous nos efforts. Oui, vraiment. Je crois qu’il est important de laisser nos imperfections en paix. Elles sont précieuses pour comprendre ceux qui nous voient avec le cœur (Frida Kalho) "Quand on regarde notre reflet dans un miroir on se rend compte que les années ont défilé à toute allure, qu'elles nous ont laissé quelques rides aux coins des yeux. Que l'horloge continue de tourner, à toute vitesse on repense aux gens que l'on a connus, À ceux qui ont compté, Ceux qui sont partis trop tôt, Ceux qui nous ont fait rire ou pleurer. On repense ces moments de bonheur, À ceux sans lesquels on s'est senti seul On constate que chacun a tracé sa propre route, certains mieux que d'autres, Mais c'est à ce moment là qu'on se rend compte qu'il y a plusieurs étapes dans une vie. Chacune de ces étapes est différente, Chacune a un goût et une odeur particuliers. C'est ça la vie en fait , une succession de souvenirs de haine et d'amour".
  19. LA RENCONTRE "Si vous rencontrez quelqu'un et que rien ne change en vous, alors je suis désolé de vous dire que vous n'avez rencontré personne..." Par cette phrase, le philosophe Charles Pépin reprend un peu la citation de Jung qui dit que la rencontre entre deux personnes est comme le contact entre deux substances chimiques, s'il se produit une réaction, les deux sont transformés. La rencontre, et notamment amoureuse, intervient à différents moments de notre vie et a pour vocation de nous faire grandir, d'élargir notre horizon, nos points de vue, de toujours plus augmenter notre capacité d'Amour, et non l'inverse... Elle peut être aussi brève qu'intense, mais l'impact qu'elle aura tant sur notre personnalité, sur notre psyché, que sur notre base émotionnelle, nous transformera pour le restant de notre vie. Elle peut s'avérer longue et fluide et nous rendra chaque jour meilleur Elle peut être plus difficile à concrétiser, demander parfois des moments de retrait lorsque l'alchimie qui opère est profondément transformatrice, mais cela n'est jamais une torture physique et mentale, du moins pas si l'on ne résiste pas au processus et si l'on s'accompagne mutuellement. La véritable rencontre nous rend plus beau(lle), nous émerveille de tout, nous donne confiance en nous, augmente notre estime de nous et notre amour propre. Si cela n'est le cas que pour l'un des deux, c'est que l'un nourrit la transformation de l'autre. Et si ce n'est le cas pour aucun des deux, c'est que le mélange des deux humanités ne produit aucune réaction et que celles-ci se meurent, lentement mais sûrement, jusqu'à se laisser vide... Bien sûr on ne peut faire de généralités, mais il est tout de même plus agréable que la rencontre donne des ailes. Elle ne donne pas forcément lieu à une relation ; parfois le simple contact, une simple conversation, nous toucheront si exceptionnellement, qu'ils nous permettront de déterrer des trésors enfouis en nous, de nous ouvrir au champ des possibles, et à toute la magie de l'univers. La rencontre est comme un sas d'accélération sur notre chemin d'existence. Un moment suspendu hors du temps qui nous propulse en avant, dans nos projets, dans notre "carrière", dans la réalisation de nos rêves. Ceci ne se fait pas forcément avec ou "grâce" à l'autre : c'est simplement la réaction en chaîne de la transformation qui est opérée suite au contact avec un Être qui vient parler à des parts de soi qui reconnaissent son langage, et s'éveillent Parfois, la réaction est immédiate mais retombe si vite qu'un soufflé. Parfois elle est plus subtile et processuelle. À nous de ressentir lorsqu'elle a fait son effet et qu'il est temps de se retirer, pour continuer à voler La rencontre reste un moment unique, qui nous ouvre à la beauté, à la grâce, à la folie. À la joie, à la tendresse, à la VIE
  20. Pourtant quand je regarde le ciel, je pense que tout finira par s’arranger, que cette brutalité aura une fin, et que le calme et la paix reviendront régner sur le monde... Anne Franck C'est drôle, la vie. Quand on est gosse, le temps n'en finit pas de se traîner, et puis du jour au lendemain, on a comme ça 50 ans.
  21. Il y a une sorte de tristesse qui vient de savoir trop, de voir le monde comme vraiment. C'est la tristesse de comprendre que la vie n'est pas une grande aventure, mais une série de petits moments insignifiants, que l'amour n'est pas un conte de fées, mais une émotion fragile et éphémère, que le bonheur n'est pas un état permanent, sinon une vue rare et éphémère de quelque chose que nous ne pourrons jamais tenir.
×