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L'ornithorynque

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Tout ce qui a été posté par L'ornithorynque

  1. oui Plouj, sauf qu'il faudrait le faire simultanément dans tous les pays .... et c'est ce qui me chiffonne dans cette histoire : cette peur entretenue au niveau planétaire. Je n'ai pas souvenance qu'un autre fait ait généré un tel consensus, et aussi longtemps. OMS ? OMG !
  2. VRP ??? Composition du Conseil scientifique Covid-19 Jean-François Delfraissy, Président du Conseil scientifique (immunologue) Laëtitia Atlani-Duault, Anthropologue Daniel Benamouzig, Sociologue Lila Bouadma, Réanimatrice Simon Cauchemez, Modélisateur Pierre-Louis Druais, Médecine de Ville Franck Chauvin, Médecin de santé publique Marie-Aleth Grard, Milieu associatif Aymeril Hoang, Spécialiste des nouvelles technologies Arnaud Fontanet, Epidémiologiste Bruno Lina, Virologue Denis Malvy, Infectiologue Yazdan Yazdanapanah, Infectiologue Didier Raoult, Infectiologue. Il a fait partie du Conseil scientifique au tout début puis a décidé de s'en retirer. Je n'ai pas une nature à rejoindre les thèses complotistes, surtout lorsque celles-ci atteignent un niveau mondial. Néanmoins il y a dans l'histoire de cette pandémie tellement d'erreurs (mensonges ?) dans les chiffres officiel, tellement de matraquages catastrophiste lors des informations dans quasiment tous les pays que je me pose des questions. Et particulièrement une question qui a déjà été posée ici et restée sans réponse valable : S'il y a complot au niveau mondial, par qui ? pourquoi ? pour qui ? Compte tenu qu'un complot de cette ampleur nécessiterait de milliers de personnes qui soient au courant et agiraient en secret.
  3. Combien de personnes sur ce forum ou dans le pays hurleraient au déni de démocratie si on évoquait une technocratie à la tête de l'état. mais qui se couchent devant cette médicocratie ? Je me demande si le fameux Conseil Scientifique ne joue pas la surenchère de précautions de crainte d'être un jour traduit en justice, accusé de ne pas en avoir fait assez. (les politiques savent se disculper, cf. le scandale du sang contaminé) "Souvent la peur d'un mal nous conduit dans un pire" Boileau
  4. Vu sur "Le Monde" La semaine où Macron s’est converti au couvre­-feu Le chef de l’État voulait que le pays « vive avec » le virus. Mais la deuxième vague l’a contraint à revoir la gestion de la crise RÉCIT Le coronavirus est entré par effraction à l’Élysée. Encore. Ce vendredi 9 octobre, Emmanuel Macron a les chiffres sous les yeux : plus de 20 000 nouveaux cas viennent d’être diagnostiqués dans tout le pays sur une journée. Un record depuis que la France s’est mise à tester massivement sa population. Le chef de l’État ne s’attendait pas à ce que le rebond intervienne aussi tôt. En juillet, rappelle son entourage, les scientifiques prédisaient que la reprise de l’épidémie ne se manifesterait pas avant octobre ou novembre. Mais le Covid­-19 a déjà refait son nid. Il n’est plus temps de vanter les mérites du plan de relance ou d’espérer dessiner les « jours heureux ». « Il y a un maître des horloges qui s’appelle le Covid », doit bien reconnaître Emmanuel Macron. La deuxième vague est là. Cela fait des semaines que le ministre de la santé, Olivier Véran, joue les Cassandre. Mais l’attention qui lui est portée a fléchi. Après tout, se dit-­on, le neurologue prêche pour sa paroisse, celle des scientifiques, qui portent ostensiblement le masque sur les plateaux de télévision pour montrer à quel point le péril reste majeur. Dans le labyrinthe du ministère de l’avenue Duquesne, monolithe froid comme un hôpital, les équipes assument de défendre une « ligne sanitaire dure ». Voilà qu’on les écoute à nouveau. « La santé », comme on l’appelle dans les couloirs du pouvoir, a une idée à vendre pour freiner la propagation du virus : un couvre-feu, à l’image de celui instauré en Guyane après le confinement. Fin septembre, le conseil scientifique suggérait déjà de le mettre en place « pour une durée limitée par exemple de quinze jours dans un nombre limité de métropoles ». Mais l’exécutif préférait reculer l’heure des « décisions difficiles » suggérées par le président de l’instance, Jean­François Delfraissy. Le premier ministre, Jean Castex, achète tout de suite cette nouvelle proposition. Lui aussi est un « dur » sur le plan sanitaire. Lorsqu’il coordonnait la stratégie de déconfinement du pays, au printemps, il s’était affronté au ministre de l’éducation nationale, Jean­-Michel Blanquer, trop pressé selon lui de rouvrir les écoles. « J’ai vu les chiffres. Ce n’est pas une courbe, c’est un mur ! », souffle le chef du gouvernement devant ses proches. Des projections réalisées par l’Institut Pasteur prévoient que les services de réanimation dans les hôpitaux pourraient être saturés à la mi-novembre. En Ile-de-France, les modèles montrent que, si rien n’est fait, entre 800 et 1 000 lits de réanimation pourraient être occupés par des patients Covid­-19 d’ici à la fin d’octobre. Ce n’est pas encore le niveau de la première vague – 2 700 lits avaient été mobilisés au pic de l’épidémie –, mais cela impose quand même de déprogrammer un grand nombre d’interventions chirurgicales. À quelle heure ? Emmanuel Macron, néanmoins, a du mal à se faire à l’idée du couvre-feu. Une telle chape de plomb contrevient à sa stratégie de la rentrée consistant à « vivre avec » le virus. La crise économique et sociale l’inquiète tout autant que la crise sanitaire. Mais il faut bien casser cette satanée courbe ; la population le réclame. « Nous avons vu les sondages, il y a une appétence pour des mesures fortes », note un conseiller de l’exécutif. Le président de la République se convertit donc au principe au cours du week­end des 10 et 11 octobre. Mais il faudra que le couvre-feu soit appliqué seulement aux zones d’alerte maximale, afin d’en limiter les effets néfastes. Reste en suspens une question cruciale : à quelle heure envoie-t-on les Français se coucher ? Lundi, Jean Castex se rend sur France info pour préparer l’atterrissage de la prise de parole présidentielle prévue deux jours plus tard. La France connaît « une deuxième vague forte », prévient le premier ministre. L’opinion lève une oreille, contrairement à son intervention du 11 septembre. Sa déclaration solennelle depuis le perron de l’hôtel de Matignon, censée administrer un « électrochoc » de peur, avait eu l’effet d’un pétard mouillé. Le chef de l’État, de son côté, reçoit à l’Élysée les membres du conseil scientifique. Ces derniers viennent d’entendre Aurélien Rousseau, directeur général de l’Agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France, et son homologue des Hauts Defrance, Benoît Vallet, qui ont manifesté leur inquiétude : une semaine de plus avant de prendre de nouvelles mesures, c’est une semaine de trop. Certains membres du conseil préconisent d’imposer le couvre-feu dès 17 heures, comme en Guyane à la fin juin… Le coup est rude. Le débat atterrit le lendemain sur la table du conseil de défense sanitaire. Aucun arbitrage n’est pris, par « peur des fuites », assure un proche d’Emmanuel Macron. Ce dernier n’a pas supporté de voir étalée dans la presse la remontrance qu’il avait exprimée début septembre sur les ratés en matière de tests. En théorie, l’instance est soumise au « secret-défense ». Une dizaine de membres du gouvernement concernés par la crise sanitaire se réunissent en fin de journée à Matignon autour de Jean Castex pour évoquer les annonces à venir. Les avis sont partagés sur l’heure d’application du couvre-feu. « La santé » veut 20 heures. Bercy, par la voix du ministre de l’économie, Bruno Le Maire, penche plutôt pour 22 heures, tout comme sa collègue de la culture, Roselyne Bachelot. Le premier veut préserver l’économie, la seconde les salles de spectacle et les cinémas. Le ministre de l’intérieur, Gérald Darmanin, va plus loin : il rejette l’idée même du couvre-feu. L’ancien maire de Tourcoing (Nord) craint que la population n’adhère pas à une telle privation de liberté, après avoir déjà dû digérer le confinement, le port du masque obligatoire, la fermeture des bars et autres restrictions en tous genres. Surtout, une telle mesure risque à ses yeux d’alimenter la fracture sociale entre les plus privilégiés, qui pourront se réfugier dans leur résidence secondaire le week­end, et les premiers de corvée, condamnés à rester chez eux. Et puis, les policiers sont à cran. Il ne veut pas leur imposer une charge supplémentaire. « Darmanin sait qu’en banlieue il ne va pas dire aux types qui attaquent des commissariats au mortier : “Après 21 heures, vous regardez Nicolas et Primprenelle”, souligne un macroniste, qui ajoute : Véran, lui, voulait rassurer son administration. Chacun voit midi à sa porte. Créer un « effet blast Emmanuel Macron tranche lors du conseil des ministres, le lendemain : ce sera 21 heures. L’Élysée veut croire que cela suffira à avoir un impact positif sur la situation sanitaire tout en épargnant le plus possible la vie économique et culturelle. « Le président s’est battu pour nous jusqu’au dernier moment. Les scientifiques veulent fermer le pays », regrette le producteur de théâtre Jean-Marc Dumontet, proche du chef de l’État. Alors que le conseil touche à sa fin, Emmanuel Macron entre dans une colère noire en consultant ses alertes : Le Parisien révèle qu’il vient tout juste d’examiner avec ses ministres un décret rétablissant l’état d’urgence sanitaire. Une telle fuite est inacceptable à ses yeux. Quelques minutes plus tard, une dizaine de membres du gouvernement se retrouvent autour de lui pour un dernier échange. Amélie de Montchalin et les fonctionnaires, Frédérique Vidal et les étudiants, Jacqueline Gourault et les élus locaux… Emmanuel Macron veut savoir comment leurs publics respectifs vont réagir. « Nous sommes dans la psychologie politique, beaucoup plus que lors de la première vague », note un conseiller ministériel. L’interview du soir, sur TF1 et France 2, a justement pour but de créer un « effet blast » dans la population. « Nous sommes dans une situation qui est préoccupante et qui justifie que nous ne soyons ni inactifs ni dans la panique », explique le chef de l’État, qui se veut en même temps rassurant pour les 20 millions de téléspectateurs présents devant leur poste : « Nous n’avons pas perdu le contrôle. » Pas question de replonger dans les affres du confinement, même au niveau local. « A date », précise-­t-­on néanmoins au sein de l’exécutif. Car tout le monde sait que, dans cette crise, le maître des horloges n’habite pas à l’Élysée.
  5. Bonjour Jacky peut être trouveras tu tes renseignements là dedans : https://www.data.gouv.fr/fr/datasets/donnees-relatives-aux-tests-de-depistage-de-covid-19-realises-en-laboratoire-de-ville/ il y a un énorme tableau Excel des semaines 11 à 21 pour chaque département
  6. finalement c'est peut être plus simple (quoique tout aussi impossible) que d'essayer d'éradiquer la connerie humaine. Essayons juste d'amoindrir celle-ci et de conserver notre si belle planète
  7. Je suis en train de relire "Et le singe devint con" de Cavanna, tout à fait de circonstance. Les singes n'auraient jamais mis leur environnement ni leur espèce en danger...
  8. Je reviens une fois de plus sur le nombre de malades guéris, chiffres du jour (monde) sur Worldometer: cas 38049049 guéris 28608404 (actifs 8355163, dont sérieux 68108, morts 1085482) Mais pour la première fois dans la presse que je consulte j'ai vu une mention sur des récidives : Les patients atteints de COVID-19 peuvent présenter des symptômes plus graves la deuxième fois qu'ils sont infectés, selon une étude publiée mardi confirmant qu'il est possible d'attraper la maladie potentiellement mortelle plus d'une fois. Une étude publiée dans la revue The Lancet Infectious Diseases dresse le bilan du premier cas confirmé de réinfection par Covid-19 aux États-Unis - le pays le plus touché par la pandémie - et indique que l'exposition au virus pourrait ne pas garantir l'immunité future. Le patient, un homme du Nevada de 25 ans, a été infecté par deux variantes distinctes du SRAS-CoV-2, le virus responsable du COVID-19, dans un délai de 48 jours. La deuxième infection était plus grave que la première, ce qui a conduit le patient à être hospitalisé avec un apport d'oxygène. Le document a noté quatre autres cas de réinfection confirmés dans le monde, avec un patient chacun en Belgique, aux Pays-Bas, à Hong Kong et en Équateur. - AFP Bon, il me semble que cinq cas au niveau mondial ne remettent pas en cause la notion d'immunité acquise!
  9. En effet, par contre la plus grande partie de notre oxygène est produite par le phytoplancton océanique (entre 50 et 75%) l'attaque chimique en surface de nos océans est moins visible, moins spectaculaire que les feux de l'Amazonie, mais au moins aussi destructrice. Y at'il un océanographe sur le forum ?
  10. @Solatges à propos de la video ci-dessus, celle-ci me semble un fake ! J'ai arrêté la visualisation après 5' à cause de deux éléments : - "... afin de forcer à la consommation de test PCR..." - "Aux Philippines, ceux qui ne portent pas de masque se prennent une balle dans la tête" sur le premier point cela me semble une raison plus que faiblarde pour provoquer un confinement mondial. Pour les philippines que je connais assez bien et consulte sa presse tous les jours, ceci est totalement faux ! (ces exécution extra-judiciaires n'ont jamais eu le défaut de masque comme cause)
  11. Les causes possible d'un effondrement sont multiples, et cummulatives. Economie, guerre(s), climat, sanitaire, raréfaction (voire disparition) des ressource essentielles, environnement, ... Tous les pays étant actuellement interdépendants un effondrement ne pourrait pas être régional, mais forcément planétaire. "Le privilège des grands est de voir les catastrophes d'une terrasse" (Jean Giraudoux dans "La guerre de Troie n'aura pas lieux")
  12. Bonjour ma Jackounette préférée paranoïa + coronavirus = coronanoïa Coin-Coin dit le Monotrème en te bisant
  13. Dans un journal étranger j'ai relevé un néologisme tout à fait d'actualité : CORONANOÏA Et les coronanoïaques ne manquent pas, y compris sur le forum !
  14. Donald Trump, testé positif au Covid-19, se met en « quarantaine » « Ce soir, la première dame et moi-même avons été testés positifs au Covid-19 », a tweeté le président des Etats-Unis, qui devait participer à un meeting en Floride vendredi. https://www.lemonde.fr/international/article/2020/10/02/covid-19-donald-trump-se-met-en-quarantaine-apres-le-test-positif-d-une-collaboratrice_6054454_3210.html Houla ! quelle incidence sur l'élection présidentielle dans un mois ?
  15. L'ornithorynque

    La citation du jour

    Etre belle et aimée ce n'est être que femme. Etre laide et savoir se faire aimer, c'est être princesse. Barbey d'Aurevilly
  16. Bien sûr ! Je citais l'article, dans lequel d'ailleurs l'auteur se plaignait de la sous-utilisation de la contraception dans son pays. Ce qui m'avait interpellé c'était la comparaison des chiffres de décès et d'excès de naissances. https://www.philstar.com/opinion/2020/09/27/2045331/editorial-pandemic-population-boom
  17. Impact sur la population, extrait du journal Philstar (Philippines) de ce jour : "... La maladie à coronavirus 2019 continue de faire des morts, avec près d'un million de morts dans le monde et 5 196 aux Philippines. Mais les verrouillages imposés pour contenir la pandémie de COVID-19 ont également conduit à la création de la vie. La Commission de la population et du développement enregistre 214 000 naissances supplémentaires cette année, en plus des 1,7 million prévus, en raison des personnes forcées de rester chez elles en raison des quarantaines pandémiques..."
  18. L'ornithorynque

    La citation du jour

    Il faut chercher une femme avec les oreilles plutôt qu'avec les yeux
  19. @Plouj Pour une partie malheureusement croissante de la jeunesse la violence est une valeur, ils en sont fiers (même si ça découle des pires lachetés). Publier leur identité, leur photo, en ferait des héros dans leur groupe.
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