Crève

des individus et des populations déchirés lors des mouvements pour l'indépendance de l'Algérie

ou alors il a versé le jus dans le bénitier...

Alice et le Maire Nicolas Pariser nous entraîne dans un monde impitoyable : celui de la politique. avec des acteurs-rices à la hauteur, nous nous immergeons dans la vie du maire et de ses conseillers, c'est un monde féroce, où les places sont convoitées, où la gestion est difficile, où il faut faire preuve de modestie mais en même temps de force de caractère, avoir une main de fer dans un gant de velours ; Alice a été récemment nommée dans l'équipe du Maire de Lyon, Paul Theranneau. Elle qui a une formation de lettrée, la tête garnie de références philosophiques : en quoi peut-elle être utile sur le terrain, dans l'action quotidienne ? Comment, avec un bagage intellectuel, peut-on servir son pays ? le film réussi habilement à défendre, puis à avoir un regard critique, compatissant sur ces deux figures, ces deux faces d'une même pièce : l'homme de terrain et l'homme (la femme en l'occurrence) intellectuel. Comment les grands penseurs, Rousseau, Orwell, Marc Bloch, peuvent alimenter la politique de gauche, et plus précisément les socialistes ? où en est le progressisme aujourd'hui ? n'est-il pas devant un mur ?

il m'a tout l'air d'un catastrophiste..

mais j'attends de mes voeux qu'un vrai tordu arrive au pouvoir, je sors le popcorn !

moi au contraire je reste pour voir ce qu'il se passe, être aux premières loges ; j'ai toujours été séduit par les extrêmes.

de la fantasy par un auteur français : au programme, beaucoup de magie, des héros hauts en couleurs, un monde féodal, avec des enjeux liés au pouvoir, à la royauté, sept royaumes, des morts qui reviennent à la vie, des tempêtes de magie, des épées, des créatures abominables, le pouvoir religieux, le culte d'un dieu, des forêts inquiétantes. et encore, ce n'est que les 100 premières pages ; il y a trois volumes de 700 pages. je recommande pour tous les amateurs de fantasy type Game of Thrones.

j'enverrai un pote la tester.

et avec quel type d'homme, @Vilaine tu te verrais en relation ?

j'ai du respect pour la prostituée, car au moins elle est claire dans ce qu'elle fait : tu payes, tu baises. alors que d'autres, des Gold digger, sortent avec toi juste pour ton fric, en sorte : des putes non avouées.

c'est tout à fait sain de penser ainsi ; c'est la voie de la sagesse.

Va donc au bout de ton raisonnement. j'y suis au bout.

mais bordel, je suis pas statisticien, j'en sais rien, pis la question pertinente, c'est pas forcément "c'est qui qui fait trop ?", c'est aussi, la façon générale dont on éduque la population, avec par exemple, est-ce qu'on offre des primes conséquentes à partir du troisième enfant ? ou au contraire est-ce qu'on pénalise, si on atteint 3 enfants ou plus ; la faute, c'est aussi à la politique générale d'un pays.

oui : ne pas faire d'enfant revient à mettre fin à sa lignée, c'est une forme de suicide de la lignée. donc oui.

quelle question ? je sais pas à qui la faute, à l'éducation ? au conditionnement ? j'en sais rien. ce que je veux dire, c'est que je pleure quand je vois que la seule solution qu'on a c'est : "aujourd'hui, c'est journée pour la planète : on nettoie la plage, on ramasse la bouteille en plastique !" bordel, vous voyez pas que le problème, c'est pas ça, on va bientôt être 10 milliard sur la planète. c'est comme essayer de vider un évier à moitié bouché avec un dés à coudre, alors que ya le robinet qui continue de couler. c'est pas une solution que d'avoir bonne conscience en y allant avec son dés à coudre : faut arrêter le robinet qui coule. point barre

surtout que son argument ne prend pas en compte tout le reste : l'essence de la voiture, le kérosène de l'avion, etc. elle, elle voit que la bouffe. le gros ne consomme pas autant qu'un autre humain en plus, si l'on prend tout en compte (couches bébé, nombre de consommables et d'infrastructures (PC, maison, etc.)). pour elle, les gros c'est genre une personne sur deux. alors que faire une enfant, là oui c'est plus près de concerner tout le monde.

En effet, il est plus honorable de manger un Hamburger bien gras qu’un morceau de céleris. La loi du plus gros... t'es exaspérante : genre sur la Terre, ya soit des boulimiques, soit des anorexiques.

tu salues la démarche ? ben salue-moi, car je refuse d'enfanter, pour de multiples raisons, entre autres la prise de responsabilité, mais aussi, secondairement, car on est trop sur terre. un jour la planète va craquer. c'est sur ce deuxième point qu'il y a scission entre nous deux. toi tu vois pas l'inconvénient de faire un consommateur de plus sur la planète, alors que moi si.

je reste en vie, pour montrer l'exemple : je ne fais pas d'enfant, ainsi, je contribue à la réduction drastique du nombre de consommateur. quand je vois vois les autoroutes bondées de voitures, les embouteillages monstres, les piscines surbondées, les plages, les métros pleins à craquer, toute cette humanité grouillante, qui pullule, qui prolifère, ça me donne la gerbe, j'ai envie d'incendier toutes ces mères et leurs enfants avec au lance-flamme.

je ne suis pas d'accord avec ça, le gros, s'il ne fait pas d'enfant, est plus honorable que le maigre qui en fait.

ça m'apparaît comme une évidence. mais apparemment @Vilaine ne l'entend pas de cette oreille. elle a peur de voir la réalité en face, peur de culpabiliser.

ça m'agace parce que j'ignore si tu plaisantes ou pas. genre il y aurait une corrélation entre l'obésité et la conscience écologique ? plus on est gros, plus on s'en s'en fout, de la planète ?!

bah justement, ça reste une expression : c'est exagéré. c'est comme "avoir les yeux plus gros que le ventre" : personne n'a le globe oculaire plus gros que son ventre. genre, un gros qui mange comme quatre : ça veut dire que quand tu prends un kebab, lui il en prend 4 ?! nan mais t'es sérieuse là ?! personne n'est comme ça. en revanche, pondre de partout et multiplier la consommation, c'est bien ça qui tue la planète, pas les gros.