JO81

En lui même le féminisme est absurde.

Je reviens de Venise, j'ai été vraiment impressionné. Peut-être que je ferai un compte rendu d'ici peu... ++ Le vaporeto n'est pas contrôlé non plus sauf si on le prend sur les lieux centraux où il y a des barrières, sinon ils s'en foutent complet.

J'ai noté qu'il fallait visiter St François du Désert. Problème : pas de vaporeto pour s'y rendre, donc difficile (demander à un pêcheur).

Parlons de Venise et échangeons dessus, donnons nous les "bons plans", les trucs à éviter, les bouquins à ne pas manquer, les itinéraires à suivre, les rues à visiter, etc, etc. Je m'en vais à Venise début janvier, apparemment c'est la bonne époque pour y aller, car l'été c'est invivable paraît-il, j'ai réussi à avoir un hôtel à Murano. Je vous laisse partager vos expériences et faire profiter de vos conseils à ceux qui veulent s'y rendre. Merci !

Vous ne pouvez pas dresser un constat psychologique sur la base de 10/15 messages furtifs. Ce que vous faîtes c'est de la condamnation gratuite. Vous avez le droit de le faire, mais c'est une argumentation légère et facile (surtout lorsqu'on se garde bien de répondre sérieusement aux arguments avancés). Si j'étais un véritable agresseur ou un harceleur, au contraire, je ne dévoilerais pas mes idées, je ferais en sorte de ne rien dire ou de paraître différemment. On dit que si Machiavel avait été machiavélien il aurait écrit dans traités de morale, d'éthique, et non "Le Prince". Note : Je n'ai jamais agressé une femme ni fait du harcèlement (je travaille avec des femmes quotidiennement). Je n'ai pas de victime, en revanche, moi je mets en garde les hommes sur le fait qu'ils risquent de devenir des victimes de la "femme libre" et que nous devons reprendre le pouvoir sur nos mêmes et ce qui doit nous revenir. Tous les penseurs sérieux, et les grands noms de la pensée européenne ont pronostiqué la mort de notre civilisation (en mentionnant bien sur, pour certains d'entre eux, sa capacité métamorphique). Nous arrivons vers la fin d'une ère.

Madame, je suis contre tout harcèlement, contre les agressions, etc. Ne me faîtes pas dire ce que je n'ai pas dit.

L'amour est un délire de l'esprit. Une ruse de la nature nous permettant la reproduction.

C'est une femme, elle pense avant tout à l'argent.

Je n'aime pas les moches en tant que moches. C'est ce que je voulais dire. Et oui, le physique a une considération moindre dans mes choix.

Je n'aime pas les moches, mais disons que je prête une attention moins importante à l'aspect physique, et c'est 100% vrai. Globalement, je trouve que je dévalues une femme après lui avoir fait l'amour, je lui trouve plus de défauts, c'est un mauvais tour de mon cerveau, je pense qu'il y a une explication scientifique à cela.

Si, selon l'islam, l'islam est le message originel que l'on a donné à Adam, Abraham, Moise, Jésus, mais tous ont perdu le message (le Coran) mais heureusement Muhammad a réussi à le préserver, toutes les religions sont altérées sauf l'islam. En français le Coran ne veut rien dire, sauf si on le lit à l'aide des exégèses (Kathir/Al-Tabari) elles nous en dévoilent le vrai sens de ces textes sans queue ni tête. Note : une étude menée par Christoph Luxemberg stipule que l'écriture du Coran n'est pas l'arabe mais un mélange de syriaque et d'araméen avec des influences du dialecte de la Mecque. Adam est un prophète selon l'islam au même titre que Muhammad, sauf qu'il a perdu le Coran (en gros). Abraham est un personnage mythique mélangeant les mythes babyloniens et sumériens.

Très bien, sauf qu'il n'y a AUCUNE PREUVE historique de l'existence d'un centre religieux à la Mecque avant le 7/8eme siècle. Or selon la doctrine islamique, l'islam est une religion inchangée depuis Adam (d'ailleurs Adam allait à la Mecque faire son Non, Adam est un personnage mythologique, point. Mais l'islam lui fait porter une valeur historique qui n'a pas pu exister. Une chose à noter également, pour l'islam, le christianisme est une "religion du livre", mais d'un point de vue chrétien, ce n'est pas le cas, selon l'adage de Paul "la lettre et l'esprit" (qui rompt avec l'extra-textualité religieuse du judaisme dont l'islam fait un retour). Quand on lit le Coran, on peut se rendre compte que ce livre est illisible et ne contient que des menaces, qu'il n'y a pas d'ordre précis ni de cohérence littéraire, y voir quelque chose de "beau", de "magique", tient plus de la foi que de la raison (chose que vous avez le droit d'exercer).

Donc selon toi, si l'on existe pas, on ne peut rien stipuler sur le passé. Ridicule. Oui islam veut dire soumission, à un dieu unique, sans doute les hébreux ont prêché la même doctrine (d'où l'islam tire ses sources idéologiques). Le Coran est une composante essentielle de l'islam.

En effet il n'y a aucune preuve de l'existence d'un lieu saint qui s'appelle la "Macque" ou "Mecca" avant l'avènement de l'islam. Or selon l'islam c'est un lieu saint depuis Adam (!!!)... Un élément qui discrédite la doctrine islamique ?

Torture avec aveux, il faut y aller crescendo.

Oui. C'est un comité qui juge de la situation d'un point de vue "éthique". C'est refusé quand il y a aucune raison valable, par ex : le fœtus ne présente aucune anomalie, la mère ne risque pas sa vie, la situation des parents est stable, là effectivement il n'y a aucune raison de l'accepter après 12 semaines.

Un cas qui nous prouve l'utilité de la torture (pour faire avouer son crime).

Le "bien commun" est une formule politique qui nous vient d'Aristote, c'est dans ce sens que je l'emplois. Il s'agît d'une notion politique à laquelle on peut faire appel "moralement" quand nous n'arrivons plus à faire de choix étayés par la raison.

En réalité, on donne parfois la parole à un comité d'éthique (interne à l'établissement), ce comité intervient dans des cas précis, par ex. : la grossesse est à risque, les tests ont été lents à venir, la maman ne peut plus avorter légalement (selon le nombre de semaines), une commission décide si la mère peut interrompre la grossesse. Le comité se range toujours derrière l'avis de la maman, premièrement, parce qu'ils considèrent que c'est la meilleure personne qui peut savoir si elle peut assumer ou non, et secundo, comme c'est souvent des cas difficiles ils veulent témoigner de leur soutien et ainsi porter une part de "responsabilité" dans le choix. Voilà pourquoi dans des cas précis, dans une société où l'avortement est interdit, l’interruption de grossesse pourra être autorisé. Dans un Etat de droit, on sait faire respecter la loi. Si l'avortement est interdit et que les avortements clandestins sont punis de la peine de mort, je vous garantis que certains y réfléchissaient à deux fois. Ce sont mes idées.

Pour vous, oui, selon vos arguments, la femme doit choisir. Personnellement je suis contre l'avortement sauf dans trois cas de figure : 1. La grossesse présente un risque pour la vie de la maman. 2. Le fœtus présente des signes d'handicap lourds, et le couple ne peut pas subvenir aux coûts que cela va représenter (la décision reviendra à une commission médicale plutôt relative et favorable à la décision du couple très généralement). 3. La maman est tombée enceinte suite à un viol. Tout le reste sera INTERDIT, ceux qui pratiquent des avortements clandestins auront une peine de prison à vie (ou peine de mort) leurs complices aussi. Me concernant, elle voulait tomber enceinte, puis le moment venu, elle n'y voyait que des contraintes, je l'ai dissuadé, mais je lui ai dit que je la soutiendrais quand même dans son choix (en l'accompagnant) bien que je n'étais pas d'accord.

Non pas encore.

Non. Je ne suis pas un tyran. Je dis juste que je n'ai pas eu le choix (alors que moi je voulais); point. En l'occurrence, il n'y a pas d'égalité des sexes là dessus. L'argument qui dit "la femme fait ce qu'elle veut de son corps" ne tient pas debout d'un point de vue logique et naturelle dans le cas de la grossesse, puisque, justement, elle détient la vie d'un autre être humain pour qui elle décide à sa place, ce qu'elle applique pour elle, elle ne l'applique pas pour son enfant, ce qui est injuste. La nature est ainsi faîte. Sur ce cas précis j'en appelle au "bien commun".

Oui, et le corps de l'enfant n'appartient pas à la mère.

Oui. Mais il ne choisit pas en finalité cette décision ne lui revient pas. Quant au reste, vous exagérez mes propos..

Oui, il n'a pas le droit de décision sur la vie de son enfant. Ce qui revient à parler dans le vent.