Aller au contenu

Persil-Fleur

Membre
  • Compteur de contenus

    7 008
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par Persil-Fleur

  1. Mon propos était juste d'apporter un éclairage biologique au phénomène sociologique. Il y a sans aucun doute des hommes "coureurs". Il me semble que ce n'est pas le cas de la majorité des hommes, et qu'il s'agit de bien autre chose. Souvent les femmes se dédouanent un peu facilement en collant aux hommes une étiquette "obsédés par le sexe" pour masquer leur propre désintérêt de la chose sexuelle. Ce n'est ni bien ni mal qu'une femme n'ait envie de faire l'amour qu'une fois par mois. Comme ce n'est ni bien ni mal qu'un homme ait envie de faire l'amour deux fois par semaine. C'est juste une divergence majeure à affronter et à gérer pour les couples. Si tout se passait bien au plan sexuel au sein des couples, il n'y aurait pas autant de prostitution, de libertinage, ni de maîtresses. Et la femme est pleinement responsable de cette divergence du couple, au moins autant que l'homme. Quand la sexualité du couple passe de deux fois par semaine à deux fois par an, on ne peut pas vraiment dire que cette forme de tendresse sensuelle et de relation intime existe vraiment. Selon les études statistiques, ce sont les femmes qui impulsent cette contrainte de passer progressivement d'une sexualité "dite épanouie" deux fois par semaine, à une sexualité "dite quasi inexistante" deux fois par an. Il n'y a pas lieu d'incriminer toutes ces femmes qui suivent leur vision "personnelle" du couple. Comme il n'y a pas lieu d'incriminer tous ces hommes qui tentent de faire survivre leur couple à ce changement majeur. Si l'on avait un dialogue plus bienveillant les uns avec les autres, on trouverait plus facilement une harmonie sexuelle satisfaisante pour les deux. Ou des solutions externes concertées de substitution.
  2. Il ne s'agit pas de cela, mais de leur durée de vie dans les testicules... avant même qu'ils décident de sortir gambader à l'extérieur.
  3. Apparemment si, puisqu'au plan statistique c'est ainsi que cela s'exprime. Mais, je suis heureux de constater que ton couple fait exception Pour être plus précis, bien sûr que l'amour dépend de facteurs bien plus importants que le sexe. Mais, la divergence systématique d'envie au sein du couple sur ce facteur là, crée la nécessité de recourir ponctuellement à la prostitution, au libertinage ou à une/des maîtresses, pour les hommes qui ne souhaitent pas imposer de contrainte à leur femme, ni se séparer d'elles parce qu'ils les aiment. C'est à dire pour une grande partie des hommes en couple au long terme qui ne recourent pas à la séparation, semble t-il.
  4. Vous n'avez pas lu correctement mon mot, Chanou, ou alors je n'ai pas été clair... Je parle de la durée de vie dans les TESTICULES, avant même de sortir...
  5. Oui, c'est le résultat inattendu mais passionnant au plan sociologique d'une étude scientifique récente qui doit avoir deux ou trois ans. Ce résultat était annoncé dans une revue très sérieuse, Sciences et Avenir ou Pour la Science. On savait depuis longtemps que nos charmants spermatozoïdes avaient une durée de vie très courte à l'extérieur de leur habitat. On pensait par contre que, tant qu'ils restaient sagement installés dans leurs bourses confortables, ils étaient invincibles. Cette étude a montré qu'à peine au bout de 48h ces spermatozoïdes sont "déprimés", ils sont ralentis et perdent leur mobilité, même à l'intérieur des testicules. Cela montre de façon flagrante qu'ils sont conçus pour être éjectés tous les 2 ou 3 jours. Cela semble assez logique au plan de la fécondation. Comme la femme n'a qu'un ovule par mois, et que cet ovule a une durée de vie d'une semaine. Il est important pour la survie de l'espèce que durant cette semaine des hommes aient envie de la féconder. Si l'homme avait lui aussi des spermatozoïdes à périodicité d'un mois, ça ne fonctionnerait pas. Par contre une périodicité de 2 à 3 jours pour un spermatozoïde lui donne deux à trois chances de féconder l'ovule durant la semaine fécondable. C'est probablement pour cette raison que les "jeunes couples " ont une périodicité de rapports sexuels durant les deux premières années de l'ordre de deux à trois fois par semaine.
  6. Ton "parfois" est même inférieur à la réalité au plan statistique. C'est toute la complexité de notre société tiraillée en permanence entre des pulsions et objectifs contradictoires, entre le bien et le mal. Les clients sont pour une part des violeurs en puissance qui trouvent là un moyen de ne pas passer à l'acte. Des handicapés, des inadaptés au plan social, des vieux garçons,... Mais, ils sont en nombre bien plus importants encore vos maris, Mesdames... en mal de tendresse et de partage sexuel... enfin, du moins pour celles qui ont un mari, un concubin, un compagnon. Toute l'hypocrisie ou l'ignorance sociale consiste à se voiler la face sur l'ampleur du nombre d'hommes en couple cherchant une possibilité de ne pas quitter leur femme en ayant recours à la prostitution, à une maîtresse ou au libertinage. L'opprobre de la société allant croissant selon le choix retenu. Les études statistiques sur la sexualité des couples sont pourtant assez édifiantes. Après deux ans de vie commune, un fossé se creuse entre hommes et femmes majoritairement du fait des femmes, la sexualité du couple diminue drastiquement d'année en année, pour se réduire à peau de chagrin. Alors, on parle en permanence d'égalité, mais nous ne sommes pas biologiquement ni mentalement égaux. Il y a des tendances communes à toutes les femmes, et des tendances communes à tous les hommes, au plan statistique. En particulier, l'impératif de fécondation existant pour l'espèce humaine a des répercussions sur le corps et le mental des hommes et des femmes. La femme est physiquement constituée pour avoir un ovule par mois. L'homme est physiquement constitué pour avoir des spermatozoïdes défaillants au bout de 48 heures. Se voiler la face sur cette réalité biologique intangible et incontournable ne sert à rien. La nature nous a fait ainsi, et la culture n'y change rien, à part sur des cas ponctuels. Il s'agit donc de trouver la moins mauvaise façon de vivre ensemble en harmonie. Chaque corps est unique, chaque cerveau est unique. Il y a de nombreuses exceptions à la règle générale, et je souhaite sincèrement à votre couple d'être dans ce cas. Mais, ça ne reste que des cas particuliers au niveau de l'ensemble de l'humanité.
  7. 5. celles et ceux qui faisant disparaître la prostitution vont faire augmenter sensiblement dans la société le nombre de femmes violées (et absolument pas consentantes)
  8. Hello Mon Prométhée, Merci de cet éclairage imagé et chaleureux. J'aime bien te lire, c'est rafraichissant. Ton appréhension pour les gens qui ont perdu la fraîcheur des aurores, ou leur âme d'enfant, m'est familière. Les gens trop sérieux ou au cynisme trop aigu, qui ne conservent pas un regard attendri sur les gens autour d'eux, ont une approche dure du monde qui ne me convient pas non plus. Je ne connais pas suffisamment Vilaine pour savoir si c'est son cas. Même pour parler de sujet aussi sérieux que les exoplanètes ou l'intrication des particules quantiques, il est bon de conserver une âme d'enfant. Mais, chacun sa route. Certaines routes sont dures et conduisent vers plus de dureté. Encore qu'on n'est pas obligés de reproduire les schémas de souffrance qu'on a vécu. Au sujet de ta jolie parabole du crapaud, elle n'est pas toujours vraie bien qu'elle sorte de la bouche de Voltaire. Étonnamment, il y a une trentaine d'années, les chinoises considéraient le chinois comme laid. Le canon de la beauté pour elles, c'était l'homme européen. Une chance pour certains d'entre nous C'est sans doute assez rare qu'un peuple trouve moche son propre peuple. Pour revenir au thème du topic, moralité : pour te séduire, comme pour me séduire, il faut avoir conservé une part de son âme d'enfant.
  9. Comme nous nous sommes pris le chou cet aprem, j'ai trouvé une insulte adaptée pour vous... Mais, elle est lancée par des supporters danois
  10. Bonjour Fraction, Dans le cas dont je parle, la conséquence était une mise en scène "théâtrale" des divers personnages peuplant son esprit-hôtel. Un dédoublement de personnalité important et effrayant. Il fallait en permanence que ces personnages soient sur le devant de la scène, quitte à utiliser des ressorts dramatiques. S'agissant de l'esprit, il est très difficile pour les médecins d'identifier les causes et d'intervenir efficacement. La personne elle-même n'étant absolument pas coopérative. Quels sont les intérêts privés en jeu, que vous évoquez ?
  11. Ah, maintenant qu'on connaît la recette, on peut enfin te dire bonjour comme il se doit "Bonjour princesse, je suis ton humble serviteur. Souffre donc que je te baisote la main ! "
  12. Persil-Fleur

    Le génie sinon rien.

    Ah Hell, puisses tu être béni ! C'est exactement ma description !
  13. Persil-Fleur

    Le génie sinon rien.

    Serait-ce là le vrai génie ? “Quand j’étais jeune, j’admirais les gens intelligents. Maintenant que je suis vieux, j’admire les gens aimables.”
  14. Persil-Fleur

    Le génie sinon rien.

    Moi je trouve que c'est une bonne idée... Pour savoir si on peut parler avec toi, il faudrait d'abord que tu nous donnes ta définition du génie ? Es-tu toi-même un génie ? En tant que génie autoproclamé, je ne sais pas encore si je peux m'autoriser à te parler...
  15. C'est un peu dommage qu'il ait fallu en arriver là pour que les gens respectent l'autre. Se dire bonjour en s'embrassant comme du bon pain, ou avec une accolade plus discrète et un mot (ou onomatopée) bienveillant(e), comme dans le village de mon enfance, créait du lien collectif. Ca n'empêchait pas les cons d'exister, mais ils étaient repérés comme le nez au milieu du visage. La distance sociale avec tout le monde était plus proche. Notamment avec les cons. Les vannes des uns et des autres se chargeaient de les obliger à agir un peu mieux. Un peu comme sur ce forum
  16. Où vois-tu un message de@Vilainederrière le mien ? Les messages qui sont restés dans l'enceinte de votre chambre à coucher, et que seul l'heureux Maharadjah Maroudji a pu entendre, ne comptent pas... Comme je suis un homme de parole, si ce message arrive même 7 mois plus tard je tiendrai ma promesse. Cela dit, ne te réjouis pas trop vite, cher nouvel ami. Si tu as lu correctement, un mot d'elle, et je disparais à jamais... de son topic !
  17. Pour avoir longtemps dialogué avec une femme psychotique, voire schizophrène, les exemples donnés par @Fraction sont incroyablement parlants. Par contre, je n'adhère pas totalement à ce qu'ils soient adaptés à représenter l'esprit d'une personne "saine".
  18. swalalala ahh swalalala ahh...
  19. Dès les premières lueurs du soleil la chaleur de ton corps m’éveille, la douceur de ta voix m'émerveille, je sais alors qu’en sortant de mon sommeil commence le rêve véritable : notre voyage... Bonjour, mon ange !
  20. La procédure et les problèmes sont à peu près similaires au tutoiement/vouvoiement, mais en pire. .... Ca semble assez éloigné du tutoiement/vouvoiement, en fait. Le tutoiement, il y a des cultures de boîtes où c'est incontournable, dans le conseil, l'informatique, les start-ups, certaines boîtes américaines, certaines boîtes familiales. On s'y fait très vite quand c'est la culture de la boîte. Autrement, on s'y fait vite aussi. On sait qu'on vouvoie pendant longtemps... jusqu'à ce que la confiance soit suffisante pour passer au tutoiement. Le tutoiement marque une meilleure proximité, mais pas nécessairement plus d'affection quand c'est la culture de la boîte. Lors des négos de fusions ou de rachats de boîtes tout le monde se tutoie allègrement... et se plante mille poignards dans le dos dès qu'on quitte la pièce. C'est presque un piège car ça instaure une fausse proximité. Serrer la main de gens qu'on connait depuis longtemps et avec qui on est censés avoir une certaine proximité c'est pas terrible... Mais faire la bise, ça suppose davantage de proximité, voire d'affection. Faire la bise d'un homme vers une femme qui n'est pas une amie, c'est toujours un peu connoté. La bise, c'est encore plus le piège que le tutoiement. Dans les boîtes "jeunes" ou petites, où c'est assez répandu ça pose effectivement des soucis en cas d'évolution des relations. J'embrassais une collègue très hypocrite et manipulatrice qui était jalouse de mon poste et voulait me le piquer. Tous les jours elle préparait des embuscades et des coups-fourrés. Mais, elle continuait à m'embrasser avec plein de sourires de hyène, et à me faire quantité de remarques enjouées sur la météo en minaudant pour noyer le poisson devant les autres. Ca devenait de plus en plus difficile de l'embrasser... jusqu'au jour où j'ai décidé d'arrêter pour stopper l'hypocrisie, et que notre statut d'ennemis soit clairement affiché aux yeux de tous. Le texte a raison. Quand une seule personne n'obtient pas de bise lors d'un salut collectif, ça officialise les tensions et les inimitiés... alors qu'on a continué à se tutoyer jusqu'au bout. Ca aurait été ridicule de la vouvoyer soudainement...
×