sagaidatch

Toi aussi Anatole tu es l’héritier du péché originel. Crève puisque tu désires que des enfants crèvent. Malédiction sur toi Anatole, toi qui désires la mort de l'enfant. Sois maudit et je te le dis : ma malédiction te poursuivra jusque dans les enfers car celui qui désire la mort de l'enfant désire la mort de la Vie.

Faut-il que celui-là s'emmerde dans son boulot de petit fonctionnaire pour engendrer de telles bouses. Dur dur de faire un boulot de merde. D'un autre coté c'est super, il est bien payé pour ne rien faire. Vive la France !

Cette interrogation, sur le hasard de la vie, comme apparition, me fait penser à l’essai de Jacques Monod, le hasard et la nécessité. Dans cet essai, Monod pense que la vie est un tel hasard que, si le monde venait à être recréé à l’identique, la vie apparaitrait pas. Sa théorie est saisissante. On comprend, rapidement, qu'il détruit ainsi toutes les morales et que cette idée, la vie est un hasard, est à rapprocher de soucis très actuels : comment se débarrasser des morales officielles. Donc la vie est un hasard, donc rien ne justifie aucune morale. Tout est aléatoire. Super. Sauf qu'ensuite il recrée, dans le même essai une...Morale !!! Fondée bien sûr sur...lui. Dieu n'existe pas. Pourquoi ? Parce que Dieu c'est lui !!! Quant à Niou elle est en dépression, et elle se demande : la vie c'est quoi ? Si Niou ne revient pas à ses pulsions de vie, elle déprimera encore longtemps. Sortez Niou, faites des expériences réelles. Arrêtez de vous égarer ici, petite fille.

Dans le Chaos l'Esprit circule, c'est le Souffle. Du Chaos nait le ciel et la terre. Création. Puissance de l’imaginaire. Et je diffuse l’imaginaire dans une société française bas du plafond, qui n'aborde la vie que par la Sensation. Quel sacerdoce.

Non tout le monde n'a pas peur de mourir. Seuls les esclaves ont peur de mourir. Socrate n'a pas eu peur de mourir. J'irai plus loin, les gardiens du temple, à Jérusalem, les Saducéens, les tenants de la Torah écrite, pensaient qu'eux, les rois et les maitres du Temple, mouraient définitivement. Les maitres n'ont pas peur de mourir.

Bien sûr il y a une différence notable entre la Vilaine que je construis et la Vilaine qui m'apparait là. Celle qui apparait là m'entraine dans une discours banal qui ne m’intéresse pas. Mais vous exprimez, parfois, des traits de caractère étonnants dont j'aime m'emparer pour fabriquer un autre personnage. C'est ce personnage que vous me permettez de créer qui m’intéresse. Cette création est désormais suffisamment avancée pour que je puisse me passer de vous. Adieu chère Vilaine et encore merci.

Si vous étiez attentive vous auriez déjà remarqué que je ne cite jamais un penseur dit reconnu : je n'ai pas de maitre. La liberté c'est concevoir, c'est créer sa propre pensée. Pour le reste vous me reconstruisez (confer mon topic : au fil de l'eau) en fonction de votre "bibliothèque" mémorisée. Dans cette bibliothèque, il y a la névrose. Ce terme ne m’intéresse pas. Je vous laisse donc me construire comme vous le désirez avec les mots qui vous agréent : névrosée, psychotique, etc. Il s'agit là de votre créativité.Tout comme je vous reconstruis ainsi que je le désire, il s'agit là de ma créativité. L'important c'est que les êtres que vous, moi, créons à partir des quelques informations que nous croyons posséder sur l'autre nous permettent de progresser. La manière dont je vous reconstruis me fait progresser. Merci.

Cette méthode, pour répondre, qui consiste à aller chercher la parole d'un autre, considéré sans doute par le locuteur comme un prophète indépassable me surprendra toujours. Combien d'esprits forts ici, des laïcs et des athées le plus souvent, qui se frappent la poitrine comme des gorilles en rut, mais qui sont incapables d'élaborer une pensée qui soit la leur, qui sont sans cesse obligés d'aller pomper la parole d'un homme (un mâle) qui ait, pour eux et pour eux seuls, l'autorité d'un Dieu. Ne se rendent-ils pas compte que leur structure d’esprit, ramper devant la pensée un autre homme, les décrédibilisent totalement ? Pour moi, cher personnage de BD, vous n’êtes pas un homme libre, vous êtes un "soumis" (pour le coup vous devenez excitant) tout juste bon à intégrer les troupes abêties d'un quelconque partit politique. Et comment pouvez-vous croire un instant que Vilaine se soumette à la parole d'un homme quand bien même il s’appellerait Marx ? Adaptez-vous à votre interlocutrice au lieu de réciter votre catéchisme.

Et mon peuple vainquit les conquérants allemands. La Guerre sacrée.

C'est dit avec une certaine force de percussion mais c'est exact. Nous pourrions dire la même chose que toi avec des termes plus convenus, ce que veut le peuple c'est une augmentation de son pouvoir d'achat.

Le problème que soulève @Vilaine me semble-t-il est celui de la responsabilité. Les Gilets Jaunes, du fait que leur condition serait le résultat de facteurs "objectifs" indépendants de leur volonté, seraient-ils responsables de rien (quant à leur condition) et seraient-ils excusables de tout (quant à leurs comportements) ? Et Macron, et ses troupes, du fait qu'il est libre de tous ses choix, dans la mesure où aucun facteur "objectif" ne vient invalider sa volonté, serait-il responsable de tout : et de la condition sociale subie par les Gilets Jaunes et des comportements de ces derniers ?