Persil-Fleur

De nombreuses études (entre autres celles de la revue Archives of Sexual Behavior) confirment que la sexualité décline assez vite dans un couple (au bout de 4 à 5 ans). Le quotidien fragilise le désir sexuel. "Le désir sexuel se nourrit de conquête, de nouveauté, de découverte, d’aventure. Il s’affaiblit avec la confiance, la répétition, l’habitude et comme on le voit par cette étude, avec la sécurité affective que peut représenter le mariage." Ces études montrent que le déclin du désir sexuel concerne essentiellement les femmes. Ce sont elles dont le désir s'étiole à partir de 4 ans de vie à deux (environ). Paradoxalement, la sécurité affective est un facteur de déclin du désir sexuel féminin. Sans rejeter la responsabilité de ce fait sur l'un ou l'autre, et sans considérer les autres sujets d'insatisfaction mutuelle, il est clair que ce fait sexuel qui concerne la majorité des couples est une cause majeure "d'infidélité". Assez naturellement, les hommes (dont le désir sexuel n'a pas fléchi) se trouvent davantage frustrés par cet état de fait que les femmes. Certains couples sont des exceptions et passent à travers. D'autres couples trouvent des arrangements qui leur permettent de continuer à s'aimer en alliant une vie sexuelle extérieure. Certains couples le font à l'insu du conjoint, tout en préservant l'amour conjugal. D'autres couples encore n'y arrivent pas et cassent à cause de ce fossé sexuel. Tout ça n'est pas forcément romantique. Mais, c'est la dure réalité du couple qu'il faut savoir regarder en face, puis affronter ensemble et résoudre si possible sans frustration ni pour l'un, ni pour l'autre. C'est ainsi que tourne le monde et ça n'empêche pas l'amour de certains couples de durer toute une vie. La diminution rapide de la sexualité commune n'impacte pas nécessairement la tendresse et l'amour. C'est une composante (importante) parmi beaucoup d'autres. Mais, le taux de divorce actuel considérable montre bien que la majorité des couples n'est pas suffisamment sage pour surmonter cette difficulté. Ils renoncent bien vite à l'amour et ne font aucun effort pour comprendre l'autre et trouver un compromis équitable... pour le plus grand malheur des enfants pris au milieu de ces tensions et ruptures.

Tu as un truc particulier pour obtenir ce que tu veux ?

Ah oui, c'est dommage pour un Virtuose en carnage. Moi aussi, j'ai souvent un problème avec les corps. Ça remonte du fond du lac. Tu lestes avec quoi, en général ?

Bien joué, très chère... il faut toujours entretenir le doute... même s'il n'y a aucun doute en l’occurrence

Il ne cherche pas vraiment l'amour...

Comme ça peut-être ? Ou alors, comme ça ? Mais, j'ai bien peur que ce soit tout autre chose...

Bonjour @Caez Est-ce que tu peux expliquer ton tableau pour ceux qui aiment bien le foot, mais ne sont pas nécessairement des connaisseurs avertis ? On voit que le PSG domine avec 47 points devant Lens à 44 points, soit 3 points d'écart. Mais, si l'on regarde Diff, l'écart semble plus grand : 34 contre 19, soit 15 points d'écart. En quoi est-ce important ? Ou plus précisément qu'est-ce que "Diff "? On comprend vite que c'est "p." moins "c."... encore faut-il savoir ce que sont p. et c.

Je te voyais bien avoir plein de gestes espiègles mignons en dansant Super sympa cet opéra. Un festival de joie, de bonne humeur et d'humour autour de l'amour. Ça me fait penser à cet autre opéra autour de l'amour (de Bizet)... en version moderne assez étonnante par David Gilmour, sans humour mais très doux. Sinon, très doux aussi... avec un brin plus d'humour... de joie... il y a... un des meilleurs guitaristes de tous les temps... après David Gilmour

Oui, c'est délicat, subtil. Elles sont craquantes. J'aime bien ces deux là aussi, dans un autre registre. Et ces deux là, assez fous... Dans un tout autre registre, encore... Un brin osé. Il lui touche l'épaule, puis le ventre, les hanches, les fesses... oupsss

Celles-ci...

A écouter avec un casque bien sûr... à l'intérieur d'un caisson d'isolation sensorielle si l'on veut s'approcher au plus près du voyage vers l'amour infini... (y compris des femmes moches, des hommes moches, des rats et des cafards... ) Après 4:30 On en bave pour ne pas confondre "fluminous" presence avec "fulminous" presence, vu tous les sons exotiques environnants Les deux dernières phrases mènent à préférer conclure avec une caresse les désaccords profonds... plutôt qu'avec une dispute. J'aurais dû l'écouter plus tôt.

Pour conclure ce débat sur une note positive, que ma prose soit apparentée au courant artistique du psychédélisme n'est pas si mal. Puisque tu parles "confit", peut-être même pourrons-nous trouver un accord autour du confit de canard. Dont je n'ai aucun souci pour dévoiler les cuisses à tous les convives, quel que soit leur degré de violence masculine. Mais, aimes-tu le conflit confit ? Si ce n'est pas le cas, je te laisse un brin de musique psychédélique pour bercer ta nuit. Son objet "Sacred blessings" est sûrement conçu pour réconcilier les êtres en désaccord. C'est une sorte de prière chamanique pour faire voyager les cœurs à l'unisson dans le vaste Univers Je te recommande vivement la partie après 4:30, où les voix des esprits du ciel, de l'eau et de la terre viennent nous enlacer... et nous susurrer l'extase de l'infinite love.

Quand on aime quelqu'un, on doit toujours lui dire au-revoir comme si on le voyait pour la dernière fois. D'ailleurs, c'est la dernière fois que vous me voyez. Au-revoir

"Un optimiste est un monsieur qui croit qu'une dame a terminé sa conversation téléphonique parce qu'elle dit "au revoir". Marcel Achard ^^

En revanche, merci pour cette étude qui montre effectivement qu'il y a encore beaucoup de chemin à parcourir pour que tous les hommes prennent conscience de ce qu'est le viol, ou même la violence envers une femme, et respectent pleinement les femmes.

Très juste. Hélas, j'ajouterais que mettre sa plume au service de situations rocambolesques inventées, de manipulation des mots échangés avec certains forumeurs pour transformer le débat d'idées en véritable procès stalinien, ça va totalement à l'encontre de la "liberté" défendue.

Bel essai de réécriture stalinienne de tes propos. Malheureusement, les esprits cartésiens pourront se rendre en page 11 pour relire tes vrais propos (non trafiqués) : "(même si 10% de femmes étaient violées en raison de leur tenue vestimentaire, celle-ci resterait un facteur peu significatif)" Ces mots semblent ceux d'une gamine intello immature. Pour maintenir ton raisonnement (déjà incomplet) sur 90% des femmes, tu es prête à négliger le sort des autres femmes (10%)... jugé comme dégât collatéral "peu significatif". Or 10%, cela représente 9 000 femmes violées chaque année en France, vois-tu. Donc, diminuer ce nombre (par un conseil approprié) est un enjeu tout à fait intéressant pour ceux qui se préoccupent plus des résultats concrets... que des idées "politiques" et idéologiques partisanes.

Mytho complet... démarche stalinienne de déformation de la réalité en vue de créer ex-nihilo de prétendues "preuves" Et tu as prévu de te présenter à tes examens de prépa khâgne en porte-jarretelles pour incarner l'esprit "libre" de Simone de Beauvoir... non ?

A part une intellectuelle "perchée" dans sa tour d'ivoire, le reste du bas peuple sait que contourner un quartier à risque... protège du risque . De même, peu de gens ont suffisamment d'immaturité pour ne voir qu'une "grave atteinte à la liberté des femmes" dans le fait d'éviter de se balader seule en tenue sexy provocante dans un endroit qui craint, à 3h du matin. C'est une simple évidence de prise de risque, quel que soit le sexe de l'individu. Le propre des esprits staliniens, c'est de déformer les propos des autres, pour accuser sans preuves et condamner sans preuves. La nuance est grande entre "conseiller" (ce que j'ai fait) et "enjoindre" (ce que tu prétends que j'ai fait, ou voulu faire). Un débat, c'est avancer des idées et recueillir "honnêtement" celles des autres. Tu apprécies trop la dialectique stalinienne pour pouvoir débattre de façon honnête. C'est dommage.

Je n'ai rien contre acheter du bas de gamme pour tout un tas d'objets quand ça ne se justifie pas d'y mettre plus cher. En revanche, tes lunettes de vue font partie de ta personnalité et ont une utilité "de santé" bien particulière. Tu ne peux pas t'en passer. Tu les as sur toi 17h sur 24. Et tu en changes rarement. Quand les verres sont trop épais, ça te donne une tête de "binoclard", quand ils ont des effets de loupe grossissante, c'est hideux... quand on voit la délimitation entre la correction pour la myopie et celle pour la presbytie, c'est très moche. Tout cela conditionne le regard des autres sur toi. Quand le traitement anti-reflets est de mauvaise qualité, tu abîmes tes yeux si tu passes des heures sur écran. Quand le traitement anti-buée est de mauvaise qualité, tu souffres de buée en de nombreuses occasions. Quand les verres sont trop lourds, cela cause des douleurs lancinantes sur les ailes du nez, et laisse des marques rouges profondes. Quand la courbure des verres et la qualité des verres est insuffisante, cela occasionne des maux de tête inutiles. Bref, le haut de gamme n'est pas qu'une question d'esthétique en matière de verres correcteurs, mais aussi une question de santé.

Moi si... quand, étant jeune, je portais des verres de plus d'1cm d'épaisseur qui dépassaient d'1cm de la monture sur les côtés. Je peux te garantir que c'était moche... et que les autres le voyaient Depuis, je remarque plus facilement ce type de défaut chez les autres. Y compris quand ça dépasse de 2 ou 3mm. Un verre ne devrait absolument pas dépasser du cadre de la monture. C'est d'ailleurs le cas de toutes les montures qu'on essaie en magasin... car, elles sont équipées de verre blanc, non correcteur... donc très fin. Et tu as certainement remarqué des espèces d'extraterrestres qui se déplacent avec des verres grossissants qui leur font des yeux globuleux de grenouilles martiennes !

La vision qu'on a des gens conditionne la relation. L'échec préexiste dès le départ dans des attentes trop théoriques, irréalistes, ou dans des préjugés erronés. Ne te préoccupe pas de ce que la femme pense de l'homme en général, N'essaie pas de savoir comment fonctionne son cerveau. Je t'offre avec plaisir cette pensée très juste de Balzac sur la dissociation qui existe entre le cœur et la tête : " Une belle âme est portée vers les grandes affections, une tête forte tend aux grandes idées ". Il disait "Entre une tête forte et une belle âme, il y a combat ". Si tu cherches à progresser dans les idées, à échanger au même niveau, recherche une professeur de philosophie, recherche une "tête forte". Mais, ça ne te conduira nulle part en terme amoureux. En revanche, si tu recherches la femme de ta vie, modifie tes exigences. Oublie ce qu'elle pourrait t'apprendre. Oublie ce que tu pourrais lui apprendre. Essaie d'admirer son coeur plus que sa tête, et choisis une "belle âme", à savoir quelqu'un qui a plutôt une prédisposition à de grandes affections qu'à des exposés brillants. Ce qui suppose de grandes qualités de cœur avant de grandes qualités intellectuelles. Oublie la tête et laisse parler ton coeur. La tête n'est pas ce qui fait le succès d'une relation. Au contraire, c'est un handicap Je suis convaincu que tes analyses de ce qui se passe dans la tête des femmes sont un handicap pour être heureux en amour. Oublie la tête des femmes pour te concentrer sur d'autres qualités : la bienveillance, l'empathie, la douceur, le sens de l'humour, l'espièglerie, l'humilité, l'écoute de l'autre, le partage, la joie de vivre,...

Ça dépend des qualités qu'on attribue à une "belle âme". Si on recherche une âme supérieurement cultivée, voire exceptionnellement érudite, il est probable qu'on doive chercher longtemps pour en trouver une. En revanche, si on met derrière ce mot des qualités humaines plus authentiques et moins artificielles, on trouvera sur son chemin de nombreuses belles âmes.

"Les restrictions n'ont de raison d'être que pour atteindre un état de parfaite libération." selon les yogis. L'avantage d'être pauvre, c'est qu'on peut bénéficier de loisirs bien plus excitants. Si on évite de perdre du temps en sorties superfétatoires, et qu'on fait l'amour à la place de chacune de ces sorties, on s'offre des loisirs fabuleux qui ne coûtent plus rien du tout Un simple matelas au sol (récupéré chez Emmaus)... permet de voyager très haut dans les cieux, sans avion, ni moteur, ni essence Avec un brin d'imagination, on peut expérimenter (sans frais) la totalité des loisirs proposés dans un dictionnaire de 2106 pages (La Rousse)

C'est l'objet de ce topic... le plaisir Tiens, voilà pour ton seul plaisir... un tube de 1981 qui n'a pas pris une ride Ou alors, si tu aimes les sensations un brin plus modernes... une autre forme de plaisirs à savourer dans l'intimité, juste pour toi