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Fraction

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Tout ce qui a été posté par Fraction

  1. Oui, j'ai l'air viril comme ça, mais j'ai peur des souris, je mets du lait dans mon café, et j'ai pleuré à la mort de King Kong.
  2. Bonsoir, Oui, la sexualité est une chose très épanouissante. Elle pourrait même justifier l'univers à elle seule (avec la bouffe). Mais comme toute les énergies, elles a ses perversions. L'esthétique n'est pas un vain mot, ni une superficialité. Et la dignité ce n'est pas de la moraline pour les moutons : l'indignité aurait pu censurer l'univers à elle seule. Si notre bétail devenait conscient de sa condition, alors son exploitation deviendrait immorale et toxique par magie, par finalisme. La testostérone est un argument de puissance qui murit en argument pragmatique, puis qui se compromet en argument de sagesse. Mais cette compromission nécessite une altérité grammaticale, une contrainte exogène. La contrainte n'est pas une douleur. Et l'altérité contraignante n'est pas une antipathie. Lorsqu'un autre est présent dans la même pièce que nous, il active involontairement nos moteurs et nos inhibitions. Personnellement, je suis inhibé à l'excès, et j'ai plutôt peur des femmes. "Est-ce que je suis bien coiffé, est-ce que mon discours est neuneu, etc... Ce n'est pas pathologique, il suffit juste que je me mette des coups de pieds au cul. Mais l'excès inverse n'est pas souhaitable non plus. Etre en excès de confiance, avoir des choses à prouver, peut aussi tourner au ridicule. Cordialement, Fraction
  3. Bonjour, Vous tentez d'instituer une asymétrie fondamentale, ontologique, entre les sexes. Comme si l'un était transcendant et l'autre immanent, ce qui confinerait alors à de la pédophilie organisée. Certes, dans un couple, il y a un astre principal, directeur, et un satellite auxiliaire. Mais ce satellite subsidiaire peut très bien être l'homme (gare au porte-monnaie !). Et je parle de ce que j'ai vu. Comme je vous l'ai déjà signifié, les hommes aussi aiment obéir aux ordres, aux instructions de leur femme. Tout comme les chiens trouvent leur raison d'être, le sens de leur vie, dans la reconnaissance de la conscience supérieure humaine. Or, le niveau de conscience ne relève pas de la complexité de l'intelligence. Il relève de ses dimensions, de sa force notionnelle. Ce n'est pas parce que vous êtes plus intelligent que votre femme que vous avez un niveau de conscience supérieur. Parce que les notions ont davantage besoin d'évidences que de complexité. Je suis sans doute plus naïf que vous, vous me l'avez déjà signifié. Mais je vous soupçonne d'être plus corrompu que moi, par la sexualité notamment. Or, qui de la naïveté ou de la corruption biaise le jugement plus que l'autre ? Je n'ai connu qu'un seul amour dans ma vie. Au départ, c'était l'osmose : femme traditionnelle, conservatrice, bonne mère, … Et puis, comme pour beaucoup de gens, les choses se sont gâtées par la politique conjugale, les rivalités égotiques. Les engueulades se sont alors multipliées. Je m'en suis même trouvé médiocre. "Je ne vais pas me faire mettre à l'amende par une bonne femme ! Je vais éteindre le feu de l'hystérie par un coup de pression extincteur." Et puis, face à sa motivation intarissable, j'ai fini par abdiquer : "J'ai travaillé toute la journée, j'ai mal dormi, je n'ai pas envie de m'engueuler. Donc, je la laisse gagner." Elles nous auront à l'usure, d'autant que maintenant, elles savent que les institutions les cautionnent. La misogynie de nos anciens est aujourd'hui obsolète. Il y a deux siècles, 99 % de l'énergie était d'origine musculaire. D'où un ordre social légitimement genré. Je ne souhaite pas l'indifférenciation des sexes, et je ne valide pas intellectuellement la théorie du genre. Chaque sexe doit revendiquer son essence propre. Mais je crois que le patriarcat doit se compromettre avec ces femelles assumées, parfois sexuellement désinhibées, qui briguent les plus hautes sphères du pouvoir. Cordialement, Fraction
  4. Je ne suis pas né pour convaincre. Je suis né pour croire. Le monde n'est pas réel. Le monde n'est que crédibilité. Je ne suis que la prise femelle de son évidence. Ca me désole, parfois.
  5. J'adore obéir à ma maîtresse. J'aime quand elle me caresse le crâne. J'aime être reconnu par une conscience supérieure. Je ne vis que pour ça.
  6. J'entretiens ma naïveté par peur de pourrir dans le désespoir. Entre la virginité du député et le machiavélisme du ministre, je tente l'expérience d'une schizophrénie ondulatoire et stabilisée. Je ne sais pas si les énarques sont des surhommes. Mais je sais que les gilets jaunes n'en sont pas. Certains sont nés pour donner, quand d'autres sont nés pour prendre. Notre société est dimensionnée par des valeurs, et tout ne se vaut pas. J'ai fait mon deuil du sens de l'histoire. La culture peut se perdre en deux générations, et le monde peut s'effondrer en 15 jours. Mais il me reste la foi en la nature, et en premier lieu la nature humaine. La nature humaine est capable de changer le désordre en ordre, la fatigue en énergie, la haine en amour, le plomb en or ... C'est ce que les scientifiques nomment la néguentropie.
  7. Bonjour, La méritocratie c'est la révolution bourgeoise qui a extrait le peuple de la nuit féodale et monarchique. On n'est plus seigneur par titre ni par naissance, mais par compétence et reconnaissance. Jusqu'ici, tout va bien. Et puis la bourgeoisie marchande s'est dissociée de la bourgeoisie culturelle et morale. Les marchands ne reconnaissent pas le mérite intrinsèque, mais la valeur extrinsèque. "Oui, tu as fait beaucoup d'efforts cette année, tu as bien révisé tes leçons, mais tu es nul. Beaucoup d'efforts mais aucune capacité. Tu es donc recalé. " "A chacun selon ses besoins", c'est une position collectiviste. "A chacun selon son mérite", c'est une position sociale-démocrate. "A chacun selon sa valeur (marchande)", c'est une position libérale. Le destin n'est pas écrit. C'est à nous de reconnaitre nos maîtres et nos transcendances. C'est aussi pour cette raison qu'il n'y aura jamais de gouvernement mondial. La vertu n'est pas une ligne droite, mais un champ de possibilités. Et l'essor des talibans est là pour nous rappeler qu'il n'existe pas d'invariant humain : Nous n'avons rien en commun et le jour et la nuit ne sont pas faits pour se rencontrer. Cordialement, Fraction
  8. Mon positionnement sur les forums est un positionnement relatif : il s'adapte à mes interlocuteurs. Vous pouvez me reprocher mon excès de complaisance envers les institutions. Mais s'imaginer que l'OMS jouerait contre l'humanité ne défie pas seulement les institutions, cela défie le bon sens même. Qu'y a-t-il de plus philanthrope qu'un médecin ? Le doute méthodique et rationnel est légitime, et même recommandable. Mais en arriver à dénier les faits les plus évidents et leurs statistiques les plus directes relève de la psychose. Encore un peu d'efforts, et il y a une matrice qui vous tend les bras, avec son cortège d'illusions et de mensonges. Parce que l'estomac de la bête égoïste est le point de convergence de nos peurs les plus irrationnelles. Rendez-vous donc sur le forum de philosophie. Pour ce qui est des chaînes d'info continue, ce qui pêche, ce n'est pas leur subjectivité, mais le manque de moyens d'investigation. En outre, un bon journaliste n'est pas un journaliste qui pense à votre place, mais qui vous offre les moyens factuels et structurels pour juger. Un esprit, ça ne se contrôle pas, ça se conditionne. Et il aura toujours le choix de se définir par opposition à ce conditionnement.
  9. Bonjour, Une aiguille d'état qui pénètre notre corps est une machine à fantasmes prévisible. Mais ma consommation de Chanel Complotisme n'est qu'à usage récréatif, elle n'est pas d'ordre médical : Mes persécuteurs de la NSA et de la DGSI se tiennent tranquilles en ce moment. Mes sources sont plus classiques : LCI, Cnews, et BFMTV. De mémoire : les vaccinés sont 3 fois moins contagieux, et 85 % des cas de réanimations n'ont pas été vaccinés. Cordialement, Fraction
  10. Désolé d'emprunter indument la parole scientifique, mais les effets indésirables à moyen terme du vaccin sont parfaitement mesurés comme globalement négligeables. Il est avéré que les vaccinés ont moins de chance d'être contaminés et contagieux, de façon significative. Et les vaccinés séropositifs ont beaucoup moins de chance de développer une forme grave du Covid. Qu'est-ce qu'il vous faut de plus ?
  11. Bonjour, Selon vous, un homme qui se sait sidaïque a-t-il le droit de faire l'amour sans préservatif ? Les droits de l'homme, et notamment leur attachement viscéral à l'égalité des droits, sont-ils absolus, exclusifs, ou nécessitent-ils amendements et jurisprudences pour devenir cohérents et réalistes ? Cordialement, Fraction
  12. Bonjour, Dans la gestion de cette crise sanitaire, le gouvernement a fait des erreurs de communication. Mais il n'a pas commis de faute politique universellement reconnaissable. Le jugement en incompétence est largement subjectif et interprétatif. On retrouve ce jugement systématique dans l'opposition, dont vous faites partie. Je sollicite un minimum d'honnêteté intellectuelle, car lorsque la situation est tragique, son remède n'est jamais que moindrement tragique. Tous les responsables sont des monstres : _ Celui qui punit son fils avec un lance-pierre. _ Celui qui licencie avec un 9 millimètres. _ Celui qui fait un plan social avec un semi-automatique. _ Celui qui fait une réforme avec une bombe atomique. La qualité de décision est corrélée au calibre de sa responsabilité. Le pass-sanitaire est probablement la moins mauvaise solution. Il faut un minimum de coercition pour un maximum d'efficacité. L'intérêt général en France n'est pas un absolutisme comme en Chine. Le collectif n'écrase pas l'individu, mais il lui fait payer un tribut, une participation, légitimes. Ce sont les anti-pass qui dénient leurs responsabilités, leurs devoirs. Et leur caution scientifique est bien précaire. Les restaurants et lieux de loisirs ne sont pas libres de tout, ce sont des institutions responsables. Preuve en est leur Licence 4 qui leur incombe un devoir d'arbitrage et de flicage. "Hic. Je ne te dirai pas combien j'ai bu de Whisky, hic, c'est un secret médical. Hic" Cordialement, Fraction
  13. L'homme est un imposteur : Il revendique l'altitude des dieux, alors qu'il navigue au raz des pâquerettes. Mais l'homme est capable de prouver sa crédibilité, et ce même sans preuve ni sans concept : à la seule force de son âme. Et c'est cette crédibilité de l'homme face à son imposture qui a convaincu ses banquiers centraux. De grâce : pour une une fois qu'un homme fait la nique à son banquier, ne lui en gâchez pas le plaisir.
  14. Je parle d'étymologie. Mais je vous concède que l'usage des mots prévaut sur leur origine gréco-romaine.
  15. La corruption est effectivement un problème qui affecte notre classe politique. Mais je ne pense pas que ce soit une priorité nationale. D'abord, parce que les hommes politiques sont des joueurs, et que la transgression est ludique. Le sentiment de puissance se conjugue volontiers au sentiment d'impunité. Vladimir Poutine joue aux espions, c'est un infantilisme pardonnable qui a davantage de choses à prouver à son public occidental qu'à ses services secrets. Qu'est-ce qu'un pouvoir sans son abus ? Demandez donc aux députés antiréformistes. Je préfère un Sarkozy avec des casseroles, plutôt qu'un Dupont-Aignan avec une auréole. Parce que l'égoïsme est un gage de cohérence et de pertinence, jusqu'à même son excès.
  16. La vérité serait une dictature si la véracité, c'est-à-dire la conscience notionnelle, n'était pas son hôte.
  17. Etymologiquement, le mot "aristocratie" signifie : le pouvoir aux meilleurs. Je sais combien ce mot a été dévoyé par l'histoire, tant il a été usurpé initialement. Mais ce mot désigne avant tout une verticalité de la société. Tout ne se vaut pas. Les citoyens se valent les uns les autres par leurs doléances. Les problèmes de riches, le blues des businessman, conduit parfois au suicide. Il n'y a pas de hiérarchie de classe ni de race dans la douleur. Mais les citoyens ne se valent pas par leurs compétences. Et il se trouve que la bourgeoisie a historiquement démontré et prouvé sa qualité d'âme et sa qualité d'acteur. L'Occident a épousé le projet bourgeois. A l'origine, les bourgeois étaient les plus cultivés et les plus responsables d'entre nous. Malheureusement, on peut constater aujourd'hui une certaine dissociation. Les actionnaires seraient censés devenir les maîtres du monde, alors que leur culture est réductible à un tableau d'amortissement, et leur intelligence à une calculatrice à 4 opérateurs.
  18. Là, vous soulevez un problème ontologique très profond. Ce problème s'appelle la récursivité. Je vous explique : _ Pour enquêter sur un flic, il faut être flic. _ Pour juger un juge, il faut être juge. _ Pour remettre l'Eglise en question, il faut être Cardinal. _ Pour contredire la science, il faut être scientifique. Etc... _ Pour contredire le peuple, faut-il être un dieu, ou plus modestement un notable initié ? Cette récursivité est un salut qui peut même nous promettre l'éternité. Mais sur le plan pratique, c'est un inceste très toxique. Oui, le peuple a besoin d'un surmoi et d'une transcendance. Le problème, ce sont les modalités de promotion de cette transcendance. C'est là toute la problématique institutionnelle et même civilisationnelle.
  19. Mon rapport à la démocratie n'est pas si simple que vous ne l'évoquez. Et même si je considère le système parlementaire comme excessivement inertiel, il est vrai que l'inertie est la plus grande qualité d'une institution, avant d'être son pire défaut. En outre, de nombreuses vérités sont conjoncturelles, et non structurelles, comme le keynésianisme : la vertu de la demande. La relance par la demande est crédible en Chine, mais pas en France. Je pense effectivement que la France a davantage besoin de projets que de lois, davantage d'exécutif que de législatif, davantage d'investissements que de gestion. Soutenir l'offre, c'est soutenir le "made in France", alors que soutenir la demande, c'est soutenir le "made in China".
  20. Vous croyez à tort que le problème est le moule fidèle de sa solution. Mais l'offre n'est pas une tautologie de la demande. L'offre politique n'est pas l'évidence injectée de l'électorat, mais un réseau de personnalités et d'idées cohérent. L'offre n'est pas l'esclave de la demande, mais seulement un partenaire contractuel. Nos solutions ne sont pas les tautologies de nos problèmes. L'envie est subjective alors que le besoin est objectif et implique donc un niveau de conscience. Lorsque vous regardez une chaîne du Service Public, on ne vous montre pas ce que vous voulez. On vous montre ce que l'on doit en fonction de ce que vous voulez. France 5 ne fait ni dans le voyeurisme ni dans le racolage, que je sache. La compétence et la déontologie France 5 dépasse sa dimension clientéliste.
  21. Mon jugement n'est pas binaire. Il existe des référendums dont l'opinion publique est légitimement souveraine. C'est par exemple un référendum sur l'immigration. Mais il existe aussi de nombreux référendums dont l'objet exige une lecture experte. Un référendum sur le cannabis porterait sur la santé publique, et je crains que l'expertise populaire ne soit pas à la hauteur de l'enjeu. L'opinion publique n'est pas, ici, légitimement souveraine.
  22. Là vous extrapolez mes propos, vous prolongez indument mes courbes. Il est parfois confortable d'être un mouton, et l'émancipation est coûteuse en terme d'implication personnelle : Dans une démocratie représentative, on apprend à reconnaître la vertu et l'intelligence d'un candidat. Alors que la démocratie directe est un éveil moteur qui implique une compétence et une qualité d'âme peu communes, qui ne sont pas nécessaires à un citoyen, en soi.
  23. Bonjour, Les suisses sont probablement plus responsables et plus civiques que les français. L'équation de la responsabilité est complexe, elle est différentielle : _ Je te donnerai ta liberté à condition que tu sois responsable. _ Oui, mais empiriquement, j'ai besoin de liberté pour devenir responsable. Avec son homothétique économique, on comprend mieux : _ Je te donnerai cet emploi lorsque tu auras de l'expérience. _ Oui, mais empiriquement, j'ai besoin d'un emploi pour devenir expérimenté. Cordialement, Fraction
  24. Ma bonne éducation m'interdit de juger les autres selon leur race, leur religion, leur sexe, ou leur sexualité. Ni la race ni la religion ni la sexualité n'évolue dans le champ politique, car les atrocités de l'eugénisme en invoquent quelques gargouilles dissuasives. Mais le pire pour un juif n'est pas de devenir islamophobe, c'est de devenir antisémite. On peut douter de tout sauf de soi, car personne, sauf votre mère, ne vous le pardonnera. Aussi, je me permets de transposer cette contradiction autodestructrice à l'ensemble de la nature humaine : Etre en conflit avec sa propre nature conduit à l'obsession, voire à l'aliénation. Si vous avez peur du loup, alors vos démons vont surjouer ce loup, car le réalisme est intrinsèquement circulaire. Les homosexuels qui surjouent la féminité sont des acteurs parfois drôles et sympathiques, et des clowns parfois pathétiques. Mais ils ont peut-être réalisé l'exploit louable de vaincre leur propre nature. Cependant, certains prétendent, comme moi, que la Nature possède sa moralité propre, proportionnelle à sa causalité : ce sont les conservateurs. Mais d'autres pensent que la Condition humaine et la Nature humaine sont des aliénations dont la volonté doit s'affranchir exclusivement : ce sont les progressistes. Avons-nous seulement conscience que la volonté humaine est initialement capricieuse, addictive, extrapolative, et donc excessive ? Et que ses solutions ne sont pas les tautologies de ses problèmes ? Si l'on créait une race de chiens qui ne serait soumise à aucune contrainte, alors cette race finirait par dégénérer, du déterminisme vers l'aléatoire.
  25. Je peux vous parler de la féminité animale, mais je vous ai également parlé de la féminité transcendantale. La divinité féminine ne fait pas plus de doute que la divinité masculine. Mais il y a un ordre, ou plutôt une chronologie sous-jacente. La chronologie précède le principe de fait, mais le principe précède la chronologie de droit, et de façon intemporelle. Qui de l'absolu ou du réel précède l'autre, ontologiquement, chronologiquement ? La Nature du temps a changé. Sous l'impulsion de la physique quantique, le temps est devenu rétroactif. Si bien que votre présent pourrait dépendre de votre futur à un niveau de complexité inouï. Or, ce temps multipolaire est initialement sexué. Et la rétroaction est plutôt typée "féminine". Un missile intercontinental, c'est plutôt viril, mais la symbiose entre les fleurs et les abeilles, c'est plutôt androgyne. Or, de quoi a besoin la civilisation occidentale ? Je ne conçois pas l'amour sans aucune différentiation des sexes : Les hommes doivent être à la hauteur de leurs impostures, et les femmes doivent plutôt être responsables des acquis. Mais il n'y a aucune autorité dans cette différentiation : Un homme qui fait de la danse peut être viril, et une femme qui fait de la boxe peut être féminine. C'est plutôt dans le conflit de l'homme avec sa nature profonde, comme la notion du Bien et du Vrai, que je diagnostique un déséquilibre. Cordialement, Fraction
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