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Tout ce qui a été posté par épixès
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Le mode de vie érémitique ne favorisant guère la reproduction, je vous assure que l'humanité perdrait au change Plus sérieusement ce genre de sujet ayant la fâcheuse aptitude de m'échauffer le sang, je vous prie de bien vouloir excuser les quelques écarts de ton et de langage que j'ai pu commettre. Cela ne fait guère longtemps que je suis sur ce forum mais j'ai décelé chez vous une inclination pour poser des questions, aborder des sujet ou explorer des pistes que peu souhaiteraient approfondir ce qui, je l'avoue, n'est pas pour me déplaire. Ne vouloir être la dupe de personne est une bonne chose, cultiver son esprit critique l'est tout autant cependant l'appliquer sans méthode aboutit souvent au nihilisme cognitif, au relativisme absolu ou au complotisme. J'ai de l'estime pour vous et j'espère que vous me croirez sincère lorsque je vous dis que c'est très amicalement et très respectueusement que je vous engage à vérifier et multiplier vos sources d'informations afin d'éviter le biais de confirmation et la désinformation, gardez vous des jugements trop hâtifs et péremptoires, soyez circonspect en toutes choses et surtout n'oubliez pas que, se sachant trop peu informé sur un sujet, ne pas avoir d'avis n'est pas démériter.
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Je ne me permettrai pas de me revendiquer une connaissance d'une quelconque différence entre ce que pensent les hommes et les femmes à ce sujet: je vis quasiment en ermite, ne consulte les médias qu'en cas de guerre bactériologique et je ne suis pas non plus un grand lecteur du présent forum. Que l'on extrapole bien au delà de la vérité, je n'en doute absolument pas: hormis quelques spécialistes personne ne lis les articles scientifiques, dans le meilleur des cas l'honnête homme lit de la littérature scientifique vulgarisée écrite par des spécialistes mais la plupart du temps l'homme du commun tient ses informations des médias. Or les médias connaissent avec l'avènement d'internet une concurrence sans précédent, chacun pouvant poster n'importe quoi n'importe quand et surtout ne se privant pas de le faire. Informer est devenu secondaire, que dis-je ? Accessoire ! Vérifiez vos sources ou pire, menez une enquête et tous vos concurrents auront publiés avant vous, qu'importe la vérité puisque des titres racoleurs et des photographies obscènes vous rapporteront tous les clics rémunérateurs ou les like fructueux que vous souhaitez. Avec la science cette mécanique du profit est encore plus détestable puisque supposant le lecteur ou le téléspectateur trop stupide et paresseux pour comprendre (souvent avec raison, je l'admet), on lui livre des simplifications éhontées et racoleuses de ce que la science dit réellement en nourrissant l'imaginaire collectif de pseudos découvertes, de complots scientistes et de théories prétendument révolutionnaires. A ce titre je vous invite à lire Croyez moi, je vous mens de Ryan Holiday, vous ne serez pas déçu du voyage, je vous en assure. La triste réalité est qu'il n'existe rien de tel qu'une théorie du genre. En vérité il s'agit d'une approche interdisciplinaire s'intéressant au concept du genre, mais cela n'a rien d'une théorie, dans l'acception scientifique du terme. Le terme d'ébauche ou d'hypothèse serait encore trop flatteur pour ce qui n'est qu'un agrégat de supputations et de méta analyses, prometteuses certes, mais qui ne font pas encore consensus dans la communauté scientifique et qui ne sont certainement pas présentées comme un travail abouti ou une théorie achevée. Quant à ceux qui prétendent qu'elle est enseignée dans les écoles, j'aimerais beaucoup savoir où et quand. Comment pourrait-on enseigner quelque chose qui n'existe pas ? Quel gouvernement ou éditeur inconscient permettrait qu'on introduise dans le programme officiel une soi disant théorie que personne n'a jamais formalisé en tant que telle ? Le seul cas avéré à ma connaissance, et largement relayé par les anti-genre s'est finalement révélé n'être qu'un court paragraphe d'un manuel scolaire de SVT à destination des premières intitulé "masculin-féminin" où il était mentionné que l'identité sexuelle relevait du social et l'orientation sexuelle de l'intime, affaire que s'est empressé de reprendre le pape et autres intégristes puceaux autoproclamés experts et garants de la bonne sexualité. Pendant ce temps là l'homme le plus puissant du monde et sa clique nient le réchauffement climatique, ce qui provoquera à terme bien des morts, mais là ces "chantres de la vie quand ça les arrange" restent muet, bref….
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Croyez bien que la faute en incombe bien plus à ma maladresse et ma précipitation qu'a une quelconque volonté de contrarier, je vous présente donc mes plus sincères excuses. Et je vous remercie pour la correction que vous apportez, la nuance étant de taille: "sensibilité" est en effet bien plus adéquat que susceptibilité.
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Je peux certes concevoir que vous soyez plus sensible au sujet que je ne le suis moi même mais oui, je maintiens qu'on puisse sourire en apprenant ces faits: on en a fait une comédie comme l'a illustré Colybris qui ne semble elle même guère s'en être offusquée. Au risque de vous choquer, il m'arrive de rire des enfants morts. Comme Desproges, je crois qu'on peut rire de tout mais pas avec tout le monde et s'il y a là matière à vous contrarier, je me garderai bien d'attiser la flamme de la discorde. Je suis sur ce forum pour apprendre et confronter ma pensée à celle des autres, en aucun cas je ne souhaite froisser quelque susceptibilité que ce soit.
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Etudier les femmes à travers le prisme hautement déformant de la psychanalyse n'est pas un réductionnisme comme un autre, les vives critiques que subit cette discipline que certains n'hésitent pas à qualifier de pseudoscience invitent à l'aborder avec une bonne dose de circonspection. Et puis quelle école de psychanalyse précisément ? Lorsque l'on voit comment freudiens et lacaniens se moquent et s'entredéchirent, la question me semble légitime. Qu'il y ait du bon à prendre dans la discipline me semble très vraisemblable mais les dogmes érigés en vérités indépassables et le refus de la méthode scientifique convient le profane non encore embrigadé à tenir la discipline pour hautement suspecte, à tout le moins. Pour ce qui est des allusions à la théorie du genre, les tenants d'une position affirmant que les différences entre les sexes n'existent pas sont une pure invention de ceux qui la critique sans l'avoir comprise, c'est une grossière simplification. La théorie du genre ne nie pas les différences entre sexes, elle prétend seulement que l'identité sexuelle est, au moins partiellement, socialement construite. Grosse différence. Attribuer des qualités générales aux femmes comme une facilité pour le mensonge me semble découler d'un essentialisme pour le moins simpliste, la nature est moins discontinue que ne le suggère une telle philosophie.
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N'étant point né femme, et encore moins à cette époque, je ne saurais dire qu'elle eut été ma réaction le cas échéant, cependant, du haut de la distance que confèrent quelques 140 années de recul, aucune réaction ne me parait illégitime: étonnement, révolte, amusement, consternation…..toutes se comprennent et m'apparaissent également justifiables.
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Du même film ma préférée est sans aucun doute l'excellent Clubbed to death:
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Pig mâle tout au moins, c'est certain, quant au reste….
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L'hystérie est aux troubles de la personnalité ce que la folie est aux psychopathologies: un terme fourre-tout, ad hoc et commode pour masquer la complexité de certains phénomènes et notre ignorance à leur sujet. En dépit des efforts méritoires d'un certain nombre de scientifiques (et non scientifiques d'ailleurs) pour démontrer le contraire, l'hystérie à été et reste une pathologie largement associée à la féminité dans l'imagerie populaire. A noter que nombre de cas d'hystérie féminine étaient "soignés" par masturbation manuelle, directement administrée à leurs patientes par les praticiens dont les cabinets ne désemplissaient pas (et on s'étonne du désamour actuel pour la chose médicale….). C'est à cette même époque que fut développé le vibromasseur qui permit de prévenir une explosion de cas de Troubles Musculo-Squelettiques chez les pauvres médecins harassés d'un tel labeur, ne sachant plus où donner de la main et n'osant pointer du doigt l'égoïsme et l'incompétence masculine, origine vraisemblable du mal être féminin de l'époque (outre bien entendu l'austère condition à laquelle la femme était soumise)….on se réjouira aussi d'apprendre qu'au début du XXème siècle le vibromasseur était le 5ème appareil électroménager le plus vendu dans nos foyers
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Allemagne ? Je ne sais pas ce que ça veut dire. Comment on dit ça aux États-Unis ? -Justin Bieber-
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Concernant l'agencement de nos structures cognitives je vous invite à lire les travaux d'Antonio Damasio et ceux de Daniel Kahneman (notamment l'erreur de Descartes pour le premier et système 1/système 2: les deux vitesses de la pensée pour le second) Pour les croyances proprement dites je suggère de consulter l'empire des croyances de Gérald Bronner, C'est (vraiment?) moi qui décide de Dan Ariely ou encore Et l'homme créa les dieux de Pascal Boyer. Psychologie cognitive et neurosciences ont fait des progrès phénoménaux ces deux dernières décennies et si le cerveau est loin d'avoir livré tous ses secrets, on comprend de mieux en mieux comment nos schémas mentaux naissent, s'organisent et se développent. Les ouvrages que j'ai cité sont destinés aux profanes et sont donc très accessibles (à l'exception notable de celui de Damasio dont le langage est assez technique) et ils citent de nombreuses expériences qui devraient pouvoir étancher votre soif de références.
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Qu'est-ce que j'explique que la science n'explique pas ? A quoi faite vous précisément référence ?
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Merci de préciser les limites de l'effet placebo, j'aurais du en effet les mentionner.
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Oui, c'est le principe même de l'effet placebo. Nous sommes des animaux irrationnels et nos croyances sont profondément ancrées dans les structures cognitives de notre cerveau, organe qui régule notre métabolisme et dès lors il n'est guère surprenant que ce dernier puisse agir sur les maux affectant le corps. De même est dépassée la dichotomie esprit/matière et il ne s'agit plus que de matière agissant sur la matière. A titre indicatif des études ont montré que le prix d'un médicament affecte son efficacité: plus il est cher et plus nous le pensons efficace et dès lors, il le devient effectivement.
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La médecine utilise principalement les placebos lors des essais cliniques pour obtenir un groupe de contrôle. Ils peuvent également être utilisés à titre d'aide au diagnostic ou en cas de sevrage. Hypnose, patamédecines et placebo peuvent être utiles si le patient y crois, bien que non systématique, l'effet placebo possède une efficacité avérée. Dès lors, à quel titre un praticien devrait-il renoncer à les ajouter à son arsenal thérapeutique ? Les médecines alternatives sont rarement dangereuses en elles-mêmes, leur nocivité provient généralement du fait que certains les utilisent en remplacement de la médecine moderne plutôt qu'en parallèle. Comme moi, un médecin peut être contre les médecines alternatives sans pour autant être un intégriste et ne pas décourager un patient d'essayer ce qu'il souhaite afin de ne pas le braquer et de le contraindre à se sentir obligé de choisir entre deux pratiques, au risque qu'il opte pour la seule superstition.
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Au fond peu importe les mots, cinéma et musique sont avant tout des vecteurs d'émotions et c'est précisément ce que fait cette scène (la plus forte du film à mon sens): nous faire ressentir.
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Une chanson que j'ai toujours apprécié mais qui résonne tellement plus fort depuis que j'ai perdu mon père.
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Voici une des scène les plus malsaines et dérangeantes que j'ai jamais vu. La musique perturbante et étrangement entêtante, la chorégraphie grotesque et obscène, les faciès dégénérés de ces improbables baladins, tout concourt à faire de ce sordide ballet un des spectacles les plus glaçants qu'ait pu m'offrir le cinéma.
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Quelqu'un possède-t-il un dictionnaire Français/Boutetractyxreqs ? Je veux bien tenter de répondre à la question mais ainsi rédigée je ne la comprends pas.
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Mon pseudonyme n'a pas de signification particulière mais je peux en expliquer l'origine. Je pratique le jeu de rôles depuis l'âge de 13 ans et c'est le nom que j'avais inventé pour un de mes personnages originaire de l'ancienne Egypte. Je recherchais des sonorités exotiques et mystérieuses propres à exprimer le caractère énigmatique de mon alter ego qui était un Sphinx en quête de sapience incarné dans le corps d'un homme et celles-ci ont eu l'heur de me séduire et de répondre à mes attentes. J'ai longtemps interprété ce personnage et ce fut un exercice très gratifiant, le nom m'est resté en mémoire et je l'ai utilisé ici. C'est donc un pseudonyme que j'ai créé de toutes pièces mais chargé de signification puisqu'il représente, à l'instar de mon avatar figuré par Bertrand Russell, le moi fantasmé que j'aspire à devenir.
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