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Tout ce qui a été posté par Don Juan
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Doit-on se laisser guider par ses instincts?
Don Juan a répondu à un(e) sujet de sirielle dans Philosophie
C'est une évidence que non, la raisin d'abord, l'intuition lorsque la raison est en échec ou lorsqu'elle le réclame. -
Je suis inquiet pour toi....
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C'est une mauvaise plaisanterie.
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Ce n'est pas avec moi que tu es d'accord, mais avec la réalité, cependant je ne peux que me satisfaire de cet accord.
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Il suffit de puiser dans l'expérience, pas nécessaire de philosopher 107 ans.
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Donc on n'en est là, se poser la question de l'énergie, l'énergie du désespoir est-elle de l'énergie, un sursaut est-il un mouvement d'énergie, les soubresauts d'un corps qui rend l'âme sont-ils manifestation d'énergie ? Tout mouvement est le produit d'une énergie et toute énergie le résultat d'une opération chimique ou atomique sans doute, chacun donnera sa définition arrangeante dans chaque situation. Je te donne la mienne : est considérée comme énergie la force ou le moyen d'exercer un contrôle sur les forces générant le déséquilibre, le déséquilibre est une conséquence d'un affaiblissement des forces qui maintiennent l'équilibre.
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Ne crois rien, vérifie et tu grandiras.
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Non, l'énervement, l'emportement, l'excitation comme tous les autres mouvements de perte de contrôle surviennent lorsque l'énergie se vide comme par aspiration. L'effet d'une cuve dont le bouchon saute brutalement. Aux yeux du passant, et au premier regard, l'apparence qui l'emporte ressemble à une explosion, mais en réalité c'est une implosion.
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C'est façon courante de se représenter les choses, et pourquoi pas un manque d'énergie, de cette énergie qui permet de se contrôler ?
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Au premier temps il n'y a pas conscience de la volonté de se soulager, il y a juste pulsion. La raison pour soulagement est interprétation à fortiori.
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Mauvais aiguillage. Ou vin aigre....
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Si si, ils sont enfermés, mais les barreaux sont là depuis la naissance et sont invisibles.
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Mille causes. On ne voudra retenir que la dernière, la plus visible, celle qui nous concerne le moins...
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C'est tout à fait ce que je voulais dire, tu m'as bien compris et je t'en remercie.
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Probablement que nos utilisations des mots et nos façons de les entendre produisent un brouillard intellectuel, parce que cette phrase est simple en vérité. Je ne vois pas raison à un désaccord.
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Différemment de quoi ?
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On ne peut ni oublier ni se souvenir des vies passées des autres.
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L'oubli ne peut pas être ailleurs qu'au niveau de la mémoire personnelle, l'histoire personnelle plus précisément. C'est là qu'est merveilleuse la règle du jeu, de la chasse au trésor.
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L'oubli est une bonne chose, il est la règle du jeu, la voie qui s'impose. A chacun de veiller et de jeter les dés au mieux. Remonter le cours du ruisseau jusqu'à sa source, telle est la loi et la porte de la liberté. Le souvenir ou le re-souvenir n'est pas l'ennemi de L'oubli, il en est le produit, comme la pente qui ne peux pas être sans la côte.
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Euh... je suis censé répondre quelque chose ou c'est un monologue ?
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Mais non, tu n'es pas LUI, toi tu es l'autre
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Pour moi, il n'y a pas moyen d'écrire, de chanter, de peindre la beauté. Certes, il y a aussi de la beauté sur un champ de batailles, parce que la beauté est partout, mais je doute fort que ce soit de cette beauté dont ont voulu parler les peintres, ou les photographes ou les écrivains, etc... Il n'y a pas deux sens possibles à la beauté, elle est une émanation des lois de l'univers, et toutes les lois nous y conduisent.
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Oui, et justement, je disais que si l'on est "voyant" de la beauté des coquelicots on ne peut oser commettre un acte contre les coquelicots. Si l'on est "voyant" de la beauté animale, on ne peut songer à aller à la chasse ou les faire cuire dans sa marmite, les fois où ça m'arrive, il me faut être dans la non "sachance" de cette beauté, dans un oubli de conscience. Et, si l'on est "voyant" de la beauté de l'homme, on ne peut songer à partir en guerre contre lui.
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Je suis sûr que tu ne l'es pas toujours...
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Je ne veux pas faire dévier le sujet sur la beauté, mais te confier que pour moi il y a une beauté qui n'est pas subjective, lors que nous ne parlons pas de l’esthétique qui est (dans mon univers) toujours une question de subjectivité, la beauté est universelle, physique, mécanique, architecturalement sacrée, et perçue par tous les êtres vivants (dans leur corps il s'entend, l'esprit est souvent trop occupé) de la même manière, c'est à dire avec les mêmes effets physiologiques. C'est une affaire de lois cosmiques.
