Zerethoustre

Oui, Zorro. Ou Tartempion ? Après tout, peu importe le nom du héros absolu, non ? S'il est absolu, il porte tous les noms, le bougre.

Etes-vous en train de dire qu'il s'agit là de gagner ? Comme dans un match de foot ?

Hum, j'ai l'impression que @Don Juan m'a chipé les mots de la bouche. Mais oui en somme, pour moi, il ne s'agit pas d'y voir là un sacrifice pour autrui ou pour soi. Ce n'est pas sur le autrui ou le soi qu'il faut se concentrer, mais sur le sacrifice. Qu'est-ce que réellement le sacrifice ? Un constat que je peux faire, est que si je me sacrifie pour autrui, je me sacrifie pour moi, mais que si je me sacrifie pour moi, je me sacrifie pour personne.

Du temps où l'homme projette la flèche de son désir par dessus l'homme, et où la corde de son arc apprend à vibrer, comme disait Zarathoustra. Nous sommes en plein dedans. Le déclin est proche, ne le sentez-vous pas ? C'était une boutade, je sais bien que vous ne vous adressiez pas à moi, mais comme vous n'aviez pas cité l'ami InstantEternité, je vous taquinais. Je pense qu'il faudrait à l'avenir que j'évite les plaisanteries, à moins que nous soyons intimes. Pauvres d'esprit oui. Ils ne sont qu'à plaindre, rien d'autre...

Personnellement, je vois que ça bouge. Mais peut-être ne parlons-nous pas de la même chose ? Cela dit, au passage, c'est pas gentil de me dire que que je geins ou que j'ai les doigts dans le...nez. A moins que ce ne soit général ? Alors c'est encore moins gentil. Nos pauvres politiciens...

En quoi est-ce différent, je vous prie ? (Je vais faire un effort pour vouvoyer, histoire que mon tutoiement systématique ne vexe personne). "Cultiver les balles pour l'amour de dieu ?" Qu'est-ce que ça vient faire là, ça ? Ceci dit, et là je m'adresse à tout le monde, qu'entendez-vous lorsque Nietzsche parle de son "declin" ?

Nous pouvons discourir. Personnellement, je ne discours pas. J'ai horreur de ça. Je ne souhaite ni la causerie, ne verse ni dans la conférence et ne cherche ni à haranguer. Si tu discours, je ne t'écoute pas. Si tu me parles de toi, je suis tout ouïe. Le verbe, c'est toi.