Auger

Pour ma part, je ne crois pas du tout à l'amitié homme/femme sans ambiguïté. Ou je n'en suis pas capable. Hormis une énorme différence d'âge (genre 40 ans d'écart) ou une absence totale d'attraction physique, je ne vois pas comment une forte amitié ne peut pas déclencher, à un moment où à un autre, du désir.

C'était juste une blague sur le mode "pas d'ambiguïté avec les mecs, normal je préfère les filles !!!" Je range définitivement ma blague dans ma poche !! Bonne journée Maddy !!

T'es lesbienne ? (Euh, je déconne, hein ! )

Il me semble aujourd'hui impossible - et pas seulement vain et inutile - d'acquérir un savoir encyclopédique : notre environnement s'est beaucoup trop complexifié et diversifié.

Par exemple, le trouble de l'attachement, assez répandu, mais pas encore assez "médiatisé" de mon point de vue. https://fr.wikipedia.org/wiki/Trouble_de_l'attachement

Je n'en connais que le titre, dont le côté lyrique et désespéré m'a toujours frappé... Possible, en effet. Mille fois oui Je ne voulais pas évoquer la "pathologie" en tant que telle, mais plutôt le fait de rester sur la défensive/méfiance et attendre d'abord tout des autres plutôt que "donner", soi-même, en premier (dans ces cas-là, on peut attendre longtemps ) Je ferais volontiers une analogie politique ou sociétale : beaucoup de gens attendent tout (ou beaucoup) de l'état (santé, infrastructures, école, sécurité,...), mais surtout, il faut que ça ne coute rien (bin oui, mon pauv' Mossieu, on paie trop d'impôts !!!!). Même chose au niveau d'une commune ou des droits que l'on attend de la société sans jamais accepter ses devoirs de citoyen... Comme les enfants : "toi d'abord !" Mais je m'égare... c'était juste pour illustrer mon propos.

Je pense à cette magnifique phrase "Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part". Est-ce que ChatGPT "comprend" ce que cela implique d'émotions, de sentiments, la solitude, l'attente intérieure profonde,...? Quant au sujet, j'ai l'impression (ça n'engage que moi, évidemment) que la plupart des gens (hommes ou femmes, perso. je me fiche de cette distinction) attendent des autres ce qu'ils ne veulent/peuvent pas leur donner eux-mêmes : de l'Amour, de l'attention, de la tendresse, de l'écoute.

Intéressant cette digression sur l'intelligence artificielle. Il n'y a aucune intelligence dans l'I.A., ça recrache juste des mots selon des analyses statistiques de mise en commun de mots dans des phrases (data mining, brassage de données en quantités énormes). "J'aime ma mère" est plus probable pour ChatGPT que "j'aime mes vieilles chaussettes" ; c'est à peu près tout. Ces co%$!rds de médias veulent faire croire à la population que l'IA existe, alors que, pour le moment en tout cas, ça n'existe pas.

Bouh, c'est Harâm tout ça !

Bah, comme tu sembles être aussi susceptible que moi !!!!

On peut être conventionnel à force d'être, par pur principe, non conventionnel. Il faut que cela reste une vision différente des évènements et de la société, pas une posture basée sur l'ego, l'orgueil ou je-ne-sais-quelle volonté de se démarquer des autres, pour faire "plus intelligent" ou "plus éveillé". Mais bon, ça ne m'empêche pas de détester les J.O. de Paris, de ne pas supporter Thomas Pesquet (le type toujours content de tout, en toutes circonstances), d'adorer Michel Sardou et la musique Disco (zut ! ça revient à la mode !) J'espère que ce n'est pas juste une posture !

Dans ce cas, je te présente mes excuses pour mon erreur d'interprétation. (on ne devrait d'ailleurs jamais tenter "d'interpréter" ça conduit à des procès d'intention : mea culpa)

C'est un peu H.S., mais je vais te répondre. Les cathos, blancs, hétéros, de droite sont : racistes, conventionnels, alcooliques, intolérants, violents,... Tous les autres groupes, minoritaires, sont composés de gens : gentils, cools, tolérants, boivent de l'eau, mangent leur yaourt sans sucre, préservent la planète, sont de gauche, aiment leur prochain... C'est ce qui infusait, gentiment mais quand même, avec tes exemples sur les "groupes majoritaires" et conventionnels

Les conventionnels ne me semblent pas être forcément les footeux, les hétéros, les cathos : on peut être conventionnel (et même violent, intolérant, cons.. mais ce n'est pas le sujet) en étant homo, athée, amateur de patinage artistique...

La "posteuse" pose essentiellement (et surtout) une question sur les seins qui tombent : le reste relève de la projection et de l'interprétation personnelles (même si la confiance en soi est évoquée en corollaire de la problématique physique initiale)

Je me demande à quoi peut bien servir une vie, lorsque - arrivé presque au bout du chemin - on trouve encore moyen de ricaner, de tourner en dérision, la souffrance des autres. Sur le fond, les autres forumeurs ont tout dit : soit on s'y fait comme une réalité, désagréable, mais (peut-être) supportable ; soit on passe par une petite opération (qui ne voudra pas forcément dire que tout le reste du corps suivra : quel raccourci bizarre !) qui pourra redonner confiance en soi.

Et encore ! Parfois on ne sait pas soi-même ce que l'on veut vraiment... Mais si ça peut rassurer l'auteur du topic, et si on se réfère à sa seule version des faits, ça a l'air quand même bien engagé...

Oui !

Tant que c'est pas la .... Nan, rien !

Quand on ne comprend pas quelque chose, on le saupoudre d'une bonne pincée de "surnaturel" ou de "religieux", ça permet d'éviter de se fatiguer à se poser les bonnes questions...

Je ne sais pas si un jour il y a eu un Créateur. Si c'est le cas, il s'est barré voir ailleurs (si on n'y était pas ) il y a trèèèèèèèèèèèès longtemps (mon estimation est, environ, de 3 milliards, 900 millions, 354 mille, 203 ans... et 2 jours) Alors dieu, le diable, les démons, les exorcistes... Faut bien passer le temps et pas trop se faire de souci quand notre grand (et dernier) jour arrivera.

Allons, allons, un démon ne peut pas être gentil ou moral, c'est quand même un démon et il a une réputation à maintenir !

Ah merde : alors le film "l'exorciste" c'est rien que des conneries ?

Ah, si les religions n'existaient pas, il faudrait les inventer.... Oh zut ! C'est ce qu'on a fait !

J'imagine que toute explication est inutile (celui-ci aussi, je l'aime bien)